Un anniversaire inoubliable (FIN)
Récit érotique écrit par ERIC64 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-04-2010 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Un anniversaire inoubliable (FIN)
Après note baise matinale j'ai envie de pisser. J'ai déjà parlé à Joëlle de mes envies de plan pisse mais elle ne semblait pas prête. Aurélie a l'habitude que les mecs de la cité lui urinent dessus, et elle y a pris goût. Elle a convaincu sa copine du côté agréable de la chose et c'est avec étonnement que je l’entends me dire:
- Ca te plairait une orgie pipi à trois ?
Je ne réponds pas, interloqué, et elle enchaîne. Elles ont prévu un après-midi pissing et m'invite à faire dans une casserole. Elles font de même, devant mes yeux hagards, puis elles font bouillir notre mélange, et le versent dans une dizaine de bouteilles d'eau qu'elles ont légèrement vidées. On se lave, on prend le petit déjeuner, on discute, on regarde des sites pornos sur internet en échangeant quelques caresses intimes.
Midi, on descend une bouteille de notre préparation en guise d'apéro. On déjeune en liquidant deux autres bouteilles. On installe le matériel nécessaire et je reconnais la bâche et la piscine gonflable de ma séance avec Patricia. J'en avais parlé à Joëlle avec l'accord de Patou et elle m'avoue avoir tenté l'expérience, avant de lui emprunter ces objets. Elle me dit aussi que l'on ira lui rendre visite dimanche pour lui rendre tout.
Je ne vais pas détailler la scène, mais on passe des heures merveilleuses. On réalise toutes les combinaisons possibles, à deux ou à trois, à asperger nos corps, à remplir nos orifices.
On nettoie tout, on se lave, et je les emmène au resto pour les remercier.
De retour je n'ai qu'à m'allonger à poil sur le lit, et les laisser faire. Elles s'occupent de moi à merveille, et me vident les couilles à plusieurs reprises.
Joëlle veut dormir seule pour récupérer encore une fois, et je m'endors avec Aurélie dans mes bras, en chien de fusil.
Au matin elle a envie de baiser. Elle me l'a déjà dit, les mecs de sa cité ne veulent que son cul et sa bouche, et ignorent sa chatte. Elle me caresse jusqu'à sentir ma queue se raidir, puis vient sur moi et s'empale sur mon manche. Sa chatte brulante et liquéfiée ne fait qu'une bouchée de mon pieu. Elle se redresse, à califourchon, et me chevauche avec frénésie. La lueur du jour pénètre la chambre, et je peux la deviner faisant le yoyo sur ma bite dressée pour elle. Joëlle l'a entendue me baiser et nous observe sur le pas de la porte, tout en se masturbant. Elle s'active tant à me faire reluire le manche que je n'en peux plus et libère des flots de foutre dans son écrin soyeux. Elle continue à me monter pour me vider, se retire, déverse son trop plein de sperme et de mouille sur mon sexe, puis dévore tout goulûment.
Elle vient se coucher contre moi, je n'ai pas débandé que déjà Joëlle est sur moi pour avoir sa ration:
- Elle te plait cette pute de noire mon salaud ! Mais n'oublie pas que c'est moi ta putain favorite. Je veux te sentir dans mon ventre, sentir ta sauce se répandre en moi.
Son huître coulisse avec délice sur ma hampe qu'elle arrose de son plaisir. Et pout être sûre que je tienne la gaule, elle invite Aurélie à m'offrir sa chatte à brouter. Je vis des instants de grâce et finis par décharger sans retenue au plus profond de ma blonde qui comme sa copine se vide sur mon sexe et bouffe tout. Aurélie jouit pour la énième fois dans ma bouche assoiffée.
On fait un petit câlin, chacune blottie sagement contre moi, puis on se prépare pour l'après midi, et notre rendez vous avec Patricia.
13H. La porte s'ouvre et Marie nous accueille avec des baisers chaleureux. On la suit au salon où nous attendent Patricia, mais aussi mes copains de baise, Manu, Jacques et Jean-Claude.
Je suis très heureux de les revoir, eux et elles, et réalise que l'on est 4 mecs et 4 filles, un casting plein de promesses.
Patricia fait les présentations, emmène les filles dans sa chambre, et nous invite nous les mecs à nous mettre à l'aise et à les rejoindre à son appel. On est les quatre à poil et je salive à la vue de leurs belles queues appétissantes. Je regrette presque que ces salopes nous attendent, on serait si bien entre mecs vicelards.
