Un après-midi surprise
Récit érotique écrit par Claire74 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
- • 10 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 8.9
- • L'ensemble des récits érotiques de Claire74 ont reçu un total de 169 095 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-07-2014 dans la catégorie Pour la première fois
Cette histoire de sexe a été affichée 18 461 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Un après-midi surprise
J’avais déjà sucé des garçons plusieurs fois auparavant mais je n’avais encore jamais subi de pénétration jusqu’à cette journée du mois de mai.
C’était un samedi et j’avais reçu un jour plus tôt un coup de fil de l’un de mes amis qui me demandait de passer chez lui pour l’après-midi. Pour ma part, je considérais cet ami comme mon petit copain même si cela n’avait rien d’officiel. Il se trouvait dans ma classe de lycée et je le trouvais, comme la plupart des autres filles, très séduisant.
Assez grand, les cheveux châtains et le regard azur, il s’appelait Alexis. Je craquais complètement sur lui. A de nombreuses reprises auparavant, nous nous étions déjà retrouvés en de multiples occasions et pour avoir déjà vécu l’expérience de la fellation avant de le connaître, j’appréciais à chaque fois de le sucer pour lui procurer son plaisir. Il se déchargeait toujours dans ma bouche avec un bonheur certain.
Ce jour-là, il m’avait invité à le retrouver chez lui. Je savais qu’il se trouvait souvent seul le samedi après-midi et j’imaginais déjà ce que nous allions passer le temps à faire. Etant certainement attirée par lui, je me pouponnai longuement et revêtit une très belle jupe noire ainsi qu’un chemisier rouge pour aller le retrouver.
Pour petite précision, je m’appelle Claire, je suis blonde aux cheveux mi-longs. Je suis plutôt petite avec des yeux bleus et une poitrine menue de taille 85B.
Je me rendis alors à pied chez lui. Ses parents avaient acheté un pavillon dans un très belle zone résidentielle non loin de chez moi. Je mis alors dix minutes sous le chaud soleil de mai pour venir le retrouver. Je sonnai à sa porte et patientai, déjà toute heureuse de pouvoir passer un nouveau moment agréable avec le garçon pour lequel mon cœur pinçait. Il vint ouvrir, le sourire aux lèvres, et m’accueillit avec une joie non dissimulée.
-Bonjour Claire, tu es en avance, non ?
-Peut-être, je suis désolée !
-C’est pas grave, ne t’inquiètes pas ! Entre !
Il s’écarta et d’un geste de la main, m’invita à l’intérieur. Je rentrai chez lui sans traîner tandis qu’il refermait la porte derrière moi. Il poussa la porte de son dos.
-Il y a un vieux copain qui est venu me rendre visite sans prévenir…
-Ah bon ? balbutiai-je, l’expression un peu déconfite. Je pensais pouvoir passer un long moment seule avec lui mais visiblement ce n’allait pas être le cas.
-Oui, comme je te dis, il est passé à l’improviste, précisa-t-il. Florian, il s’appelle ! Tu connais ?
Je réfléchis comme je pus pendant un moment malgré mon malaise puis secouai la tête.
Ce nom ne me disait rien du tout.
-Non, je crois pas !
-Bon, viens ! Il est dans la chambre, je suis en train de lui montrer un jeu sur l’ordi.
Il me contourna et il partit dans le couloir devant moi. Je le suivis tout en me mordant les lèvres de cette situation inattendue qui ne me plaisait guère. Il poussa la porte blanche de sa chambre et rentra sans se soucier davantage de moi. Je passai à mon tour le seuil de la pièce.
Il avait une grande chambre mais assez encombrée à cause du fait qu’il devait la partager avec son petit frère. Si bien qu’un lit à deux étages était collé contre le mur de droite et deux grandes armoires s’entassaient contre le mur du fond. Pour autre mobilier, il y avait une bibliothèque et un grand bureau sur lequel un ordinateur fixe était installé. Il y avait bien d’autres meubles mais tous demeuraient bien négligeables par rapport au reste. Assis sur une chaise à roulette contre le bureau et tenant la souris d’une main, son ami Florian détruisait de nombreux monstres à l’écran sur un jeu vidéo.
-Bonjour, déclarai-je à son attention, un peu gênée.
Il se retourna et me contempla. Il avait les yeux bruns, les cheveux bouclés un peu sales, également de couleur brun et un visage couvert d’une légère acné. Je le vis légèrement écarquiller les yeux lorsqu’il me vit.
-Salut, répondit-il.
-Je te présente Claire ! C’est une fille de ma classe, lui expliqua Alexis.
