Un appétit à satisfaire (2)
Récit érotique écrit par Janea [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 6 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Janea ont reçu un total de 32 567 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-10-2023 dans la catégorie En solitaire
Cette histoire de sexe a été affichée 3 855 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Un appétit à satisfaire (2)
Je me suis réveillée excitée, sans vraiment de raison. Et tout ce que j’ai en tête c’est de me faire du bien. J’étais quelque peu frustrée d’être célibataire, et j’avais envie de plus qu’un simple petit plaisir. Je voulais plus que mes petites mains habiles, je voulais sentir le plaisir au fond de moi. Je voulais être comblée.
Comme à mon habitude, je me laisse le temps d’émerger de cette courte nuit. Laissant mes mains glisser sur ma peau, caressant ma poitrine, malaxant mes seins, et mon ventre avant de passer les doigts entre mes cuisses. Je pince et roule lentement mon clitoris entre mes doigts.
Je joue du bout des doigts avec ce petit bouton plus que sensible. Faisant des cercles rapides avec mes doigts pour le stimuler le plus possible. Puis je laisse cette main descendre, jouer avec l’entrée de ma chatte, se noyant dans cette mouille qui coulait déjà à flots. Je suis si excitée et tellement mouillée, que ce besoin de jouir se fait plus fort. Je ferme alors les yeux et laisse mon esprit vagabonder. Cela faisait longtemps que je ne m’étais pas autant lâchée. Je n’avais jamais vraiment assumé toutes ses pensées et images perverses qui tourbillonnaient dans mon imagination et je n’avais surtout, jamais pris autant de plaisir à m’y abandonner en me touchant.
Petit à petit, mon cœur s’accélère et une douce chaleur arrive à mon bas ventre. J’arrête tout mouvement, laissant ma main entre mes cuisses, les doigts mouillés. J’hésite une petite seconde avant de finalement amener mes doigts à ma bouche et de les laisser s’enfoncer entre mes lèvres, laissant ce doux liquide imbiber ma langue. Les yeux fermés, les idées se mirent à bouillonner encore plus dans ma tête. J’imaginais le goût de la mouille d’une autre fille sur ma langue, je voulais lécher et goûter à une autre chatte, jouer avec son clitoris avec ma langue, le sucer, le mordre, l’aspirer entre mes lèvres. Je voulais l’entendre gémir pendant que je la mangeais, je voulais que ça coule dans ma bouche.
L’image passée, je ramène ma main entre mes cuisses écartées et laisse entrer un doigt puis un deuxième. Ils entrent lentement en moi, au plus profond possible avant de les ressortir avant de recommencer, plus vite et plus brusquement. Après quelques minutes intenses, je ramène à nouveau la main à mon visage. Laisse à nouveau mes deux doigts s’enfoncer dans ma bouche et commence à sucer mes doigts qui venait de baiser ma petite chatte, imaginant alors qu’un homme me laissait goûter à son sexe après l’avoir insérer en moi. J’imaginais le goût d’une bonne queue qui prendrait possession de ma gorge avant de revenir à nouveau caresser mon clitoris. Mon corps se met à frissonner, et les muscles de mes cuisses se contractent. Je me cambre comme pour m’autoriser à me faire du bien jusqu’à ce que mes cuisses, par réflexe, se resserrent. Que ma respiration se bloque, que mon corps tremble entièrement, en silence de si beau matin pour éviter de réveiller les voisins. Je ressentais cette chaleur descendre de mon bas ventre jusqu’à l'entre de mes cuisses puis à mes fesses, je sentais ma chatte couler sur les draps qui s'humidifient sous mon corps que je laissais se calmer.
J’essayais tant bien que mal de me calmer, mais l’excitation était-elle que je n’y arrivais pas. J’avais encore envie, j’en voulais encore. Je voulais qu’on me prenne comme la salope avide de sexe que j’étais devenue. Et soudain l’idée me vint.
J’avais enfin décidé de m’abandonner à mon côté obscur et salace, d’accepter mes envies et de répondre à mes pulsions. Et aujourd’hui, j’avais envie, ou presque le besoin, de sortir du placard mes vieux amis, achetés par mon ex lorsque nous étions encore ensemble avec lesquels nous avions joué que trop rarement.
Je roulais légèrement sur le côté jusqu’au bord du lit, et ouvrit le tiroir. Sous la montagne de soutien-gorges et de bodys à dentelle se cachaient trois “petits” objets.
