Un appétit à satisfaire (3)
Récit érotique écrit par Janea [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 6 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Janea ont reçu un total de 32 583 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-11-2023 dans la catégorie En solitaire
Cette histoire de sexe a été affichée 3 116 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Un appétit à satisfaire (3)
Penchée au bord du lit, je regarde dans le tiroir ouvert. Je venais de me faire jouir grâce à mes petites mains mais mon corps refusait de se calmer, refusait de se contenter de s’en contenter. Et sous mes yeux, dans le tiroir, mes fidèles amants..
Je regarde les trois objets et me demande lequel allait me faire le plus de bien. J'avais besoin de sexe, je voulais vraiment jouir, comme si on me prenait, comme si on me possédait. Sans réfléchir, ou plutôt, en me disant que j'allais choisir durant l'acte, je sors les trois jouets et les pose dans le lit à côté de moi. Je me retourne et m'allonge sur le dos, je ramène mes pieds vers mes fesses relevant alors les genoux, et les écarte, écartant de ce fait mes cuisses.
Mes doigts glissent à nouveau entre, allant torturer mon clitoris qui avait déjà bien été stimulé jusqu’à maintenant. Je laisse un doigt descendre à mes lèvres, puis entre, jouant avec ce liquide qui ne finissait plus de couler, chaud et agréable. Enfonçait un doigt, puis le retire entièrement, avant de le glisser entre mes fesses pour caresser et humidifier ce petit trou interdit qui n'attendait que de s'ouvrir.
Après quelques instants, quelques échanges, je pris ce plug anal au petit cœur, et le laissait glisser le long de mon clito et de mes lèvres. Le métal froid eut le don de me surprendre et me faire frissonner, mais en même temps, cela était agréable. Une légère vague de froid me parcourt, très tentant. Je l'avance ensuite entre mes fesses et le présente à ma rondelle encore fermée, à peine humide comme pour présenter l'objet. Je le frotte un peu, le pousse légèrement à l'intérieur de quelques millimètres, avant de revenir à ma chatte et le faire entrer à l'intérieur pour l'humidifier. Quel bonheur d'utiliser sa propre mouille comme lubrifiant. Je l'entre et le ressors à plusieurs reprises avant de le présenter de nouveau à la porte fermée. Je l'insère doucement. Je respire un bon coup jusqu'à sentir mon corps se détendre, je tire sur une fesse d'une main pour l'écarter, et sans trop forcer, enfonce l'objet. Mon cul s'ouvre pour l'accueillir avant de se refermer autour de l'objet, mon cœur accélère, j'appréciais cette sensation.
J'aimais sentir mon cul rempli, j'aimais le sentir occupé.
Je ramenais les doigts à ma chatte pour caresser tendrement mes lèvres puis mon clitoris. Je fais rentrer un doigt, longe la chair jusqu’à sentir à travers mon corps l’objet qui était en moi de l’autre côté. je ais quelques va et viens rapide avant de me retirer et d'aller récupérer un deuxième jouet. J'avais envie de me prendre, par tous les moyens. Je voulais être comblée de tous les côtés.
J’enfonce l’objet rose dans ma bouche, fait quelques allers retours, de plus en plus profond, jusqu'à titiller ma glotte. Une fois réchauffé et bien humidifié, je le sors de ma bouche, un filet de bave basculant au bout de l'objet, et avec envie et impatience, l'amène entre mes jambes, et l'enfonce doucement. La chatte serrée accueille difficilement l’objet, ce qui eu le don de, déjà, me faire beaucoup d'effet. Après quelques va et vient plus ou moins lents, c’était déjà mieux, le plaisir était présent, mon corps bouillonnait, mon ventre me brûlait d’envie et de plaisir.
Après un instant, j'allume le god et le laisse vibrer à l'intérieur de moi. Je sens le caoutchouc se frotter contre les parois de mon vagin, et rencontrer à travers la chair,tout comme mon doigts quelques minutes plus tôt, le plug qui se cachait de l'autre côté. Je fis de légères pressions, j’adorais cette sensation. J'accélère et lâche prise. Une main s’amusant à me pénétrer, et l'autre, descendant jouer avec ce plug, tirant un peu dessus, le retirant puis le remettant à sa place. Mes deux orifices se faisaient baiser, durement, comme je le voulais. Je me sentais comblée, et proche du final, j’accélère encore.
Je commence à me cambrer, la respiration est plus forte, plus rapide. Me mordant la lèvre pour éviter de gémir. Je lâche le plug, et laisse cette main, maintenant libre, aller malaxer et torturer un sein, jouer et rouler autour d’un téton dur, presque douloureux.
Et soudain, je n'arrive plus à retenir mon souffle et ma voix. Un gémissement résonne dans la chambre, un courant électrique parcourt mon corps de la gorge à mes genoux, et avant que mon corps ne se mette à trembler, je retire le jouet, libérant ma chatte, n'y touchant plus.