Je fis la moue. Je n’aimais pas cette expression : « une fille de ma classe », c’était bien peu considérer après les moments que j’avais déjà passé à jouer de ma bouche sur son sexe.
Florian ne me lâcha pas des yeux pendant un long moment. Pendant ce temps-là, je vis du sang virtuel gicler sur l’écran alors que son avatar était en train de mourir.
Alexis reprit alors la souris et relança la partie sans se soucier davantage de moi.
-T’es arrivé où ? demanda-t-il à son ami.
Ce dernier se reprit et se retourna pour rejoindre son interlocuteur.
-Après le monstre vert.
-Ouais, pas mal.
Ils me délaissaient tous les deux. J’étais abasourdie. Je les observais un moment tandis qu’Alexis manipulait sa souris et son clavier puis je déposai mon sac contre le chambranle de la porte avant de m’avancer précautionneusement plus avant dans la chambre. Je m’assis sur le matelas défait du lit inférieur en ramenant bien ma jupe sous mes fesses. Je ne savais quoi leur dire, d’autant plus qu’ils étaient plongés tous les deux dans leur univers parallèle.
Au bout de cinq minutes de frustration grandissante, je décidai de me relever et leur déclarai alors.
-Bon, ben, je ne savais pas que vous vouliez rester entre mec ! Je vais y aller alors…
C’est alors qu’Alexis se retourna après avoir mis pause à son jeu.
-Ben attends, Claire ! Pourquoi tu veux t’en aller ?
-Et bien, je vais vous laisser jouer à votre jeu tous les deux ! Moi ça ne m’intéresse pas trop ! Je repasserai un autre jour.
Florian se retourna à son tour et me fixa sans rien dire. Ce fut Alexis qui reprit.
-Ouais, je comprends, désolé ! On va arrêter.
Je souris, tout de même un peu gênée de les forcer à stopper leurs activités. Mon ami arrêta rapidement le logiciel pour retourner sur l’écran de Windows.
-Alors tu t’appelles Claire et tu es dans la même classe qu’Alexis ?
La question provenait de Florian qui tâchait de trouver un moyen, assez peu subtil, d’entamer la conversation avec moi.
-Oui, c’est ça !
Je vis son regard glisser sur moi. Alors qu’il me fixait les yeux pour parler, il finit par fuir vers le bas pour s’arrêter sur mes cuisses à nues qui ressortaient de dessous ma jupe noire. Il revint vite à mon visage afin que je ne le remarque pas.
Mais c’était trop tard.
-Tu vois souvent Alexis ?
-Oui, de temps en temps ! répondis-je.
-Vous sortez ensemble ?
-Euh, finis-je par hésiter. Je ne savais comment répondre à cette question.
-Non, pas vraiment, déclara alors Alexis en me bouleversant quelques peu par la même occasion. Moi, je ne désirais que sortir avec lui.
-On partage juste des moments ensemble ! poursuivit-il.
Je restai coi. C’était presque une révélation sur nos activités intimes. Je ne sus alors que répondre. Florian me fixait sans ciller.
-Aaah… c’est ce que tu m’avais raconté… finit-il par répondre.
-Pardon, mais raconter quoi ? m’offusquai-je aussitôt. Je n’aimais pas trop que l’on parle sur moi, surtout pour dire des bêtises.
-Que… euh… hésita-t-il alors, conscient d’en avoir trop dit.
-Que tu étais ma copine pour des moments intimes.
-Sérieux, t’as dit ça à combien de gars ? lui criai-je alors, le visage empourpré d’une colère naissante.
-Oh c’est bon, Claire ! Tu t’en fous de toute façon de ce que je dis à mes potes !
-Mais, Alex, t’es sérieux !!!! Ca ne regarde que nous…
J’étais vraiment énervée. Il me faisait presque passer pour une fille facile.
- Je ne veux pas semer la zizanie, vous savez, je suis désolé… s’excusa Florian.
Tout le monde se tût et la situation demeura tendue. Au bout d’un moment, je me levai, les nerfs à fleur de peau.
-Bon, je m’en vais !
-Mais non Claire, reste ! C’est bon, excuse-moi ! Mais on peut en parler non ?
-Parler de quoi ?
-Ben de sexe ! Ça dérange qui, ici ?
-Moi, rugis-je.
-Ecoute, je lui ai juste dit que tu me suçais quand on se voyait et que je prenais mon pied à chaque fois. Je ne vois pas ce qu’il y a de mal. Florian est l’un de mes meilleurs potes. Si je ne peux rien lui dire, qu’est-ce que je fais alors ?
Je soufflai un grand coup et les observais tous les deux. Son ami gardait ses distances et n’osait rien dire pour ne pas envenimer la situation.