Notre hôtesse nous appelle, on les rejoint et je révise mes pensées: c'est bon un mec, mais ça ne vaut pas une salope. Elles sont toutes les quatre côte à côte, à genoux sur le lit, nues, chattes et culs offerts. C'est ma journée, et mes potes me laissent le choix de mon premier trou. Je sais que c'est à Joëlle que je dois tout cela, et je ne peux faire autrement que commencer par elle. Je la prends en levrette et chacun des trois autres vient se mettre au chaud dans les huîtres restantes. On les pistonne avec ardeur, change de partenaire pour goûter à toutes. Leurs chattes sont des centres de redressement auxquels nos queues ne résistent pas, et ce sont des bites d'acier qu'elles vont enquiller dans leurs putains de cul de chiennes vicieuses en chaleur. On les sodomise énergiquement, en se regardant, s'encourageant à qui mettra le meilleur coup. On se retire ensemble et on ordonne à nos putes de se retourner et s'agenouiller devant nous, bouche ouverte.
On saisit nos sexes à pleines mains et on se branle pour jouir sur leur langue, essuyer la dernière goutte sur leur lèvres. Elles sont soumises, et acceptent notre offrande. Puis deux par deux, Joëlle et Marie, Patricia et Aurélie, elles se tournent l'une vers l'autre et se roulent une pelle gloutonne où elles mélangent et partagent nos liqueurs.
Elles nous montrent leurs bouches vides, pour nous prouver leur dévotion, et on leur roule une pelle reconnaissante.
Elles veulent maintenant s'amuser entre filles, et connaissant mon goût pour les mecs, nous proposent l'autre chambre pour s'aimer entre mâles vicieux.
Je n'y crois pas. J'ai quatre jolies salopes qui ne demandent qu'à se faire mettre à portée de queue, et je suis fébrile comme une vierge à l'idée de me retrouver avec mes potes et leurs très belles bites (16x5,2 - 19x4,3 - 22x5,0). Seul de nous quatre, Jean Claude accepte et désire se faire sodomiser. Aussi on ne baise pas mais on se caresse, on s'embrasse, on se suce à bouche que veux tu. On change de partenaire, et je me délecte de leurs bouches gourmandes, mais plus encore de leurs chibres appétissants.
Manu me suce et je le préviens que je vais jouir. Il me dit alors que J.C. n'est plus le seul à pomper à fonds et avaler, mais qu'il s'y est mis lui aussi, ainsi que Jacques. Et preuve à l'appui il m'embouche voracement, me fait gicler et engloutit tout.
J'ai de plus en plus envie de sucer à fonds, mais n'ai pas encore osé. C'est le moment ou jamais. C'est mon anniversaire, aujourd'hui dimanche, mon week-end, le week-end de tous les excès. Je me suis fait enculer pour la première fois, j'ai fait mon premier plan pisse à trois, il faut que je sois salope jusqu'au bout, jusqu'au bout coulant de mes partenaires. Je suce Manu avec faim, soif, et je reçois mes premières giclées de sperme chaud et salé que j'avale rapidement de peur de le recracher. Je relâche sa queue, la comprime pour remonter la dernière goutte sur son méat, et la lèche pour finaliser ma pipe de salope.
Je suis heureux, content de moi, et regarde déjà les deux autres queues avec envie. Je sais pour les avoir déjà vu à l'œuvre que leurs décharges sont impressionnantes, et j'en salive d'avance. Je pompe Jacques, sa longue tringle raide, et absorbe ses puissantes et nombreuses giclées. Puis je finis par J.C., par sa grosse queue molle et souple, et le boit lorsqu'il n'en finit plus d'écouler sa semence grasse, épaisse et abondante.
Je suis PUTE, SALOPE, HEUREUX. Je m'assume et je suis bien.
On rejoint les filles, le drapeau en berne. On n'a pas du leur manquer. Joëlle et Marie se caressent et s'embrassent à pleine bouche, tandis qu'Aurélie et Patricia sont en apnée dans un 69 gourmand.
Patricia, en maîtresse de maison, décide d'une pause pour aller au salon. On remet nos slips, caleçons, culottes ou strings, et on s'installe sur les fauteuils et canapés. Notre hôte s'absente avec Joëlle, elles reviennent avec un superbe gâteau et du champagne, et tous entame une chanson pour mon anniversaire. J'ai aussi un cadeau, une magnifique poupée gonflable de la part des filles, et un gode éjaculateur de la part des mecs. Je suis ravi et les remercie tous par un long baiser chaud et sincère.