Je m’arrête nette… C'était trop tôt, trop facile..
J'attends que l'excitation redescende un peu, que ma respiration se calme, avant de réinsérer le jouet au fond de moi, sans l'allumer. Je le tiens d'une main pour le garder en place, et de l'autre j'attrape le dernier de mes amis.
Je positionne la petite ventouse par dessus mon clitoris gonflé, qui entre parfaitement dans la cavité.
Je prends une grande inspiration, cette frustration d'avoir tout arrêté avant de jouir allait rendre la prochaine étape encore plus intense, plus folle, plus addictive.. Et j’en salivais d’envie rien qu’en y pensant. Je ferme les yeux, bascule la tête en arrière, enfoncée dans l'oreiller confortablement, et soudain, j'allume.
Mon clitoris se fait aspirer par petits à-coups rapides, il ne faut pas longtemps à mon corps pour adorer cette succion, il ne faut pas longtemps à mon corps pour se raidir, se tendre et trembler. Les cuisses se resserrent, invitant alors mon vagin à se resserrer autour du gode toujours au fond de mon antre, puis ma rondelle, s'ouvrant et se resserrant, elle aussi, autour du plug en métal.
Ma gorge se délie, les gémissements se font entendre dans la chambre. Tant pis pour les voisins. Je me cambre, et profite. Je veux vivre cette sensation au maximum, je laisse mon corps subir, et jouir. La respiration bloquée, le cœur battant trop vite. Et soudain, et cela était rare, vraiment très rare, un léger jet de cyprine jaillissant de mes lèvres, inondant ma main, retenant le gode de s'échapper, rendant les draps encore plus humides, trempés.
J'éteint le womanizer, et le retire doucement. Retire ensuite le jouet rose qui explorait mon intérieur, et en dernier, retire le plug anal. Mon corps frissonne encore. J'attends quelques minutes, reprends mes esprits avant de me lever.
Cela faisait si longtemps que je ne m'étais pas abandonné à un tel plaisir, et dans un sens, j'en étais heureuse car au fond, le plaisir n'en fut que plus fort. Mais cela dit, cela m’avait aussi manqué et des fois.. j’aimerais retrouver la chaleur humaine d’un amant.
Je regarde les trois objets et me demande lequel allait me faire le plus de bien. J'avais besoin de sexe, je voulais vraiment jouir, comme si on me prenait, comme si on me possédait. Sans réfléchir, ou plutôt, en me disant que j'allais choisir durant l'acte, je sors les trois jouets et les pose dans le lit à côté de moi. Je me retourne et m'allonge sur le dos, je ramène mes pieds vers mes fesses relevant alors les genoux, et les écarte, écartant de ce fait mes cuisses.
Mes doigts glissent à nouveau entre, allant torturer mon clitoris qui avait déjà bien été stimulé jusqu’à maintenant. Je laisse un doigt descendre à mes lèvres, puis entre, jouant avec ce liquide qui ne finissait plus de couler, chaud et agréable. Enfonçait un doigt, puis le retire entièrement, avant de le glisser entre mes fesses pour caresser et humidifier ce petit trou interdit qui n'attendait que de s'ouvrir.
Après quelques instants, quelques échanges, je pris ce plug anal au petit cœur, et le laissait glisser le long de mon clito et de mes lèvres. Le métal froid eut le don de me surprendre et me faire frissonner, mais en même temps, cela était agréable. Une légère vague de froid me parcourt, très tentant. Je l'avance ensuite entre mes fesses et le présente à ma rondelle encore fermée, à peine humide comme pour présenter l'objet. Je le frotte un peu, le pousse légèrement à l'intérieur de quelques millimètres, avant de revenir à ma chatte et le faire entrer à l'intérieur pour l'humidifier. Quel bonheur d'utiliser sa propre mouille comme lubrifiant. Je l'entre et le ressors à plusieurs reprises avant de le présenter de nouveau à la porte fermée. Je l'insère doucement. Je respire un bon coup jusqu'à sentir mon corps se détendre, je tire sur une fesse d'une main pour l'écarter, et sans trop forcer, enfonce l'objet. Mon cul s'ouvre pour l'accueillir avant de se refermer autour de l'objet, mon cœur accélère, j'appréciais cette sensation.
J'aimais sentir mon cul rempli, j'aimais le sentir occupé.
Je ramenais les doigts à ma chatte pour caresser tendrement mes lèvres puis mon clitoris. Je fais rentrer un doigt, longe la chair jusqu’à sentir à travers mon corps l’objet qui était en moi de l’autre côté. je ais quelques va et viens rapide avant de me retirer et d'aller récupérer un deuxième jouet. J'avais envie de me prendre, par tous les moyens. Je voulais être comblée de tous les côtés.