-Avoue que t’es venue cet après-midi aussi pour ça, non ?
-Peut-être, et alors ? grondai-je.
-Ben fais-le !
-T’es pas bien ou quoi ?
-C’est toujours toi qui va me la chercher d’habitude ! révéla-t-il alors sous mon expression déconfite.
-Euh, ne vous gênez pas pour moi surtout ! interrompit Florian qui ne savait plus où se mettre.
Alexis tourna le visage et fixa son ami qui demeurait immobile.
-Claire ! reprit-il. T’as pas envie de tester à trois ?
J’avançai mon visage et écarquillai les yeux, sans avoir vraiment compris ce qu’il venait de proposer.
-Ca me plairait moi en plus, continua-t-il. Tu t’es déjà fait sucer, Florian ?
Il secoua la tête et honteux, déclara que non.
-Tout comme moi la première fois que Claire l’a fait…
-Bon sang mais arrêtez… les prévenais-je sans conviction. Il est vrai que j’aimais assez prendre le pénis d’Alexis dans ma bouche. Et la possibilité de le faire encore une fois cet après-midi, dussais-je même prodiguer une fellation à son ami, me retenait de partir.
-T’as pas envie d’essayer Florian ?
-Si bien sûr mais bon…
-T’as entendu Claire ? Il a envie… et moi aussi.
-Je… je… balbutiai-je sans savoir quoi dire.
Alexis se leva alors et me rejoignit. Puis il me prit par le bras et caressa ma peau nue de sa paume et de ses doigts.
-T’as pas envie d’essayer ? souffla-t-il d’une voix douce et sur un ton très bas.
Je ne répondis pas.
-Allez viens ! Et il m’attira en direction du lit avant de s’asseoir face à moi. Il détacha le bouton de son jean en me regardant tandis que je me trouvais debout devant lui.
-Tu le veux ?
Et, autant effronté qu’il était, il se découvrit sans réserve. Son long sexe pointait déjà bien droit dans ma direction. Je me retournai, gênée, et m’aperçut que Florian était dans un état de crainte implacable. Je sentis alors Alexis se saisir de ma main pour venir la poser sur son pénis tendu. Je fus quelques peu contrainte de me pencher pour suivre son mouvement. Du bout des doigts, je sentis son gland tout chaud qu’il avait fait ressortir, puis il descendit mes doigts sur sa longueur. Un peu excitée, je me mis finalement à genoux et enroulait ma paume sur lui avant de le masturber lentement.
-Oui, Claire, j’ai envie ! Touche moi !
Et je le vis se détendre en posant ses mains dans son dos en une position relaxante et me laissa le branler sous le regard bouleversé de son ami.
-Florian, sors aussi ta bite !
Je n’aimais pas trop le mot employé mais Florian ne s’en offusqua aucunement.
-Je sais pas trop ! répondit-il.
-Si, vas-y !
-Claire, ça te dérange pas ?
Je haussai finalement les épaules en simple réponse. Il s’approcha alors de moi en faisant rouler sa chaise puis écarta les cuisses et défit lentement, les gestes tremblants, sa braguette et son bouton.
-Claire, si ça te gène, je te promets, je m’en vais !
Je le regardai sans rien dire tout en manipulant Alexis de ma main droite. Mon partenaire regardait attentivement la situation. Enfin, avec maladresse, Florian extirpa sa queue qui se retrouva encore plus tendue que son voisin. Mais son pénis était plus épais et moins long que celui dont j’avais déjà l’habitude.
-Claire, branle-le aussi ! Tu me fais bander ! se permit d’interrompre Alexis ! Prends lui sa bite dans ta main !
-Arrête de parler comme ça, sérieux ! me plaignis-je alors.
Mais j’obéis et attrapai également le gros sexe large qui ressortait de la braguette du pantalon brun de Florian. Sa queue était brûlante. Je l’attrapai et me mit à le masturber à l’égal de ce que je faisais avec l’autre main. Je vis Florian se mordre les lèvres de plaisir sans rien dire.
-Elle a les mains douces, tu ne trouves pas ? demanda Alexis.
-Ou… Oui.
-T’aimes bien ce qu’elle te fait ?
-Ou… Oui !
Il était profondément gêné et apeuré de sa première expérience. Quant à moi, à genoux sur la moquette du sol, je les branlais tous les deux sans un mot.
-Regarde comme elle me suce quand t’es pas là, dit alors Alexis qui se laissait aller à sa passion.
Il m’attrapa la tête et me ramena à lui en forçant légèrement sur ma nuque.