On boit, on mange, on plaisante, à ma santé. Des plaisanteries en dessous de la ceinture et qui nous donnent envie de remettre le couvert. On repart quatre par chambre, deux filles et deux garçons. Elles savent ces salopes que j'adore les parties à quatre, où les femelles sont en 69, tandis qu'on les encule profond. Les mecs ne changent pas de place, comme des machos dominants, et ce sont les femelles qui changent de place ou de chambre pour que l'on ait les douze combinaisons possibles, se farcir chacune des quatre tandis qu'elle broute chacune des trois autres. On passe plus d'une heure à les ramoner, à les reluquer se bouffer la chatte et jouir l'une dans l'autre.
On n'en peut plus de les monter, et il est temps de conclure.
On est tous dans la même chambre. On s'assoit, les quatre mecs, côte à côte sur le bord du lit, puis on se couche sur le dos en regardant le plafond. Les filles s'agenouillent à nos pieds pour une dernière turlutte. On ne sait pas laquelle nous suce, mais peu importe, ce qui compte c'est qu'elles nous vident les couilles. Elles sont très douées et arrivent rapidement à nous soulager une fois encore. On décharge dans de longs râles de plaisir, elles avalent tout et continuent à nous pomper pour bien nous dégorger le poireau et nous nettoyer.
Ces salopes sont vraiment très gentilles et on se doit de les remercier. C'est elles qui sont maintenant allongées, et on les lèche sans qu'elles ne sachent qui. Elles jouissent à volonté et nous abreuvent généreusement de leurs orgasmes non dissimulés.
Notre rencontre est terminée, on s'habille et on s'en va en se promettant de remettre ça.
Je ramène mes deux petites chez elles.
Mon week-end touche à sa fin, et j'ai du mal à les quitter. Aurélie était là exceptionnellement à la demande insistante de Joëlle, mais elle restera chez elles les autres fois pour se faire démolir par les grosses queues de sa cité. Elles voient ma déception de ne plus la voir, de ne plus l'avoir, et elles m'accordent quelque minutes pour l'aimer une dernière fois. Je la monte sur le lit, comme une bête, et puise au fonds de mes forces pour inonder son vagin. Je me retire et m'allonge contre elle. Joëlle nous nettoie tous les deux de sa bouche apaisante.
Elles me suggèrent de venir les voir en semaine si je veux revoir ma belle black. Elles m'appelleront quant elles auront un soir de libre, priorité aux études.
Un long baiser à chacune, un deuxième plus long et plus chaud à Joëlle pour la remercier de ces 48h de débauche insensée, et je m'en vais le cœur léger.
- Ca te plairait une orgie pipi à trois ?
Je ne réponds pas, interloqué, et elle enchaîne. Elles ont prévu un après-midi pissing et m'invite à faire dans une casserole. Elles font de même, devant mes yeux hagards, puis elles font bouillir notre mélange, et le versent dans une dizaine de bouteilles d'eau qu'elles ont légèrement vidées. On se lave, on prend le petit déjeuner, on discute, on regarde des sites pornos sur internet en échangeant quelques caresses intimes.
Midi, on descend une bouteille de notre préparation en guise d'apéro. On déjeune en liquidant deux autres bouteilles. On installe le matériel nécessaire et je reconnais la bâche et la piscine gonflable de ma séance avec Patricia. J'en avais parlé à Joëlle avec l'accord de Patou et elle m'avoue avoir tenté l'expérience, avant de lui emprunter ces objets. Elle me dit aussi que l'on ira lui rendre visite dimanche pour lui rendre tout.
Je ne vais pas détailler la scène, mais on passe des heures merveilleuses. On réalise toutes les combinaisons possibles, à deux ou à trois, à asperger nos corps, à remplir nos orifices.
On nettoie tout, on se lave, et je les emmène au resto pour les remercier.
De retour je n'ai qu'à m'allonger à poil sur le lit, et les laisser faire. Elles s'occupent de moi à merveille, et me vident les couilles à plusieurs reprises.
Joëlle veut dormir seule pour récupérer encore une fois, et je m'endors avec Aurélie dans mes bras, en chien de fusil.
Au matin elle a envie de baiser. Elle me l'a déjà dit, les mecs de sa cité ne veulent que son cul et sa bouche, et ignorent sa chatte. Elle me caresse jusqu'à sentir ma queue se raidir, puis vient sur moi et s'empale sur mon manche. Sa chatte brulante et liquéfiée ne fait qu'une bouchée de mon pieu. Elle se redresse, à califourchon, et me chevauche avec frénésie. La lueur du jour pénètre la chambre, et je peux la deviner faisant le yoyo sur ma bite dressée pour elle. Joëlle l'a entendue me baiser et nous observe sur le pas de la porte, tout en se masturbant. Elle s'active tant à me faire reluire le manche que je n'en peux plus et libère des flots de foutre dans son écrin soyeux. Elle continue à me monter pour me vider, se retire, déverse son trop plein de sperme et de mouille sur mon sexe, puis dévore tout goulûment.
