Un après midi chez Anne-Lou épisode 2
Récit érotique écrit par Sab ladouce [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-12-2003 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Un après midi chez Anne-Lou épisode 2
Voilà la suite:
"En cette fin du mois de mai, ils sont partis à Paris pour l'annuel salon du tourisme, car Samy est directeur commercial d'un hôtel à Jerba. Cette année là, Myriam étais du voyage. Elle s'estime être la plus chanceuse épouse, car elle n'a pas le devoir de travailler, bien que parfois une activité professionnelle lui manque, mais à ce moment là elle n'aura pas toujours le loisir de vivre pleinement les intenses moments qu'elle est entrain de connaître !
Comme à chaque passage par Paris, elle prévient son amie Anne-lou, une amie qu'elle connaît depuis une bonne dizaine d'années.
Elles se sont données rendez-vous, le mardi pour un déjeuner sur les champs, au Fouquet's.
Myriam pris place au restaurent à 12h30 et attendais avec une certaine impatience l'arrivé de son amie, car il faut avouer qu'elles s'entendent à merveille sans pour autant être très intime. Mais elles aiment bien bavarder, échanger leurs points de vu et surtout faire les magasins.
A 12h40 Anne-lou franchi le pas de la porte du restaurant d'un pas félin et avec une grâce qui pourrait faire bander un eunuque ! . Elle porte une longue jupe noire plissée et un chemisier blanc à travers le quel on peut deviner qu'elle ne porte pas de soutien gorge. Son visage est couvert d'un discret maquillage, le pourtour de ses lèvres finement dessinée par un crayon sombre.
A sa vue, Myriam va à sa rencontre. Elle, aussi, n'est pas à plaindre bien qu'elle soit un peu courte sur patte, elle mesure 1m62 mais ce qui fait son charme se sont les deux fossettes que dessinent ses joues lorsqu'elle sourit et surtout son 95c qu'elle sait mettre en valeur lorsqu'elle enfile un pull moulant qui dessine ses courbes volumineuses. Mais aujourd'hui elle a opté pour une robe moulante en coton d'un bleu qui a le secret de la rendre plus grande de taille (juste un effet d'otique !)
Après de sincères accolade et bizous, elles se sont mise à table pour commander leurs déjeuner qu'elles arrosent d'une bonne bouteille de Bordeaux. Tout au long du repas on n'entendait qu'elles dans le restaurant tellement elles étaient bruyantes. Elles avaient tant de choses et d'anecdotes à se raconter.
A la fin du repas quittèrent le restaurant bras dessus bras dessous, elles se sentaient d'une humeur si joyeuse...
- On va faire un peu de lèche ? demanda Anne-lou
- Ne me donne pas de mauvaise idées, je suis encore jeune épouse si..... Si ... dit Myriam en trémoussant des fesses, d'abord du lèche quoi ?
- Juste que du lèche vitrine, pour autre chose, j'ai trop bien mangé, je ne veux pas gâcher le festin que je viens de faire.... Et en plus c'est pas donné !
Aussitôt dit, aussitôt fait. Les voilà entrain de descendre les champs en prenant bien soin de passer en revue toute boutique qui passe sous leurs yeux, qu'elle soit de chaussure, de vêtement ou de voiture. A leur passage toutes les têtes des hommes se retournaient car elles n'arrêtaient de s'esclaffer et de rire pour n'importe quoi.
Après plus de 3h flâneries de boutique en boutique, elles étaient arrivées au niveau de la bouche de métro Frankin Roosevelt. Anne-lou regarda sa montre est dit :
- Viens Myriam, je te fais visiter mon nouvel appart !
- T'as changé d'appart et tu m'as rien dis ?
- Je viens de déménager samedi, une occase comme cela ne se rate pas !
- T'habite où maintenant ?
- Dans le quartier latin. J'ai trouvé un 50m² pour 350 euro ! Tu t'imagine ? Je dois être cocue ou quelque chose dans ce genre !
Nous prîmes donc la direction de son appartement et moins d'une demi-heure plus tard nous voilà devant la porte de son immeuble. Son logis était au 5ème et dernier étage. Il y avait 2 appartements par palier, et le second appart de son palier était inoccupé par chance. Et encore heureux qu'il y avait un ascenseur car Myriam ne sentait plus ses jambes.
Une fois la porte franchi, Anne-lou s'empressa de faire le tour de proprio.
- Là, à gauche c'est ma chambre, il y en a qu'une seule, elle est bien vaste elle fait 22 m². Sur ta droite, la 1ère porte est celle des W.C et la suivante c'est celle de la salle de bain. Dit-elle tout en ouvrant les portes. Et enfin le salon. Sympa non ? Ce coin kitchenette dans la salle de séjour ? Il est vrai quand je fais la cuisine ça sent un peu, il faut juste que j'évite la friture.
- Top ! Ton appart est trop top ! Je te comprends que tu n'as pas hésité une seule seconde pour le prendre !
- Bon installe-toi ! Le temps de nous préparer à boire. Tu veux quoi ? J'ai du gin, du whisky et de la vodka spécialement venue de Russie ? Moi je prends de la vodka !
- T'as pas du jus ?
- Myriam ! Tu es en vacances laisse toi aller, et t'appelleras ton homme pour qu'il te raccompagne !
- Ok ! Alors du gin tonique !
Le temps qu'elle Anne-lou était partie pour préparer les boissons, Myriam se dirigea vers la sono et elle mis un CD de Barry White. Puis elle se mis à consulter les titres des bouquins qui étaient placés là.
Dans un coin elle en trouva quelques-uns avec des titres assez ....
- Dis donc Anne-lou ! C'est quoi ça : « Délices de femmes » « Ma soeur, Julie et moi », « Initiation incestueuse », « Cette salope de cousine » et j'en passe ?
- Il faut bien que je puisse me soulager si j'ai rien sous la main ! C'est juste de la lecture, il y a pas de mal, dit-elle en revenant les bras chargés avec leurs boissons et quelques amuses gueules
- Ils parlent de quoi ?
- De tout, dans certain j'y trouve quelques-uns de mes fantasmes les plus cachés.
Myriam se mordait les lèvres pour ne pas laisser échapper la stupide question « les quels ? ». Curieuse elle l'est et elle le restera toujours, mais elle s'était fixé une règle de ne jamais s'imisser dans la vie intime des autres. Elle estime que c'est un jardin secret qu'il ne faut pas franchir si la personne en face ne l'autorise pas.
Sur ces réflexions, elle pris son verre et s'assit sur le canapé. Anne-lou la rejoint et lui tendis le portable.
- Vas-y ! Appelle ton homme et dis-lui qu'il doit venir te chercher !
Après avoir composé le numéro d'Samy, elle attendis quelques secondes.
- Salut chéri... Oui je suis avec Anne-lou ... Elle a un nouvel appart, il faut que tu vois comme il est chouette ... Je te la passe, elle t'indiqueras, à ce soir chaton !.
Anne-lou lui indiqua le chemin de l'appartement, puis raccrocha et dit à Myriam :
- Il a un dîner d'affaire, il ne sera pas là avant 22h !
- A nous, dit Myriam en tendant son verre.
- Tchin !
C'est comme si elles s'étaient d'accord, elles vidèrent d'un seul trait leurs verre.
- Bahhh !!!Il y a longtemps !, Dit Myriam.
- Ca fait quoi 3 mois ?
- Non j'en ai pas l'occase depuis le nouvel an ! Tu veux bien en resservir ? Dit-elle en tendant son verre à Anne-lou.
- Tu veux pas goûter un peu de vodka ? Il est vraiment délicieux !
Anne-lou tendi un verre à Myriam pour goûter.
- T'aurai pas du jus d'orange ?
Anne-lou répondis par l'affirmatif et se dirigea précipitamment en chercher un pack de jus d'orange frais. Elle lui prépara donc un vodka-orange. En voulant lui remettre le verre, elle perdi malencontreusement le verre qui vint éclabousser la jolie robe de Myriam, qui n'eu pas le temps d'esquiver un mouvement pour éviter ce déluge.
- Oh merde !!! Attends, je vais essuyer !, en regardant la bêtise qu'elle venait de faire. En y regardant de plus près, je crois qu'il vaudrai mieux que tu me donnes ta robe en entier ça me sera plus commode.