-Allez prends moi dans ta bouche, Claire !
Je me courbai sur lui. Il écarta les jambes et mon nez se rapprocha de son gland tout rose. J’ouvris finalement les lèvres et glissai son dard contre ma langue. Je le pris entre mes lèvres et comme à mon habitude, commençai ma fellation sur Alexis.
-Oh bordel, ce que je suis bien dans ta bouche, Claire ! Je m’en lasse jamais !
Je bougeai alors ma tête et en faisant de lents va et vient, le masturbai longuement contre ma langue humide. De l’autre main, je n’avais pas lâché pour autant le sexe de Florian.
Je me considérai un peu sur le moment comme une traînée, mais l’excitation me faisait clairement mouiller dans la culotte. J’avais le bon goût de l’intimité d’Alexis dans ma bouche, et cela me ravit à un point insoupçonné. Je remuais toujours plus ma tête sur le sexe long que j’étais littéralement en train de dévorer. Alexis, appuyé sur ses mains, me laissait faire en m’observant.
Enfin, au bout d’une longue minute, Alexis se redressa et me demanda alors ce que je redoutais.
-Va sucer mon pote aussi ! Il ne sait pas ce que ça fait !
Je recrachai le pénis tendu. De longs filaments de salive se formèrent alors que le sexe était complètement humide de mes efforts faits avec la bouche. Alexis me sourit et me prit la main qui était enroulée sur son sexe et me força à le garder dans ma paume pour le remuer encore.
- Garde-moi avec toi quand même !
Je pivotai alors sans lâcher ni l’un ni l’autre et je baissai le regard pour regarder le gros dard de Florian. Son gland était plus foncé et son odeur était légèrement plus dérangeante que celle de son ami. Florian m’observait sans savoir quoi faire.
Glissant mes jambes sur le sol, je me rapprochai alors pour me glisser entre ses cuisses ouvertes et continuai à observer ma main s’agiter sur lui.
-Tu m’excites, Claire ! Jugea-t-il bon de me préciser. Tu es très belle !
De l’autre côté, je sentais que ma jupe remontait sur mes cuisses. C’était Alexis qui s’était penché derrière moi et qui me découvrait le postérieur. Ma culotte rouge de coton moulante se révéla à son regard. Il plaqua sa main sur l’une de mes fesses pour me tripoter mes formes rebondies.
-J’adore ton cul, Claire ! Tout le monde adore ton cul !
Il me pelotait sans retenue tandis que je me sentais complètement manipulée par les deux garçons. Je décidai alors enfin de prendre dans ma bouche celui que je ne connaissais même pas ne serait-ce qu’une petite heure plus tôt. Et alors que je courbais le dos et que je tendais de plus en plus mes fesses aux caresses perverses d’Alexis. Florian se mit à jurer.
-Merde, merde, non !
Et sans prévenir il éjacula. Il explosa dans ma main. Je vis son sperme chaud sortir de son gland épais et ma masturbation le fit gicler jusqu’à mon visage. Il m’éclaboussa de plusieurs projections et me barbouilla les joues et le nez alors que je me tenais à quelques centimètres de lui. Je fermai les yeux et consciencieuse, je poursuivis mes caresses de la main tout en le laissant m’arroser de son liquide blanc gluant et brûlant.
-Ohhhh, Clairrreee !
Je le sentais trembler dans ma paume. Son corps était vrillé d’un plaisir que je lui jugeai inconnu. Il remua légèrement le bassin pour accompagner son éjaculation à chacune de ses nouvelles giclées. Et il se vida entièrement contre mon visage.
Pendant ce temps-là, Alexis avait la main lovée contre ma fesse droite et observait presque en riant l’éjaculation de son ami ainsi que mon visage barbouillé. Puis la tension se relâcha lorsque Florian termina. Je stoppai aussitôt ma masturbation et écartait ma main dégoulinante de son sperme blanc laiteux. Je me relevai alors lâchant par la même occasion Alexis. Ce dernier s’écarta de mes fesses. Puis je leur déclarai :
-Je vais me nettoyer avant que ça coule et que ça ne tâche ma chemise.
-Je suis désolé Claire ! J’ai vraiment pas fait exprès. Je te promets !
-Pas grave.
-Tu es trop excitante ! C’est pour ça…
-C’est pas grave, je te dis !
Je reculai puis tournai les talons pour quitter la chambre et me rendre dans la salle de bains dans laquelle je me débarbouillai le visage et les mains.
Lorsque je revins, après avoir repeigné mes cheveux qui avaient échappé miraculeusement à l’attaque, je découvris que les deux garçons s’étaient cette fois complètement déshabillés. Assis en tailleur sur le lit, ils avaient toujours leurs deux pénis bien dressés. Ils m’attendaient.