Le premier était un bouton en métal de taille moyenne avec un diamant violet en forme de coeur, je ne m’étais servie de ce plug anal qu’une seule fois avec mon ex mais en gardais un très très bon souvenir.
Le deuxième était un vibro de taille ni trop imposante ni trop petite, il n’avait pas la forme d’un penis mais savait très bien entrer en moi et stimuler les bons endroits lorsqu’il vibrait.
Et le dernier, le plus récent et le plus efficace, un womanizer de couleur rouge où plus communément appelé “l’aspirateur à clitoris”, les peu de fois où j’avais osé l’utiliser, mon petit bouton avait été si stimulé que je grimpais systématiquement et très rapidement aux rideaux.
Je regardais les trois objets et hésitais.
Lequel allais-je sortir pour prendre mon pied ce matin ?
Comme à mon habitude, je me laisse le temps d’émerger de cette courte nuit. Laissant mes mains glisser sur ma peau, caressant ma poitrine, malaxant mes seins, et mon ventre avant de passer les doigts entre mes cuisses. Je pince et roule lentement mon clitoris entre mes doigts.
Je joue du bout des doigts avec ce petit bouton plus que sensible. Faisant des cercles rapides avec mes doigts pour le stimuler le plus possible. Puis je laisse cette main descendre, jouer avec l’entrée de ma chatte, se noyant dans cette mouille qui coulait déjà à flots. Je suis si excitée et tellement mouillée, que ce besoin de jouir se fait plus fort. Je ferme alors les yeux et laisse mon esprit vagabonder. Cela faisait longtemps que je ne m’étais pas autant lâchée. Je n’avais jamais vraiment assumé toutes ses pensées et images perverses qui tourbillonnaient dans mon imagination et je n’avais surtout, jamais pris autant de plaisir à m’y abandonner en me touchant.
Petit à petit, mon cœur s’accélère et une douce chaleur arrive à mon bas ventre. J’arrête tout mouvement, laissant ma main entre mes cuisses, les doigts mouillés. J’hésite une petite seconde avant de finalement amener mes doigts à ma bouche et de les laisser s’enfoncer entre mes lèvres, laissant ce doux liquide imbiber ma langue. Les yeux fermés, les idées se mirent à bouillonner encore plus dans ma tête. J’imaginais le goût de la mouille d’une autre fille sur ma langue, je voulais lécher et goûter à une autre chatte, jouer avec son clitoris avec ma langue, le sucer, le mordre, l’aspirer entre mes lèvres. Je voulais l’entendre gémir pendant que je la mangeais, je voulais que ça coule dans ma bouche.
L’image passée, je ramène ma main entre mes cuisses écartées et laisse entrer un doigt puis un deuxième. Ils entrent lentement en moi, au plus profond possible avant de les ressortir avant de recommencer, plus vite et plus brusquement. Après quelques minutes intenses, je ramène à nouveau la main à mon visage. Laisse à nouveau mes deux doigts s’enfoncer dans ma bouche et commence à sucer mes doigts qui venait de baiser ma petite chatte, imaginant alors qu’un homme me laissait goûter à son sexe après l’avoir insérer en moi. J’imaginais le goût d’une bonne queue qui prendrait possession de ma gorge avant de revenir à nouveau caresser mon clitoris. Mon corps se met à frissonner, et les muscles de mes cuisses se contractent. Je me cambre comme pour m’autoriser à me faire du bien jusqu’à ce que mes cuisses, par réflexe, se resserrent. Que ma respiration se bloque, que mon corps tremble entièrement, en silence de si beau matin pour éviter de réveiller les voisins. Je ressentais cette chaleur descendre de mon bas ventre jusqu’à l'entre de mes cuisses puis à mes fesses, je sentais ma chatte couler sur les draps qui s'humidifient sous mon corps que je laissais se calmer.
J’essayais tant bien que mal de me calmer, mais l’excitation était-elle que je n’y arrivais pas. J’avais encore envie, j’en voulais encore. Je voulais qu’on me prenne comme la salope avide de sexe que j’étais devenue. Et soudain l’idée me vint.
J’avais enfin décidé de m’abandonner à mon côté obscur et salace, d’accepter mes envies et de répondre à mes pulsions. Et aujourd’hui, j’avais envie, ou presque le besoin, de sortir du placard mes vieux amis, achetés par mon ex lorsque nous étions encore ensemble avec lesquels nous avions joué que trop rarement.
Je roulais légèrement sur le côté jusqu’au bord du lit, et ouvrit le tiroir. Sous la montagne de soutien-gorges et de bodys à dentelle se cachaient trois “petits” objets.