Devant la moue qu'exprimait Myriam, Anne-lou dit : T'as rien à craindre il n'y a que moi, et je crois bien qu'on est faite pareille !
Encore un peu hésitante, après une bonne minute, Myriam se releva pour entamer son déshabillage, elle donnait dos à Anne-lou qui pris se geste pour de la pudeur. Une fois la robe aux pieds de Myriam, celle ci fît face en cachant son pubis et ses seins de ses mains.
- Oh ! ! ! Je ne savait pas aussi cochonne ! T'as pas de sous-vêtement ?
- Non, Samy m'a initié à ne pas en porter sous une robe.
- Et ça te gêne pas ?
- Non ! C'est agréable de sentir l'air frais entre les jambes et de savoir qu'à tout moment je peux être prise. C'est excitant ! Dit-elle en reprenant place sur le divan. Et si tu savais tout ce que j'ai pu faire grâce et à cause de lui, tu n'en reviendras pas !
- Attends je vais enlever la tâche de ta robe puis tu me raconteras en détail, tu veux bien ?
Myriam acquiesça de la tête tout en croisant ses fines jambes. Dans ce furtif mouvement, Anne-lou pu voir durant quelques secondes les lèvres charnues du sexe de son amie. Une chaleur lui traversa le corps.
« Non ! Non ! » Se dit-elle. Pour reprendre ses esprits, elle se leva pour passer cette robe sous un filet d'eau. Une fois finie, elle accouru au salon, reversa un nouveau verre pour Myriam et pris place à ses cotés.
- Allez, raconte ! Avec les détails si c'est possible !
Pour ce donner du courage, Myriam bu d'un trait le verre qu'on venait de lui tendre, qu'elle redonna pour être resservi, ce que Anne-lou ne tarda pas à faire, en prenant un petit plaisir à mettre un peu plus de vodka que d'habitude.
« Alors voilà ! Tout à commencer au début de notre relation. Ca devais faire près de 3 semaines que c'était sérieux entre nous. Jamais, oh jamais il n'avait fait un geste ou une allusion déplacé envers moi. Les garçons sont connus pour ne chercher qu'à faire l'amour, moi je nomme ça « baiser ». Samy, ne me l'a jamais implicitement ou explicitement demandé ! Je me sentais en confiance avec lui, je prenais même un certain plaisir à l'exciter volontairement, mais il restait de marbre, si je puis-dire. Un jour, durant les vacances de pâques, ma soeur ainsi que son mari, sont partis avec les enfants au ski. Ils m'ont donc remis les clefs de leurs appart pour que j'y veille.
J'étais en fin d'études et cela me donnait l'occase d'avoir un lieu pour réviser loin de la tournante de la maison !
Un samedi après-midi, je pris le téléphone et je lui avais proposé de venir dîner avec moi ce qu'il accepta avec un plaisir non dissimulé. Mais il me dit que le dessert c'était sont affaire !
Que demande le peuple ?
Bref, vers 18h30, il sonna à la porte de l'appart, je m'empressais de l'accueillir. A peine la porte franchi, que je m'était jetais sur ses lèvres pour lui administrer un long baiser.
Après 5 bonnes minutes, il me fît la remarque qu'il avait de la glace et qu'il devait la mettre au congelo ; je reculais, toute déçu par cette interruption et le conduit donc à la cuisine.
Une fois arrivé, il me demanda ce que j'avais prévu comme dîner, je lui répondis que j'avais pensé à faire de la salade et des pâtes pour le dîner. « Non ! » S'exclama t-il « voyons, tu as des oeufs, des tomates, des poivrons, de la sauce tomate concentré, des nouilles. T'aurais pas des escalopes de dinde et du pain rassis ? » Je lui ai fourni tout ce qu'il demandait. « Bon alors je vais te faire de la ojja et des escalopes panées avec des nouilles ! Et toi en ce temps va mettre de la zikmu si cela est possible ! Et quelque chose à boire ! Pas du coca ! »
Quand je revint à la cuisine, il avait retroussé ses manche. Il c'était affairé à couper, à touiller, à frire et à chantonner. C'était assez agréable de voir un homme se mouvoir avec tant d'aise dans le domaine des femmes. Et à chaque changement de rythme il n'oubliait pas de se rincer la gorge avec le whisky que je lui avais apporté. Je m'en étais, bien sûre servis un verre aussi du même breuvage, je savais que je ne risquais rien avec Samy, s'il m'arrivait d'être saoul. Après une bonne heure il me dit d'aller préparer la table et que le dîner allait être prêt dans moins de 5 minutes.
J'allais donc de suite dresser la table au salon, en ce temps il avait déniché la réserve de vins, en tira une bouteille qu'il débouchonna.
Le dîner se déroula gaiement dans la joie et la bonne humeur, surtout grâce à cet agréable vin rouge si......libérateur, si inhibiteur de tous nos tabous. Nous allions entamer une autre bouteille sauf que ce cher Samy, y refusa. Je t'avais bien dis que c'est quelqu'un de bien ! En fin de repas, je débarrasse et je ramène avec moi la glace.
Nous étions si joyeux, qu'une simple blague nous faisait rire aux éclats. Une fois le dîner fini, je me propose de faire la vaisselle, en ce temps Samy se mis devant la télé pour zapper sur le numérique ; un petit quart d'heure plus tard, je revins au salon et oh stupeur ! Il était tombé sur une chaîne qui ne passe que des films " pornographiques " Samy était là affalé sur le divan, sexe en l'air entrain d'imprimer des mouvements de va et vient à son impressionnant « cracheur de lait »
J'avais les yeux emplis d'étonnement et de surprises qu'il me tarda pas à détecter !
« Excuse ! », me dit-il, « c'était plus fort que moi ! »
Tout en continuant ses caresses, il ne me quittait pas des yeux, et moi je ne quittais pas cette queue si fiere du regard. Jamais j'en avais vu d'aussi près sauf à la télé. Tout doucement, j'humectais mes lèvres, il s'en aperçu immédiatement et il me demanda de lui rapporter une serviette. Je quittais cet éblouissant, ce charmant, spectacle à contre coeur je lui apporta ce qu'il désirait. Je fis mine de lui lancer la serviette, il me dit :
« Non ! Viens plus près et étale le là, sur mon torse. »
Je sentais que le sol allait s'échapper sous mes pieds. D'un pas hésitant, je m'avance, m'assois à ses cotés. Et en voulant étaler la serviette, il empoigne ma main droite et me dit :
« Tu peux toucher si tu désires ! »
« Non ! Non ! »
« Y a pas de mal à découvrir ! » Dit-il tout en attirant ma main vers son sexe tout dressé.
J'en mourrais d'envie de le prendre dans mes mains, entre mes doigts, de sentir sa rigidité et sa chaleur. Je n'opposais aucune résistance, je pressais presque le mouvement.
« Oh que c'est agréable ! Et chaud », dis-ai-je lorsque mes doigts prirent possession du bel instrument.
J'enferma mes doigts sur cette tige et lui imprima de lentes caresses. C'était impressionnant, de voir cette chair durcir encore plus à chaque aller et retour de poignet. Quelques gouttes perlaient sur son gland, annonciateur d'un proche déluge.
Nous avions complètement oublier le film, rien ne m'importais plus que de plaisir de mon homme et cette si surprenante découverte ! Samy avait la tête rejetée en arrière, les yeux clos. Il gémissait doucement, inaudiblement.
« Plus vite ... Plus vite ! Oh oui ! ! »
Sur ces mots, s'échappa deux longs jets de liquide qui vinèrent s'écraser, tacher, la serviette. Je continuais de faire aller et venir ma main sur cette tige qui ramollissait à chaque passage. Mes mains étaient toutes englué de son sperme.
« Merci ! Je dois t'avouer que j'en rêvais depuis un petit moment ! » Dit-il, les esprits retrouvés.
Je m'affalais à ses cotés et il pris mes lèvres dans un doux et long baiser. Après 5 minutes de ce doux échange de salive, il se releva et m'attira à lui.
« Viens ! Allons à la chambre, on aura plus de place. »
Ma tête me disait « NON » mais mon corps criait « OUI ! ! ! ».