Elle vient se coucher contre moi, je n'ai pas débandé que déjà Joëlle est sur moi pour avoir sa ration:
- Elle te plait cette pute de noire mon salaud ! Mais n'oublie pas que c'est moi ta putain favorite. Je veux te sentir dans mon ventre, sentir ta sauce se répandre en moi.
Son huître coulisse avec délice sur ma hampe qu'elle arrose de son plaisir. Et pout être sûre que je tienne la gaule, elle invite Aurélie à m'offrir sa chatte à brouter. Je vis des instants de grâce et finis par décharger sans retenue au plus profond de ma blonde qui comme sa copine se vide sur mon sexe et bouffe tout. Aurélie jouit pour la énième fois dans ma bouche assoiffée.
On fait un petit câlin, chacune blottie sagement contre moi, puis on se prépare pour l'après midi, et notre rendez vous avec Patricia.
13H. La porte s'ouvre et Marie nous accueille avec des baisers chaleureux. On la suit au salon où nous attendent Patricia, mais aussi mes copains de baise, Manu, Jacques et Jean-Claude.
Je suis très heureux de les revoir, eux et elles, et réalise que l'on est 4 mecs et 4 filles, un casting plein de promesses.
Patricia fait les présentations, emmène les filles dans sa chambre, et nous invite nous les mecs à nous mettre à l'aise et à les rejoindre à son appel. On est les quatre à poil et je salive à la vue de leurs belles queues appétissantes. Je regrette presque que ces salopes nous attendent, on serait si bien entre mecs vicelards.
Notre hôtesse nous appelle, on les rejoint et je révise mes pensées: c'est bon un mec, mais ça ne vaut pas une salope. Elles sont toutes les quatre côte à côte, à genoux sur le lit, nues, chattes et culs offerts. C'est ma journée, et mes potes me laissent le choix de mon premier trou. Je sais que c'est à Joëlle que je dois tout cela, et je ne peux faire autrement que commencer par elle. Je la prends en levrette et chacun des trois autres vient se mettre au chaud dans les huîtres restantes. On les pistonne avec ardeur, change de partenaire pour goûter à toutes. Leurs chattes sont des centres de redressement auxquels nos queues ne résistent pas, et ce sont des bites d'acier qu'elles vont enquiller dans leurs putains de cul de chiennes vicieuses en chaleur. On les sodomise énergiquement, en se regardant, s'encourageant à qui mettra le meilleur coup. On se retire ensemble et on ordonne à nos putes de se retourner et s'agenouiller devant nous, bouche ouverte.
On saisit nos sexes à pleines mains et on se branle pour jouir sur leur langue, essuyer la dernière goutte sur leur lèvres. Elles sont soumises, et acceptent notre offrande. Puis deux par deux, Joëlle et Marie, Patricia et Aurélie, elles se tournent l'une vers l'autre et se roulent une pelle gloutonne où elles mélangent et partagent nos liqueurs.
Elles nous montrent leurs bouches vides, pour nous prouver leur dévotion, et on leur roule une pelle reconnaissante.
Elles veulent maintenant s'amuser entre filles, et connaissant mon goût pour les mecs, nous proposent l'autre chambre pour s'aimer entre mâles vicieux.
Je n'y crois pas. J'ai quatre jolies salopes qui ne demandent qu'à se faire mettre à portée de queue, et je suis fébrile comme une vierge à l'idée de me retrouver avec mes potes et leurs très belles bites (16x5,2 - 19x4,3 - 22x5,0). Seul de nous quatre, Jean Claude accepte et désire se faire sodomiser. Aussi on ne baise pas mais on se caresse, on s'embrasse, on se suce à bouche que veux tu. On change de partenaire, et je me délecte de leurs bouches gourmandes, mais plus encore de leurs chibres appétissants.
Manu me suce et je le préviens que je vais jouir. Il me dit alors que J.C. n'est plus le seul à pomper à fonds et avaler, mais qu'il s'y est mis lui aussi, ainsi que Jacques. Et preuve à l'appui il m'embouche voracement, me fait gicler et engloutit tout.