(La suite directe arrivera très bientôt)
C’était un samedi et j’avais reçu un jour plus tôt un coup de fil de l’un de mes amis qui me demandait de passer chez lui pour l’après-midi. Pour ma part, je considérais cet ami comme mon petit copain même si cela n’avait rien d’officiel. Il se trouvait dans ma classe de lycée et je le trouvais, comme la plupart des autres filles, très séduisant.
Assez grand, les cheveux châtains et le regard azur, il s’appelait Alexis. Je craquais complètement sur lui. A de nombreuses reprises auparavant, nous nous étions déjà retrouvés en de multiples occasions et pour avoir déjà vécu l’expérience de la fellation avant de le connaître, j’appréciais à chaque fois de le sucer pour lui procurer son plaisir. Il se déchargeait toujours dans ma bouche avec un bonheur certain.
Ce jour-là, il m’avait invité à le retrouver chez lui. Je savais qu’il se trouvait souvent seul le samedi après-midi et j’imaginais déjà ce que nous allions passer le temps à faire. Etant certainement attirée par lui, je me pouponnai longuement et revêtit une très belle jupe noire ainsi qu’un chemisier rouge pour aller le retrouver.
Pour petite précision, je m’appelle Claire, je suis blonde aux cheveux mi-longs. Je suis plutôt petite avec des yeux bleus et une poitrine menue de taille 85B.
Je me rendis alors à pied chez lui. Ses parents avaient acheté un pavillon dans un très belle zone résidentielle non loin de chez moi. Je mis alors dix minutes sous le chaud soleil de mai pour venir le retrouver. Je sonnai à sa porte et patientai, déjà toute heureuse de pouvoir passer un nouveau moment agréable avec le garçon pour lequel mon cœur pinçait. Il vint ouvrir, le sourire aux lèvres, et m’accueillit avec une joie non dissimulée.
-Bonjour Claire, tu es en avance, non ?
-Peut-être, je suis désolée !
-C’est pas grave, ne t’inquiètes pas ! Entre !
Il s’écarta et d’un geste de la main, m’invita à l’intérieur. Je rentrai chez lui sans traîner tandis qu’il refermait la porte derrière moi. Il poussa la porte de son dos.
-Il y a un vieux copain qui est venu me rendre visite sans prévenir…
-Ah bon ? balbutiai-je, l’expression un peu déconfite. Je pensais pouvoir passer un long moment seule avec lui mais visiblement ce n’allait pas être le cas.
-Oui, comme je te dis, il est passé à l’improviste, précisa-t-il. Florian, il s’appelle ! Tu connais ?
Je réfléchis comme je pus pendant un moment malgré mon malaise puis secouai la tête.
Ce nom ne me disait rien du tout.
-Non, je crois pas !
-Bon, viens ! Il est dans la chambre, je suis en train de lui montrer un jeu sur l’ordi.
Il me contourna et il partit dans le couloir devant moi. Je le suivis tout en me mordant les lèvres de cette situation inattendue qui ne me plaisait guère. Il poussa la porte blanche de sa chambre et rentra sans se soucier davantage de moi. Je passai à mon tour le seuil de la pièce.
Il avait une grande chambre mais assez encombrée à cause du fait qu’il devait la partager avec son petit frère. Si bien qu’un lit à deux étages était collé contre le mur de droite et deux grandes armoires s’entassaient contre le mur du fond. Pour autre mobilier, il y avait une bibliothèque et un grand bureau sur lequel un ordinateur fixe était installé. Il y avait bien d’autres meubles mais tous demeuraient bien négligeables par rapport au reste. Assis sur une chaise à roulette contre le bureau et tenant la souris d’une main, son ami Florian détruisait de nombreux monstres à l’écran sur un jeu vidéo.
-Bonjour, déclarai-je à son attention, un peu gênée.
Il se retourna et me contempla. Il avait les yeux bruns, les cheveux bouclés un peu sales, également de couleur brun et un visage couvert d’une légère acné. Je le vis légèrement écarquiller les yeux lorsqu’il me vit.
-Salut, répondit-il.
-Je te présente Claire ! C’est une fille de ma classe, lui expliqua Alexis.
Je fis la moue. Je n’aimais pas cette expression : « une fille de ma classe », c’était bien peu considérer après les moments que j’avais déjà passé à jouer de ma bouche sur son sexe.
Florian ne me lâcha pas des yeux pendant un long moment. Pendant ce temps-là, je vis du sang virtuel gicler sur l’écran alors que son avatar était en train de mourir.