Envoûté, je suivais ses pas. Dans la chambre il s'affairait à me retirer tous les obstacles aux caresses qu'il m'offrait. Chaque vêtement qu'il effeuille, ses mains ondulaient sur mon corps. Je sentais une chaleur qui remontait de mes jambes.
« Non ! Non Myriam ! Résiste ! » Me dis-ai je.
En peu de temps, je me retrouve toute nue, au abord du lit conjugal de ma soeur. Il s'éloigne une petite seconde de moi pour revenir quelques instant plus tard, derrière moi. Sans un mot, il me bande les yeux, puis il me renverse sur le lit. Je tombe sur le dos, je serre les jambes tout en sachant que je ne pourrais pas résister, ni opposer un refus quelconque.
« Remonte ! Encore !... Là ! C'est bien ! Bouge plus ! »
Je le sens qui s'éloigne de quelques pas, ouvre l'armoire, puis revient mes cotés. Il prend ma main droite u'il attache aux montants du lit, il fit de même avec la gauche. Je étais subitement prise de panique.
« Tu fais quoi ? Détache-moi, ou je gueule ! »
« Calme-toi ! Du calme ! T'as confiance en moi ? Je ne te ferai aucun mal, juré ! ! »
Ces mots ont eu, le pouvoir de me calmer, bien que mon coeur bâtait à 200 à l'heure. Je l'entends quitter la chambre. D'un seul coup la panique me reprend.
« Samy ! Samy ! » Cri-ai-je de plus en plus fort.
« Du calme ! Je suis là ! J'arrive, je suis allé chercher quelque chose. »
Il repris place à mes cotés et il plaqua ses lèvres sur les miennes dans un étouffant baiser. Sa langue cherche à s'introduire au plus profond de ma gorge. Puis sans crier gare ! Il se retire, en me laissant bouche ouverte.
Oh mon dieu ! Que c'est froid !, Je sentais quelque chose de glacé qui vint irriter mes nibards. Puis ça descendait vers mon nombril.
« Tu fais quoi ? »
Pour toute réponse, il me met son doigt dans la bouche. J'ai le goût de la glace ? Oui c'est ça ! Il est entrain de m'induire de crème glacée ! L'excitation reprend le dessus, ma peur est subitement léguée aux oubliettes.
Samy commence par me faire de petits bisous dans le cou, puis descend me lécher mes seins. Je sens mes tétons tout excités, érigés. Il me mordille les boutons ce qui me fait gémir de plaisir et de bonheur.
Par petites étapes, il m'embrasse, me lèche et lèche par la même occasion la glace qu'il m'a étalé. Il titille mon nombril en fourrant sa langue rêche, froide et baveuse. Je me sentais si sale, mais agréablement sale ! Je n'arrête pas de pousser des ahans de plaisir. Ma tête roule de droite à gauche et de gauche à droite. J'ai jamais connu de pareilles sensations. Dans ma tête explose de milliers de feux d'artifices. Je plane !
« OUI ! OUI SAMY ! !ENCORE ! ! PLUS FORT »
Ce qui fait que redoubler l'intensité de ses coups de langues.
« Oh le cochon ! Il me met de la glace entre les jambes », pense-ai-je.
Par réflexe, j'ouvre, j'écarte doucement les cuisses. Samy plonge la tête dans mon entre jambe, et par moment il dépose un peu de glace entre les lèvres de ma chatte si humide, j'imagine qu'elle est ruisselante comme la fontaine place saint marc. Il déposait de doux, gluants et ferme bisous sur mes lèvres inférieures. Je sentais sa langue rugueuse, lécher, récolter, tout ce mélange, cette mixture de glace et de sueur intime. Il parvenait des fois à introduire sa langue dans l'entrebâillement que dessine mes lèvres, ivres de désir. Divin, Je n'ai jamais connu de pareil « astiquetage » de moule avec cette précision, cette force et surtout cette douceur !
Pendant qu'il était occupé à titiller le doux bouton de mon clitoris, ses mains massent, pincent et agacent mes seins tout endoloris par le traitement infligé.
« Oh oui ! ! o u i ! ! ! Je jouis ! Ma....m....a ! »
Je sens une explosion dans ma petite tête, inuit ! Majestueux ! Quel plaisir qu'il m'a fait connaître. Devant mes yeux défile Des sexes de toutes tailles. J'ai envie d'en sentir un entre mes cuisses.
« Samy ! VIENS ! Prends-moi ! Oh baise-moi ! Laisse moi te sentir ! »
« Non ! Pas maintenant ! » Dit-il en m'embrassant avec une force qui étouffe toute protestation.
Un quart d'heure plus tard, je redescends de mon si beau nuage où mon beau Samy m'a emmené . Même en rêve j'en ai pas vu de pareil ! »
En me réveillant, je me découvrais seule sur le vaste lit, toute collante. Une odeur de vanille flotte dans l'air, ce qui fait raviver les souvenirs de la nuit passée. En me levant, je fais le tour de l'appart à la recherche d'un éventuel baiser réparateur mais aucune trace de mon chéri et je constate que tout est parfaitement en ordre. »
Myriam tendis son verre vide à Anne-lou pour qu'elle lui serve une nouvelle dose de vodka-orange.
- Je ne croyais pas que tu allais mettre le feu ! Dit-elle en rigolant. Ah ! t'as une chance... Que j'aimerais vivre une folie pareille.
- Je le prête pas. Il est rien que pour moi !, Dit Myriam en parlant d'Samy
- Vas-y raconte ! t'as quoi d'autre comme cochonneries à dévoiler ?
- Rien de bien méchant ! Disons...2 mois après cette aventure, j'étais un après-midi chez lui, j'avais un peu de temps à perdre autant que se soit agréablement perdu. Il me proposa, après être tourné en rond, pour nous occuper, une partie de carte. C'était une bellotte semi découverte. Au troisième tour de carte il me dit « Et si on corsé un peu la partie ? »
« Comment ? » lui ai-je demandé.
« Voilà, à chaque jeu, le perdant ôte une partie de ses vêtements qu'il désire. Aura perdu, celui qui se retrouve nu à la fin de la partie. Je te donne une petite chance, je compte les chaussettes comme 2 parties des vêtements ! Et je te signal que tu as une pièce de plus que moi, ton soutif !»
« D'accord ! Et si quelqu'un sonne à la porte ? »
« On n'est pas obligé d'ouvrir ! »
Ainsi, la partie débuta dans le plus grand sérieux, chacun était absorbé par ses cartes, surtout moi. Après 5 parties, Samy n'était plus qu'en caleçon et chaussettes alors que moi je n'avais enlevé que mes chaussettes. A la 10ème partie, je le bat magistralement. Il ne lui restait plus que son caleçon à retirer, ce qu'il fit avec une décontraction qui me fis sourir.
« J'ai gagné ! J'ai gagné » lui lance-ai-je.
« Bon ! Rhabille-toi ! On va passer aux choses sérieuses. Le gagnant à le droit de raser le sexe du perdant ! »
Manipuler un rasoir me faisais peur, mais la situation était plus excitante que je ne pris même pas deux secondes pour crier un oui qui cachait l'état dans le quel j'étais. Je me disais, s'il joue aussi mal, il sera à ma merci !
On se rhabillait aussi vite qu'on le pouvait, et nous débutâmes une nouvelle partie, que je remportais d'ailleurs et ma joie allait crescendo mais cette joie tomba très vite car les 5 parties suivantes c'était lui qui menais la danse. Je n'avais plus que mon soutif et mon pantalon. Le jeu repris de plus bel. Je me ressaisie et au bout de 6 parties, on était, pour ma part en sous vêtements alors qu'il ne portait plus que son caleçon. Un sourire se dessinait sur mes lèvres, mais j'ai crié victoire trop vite. Avant de débuter la dernière et ultime partie, Samy se leva pour aller chercher tout le nécessaire pour un rasage dans les règles de l'art : un rasoir, de la crème à raser, un blaireau et un récipient à moitié plain d'eau qu'il posa sur la table. Cela avait effet d'augmenter la pression et inconsciemment je serrais les jambes. J'étais morte de trouille et je suis persuadé que c'est à cause de ça que j'ai perdu cette misérable partie. Ah ! Si j'avais jeté le roi de pique au lieu du 10, on, je ne serais pas dans cette posture et il est impossible de revenir en arrière. Malchance quand tu nous tient ! ! !