J'ai de plus en plus envie de sucer à fonds, mais n'ai pas encore osé. C'est le moment ou jamais. C'est mon anniversaire, aujourd'hui dimanche, mon week-end, le week-end de tous les excès. Je me suis fait enculer pour la première fois, j'ai fait mon premier plan pisse à trois, il faut que je sois salope jusqu'au bout, jusqu'au bout coulant de mes partenaires. Je suce Manu avec faim, soif, et je reçois mes premières giclées de sperme chaud et salé que j'avale rapidement de peur de le recracher. Je relâche sa queue, la comprime pour remonter la dernière goutte sur son méat, et la lèche pour finaliser ma pipe de salope.
Je suis heureux, content de moi, et regarde déjà les deux autres queues avec envie. Je sais pour les avoir déjà vu à l'œuvre que leurs décharges sont impressionnantes, et j'en salive d'avance. Je pompe Jacques, sa longue tringle raide, et absorbe ses puissantes et nombreuses giclées. Puis je finis par J.C., par sa grosse queue molle et souple, et le boit lorsqu'il n'en finit plus d'écouler sa semence grasse, épaisse et abondante.
Je suis PUTE, SALOPE, HEUREUX. Je m'assume et je suis bien.
On rejoint les filles, le drapeau en berne. On n'a pas du leur manquer. Joëlle et Marie se caressent et s'embrassent à pleine bouche, tandis qu'Aurélie et Patricia sont en apnée dans un 69 gourmand.
Patricia, en maîtresse de maison, décide d'une pause pour aller au salon. On remet nos slips, caleçons, culottes ou strings, et on s'installe sur les fauteuils et canapés. Notre hôte s'absente avec Joëlle, elles reviennent avec un superbe gâteau et du champagne, et tous entame une chanson pour mon anniversaire. J'ai aussi un cadeau, une magnifique poupée gonflable de la part des filles, et un gode éjaculateur de la part des mecs. Je suis ravi et les remercie tous par un long baiser chaud et sincère.
On boit, on mange, on plaisante, à ma santé. Des plaisanteries en dessous de la ceinture et qui nous donnent envie de remettre le couvert. On repart quatre par chambre, deux filles et deux garçons. Elles savent ces salopes que j'adore les parties à quatre, où les femelles sont en 69, tandis qu'on les encule profond. Les mecs ne changent pas de place, comme des machos dominants, et ce sont les femelles qui changent de place ou de chambre pour que l'on ait les douze combinaisons possibles, se farcir chacune des quatre tandis qu'elle broute chacune des trois autres. On passe plus d'une heure à les ramoner, à les reluquer se bouffer la chatte et jouir l'une dans l'autre.
On n'en peut plus de les monter, et il est temps de conclure.
On est tous dans la même chambre. On s'assoit, les quatre mecs, côte à côte sur le bord du lit, puis on se couche sur le dos en regardant le plafond. Les filles s'agenouillent à nos pieds pour une dernière turlutte. On ne sait pas laquelle nous suce, mais peu importe, ce qui compte c'est qu'elles nous vident les couilles. Elles sont très douées et arrivent rapidement à nous soulager une fois encore. On décharge dans de longs râles de plaisir, elles avalent tout et continuent à nous pomper pour bien nous dégorger le poireau et nous nettoyer.
Ces salopes sont vraiment très gentilles et on se doit de les remercier. C'est elles qui sont maintenant allongées, et on les lèche sans qu'elles ne sachent qui. Elles jouissent à volonté et nous abreuvent généreusement de leurs orgasmes non dissimulés.
Notre rencontre est terminée, on s'habille et on s'en va en se promettant de remettre ça.
Je ramène mes deux petites chez elles.
Mon week-end touche à sa fin, et j'ai du mal à les quitter. Aurélie était là exceptionnellement à la demande insistante de Joëlle, mais elle restera chez elles les autres fois pour se faire démolir par les grosses queues de sa cité. Elles voient ma déception de ne plus la voir, de ne plus l'avoir, et elles m'accordent quelque minutes pour l'aimer une dernière fois. Je la monte sur le lit, comme une bête, et puise au fonds de mes forces pour inonder son vagin. Je me retire et m'allonge contre elle. Joëlle nous nettoie tous les deux de sa bouche apaisante.
Elles me suggèrent de venir les voir en semaine si je veux revoir ma belle black. Elles m'appelleront quant elles auront un soir de libre, priorité aux études.
Un long baiser à chacune, un deuxième plus long et plus chaud à Joëlle pour la remercier de ces 48h de débauche insensée, et je m'en vais le cœur léger.
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