Alexis reprit alors la souris et relança la partie sans se soucier davantage de moi.
-T’es arrivé où ? demanda-t-il à son ami.
Ce dernier se reprit et se retourna pour rejoindre son interlocuteur.
-Après le monstre vert.
-Ouais, pas mal.
Ils me délaissaient tous les deux. J’étais abasourdie. Je les observais un moment tandis qu’Alexis manipulait sa souris et son clavier puis je déposai mon sac contre le chambranle de la porte avant de m’avancer précautionneusement plus avant dans la chambre. Je m’assis sur le matelas défait du lit inférieur en ramenant bien ma jupe sous mes fesses. Je ne savais quoi leur dire, d’autant plus qu’ils étaient plongés tous les deux dans leur univers parallèle.
Au bout de cinq minutes de frustration grandissante, je décidai de me relever et leur déclarai alors.
-Bon, ben, je ne savais pas que vous vouliez rester entre mec ! Je vais y aller alors…
C’est alors qu’Alexis se retourna après avoir mis pause à son jeu.
-Ben attends, Claire ! Pourquoi tu veux t’en aller ?
-Et bien, je vais vous laisser jouer à votre jeu tous les deux ! Moi ça ne m’intéresse pas trop ! Je repasserai un autre jour.
Florian se retourna à son tour et me fixa sans rien dire. Ce fut Alexis qui reprit.
-Ouais, je comprends, désolé ! On va arrêter.
Je souris, tout de même un peu gênée de les forcer à stopper leurs activités. Mon ami arrêta rapidement le logiciel pour retourner sur l’écran de Windows.
-Alors tu t’appelles Claire et tu es dans la même classe qu’Alexis ?
La question provenait de Florian qui tâchait de trouver un moyen, assez peu subtil, d’entamer la conversation avec moi.
-Oui, c’est ça !
Je vis son regard glisser sur moi. Alors qu’il me fixait les yeux pour parler, il finit par fuir vers le bas pour s’arrêter sur mes cuisses à nues qui ressortaient de dessous ma jupe noire. Il revint vite à mon visage afin que je ne le remarque pas.
Mais c’était trop tard.
-Tu vois souvent Alexis ?
-Oui, de temps en temps ! répondis-je.
-Vous sortez ensemble ?
-Euh, finis-je par hésiter. Je ne savais comment répondre à cette question.
-Non, pas vraiment, déclara alors Alexis en me bouleversant quelques peu par la même occasion. Moi, je ne désirais que sortir avec lui.
-On partage juste des moments ensemble ! poursuivit-il.
Je restai coi. C’était presque une révélation sur nos activités intimes. Je ne sus alors que répondre. Florian me fixait sans ciller.
-Aaah… c’est ce que tu m’avais raconté… finit-il par répondre.
-Pardon, mais raconter quoi ? m’offusquai-je aussitôt. Je n’aimais pas trop que l’on parle sur moi, surtout pour dire des bêtises.
-Que… euh… hésita-t-il alors, conscient d’en avoir trop dit.
-Que tu étais ma copine pour des moments intimes.
-Sérieux, t’as dit ça à combien de gars ? lui criai-je alors, le visage empourpré d’une colère naissante.
-Oh c’est bon, Claire ! Tu t’en fous de toute façon de ce que je dis à mes potes !
-Mais, Alex, t’es sérieux !!!! Ca ne regarde que nous…
J’étais vraiment énervée. Il me faisait presque passer pour une fille facile.
- Je ne veux pas semer la zizanie, vous savez, je suis désolé… s’excusa Florian.
Tout le monde se tût et la situation demeura tendue. Au bout d’un moment, je me levai, les nerfs à fleur de peau.
-Bon, je m’en vais !
-Mais non Claire, reste ! C’est bon, excuse-moi ! Mais on peut en parler non ?
-Parler de quoi ?
-Ben de sexe ! Ça dérange qui, ici ?
-Moi, rugis-je.
-Ecoute, je lui ai juste dit que tu me suçais quand on se voyait et que je prenais mon pied à chaque fois. Je ne vois pas ce qu’il y a de mal. Florian est l’un de mes meilleurs potes. Si je ne peux rien lui dire, qu’est-ce que je fais alors ?
Je soufflai un grand coup et les observais tous les deux. Son ami gardait ses distances et n’osait rien dire pour ne pas envenimer la situation.
-Avoue que t’es venue cet après-midi aussi pour ça, non ?
-Peut-être, et alors ? grondai-je.
-Ben fais-le !
-T’es pas bien ou quoi ?