« Allez ! Le slip ! ! »
Avec une lenteur non dissimulé, je m'extrait de mon slip, que je fis tourner sur mon index et que je lui jette au visage. Je sautais sur le banc du salon, en gardant bien fermé mes cuisses.
« Allez ! Ne sois pas mauvaise perdante, écarte tes cuisses ! » Dit-il en déposant de la crème à raser sur mon pubis.
A contre coeur, j'ouvre mes jambes. Il étale la crème avec son blaireau en insistant un peu lourdement sur l'entré de mon sexe qui s'échauffait du fait de ses frottements.
« Vas-y doucement Samy ! »
« Je me rase tous les jours ! As-tu déjà vu ne trace de coupure ? Alors laisse les pros faire leur boulot »
Délicatement, doucement il entame les passages de son rasoir. Je suis une fille pas normale ! A chaque passage de cette lame je sens un frisson qui parcoure tout mon dos. Au bout de trois passage il dit « MERDE ! »Mon coeur se mis à battre la chamade.
« Qu'est qu'il y a ? »
« J'aurai mieux fais de te couper les poils avant de faire quoi que se soit. Je vais perdre un peu de temps ! »
Je me suis retenu de dire « Tant mieux ! »
Au bout d'une bonne dizaine minutes, mon pubis était parfaitement lisse. Ca faisait étrange de découvrire une partie de son corps qu'on avait l'habitude de la voir recouverte de poiles. Je ne me lassais pas de passer mes doigts sur cette partie douce et qui dégagait une certaine chaleur.
« Relève les jambes ! »
Sans mot dire, je mets mes mains derrière mes genoux et je ramène mes cuisses sur mon torse. Je m'imagine vu d'en haut, c'est une posture si humiliante, mais je ne proteste pas une seule seconde. Je était comme hypnotisée.
Samy m'étala un peu de crème sur les lèvres charnues de mon vagin et poussa même l'action jusqu'à l'endroit le plus intime de ma personne. Je ne voyais pas de raisons de refuser un tel plaisir, de tels sensations. Avec une extrême douceur, il titille cette zone sensible. Je me surprends à pousser quelques gémissement de plaisir.
D'un seul coup, il enfonce son majeur, qui est devenu glissant, dans le temple sacrée de mon intimité. Je poussais un ah de douleur et de surprise.
« Retire ta main ! ! Ton doigt ! T'es fou ou quoi ? »
Il reste ainsi inactif durant quelques instants qui me semble de longues minutes, doucement il imprime à son doigt un mouvement de va et vient, accompagné d'une imperceptible rotation de ce doigt.
« AH ! !OUI ! ! !Gros cochon ! ! !AHHHHH ! ! !Ouiiiiiiiiiiiiiiii ! »
Il poursuivi ces mouvements avec passion, rigueur et application, pendant ... je sais pas moi ? 10, 30 ou 1 minute ? pour moi le temps n'avait plus de signification ou raison d'être. Il retira son doigt dans un petit flop et il se remis à sa tache qu'il effectuais avec minutie.
Un frisson remontait entre mes cuisse pour finir sa route en une explosion de plaisir dans ma petite tête. Je ne peux plus rien voir, mes yeux sont révulsés et mon esprit est envahie par milles ondes de bonheurs.
Le voilà qu'il me rince à présent.
« Ca y est, t'es prête pour le bal ! »
« C'est doux, frai ! Dis-je en passant mes doigts sur mon pubis et je vais même agacer un peu les lèvres de cette chatte que je redécouvre. »
Samy, qui est resté en caleçon, se relève et le fit tomber le tissu qui le recouvrait.
« Oh ? Ca veut dire quoi ? »
« - Au lieu de poser des questions bêtes, vas chercher des ciseaux ! Tu vas aussi me raser le sexe ! »
Je ne me le fais pas redire deux fois. De pieds joints je saute et me précipite à rapporter ce qu'il demandait. En moins de deux j'étais de retour à ses cotés. Lui pour ça part, avait pris place sur le banc. Sa bite bandait à moitié, elle était arc-boutée.
« Bon maintenant tu vas couper ses poiles, tu mets de la crème et lorsque tu me raseras, fais le dans le sens des poiles, c'est à dire de haut en bas. »
« Pourquoi ? »
« Je l'ai déjà essayé une fois, c'est vrai que c'est plus simple, mais ça a l'avantage de m'irriter lorsque les poiles repoussent. »
Je m'applique donc à lui faire une coupe « au poil ». Il avait la délicatesse de tenir la tête de sa bite vers le bas, en direction de ses pieds, pour ne pas gêner ma progression. Puis j'étale la crème à raser et j'entame de le raser. Sa bite durci, durci, j'ai l'impression qu'elle va exploser. De ma main libre je la lui saisi de par le gland.
« Ta main est ... si douce et chaude ! ! ! »
Je récupère un peu de crème qui restait sur les bords et je l'étale sur cette queue si fièrement dressée. Je fais deux ou trois aller et retour pour bien étaler cette mousse.
« Arrêtes ! ! Tu risques de me faire jouir. »
« Et alors ? Toi aussi tu m'as fais jouir ! »
« Oui ! Mais toi t'es faite différemment ! Il y a pas de sperme qui puisse s'échapper. Fais attention ! La peau à cet endroit est très sensible, très fine ! »
Délicatement je fais glisser la lame sur cette tige sans oublier de débarrasser ses deux boules, qui pondent, de leurs indésirable intrus.
Une fois cette partie bien désherbée, sa verge me paraît plus grande, plus longue et plus imposante. Je me humecte les lèvres, j'ai bien envie de la sentir au fond de ma précieuse grotte, mais j'ai d'autre projets !
« Allez ! Relève tes genoux ! !Et écarte tes fesses ! »
Je vois de la surprise dans ses yeux et une minute plus tard un sourire ce dessine sur ses lèvres. Il n'y a rien à dire, c'est un gros cochon qui est tombé sur qui est peut-être pire que lui !
Je re-badigeonne la raie de ses fesses de mousse en prenant bien soin à insister à l'orée de ce mystérieux anus. Au bout de quelques frottements, je sens que son petit trou se dilate. Et d'un coup, j'introduit mon index. Je le vois qu'il se mordais les lèvres pour n'émettre aucun son. Je fais de mon poignet des cercles pour distendre un peu plus les parois de son sphincter. Mon majeur va rejoindre mon index.
« Oh grosse cochonne ! ! C'est boooonnn ! Oh ooooouuuiiiii ! ! ! ! »
Je fais des vas et viens à une vitesse qui va en s'accentuant en amplitude et en force. Samy poussait des cris de plaisir, des ahans roquent. Après 3 minutes, il me dit à bout de souffle d'arrêter ce traitement. Et il relâcha ses jambes qui s'abattirent comme une masse sur ce canapé. Mon regard se dirige vers sa queue qui à ramolli et je distingue sur son torse une tâche blanchâtre, que je lui étala, en prenant un certain plaisir, à agacer ses tétons qui s'érigeaient. Puis je mis mon doigt dans ma bouche pour goutter cet nectar. Il a un goût un peu salé, indéfinissable et pas repoussant.
Je plonge sur les lèvres offertes de mon du prince et lui enfourne ma langue si innerve la sienne. Je m'allonge sur son corps en frottant mes seins durcis sur le reste de liquide qu'il y a. Je sentais entre mes jambes son mat qui reprenait vie. Et avant qu'il ne reprenne toute sa rigidité, Samy me repoussa en arrière en me disant qu'il faut que j'aille me doucher ! A contre coeur, je me relève et le regarde furieusement.