Le premier était un bouton en métal de taille moyenne avec un diamant violet en forme de coeur, je ne m’étais servie de ce plug anal qu’une seule fois avec mon ex mais en gardais un très très bon souvenir.
Le deuxième était un vibro de taille ni trop imposante ni trop petite, il n’avait pas la forme d’un penis mais savait très bien entrer en moi et stimuler les bons endroits lorsqu’il vibrait.
Et le dernier, le plus récent et le plus efficace, un womanizer de couleur rouge où plus communément appelé “l’aspirateur à clitoris”, les peu de fois où j’avais osé l’utiliser, mon petit bouton avait été si stimulé que je grimpais systématiquement et très rapidement aux rideaux.
Je regardais les trois objets et hésitais.
Lequel allais-je sortir pour prendre mon pied ce matin ?
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Janea
5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Ouah très chaud, j'attends la suite avec impatience, j'ose avouer que j'ai mouillé. Bravo l'auteure
Ouah chaud, chaud, j'adore cette amenée progressive à la jouissance
Merci beaucoup pour votre réponse.
Bien sûr que vos écrits me donnent envie de vous accompagner ! d'autant plus maintenant que je sais qué le plaisir que vous vous donnez ne s"accompagne d'aucun complexe inutile.
C'est également excitant de savoir que vous savez jouer de votre frustration, pour qu'après coup, votre plaisir n'en soit que plus grand. Mais ne vous faites pas trop languir quand même, ne vous privez pas de jouir, ce serait trop dommage !
Ne vous privez pas d'écrire, non plus. D'une part vous faites des heureux en nous racontant vos plaisirs, et d'autre part, écrire ces histoire réalimente votre excitation, ce qui est une nouvelle source de plaisirs.
J'attends votre prochain écrit avec impatience !
Bien sûr que vos écrits me donnent envie de vous accompagner ! d'autant plus maintenant que je sais qué le plaisir que vous vous donnez ne s"accompagne d'aucun complexe inutile.
C'est également excitant de savoir que vous savez jouer de votre frustration, pour qu'après coup, votre plaisir n'en soit que plus grand. Mais ne vous faites pas trop languir quand même, ne vous privez pas de jouir, ce serait trop dommage !
Ne vous privez pas d'écrire, non plus. D'une part vous faites des heureux en nous racontant vos plaisirs, et d'autre part, écrire ces histoire réalimente votre excitation, ce qui est une nouvelle source de plaisirs.
J'attends votre prochain écrit avec impatience !
Cher Lecteur, merci pour ce commentaire, pour une fois, je me devais de répondre. Je suis ravie que mes écrits vous plaisent, et croyez moi je ne compte plus complexer de prendre du plaisir.
En effet, raconter me donne toujours envie de recommencer je me laisse parfois tenter, ou parfois je laisse la frustration m'envahir pour mieux profiter plus tard. Cependant, j'espère que me lire, vous donne cette envie de m'accompagner.
Pour avoir la réponse à la toute dernière interrogation, il faudra lire le prochain écrit.
A bientôt,
Janea.
En effet, raconter me donne toujours envie de recommencer je me laisse parfois tenter, ou parfois je laisse la frustration m'envahir pour mieux profiter plus tard. Cependant, j'espère que me lire, vous donne cette envie de m'accompagner.
Pour avoir la réponse à la toute dernière interrogation, il faudra lire le prochain écrit.
A bientôt,
Janea.
Déjà, le chapitre précédent était un plaisir à lire, mais celui-ci est encore mieux.
Comme il est agréable et excitant de découvrir cette confession sans voile !
N'en ayez aucune honte, au contraire, je vous encourage à vous donner du plaisir sans complexe, c'est bon pour votre moral et votre bien-être. Et nous le raconter comme vous le faites doit certainement stimuler votre désir de recommencer, n'est-ce pas ? J'espère que ça a été le cas.
Enfin, pour répondre à l'interrogation en dernière phrase de votre texte, je suis tenté de répondre : pourquoi choisir ?
Comme il est agréable et excitant de découvrir cette confession sans voile !
N'en ayez aucune honte, au contraire, je vous encourage à vous donner du plaisir sans complexe, c'est bon pour votre moral et votre bien-être. Et nous le raconter comme vous le faites doit certainement stimuler votre désir de recommencer, n'est-ce pas ? J'espère que ça a été le cas.
Enfin, pour répondre à l'interrogation en dernière phrase de votre texte, je suis tenté de répondre : pourquoi choisir ?