-C’est toujours toi qui va me la chercher d’habitude ! révéla-t-il alors sous mon expression déconfite.
-Euh, ne vous gênez pas pour moi surtout ! interrompit Florian qui ne savait plus où se mettre.
Alexis tourna le visage et fixa son ami qui demeurait immobile.
-Claire ! reprit-il. T’as pas envie de tester à trois ?
J’avançai mon visage et écarquillai les yeux, sans avoir vraiment compris ce qu’il venait de proposer.
-Ca me plairait moi en plus, continua-t-il. Tu t’es déjà fait sucer, Florian ?
Il secoua la tête et honteux, déclara que non.
-Tout comme moi la première fois que Claire l’a fait…
-Bon sang mais arrêtez… les prévenais-je sans conviction. Il est vrai que j’aimais assez prendre le pénis d’Alexis dans ma bouche. Et la possibilité de le faire encore une fois cet après-midi, dussais-je même prodiguer une fellation à son ami, me retenait de partir.
-T’as pas envie d’essayer Florian ?
-Si bien sûr mais bon…
-T’as entendu Claire ? Il a envie… et moi aussi.
-Je… je… balbutiai-je sans savoir quoi dire.
Alexis se leva alors et me rejoignit. Puis il me prit par le bras et caressa ma peau nue de sa paume et de ses doigts.
-T’as pas envie d’essayer ? souffla-t-il d’une voix douce et sur un ton très bas.
Je ne répondis pas.
-Allez viens ! Et il m’attira en direction du lit avant de s’asseoir face à moi. Il détacha le bouton de son jean en me regardant tandis que je me trouvais debout devant lui.
-Tu le veux ?
Et, autant effronté qu’il était, il se découvrit sans réserve. Son long sexe pointait déjà bien droit dans ma direction. Je me retournai, gênée, et m’aperçut que Florian était dans un état de crainte implacable. Je sentis alors Alexis se saisir de ma main pour venir la poser sur son pénis tendu. Je fus quelques peu contrainte de me pencher pour suivre son mouvement. Du bout des doigts, je sentis son gland tout chaud qu’il avait fait ressortir, puis il descendit mes doigts sur sa longueur. Un peu excitée, je me mis finalement à genoux et enroulait ma paume sur lui avant de le masturber lentement.
-Oui, Claire, j’ai envie ! Touche moi !
Et je le vis se détendre en posant ses mains dans son dos en une position relaxante et me laissa le branler sous le regard bouleversé de son ami.
-Florian, sors aussi ta bite !
Je n’aimais pas trop le mot employé mais Florian ne s’en offusqua aucunement.
-Je sais pas trop ! répondit-il.
-Si, vas-y !
-Claire, ça te dérange pas ?
Je haussai finalement les épaules en simple réponse. Il s’approcha alors de moi en faisant rouler sa chaise puis écarta les cuisses et défit lentement, les gestes tremblants, sa braguette et son bouton.
-Claire, si ça te gène, je te promets, je m’en vais !
Je le regardai sans rien dire tout en manipulant Alexis de ma main droite. Mon partenaire regardait attentivement la situation. Enfin, avec maladresse, Florian extirpa sa queue qui se retrouva encore plus tendue que son voisin. Mais son pénis était plus épais et moins long que celui dont j’avais déjà l’habitude.
-Claire, branle-le aussi ! Tu me fais bander ! se permit d’interrompre Alexis ! Prends lui sa bite dans ta main !
-Arrête de parler comme ça, sérieux ! me plaignis-je alors.
Mais j’obéis et attrapai également le gros sexe large qui ressortait de la braguette du pantalon brun de Florian. Sa queue était brûlante. Je l’attrapai et me mit à le masturber à l’égal de ce que je faisais avec l’autre main. Je vis Florian se mordre les lèvres de plaisir sans rien dire.
-Elle a les mains douces, tu ne trouves pas ? demanda Alexis.
-Ou… Oui.
-T’aimes bien ce qu’elle te fait ?
-Ou… Oui !
Il était profondément gêné et apeuré de sa première expérience. Quant à moi, à genoux sur la moquette du sol, je les branlais tous les deux sans un mot.
-Regarde comme elle me suce quand t’es pas là, dit alors Alexis qui se laissait aller à sa passion.
Il m’attrapa la tête et me ramena à lui en forçant légèrement sur ma nuque.
-Allez prends moi dans ta bouche, Claire !
Je me courbai sur lui. Il écarta les jambes et mon nez se rapprocha de son gland tout rose. J’ouvris finalement les lèvres et glissai son dard contre ma langue. Je le pris entre mes lèvres et comme à mon habitude, commençai ma fellation sur Alexis.