« J'ai envie de toi ! Envie de te sentir au fond de moi ! ! »
« Non ! J'ai pas envie d'être responsable de ta perte de ta virginité ! C'est ton corps qui parle là et pas ta tête ! ! Vas te doucher ça te remettra les idées en place. »
Je me suis levée et j'ai pris la direction de la salle de bain en faisant la moue. J'étais déçu et honteuse en même temps, perdre le plus précieux cadeau de mon futur mari je m'en voudrai toute ma vie ! Merci ! Et c'est peut-être pour ça que je l'ai épousé. »
"En cette fin du mois de mai, ils sont partis à Paris pour l'annuel salon du tourisme, car Samy est directeur commercial d'un hôtel à Jerba. Cette année là, Myriam étais du voyage. Elle s'estime être la plus chanceuse épouse, car elle n'a pas le devoir de travailler, bien que parfois une activité professionnelle lui manque, mais à ce moment là elle n'aura pas toujours le loisir de vivre pleinement les intenses moments qu'elle est entrain de connaître !
Comme à chaque passage par Paris, elle prévient son amie Anne-lou, une amie qu'elle connaît depuis une bonne dizaine d'années.
Elles se sont données rendez-vous, le mardi pour un déjeuner sur les champs, au Fouquet's.
Myriam pris place au restaurent à 12h30 et attendais avec une certaine impatience l'arrivé de son amie, car il faut avouer qu'elles s'entendent à merveille sans pour autant être très intime. Mais elles aiment bien bavarder, échanger leurs points de vu et surtout faire les magasins.
A 12h40 Anne-lou franchi le pas de la porte du restaurant d'un pas félin et avec une grâce qui pourrait faire bander un eunuque ! . Elle porte une longue jupe noire plissée et un chemisier blanc à travers le quel on peut deviner qu'elle ne porte pas de soutien gorge. Son visage est couvert d'un discret maquillage, le pourtour de ses lèvres finement dessinée par un crayon sombre.
A sa vue, Myriam va à sa rencontre. Elle, aussi, n'est pas à plaindre bien qu'elle soit un peu courte sur patte, elle mesure 1m62 mais ce qui fait son charme se sont les deux fossettes que dessinent ses joues lorsqu'elle sourit et surtout son 95c qu'elle sait mettre en valeur lorsqu'elle enfile un pull moulant qui dessine ses courbes volumineuses. Mais aujourd'hui elle a opté pour une robe moulante en coton d'un bleu qui a le secret de la rendre plus grande de taille (juste un effet d'otique !)
Après de sincères accolade et bizous, elles se sont mise à table pour commander leurs déjeuner qu'elles arrosent d'une bonne bouteille de Bordeaux. Tout au long du repas on n'entendait qu'elles dans le restaurant tellement elles étaient bruyantes. Elles avaient tant de choses et d'anecdotes à se raconter.
A la fin du repas quittèrent le restaurant bras dessus bras dessous, elles se sentaient d'une humeur si joyeuse...
- On va faire un peu de lèche ? demanda Anne-lou
- Ne me donne pas de mauvaise idées, je suis encore jeune épouse si..... Si ... dit Myriam en trémoussant des fesses, d'abord du lèche quoi ?
- Juste que du lèche vitrine, pour autre chose, j'ai trop bien mangé, je ne veux pas gâcher le festin que je viens de faire.... Et en plus c'est pas donné !
Aussitôt dit, aussitôt fait. Les voilà entrain de descendre les champs en prenant bien soin de passer en revue toute boutique qui passe sous leurs yeux, qu'elle soit de chaussure, de vêtement ou de voiture. A leur passage toutes les têtes des hommes se retournaient car elles n'arrêtaient de s'esclaffer et de rire pour n'importe quoi.
Après plus de 3h flâneries de boutique en boutique, elles étaient arrivées au niveau de la bouche de métro Frankin Roosevelt. Anne-lou regarda sa montre est dit :
- Viens Myriam, je te fais visiter mon nouvel appart !
- T'as changé d'appart et tu m'as rien dis ?
- Je viens de déménager samedi, une occase comme cela ne se rate pas !
- T'habite où maintenant ?
- Dans le quartier latin. J'ai trouvé un 50m² pour 350 euro ! Tu t'imagine ? Je dois être cocue ou quelque chose dans ce genre !
Nous prîmes donc la direction de son appartement et moins d'une demi-heure plus tard nous voilà devant la porte de son immeuble. Son logis était au 5ème et dernier étage. Il y avait 2 appartements par palier, et le second appart de son palier était inoccupé par chance. Et encore heureux qu'il y avait un ascenseur car Myriam ne sentait plus ses jambes.
Une fois la porte franchi, Anne-lou s'empressa de faire le tour de proprio.
- Là, à gauche c'est ma chambre, il y en a qu'une seule, elle est bien vaste elle fait 22 m². Sur ta droite, la 1ère porte est celle des W.C et la suivante c'est celle de la salle de bain. Dit-elle tout en ouvrant les portes. Et enfin le salon. Sympa non ? Ce coin kitchenette dans la salle de séjour ? Il est vrai quand je fais la cuisine ça sent un peu, il faut juste que j'évite la friture.
- Top ! Ton appart est trop top ! Je te comprends que tu n'as pas hésité une seule seconde pour le prendre !
- Bon installe-toi ! Le temps de nous préparer à boire. Tu veux quoi ? J'ai du gin, du whisky et de la vodka spécialement venue de Russie ? Moi je prends de la vodka !
- T'as pas du jus ?
- Myriam ! Tu es en vacances laisse toi aller, et t'appelleras ton homme pour qu'il te raccompagne !
- Ok ! Alors du gin tonique !
Le temps qu'elle Anne-lou était partie pour préparer les boissons, Myriam se dirigea vers la sono et elle mis un CD de Barry White. Puis elle se mis à consulter les titres des bouquins qui étaient placés là.
Dans un coin elle en trouva quelques-uns avec des titres assez ....
- Dis donc Anne-lou ! C'est quoi ça : « Délices de femmes » « Ma soeur, Julie et moi », « Initiation incestueuse », « Cette salope de cousine » et j'en passe ?
- Il faut bien que je puisse me soulager si j'ai rien sous la main ! C'est juste de la lecture, il y a pas de mal, dit-elle en revenant les bras chargés avec leurs boissons et quelques amuses gueules
- Ils parlent de quoi ?
- De tout, dans certain j'y trouve quelques-uns de mes fantasmes les plus cachés.
Myriam se mordait les lèvres pour ne pas laisser échapper la stupide question « les quels ? ». Curieuse elle l'est et elle le restera toujours, mais elle s'était fixé une règle de ne jamais s'imisser dans la vie intime des autres. Elle estime que c'est un jardin secret qu'il ne faut pas franchir si la personne en face ne l'autorise pas.
Sur ces réflexions, elle pris son verre et s'assit sur le canapé. Anne-lou la rejoint et lui tendis le portable.
- Vas-y ! Appelle ton homme et dis-lui qu'il doit venir te chercher !
Après avoir composé le numéro d'Samy, elle attendis quelques secondes.
- Salut chéri... Oui je suis avec Anne-lou ... Elle a un nouvel appart, il faut que tu vois comme il est chouette ... Je te la passe, elle t'indiqueras, à ce soir chaton !.
Anne-lou lui indiqua le chemin de l'appartement, puis raccrocha et dit à Myriam :
- Il a un dîner d'affaire, il ne sera pas là avant 22h !
- A nous, dit Myriam en tendant son verre.
- Tchin !
C'est comme si elles s'étaient d'accord, elles vidèrent d'un seul trait leurs verre.
- Bahhh !!!Il y a longtemps !, Dit Myriam.
- Ca fait quoi 3 mois ?
- Non j'en ai pas l'occase depuis le nouvel an ! Tu veux bien en resservir ? Dit-elle en tendant son verre à Anne-lou.
- Tu veux pas goûter un peu de vodka ? Il est vraiment délicieux !
Anne-lou tendi un verre à Myriam pour goûter.
- T'aurai pas du jus d'orange ?
Anne-lou répondis par l'affirmatif et se dirigea précipitamment en chercher un pack de jus d'orange frais. Elle lui prépara donc un vodka-orange. En voulant lui remettre le verre, elle perdi malencontreusement le verre qui vint éclabousser la jolie robe de Myriam, qui n'eu pas le temps d'esquiver un mouvement pour éviter ce déluge.
- Oh merde !!! Attends, je vais essuyer !, en regardant la bêtise qu'elle venait de faire. En y regardant de plus près, je crois qu'il vaudrai mieux que tu me donnes ta robe en entier ça me sera plus commode.