J’enfonce l’objet rose dans ma bouche, fait quelques allers retours, de plus en plus profond, jusqu'à titiller ma glotte. Une fois réchauffé et bien humidifié, je le sors de ma bouche, un filet de bave basculant au bout de l'objet, et avec envie et impatience, l'amène entre mes jambes, et l'enfonce doucement. La chatte serrée accueille difficilement l’objet, ce qui eu le don de, déjà, me faire beaucoup d'effet. Après quelques va et vient plus ou moins lents, c’était déjà mieux, le plaisir était présent, mon corps bouillonnait, mon ventre me brûlait d’envie et de plaisir.
Après un instant, j'allume le god et le laisse vibrer à l'intérieur de moi. Je sens le caoutchouc se frotter contre les parois de mon vagin, et rencontrer à travers la chair,tout comme mon doigts quelques minutes plus tôt, le plug qui se cachait de l'autre côté. Je fis de légères pressions, j’adorais cette sensation. J'accélère et lâche prise. Une main s’amusant à me pénétrer, et l'autre, descendant jouer avec ce plug, tirant un peu dessus, le retirant puis le remettant à sa place. Mes deux orifices se faisaient baiser, durement, comme je le voulais. Je me sentais comblée, et proche du final, j’accélère encore.
Je commence à me cambrer, la respiration est plus forte, plus rapide. Me mordant la lèvre pour éviter de gémir. Je lâche le plug, et laisse cette main, maintenant libre, aller malaxer et torturer un sein, jouer et rouler autour d’un téton dur, presque douloureux.
Et soudain, je n'arrive plus à retenir mon souffle et ma voix. Un gémissement résonne dans la chambre, un courant électrique parcourt mon corps de la gorge à mes genoux, et avant que mon corps ne se mette à trembler, je retire le jouet, libérant ma chatte, n'y touchant plus.
Je m’arrête nette… C'était trop tôt, trop facile..
J'attends que l'excitation redescende un peu, que ma respiration se calme, avant de réinsérer le jouet au fond de moi, sans l'allumer. Je le tiens d'une main pour le garder en place, et de l'autre j'attrape le dernier de mes amis.
Je positionne la petite ventouse par dessus mon clitoris gonflé, qui entre parfaitement dans la cavité.
Je prends une grande inspiration, cette frustration d'avoir tout arrêté avant de jouir allait rendre la prochaine étape encore plus intense, plus folle, plus addictive.. Et j’en salivais d’envie rien qu’en y pensant. Je ferme les yeux, bascule la tête en arrière, enfoncée dans l'oreiller confortablement, et soudain, j'allume.
Mon clitoris se fait aspirer par petits à-coups rapides, il ne faut pas longtemps à mon corps pour adorer cette succion, il ne faut pas longtemps à mon corps pour se raidir, se tendre et trembler. Les cuisses se resserrent, invitant alors mon vagin à se resserrer autour du gode toujours au fond de mon antre, puis ma rondelle, s'ouvrant et se resserrant, elle aussi, autour du plug en métal.
Ma gorge se délie, les gémissements se font entendre dans la chambre. Tant pis pour les voisins. Je me cambre, et profite. Je veux vivre cette sensation au maximum, je laisse mon corps subir, et jouir. La respiration bloquée, le cœur battant trop vite. Et soudain, et cela était rare, vraiment très rare, un léger jet de cyprine jaillissant de mes lèvres, inondant ma main, retenant le gode de s'échapper, rendant les draps encore plus humides, trempés.
J'éteint le womanizer, et le retire doucement. Retire ensuite le jouet rose qui explorait mon intérieur, et en dernier, retire le plug anal. Mon corps frissonne encore. J'attends quelques minutes, reprends mes esprits avant de me lever.
Cela faisait si longtemps que je ne m'étais pas abandonné à un tel plaisir, et dans un sens, j'en étais heureuse car au fond, le plaisir n'en fut que plus fort. Mais cela dit, cela m’avait aussi manqué et des fois.. j’aimerais retrouver la chaleur humaine d’un amant.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Janea
2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Bien écrit et trés excitant
J'avoue me masturber assez souvent et j'arrive à un orgasme sublime
annie1743@aol.com
J'avoue me masturber assez souvent et j'arrive à un orgasme sublime
annie1743@aol.com
Eh bien, je ne savais pas que mon conseil allait si bien coïncider avec la suite de cette si belle séance de masturbation !
Vraiment, la manière dont vous avez pris votre plaisir, et la manière dont vous le racontez, tout cela est diablement excitant...
J'espère, pour votre bien-être, que vous recommencez souvent :)
Et qu'à chaque fois, vous viendrez nous le raconter, de manière aussi excitante.
Vraiment, la manière dont vous avez pris votre plaisir, et la manière dont vous le racontez, tout cela est diablement excitant...
J'espère, pour votre bien-être, que vous recommencez souvent :)
Et qu'à chaque fois, vous viendrez nous le raconter, de manière aussi excitante.