-Oh bordel, ce que je suis bien dans ta bouche, Claire ! Je m’en lasse jamais !
Je bougeai alors ma tête et en faisant de lents va et vient, le masturbai longuement contre ma langue humide. De l’autre main, je n’avais pas lâché pour autant le sexe de Florian.
Je me considérai un peu sur le moment comme une traînée, mais l’excitation me faisait clairement mouiller dans la culotte. J’avais le bon goût de l’intimité d’Alexis dans ma bouche, et cela me ravit à un point insoupçonné. Je remuais toujours plus ma tête sur le sexe long que j’étais littéralement en train de dévorer. Alexis, appuyé sur ses mains, me laissait faire en m’observant.
Enfin, au bout d’une longue minute, Alexis se redressa et me demanda alors ce que je redoutais.
-Va sucer mon pote aussi ! Il ne sait pas ce que ça fait !
Je recrachai le pénis tendu. De longs filaments de salive se formèrent alors que le sexe était complètement humide de mes efforts faits avec la bouche. Alexis me sourit et me prit la main qui était enroulée sur son sexe et me força à le garder dans ma paume pour le remuer encore.
- Garde-moi avec toi quand même !
Je pivotai alors sans lâcher ni l’un ni l’autre et je baissai le regard pour regarder le gros dard de Florian. Son gland était plus foncé et son odeur était légèrement plus dérangeante que celle de son ami. Florian m’observait sans savoir quoi faire.
Glissant mes jambes sur le sol, je me rapprochai alors pour me glisser entre ses cuisses ouvertes et continuai à observer ma main s’agiter sur lui.
-Tu m’excites, Claire ! Jugea-t-il bon de me préciser. Tu es très belle !
De l’autre côté, je sentais que ma jupe remontait sur mes cuisses. C’était Alexis qui s’était penché derrière moi et qui me découvrait le postérieur. Ma culotte rouge de coton moulante se révéla à son regard. Il plaqua sa main sur l’une de mes fesses pour me tripoter mes formes rebondies.
-J’adore ton cul, Claire ! Tout le monde adore ton cul !
Il me pelotait sans retenue tandis que je me sentais complètement manipulée par les deux garçons. Je décidai alors enfin de prendre dans ma bouche celui que je ne connaissais même pas ne serait-ce qu’une petite heure plus tôt. Et alors que je courbais le dos et que je tendais de plus en plus mes fesses aux caresses perverses d’Alexis. Florian se mit à jurer.
-Merde, merde, non !
Et sans prévenir il éjacula. Il explosa dans ma main. Je vis son sperme chaud sortir de son gland épais et ma masturbation le fit gicler jusqu’à mon visage. Il m’éclaboussa de plusieurs projections et me barbouilla les joues et le nez alors que je me tenais à quelques centimètres de lui. Je fermai les yeux et consciencieuse, je poursuivis mes caresses de la main tout en le laissant m’arroser de son liquide blanc gluant et brûlant.
-Ohhhh, Clairrreee !
Je le sentais trembler dans ma paume. Son corps était vrillé d’un plaisir que je lui jugeai inconnu. Il remua légèrement le bassin pour accompagner son éjaculation à chacune de ses nouvelles giclées. Et il se vida entièrement contre mon visage.
Pendant ce temps-là, Alexis avait la main lovée contre ma fesse droite et observait presque en riant l’éjaculation de son ami ainsi que mon visage barbouillé. Puis la tension se relâcha lorsque Florian termina. Je stoppai aussitôt ma masturbation et écartait ma main dégoulinante de son sperme blanc laiteux. Je me relevai alors lâchant par la même occasion Alexis. Ce dernier s’écarta de mes fesses. Puis je leur déclarai :
-Je vais me nettoyer avant que ça coule et que ça ne tâche ma chemise.
-Je suis désolé Claire ! J’ai vraiment pas fait exprès. Je te promets !
-Pas grave.
-Tu es trop excitante ! C’est pour ça…
-C’est pas grave, je te dis !
Je reculai puis tournai les talons pour quitter la chambre et me rendre dans la salle de bains dans laquelle je me débarbouillai le visage et les mains.
Lorsque je revins, après avoir repeigné mes cheveux qui avaient échappé miraculeusement à l’attaque, je découvris que les deux garçons s’étaient cette fois complètement déshabillés. Assis en tailleur sur le lit, ils avaient toujours leurs deux pénis bien dressés. Ils m’attendaient.
(La suite directe arrivera très bientôt)
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Claire74
3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'adore,vivement la suite !
Superbe,claire. Vivement la suite...
Très excitant! Hâte de lire la suite!