Devant la moue qu'exprimait Myriam, Anne-lou dit : T'as rien à craindre il n'y a que moi, et je crois bien qu'on est faite pareille !
Encore un peu hésitante, après une bonne minute, Myriam se releva pour entamer son déshabillage, elle donnait dos à Anne-lou qui pris se geste pour de la pudeur. Une fois la robe aux pieds de Myriam, celle ci fît face en cachant son pubis et ses seins de ses mains.
- Oh ! ! ! Je ne savait pas aussi cochonne ! T'as pas de sous-vêtement ?
- Non, Samy m'a initié à ne pas en porter sous une robe.
- Et ça te gêne pas ?
- Non ! C'est agréable de sentir l'air frais entre les jambes et de savoir qu'à tout moment je peux être prise. C'est excitant ! Dit-elle en reprenant place sur le divan. Et si tu savais tout ce que j'ai pu faire grâce et à cause de lui, tu n'en reviendras pas !
- Attends je vais enlever la tâche de ta robe puis tu me raconteras en détail, tu veux bien ?
Myriam acquiesça de la tête tout en croisant ses fines jambes. Dans ce furtif mouvement, Anne-lou pu voir durant quelques secondes les lèvres charnues du sexe de son amie. Une chaleur lui traversa le corps.
« Non ! Non ! » Se dit-elle. Pour reprendre ses esprits, elle se leva pour passer cette robe sous un filet d'eau. Une fois finie, elle accouru au salon, reversa un nouveau verre pour Myriam et pris place à ses cotés.
- Allez, raconte ! Avec les détails si c'est possible !
Pour ce donner du courage, Myriam bu d'un trait le verre qu'on venait de lui tendre, qu'elle redonna pour être resservi, ce que Anne-lou ne tarda pas à faire, en prenant un petit plaisir à mettre un peu plus de vodka que d'habitude.
« Alors voilà ! Tout à commencer au début de notre relation. Ca devais faire près de 3 semaines que c'était sérieux entre nous. Jamais, oh jamais il n'avait fait un geste ou une allusion déplacé envers moi. Les garçons sont connus pour ne chercher qu'à faire l'amour, moi je nomme ça « baiser ». Samy, ne me l'a jamais implicitement ou explicitement demandé ! Je me sentais en confiance avec lui, je prenais même un certain plaisir à l'exciter volontairement, mais il restait de marbre, si je puis-dire. Un jour, durant les vacances de pâques, ma soeur ainsi que son mari, sont partis avec les enfants au ski. Ils m'ont donc remis les clefs de leurs appart pour que j'y veille.
J'étais en fin d'études et cela me donnait l'occase d'avoir un lieu pour réviser loin de la tournante de la maison !
Un samedi après-midi, je pris le téléphone et je lui avais proposé de venir dîner avec moi ce qu'il accepta avec un plaisir non dissimulé. Mais il me dit que le dessert c'était sont affaire !
Que demande le peuple ?
Bref, vers 18h30, il sonna à la porte de l'appart, je m'empressais de l'accueillir. A peine la porte franchi, que je m'était jetais sur ses lèvres pour lui administrer un long baiser.
Après 5 bonnes minutes, il me fît la remarque qu'il avait de la glace et qu'il devait la mettre au congelo ; je reculais, toute déçu par cette interruption et le conduit donc à la cuisine.
Une fois arrivé, il me demanda ce que j'avais prévu comme dîner, je lui répondis que j'avais pensé à faire de la salade et des pâtes pour le dîner. « Non ! » S'exclama t-il « voyons, tu as des oeufs, des tomates, des poivrons, de la sauce tomate concentré, des nouilles. T'aurais pas des escalopes de dinde et du pain rassis ? » Je lui ai fourni tout ce qu'il demandait. « Bon alors je vais te faire de la ojja et des escalopes panées avec des nouilles ! Et toi en ce temps va mettre de la zikmu si cela est possible ! Et quelque chose à boire ! Pas du coca ! »
Quand je revint à la cuisine, il avait retroussé ses manche. Il c'était affairé à couper, à touiller, à frire et à chantonner. C'était assez agréable de voir un homme se mouvoir avec tant d'aise dans le domaine des femmes. Et à chaque changement de rythme il n'oubliait pas de se rincer la gorge avec le whisky que je lui avais apporté. Je m'en étais, bien sûre servis un verre aussi du même breuvage, je savais que je ne risquais rien avec Samy, s'il m'arrivait d'être saoul. Après une bonne heure il me dit d'aller préparer la table et que le dîner allait être prêt dans moins de 5 minutes.
J'allais donc de suite dresser la table au salon, en ce temps il avait déniché la réserve de vins, en tira une bouteille qu'il débouchonna.
Le dîner se déroula gaiement dans la joie et la bonne humeur, surtout grâce à cet agréable vin rouge si......libérateur, si inhibiteur de tous nos tabous. Nous allions entamer une autre bouteille sauf que ce cher Samy, y refusa. Je t'avais bien dis que c'est quelqu'un de bien ! En fin de repas, je débarrasse et je ramène avec moi la glace.
Nous étions si joyeux, qu'une simple blague nous faisait rire aux éclats. Une fois le dîner fini, je me propose de faire la vaisselle, en ce temps Samy se mis devant la télé pour zapper sur le numérique ; un petit quart d'heure plus tard, je revins au salon et oh stupeur ! Il était tombé sur une chaîne qui ne passe que des films " pornographiques " Samy était là affalé sur le divan, sexe en l'air entrain d'imprimer des mouvements de va et vient à son impressionnant « cracheur de lait »
J'avais les yeux emplis d'étonnement et de surprises qu'il me tarda pas à détecter !
« Excuse ! », me dit-il, « c'était plus fort que moi ! »
Tout en continuant ses caresses, il ne me quittait pas des yeux, et moi je ne quittais pas cette queue si fiere du regard. Jamais j'en avais vu d'aussi près sauf à la télé. Tout doucement, j'humectais mes lèvres, il s'en aperçu immédiatement et il me demanda de lui rapporter une serviette. Je quittais cet éblouissant, ce charmant, spectacle à contre coeur je lui apporta ce qu'il désirait. Je fis mine de lui lancer la serviette, il me dit :
« Non ! Viens plus près et étale le là, sur mon torse. »
Je sentais que le sol allait s'échapper sous mes pieds. D'un pas hésitant, je m'avance, m'assois à ses cotés. Et en voulant étaler la serviette, il empoigne ma main droite et me dit :
« Tu peux toucher si tu désires ! »
« Non ! Non ! »
« Y a pas de mal à découvrir ! » Dit-il tout en attirant ma main vers son sexe tout dressé.
J'en mourrais d'envie de le prendre dans mes mains, entre mes doigts, de sentir sa rigidité et sa chaleur. Je n'opposais aucune résistance, je pressais presque le mouvement.
« Oh que c'est agréable ! Et chaud », dis-ai-je lorsque mes doigts prirent possession du bel instrument.
J'enferma mes doigts sur cette tige et lui imprima de lentes caresses. C'était impressionnant, de voir cette chair durcir encore plus à chaque aller et retour de poignet. Quelques gouttes perlaient sur son gland, annonciateur d'un proche déluge.
Nous avions complètement oublier le film, rien ne m'importais plus que de plaisir de mon homme et cette si surprenante découverte ! Samy avait la tête rejetée en arrière, les yeux clos. Il gémissait doucement, inaudiblement.
« Plus vite ... Plus vite ! Oh oui ! ! »
Sur ces mots, s'échappa deux longs jets de liquide qui vinèrent s'écraser, tacher, la serviette. Je continuais de faire aller et venir ma main sur cette tige qui ramollissait à chaque passage. Mes mains étaient toutes englué de son sperme.
« Merci ! Je dois t'avouer que j'en rêvais depuis un petit moment ! » Dit-il, les esprits retrouvés.
Je m'affalais à ses cotés et il pris mes lèvres dans un doux et long baiser. Après 5 minutes de ce doux échange de salive, il se releva et m'attira à lui.
« Viens ! Allons à la chambre, on aura plus de place. »
Ma tête me disait « NON » mais mon corps criait « OUI ! ! ! ».
Envoûté, je suivais ses pas. Dans la chambre il s'affairait à me retirer tous les obstacles aux caresses qu'il m'offrait. Chaque vêtement qu'il effeuille, ses mains ondulaient sur mon corps. Je sentais une chaleur qui remontait de mes jambes.
« Non ! Non Myriam ! Résiste ! » Me dis-ai je.
En peu de temps, je me retrouve toute nue, au abord du lit conjugal de ma soeur. Il s'éloigne une petite seconde de moi pour revenir quelques instant plus tard, derrière moi. Sans un mot, il me bande les yeux, puis il me renverse sur le lit. Je tombe sur le dos, je serre les jambes tout en sachant que je ne pourrais pas résister, ni opposer un refus quelconque.
« Remonte ! Encore !... Là ! C'est bien ! Bouge plus ! »
Je le sens qui s'éloigne de quelques pas, ouvre l'armoire, puis revient mes cotés. Il prend ma main droite u'il attache aux montants du lit, il fit de même avec la gauche. Je étais subitement prise de panique.
« Tu fais quoi ? Détache-moi, ou je gueule ! »
« Calme-toi ! Du calme ! T'as confiance en moi ? Je ne te ferai aucun mal, juré ! ! »
Ces mots ont eu, le pouvoir de me calmer, bien que mon coeur bâtait à 200 à l'heure. Je l'entends quitter la chambre. D'un seul coup la panique me reprend.
« Samy ! Samy ! » Cri-ai-je de plus en plus fort.
« Du calme ! Je suis là ! J'arrive, je suis allé chercher quelque chose. »
Il repris place à mes cotés et il plaqua ses lèvres sur les miennes dans un étouffant baiser. Sa langue cherche à s'introduire au plus profond de ma gorge. Puis sans crier gare ! Il se retire, en me laissant bouche ouverte.
Oh mon dieu ! Que c'est froid !, Je sentais quelque chose de glacé qui vint irriter mes nibards. Puis ça descendait vers mon nombril.
« Tu fais quoi ? »
Pour toute réponse, il me met son doigt dans la bouche. J'ai le goût de la glace ? Oui c'est ça ! Il est entrain de m'induire de crème glacée ! L'excitation reprend le dessus, ma peur est subitement léguée aux oubliettes.
Samy commence par me faire de petits bisous dans le cou, puis descend me lécher mes seins. Je sens mes tétons tout excités, érigés. Il me mordille les boutons ce qui me fait gémir de plaisir et de bonheur.
Par petites étapes, il m'embrasse, me lèche et lèche par la même occasion la glace qu'il m'a étalé. Il titille mon nombril en fourrant sa langue rêche, froide et baveuse. Je me sentais si sale, mais agréablement sale ! Je n'arrête pas de pousser des ahans de plaisir. Ma tête roule de droite à gauche et de gauche à droite. J'ai jamais connu de pareilles sensations. Dans ma tête explose de milliers de feux d'artifices. Je plane !
« OUI ! OUI SAMY ! !ENCORE ! ! PLUS FORT »
Ce qui fait que redoubler l'intensité de ses coups de langues.
« Oh le cochon ! Il me met de la glace entre les jambes », pense-ai-je.
Par réflexe, j'ouvre, j'écarte doucement les cuisses. Samy plonge la tête dans mon entre jambe, et par moment il dépose un peu de glace entre les lèvres de ma chatte si humide, j'imagine qu'elle est ruisselante comme la fontaine place saint marc. Il déposait de doux, gluants et ferme bisous sur mes lèvres inférieures. Je sentais sa langue rugueuse, lécher, récolter, tout ce mélange, cette mixture de glace et de sueur intime. Il parvenait des fois à introduire sa langue dans l'entrebâillement que dessine mes lèvres, ivres de désir. Divin, Je n'ai jamais connu de pareil « astiquetage » de moule avec cette précision, cette force et surtout cette douceur !
Pendant qu'il était occupé à titiller le doux bouton de mon clitoris, ses mains massent, pincent et agacent mes seins tout endoloris par le traitement infligé.
« Oh oui ! ! o u i ! ! ! Je jouis ! Ma....m....a ! »
Je sens une explosion dans ma petite tête, inuit ! Majestueux ! Quel plaisir qu'il m'a fait connaître. Devant mes yeux défile Des sexes de toutes tailles. J'ai envie d'en sentir un entre mes cuisses.
« Samy ! VIENS ! Prends-moi ! Oh baise-moi ! Laisse moi te sentir ! »
« Non ! Pas maintenant ! » Dit-il en m'embrassant avec une force qui étouffe toute protestation.
Un quart d'heure plus tard, je redescends de mon si beau nuage où mon beau Samy m'a emmené . Même en rêve j'en ai pas vu de pareil ! »
En me réveillant, je me découvrais seule sur le vaste lit, toute collante. Une odeur de vanille flotte dans l'air, ce qui fait raviver les souvenirs de la nuit passée. En me levant, je fais le tour de l'appart à la recherche d'un éventuel baiser réparateur mais aucune trace de mon chéri et je constate que tout est parfaitement en ordre. »
Myriam tendis son verre vide à Anne-lou pour qu'elle lui serve une nouvelle dose de vodka-orange.
- Je ne croyais pas que tu allais mettre le feu ! Dit-elle en rigolant. Ah ! t'as une chance... Que j'aimerais vivre une folie pareille.
- Je le prête pas. Il est rien que pour moi !, Dit Myriam en parlant d'Samy
- Vas-y raconte ! t'as quoi d'autre comme cochonneries à dévoiler ?
- Rien de bien méchant ! Disons...2 mois après cette aventure, j'étais un après-midi chez lui, j'avais un peu de temps à perdre autant que se soit agréablement perdu. Il me proposa, après être tourné en rond, pour nous occuper, une partie de carte. C'était une bellotte semi découverte. Au troisième tour de carte il me dit « Et si on corsé un peu la partie ? »
« Comment ? » lui ai-je demandé.
« Voilà, à chaque jeu, le perdant ôte une partie de ses vêtements qu'il désire. Aura perdu, celui qui se retrouve nu à la fin de la partie. Je te donne une petite chance, je compte les chaussettes comme 2 parties des vêtements ! Et je te signal que tu as une pièce de plus que moi, ton soutif !»
« D'accord ! Et si quelqu'un sonne à la porte ? »
« On n'est pas obligé d'ouvrir ! »
Ainsi, la partie débuta dans le plus grand sérieux, chacun était absorbé par ses cartes, surtout moi. Après 5 parties, Samy n'était plus qu'en caleçon et chaussettes alors que moi je n'avais enlevé que mes chaussettes. A la 10ème partie, je le bat magistralement. Il ne lui restait plus que son caleçon à retirer, ce qu'il fit avec une décontraction qui me fis sourir.
« J'ai gagné ! J'ai gagné » lui lance-ai-je.
« Bon ! Rhabille-toi ! On va passer aux choses sérieuses. Le gagnant à le droit de raser le sexe du perdant ! »
Manipuler un rasoir me faisais peur, mais la situation était plus excitante que je ne pris même pas deux secondes pour crier un oui qui cachait l'état dans le quel j'étais. Je me disais, s'il joue aussi mal, il sera à ma merci !
On se rhabillait aussi vite qu'on le pouvait, et nous débutâmes une nouvelle partie, que je remportais d'ailleurs et ma joie allait crescendo mais cette joie tomba très vite car les 5 parties suivantes c'était lui qui menais la danse. Je n'avais plus que mon soutif et mon pantalon. Le jeu repris de plus bel. Je me ressaisie et au bout de 6 parties, on était, pour ma part en sous vêtements alors qu'il ne portait plus que son caleçon. Un sourire se dessinait sur mes lèvres, mais j'ai crié victoire trop vite. Avant de débuter la dernière et ultime partie, Samy se leva pour aller chercher tout le nécessaire pour un rasage dans les règles de l'art : un rasoir, de la crème à raser, un blaireau et un récipient à moitié plain d'eau qu'il posa sur la table. Cela avait effet d'augmenter la pression et inconsciemment je serrais les jambes. J'étais morte de trouille et je suis persuadé que c'est à cause de ça que j'ai perdu cette misérable partie. Ah ! Si j'avais jeté le roi de pique au lieu du 10, on, je ne serais pas dans cette posture et il est impossible de revenir en arrière. Malchance quand tu nous tient ! ! !
« Allez ! Le slip ! ! »
Avec une lenteur non dissimulé, je m'extrait de mon slip, que je fis tourner sur mon index et que je lui jette au visage. Je sautais sur le banc du salon, en gardant bien fermé mes cuisses.
« Allez ! Ne sois pas mauvaise perdante, écarte tes cuisses ! » Dit-il en déposant de la crème à raser sur mon pubis.
A contre coeur, j'ouvre mes jambes. Il étale la crème avec son blaireau en insistant un peu lourdement sur l'entré de mon sexe qui s'échauffait du fait de ses frottements.
« Vas-y doucement Samy ! »
« Je me rase tous les jours ! As-tu déjà vu ne trace de coupure ? Alors laisse les pros faire leur boulot »
Délicatement, doucement il entame les passages de son rasoir. Je suis une fille pas normale ! A chaque passage de cette lame je sens un frisson qui parcoure tout mon dos. Au bout de trois passage il dit « MERDE ! »Mon coeur se mis à battre la chamade.
« Qu'est qu'il y a ? »
« J'aurai mieux fais de te couper les poils avant de faire quoi que se soit. Je vais perdre un peu de temps ! »
Je me suis retenu de dire « Tant mieux ! »
Au bout d'une bonne dizaine minutes, mon pubis était parfaitement lisse. Ca faisait étrange de découvrire une partie de son corps qu'on avait l'habitude de la voir recouverte de poiles. Je ne me lassais pas de passer mes doigts sur cette partie douce et qui dégagait une certaine chaleur.
« Relève les jambes ! »
Sans mot dire, je mets mes mains derrière mes genoux et je ramène mes cuisses sur mon torse. Je m'imagine vu d'en haut, c'est une posture si humiliante, mais je ne proteste pas une seule seconde. Je était comme hypnotisée.
Samy m'étala un peu de crème sur les lèvres charnues de mon vagin et poussa même l'action jusqu'à l'endroit le plus intime de ma personne. Je ne voyais pas de raisons de refuser un tel plaisir, de tels sensations. Avec une extrême douceur, il titille cette zone sensible. Je me surprends à pousser quelques gémissement de plaisir.
D'un seul coup, il enfonce son majeur, qui est devenu glissant, dans le temple sacrée de mon intimité. Je poussais un ah de douleur et de surprise.
« Retire ta main ! ! Ton doigt ! T'es fou ou quoi ? »
Il reste ainsi inactif durant quelques instants qui me semble de longues minutes, doucement il imprime à son doigt un mouvement de va et vient, accompagné d'une imperceptible rotation de ce doigt.
« AH ! !OUI ! ! !Gros cochon ! ! !AHHHHH ! ! !Ouiiiiiiiiiiiiiiii ! »
Il poursuivi ces mouvements avec passion, rigueur et application, pendant ... je sais pas moi ? 10, 30 ou 1 minute ? pour moi le temps n'avait plus de signification ou raison d'être. Il retira son doigt dans un petit flop et il se remis à sa tache qu'il effectuais avec minutie.
Un frisson remontait entre mes cuisse pour finir sa route en une explosion de plaisir dans ma petite tête. Je ne peux plus rien voir, mes yeux sont révulsés et mon esprit est envahie par milles ondes de bonheurs.
Le voilà qu'il me rince à présent.
« Ca y est, t'es prête pour le bal ! »
« C'est doux, frai ! Dis-je en passant mes doigts sur mon pubis et je vais même agacer un peu les lèvres de cette chatte que je redécouvre. »
Samy, qui est resté en caleçon, se relève et le fit tomber le tissu qui le recouvrait.
« Oh ? Ca veut dire quoi ? »
« - Au lieu de poser des questions bêtes, vas chercher des ciseaux ! Tu vas aussi me raser le sexe ! »
Je ne me le fais pas redire deux fois. De pieds joints je saute et me précipite à rapporter ce qu'il demandait. En moins de deux j'étais de retour à ses cotés. Lui pour ça part, avait pris place sur le banc. Sa bite bandait à moitié, elle était arc-boutée.
« Bon maintenant tu vas couper ses poiles, tu mets de la crème et lorsque tu me raseras, fais le dans le sens des poiles, c'est à dire de haut en bas. »
« Pourquoi ? »
« Je l'ai déjà essayé une fois, c'est vrai que c'est plus simple, mais ça a l'avantage de m'irriter lorsque les poiles repoussent. »
Je m'applique donc à lui faire une coupe « au poil ». Il avait la délicatesse de tenir la tête de sa bite vers le bas, en direction de ses pieds, pour ne pas gêner ma progression. Puis j'étale la crème à raser et j'entame de le raser. Sa bite durci, durci, j'ai l'impression qu'elle va exploser. De ma main libre je la lui saisi de par le gland.
« Ta main est ... si douce et chaude ! ! ! »
Je récupère un peu de crème qui restait sur les bords et je l'étale sur cette queue si fièrement dressée. Je fais deux ou trois aller et retour pour bien étaler cette mousse.
« Arrêtes ! ! Tu risques de me faire jouir. »
« Et alors ? Toi aussi tu m'as fais jouir ! »
« Oui ! Mais toi t'es faite différemment ! Il y a pas de sperme qui puisse s'échapper. Fais attention ! La peau à cet endroit est très sensible, très fine ! »
Délicatement je fais glisser la lame sur cette tige sans oublier de débarrasser ses deux boules, qui pondent, de leurs indésirable intrus.
Une fois cette partie bien désherbée, sa verge me paraît plus grande, plus longue et plus imposante. Je me humecte les lèvres, j'ai bien envie de la sentir au fond de ma précieuse grotte, mais j'ai d'autre projets !
« Allez ! Relève tes genoux ! !Et écarte tes fesses ! »
Je vois de la surprise dans ses yeux et une minute plus tard un sourire ce dessine sur ses lèvres. Il n'y a rien à dire, c'est un gros cochon qui est tombé sur qui est peut-être pire que lui !
Je re-badigeonne la raie de ses fesses de mousse en prenant bien soin à insister à l'orée de ce mystérieux anus. Au bout de quelques frottements, je sens que son petit trou se dilate. Et d'un coup, j'introduit mon index. Je le vois qu'il se mordais les lèvres pour n'émettre aucun son. Je fais de mon poignet des cercles pour distendre un peu plus les parois de son sphincter. Mon majeur va rejoindre mon index.
« Oh grosse cochonne ! ! C'est boooonnn ! Oh ooooouuuiiiii ! ! ! ! »
Je fais des vas et viens à une vitesse qui va en s'accentuant en amplitude et en force. Samy poussait des cris de plaisir, des ahans roquent. Après 3 minutes, il me dit à bout de souffle d'arrêter ce traitement. Et il relâcha ses jambes qui s'abattirent comme une masse sur ce canapé. Mon regard se dirige vers sa queue qui à ramolli et je distingue sur son torse une tâche blanchâtre, que je lui étala, en prenant un certain plaisir, à agacer ses tétons qui s'érigeaient. Puis je mis mon doigt dans ma bouche pour goutter cet nectar. Il a un goût un peu salé, indéfinissable et pas repoussant.
Je plonge sur les lèvres offertes de mon du prince et lui enfourne ma langue si innerve la sienne. Je m'allonge sur son corps en frottant mes seins durcis sur le reste de liquide qu'il y a. Je sentais entre mes jambes son mat qui reprenait vie. Et avant qu'il ne reprenne toute sa rigidité, Samy me repoussa en arrière en me disant qu'il faut que j'aille me doucher ! A contre coeur, je me relève et le regarde furieusement.
« J'ai envie de toi ! Envie de te sentir au fond de moi ! ! »
« Non ! J'ai pas envie d'être responsable de ta perte de ta virginité ! C'est ton corps qui parle là et pas ta tête ! ! Vas te doucher ça te remettra les idées en place. »
Je me suis levée et j'ai pris la direction de la salle de bain en faisant la moue. J'étais déçu et honteuse en même temps, perdre le plus précieux cadeau de mon futur mari je m'en voudrai toute ma vie ! Merci ! Et c'est peut-être pour ça que je l'ai épousé. »
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