Un avion, une inconnue... et ses pieds - histoire érotique

Tu viens de t’installer confortablement dans ton siège en classe affaire. L’avion doit décoller dans quelques minutes.
Un jolie hôtesse donne les dernières consignes d’avant décollage. « Mesdames et messieurs bonjour, je suis Hanna, votre hôtesse pour ce vol. Je vous prie d’attacher votre ceinture le décollage est imminent…. » le reste de sa tirade se perd dans le brouhaha. Tu es littéralement envoûté par sa voix. Tu n’écoute plus les mots mais juste la mélodie des sons. Cette envolée de mots prononcés d’un ton légèrement rauque te galvanise… tu es loin déjà dans ton monde à toi.
Cette brunette n’est pas d’une beauté de catalogue mais a un physique qui attire l’œil des hommes qui aiment les courbes. Des cheveux que l’on devine longs retenus par un strict chignon sur la nuque. Une nuque qui appelle les lèvres et les caresses. Des yeux clairs, tu ne saurais dire d’ailleurs si bleus, verts ou gris… justes saisissants. Un bouche pulpeuse qui semble être faite pour embrasser, et tu es prêt à parier ta chemise qu’elle ne se contente pas d’embrasser des bouches. Une poitrine généreuse faite pour être abandonnée aux mains d’un amant expert, une taille marquée qui est joliment galbée par le tailleur bleu de la compagnie aérienne. Tu laisse glisser tes yeux le long de son corps…. Recherches tu quelque chose de précis ? oui, je sais que oui. Tes yeux glissent sur son corps comme si tu en étais le propriétaire… Tu parcoures ses jambes sensuelles mise en valeur par des bas ou des collants sombres (tu pries pour que ce soient des bas). Et tu attaches ton regard à ces chaussures. De légers talons qui mettent sa silhouette en valeur et souligne la tendre rondeur du mollet, un vernis lustré coordonné à la couleur du tailleur, le dessus du pied est dégagé seule la pointe des orteils est couverte par le cuir.
Tu ne te lasses pas de regarder Hanna qui va et vient le long des allées veillant au confort des passagers. Tu constates d’ailleurs que vous êtes peu sur ce vol régulier. Tu en es secrètement ravi : Hanna aura plus de temps pour toi. Justement, elle s’approche de toi. « Monsieur, puis je faire quelque chose pour vous ? » Tu as une réponse toute trouvée… mais tu hésites. Une réponse convenue sort de tes lèvres « Merci beaucoup mais ça va bien pour l’instant ». Tu la regardes s’éloigner… en fait tu regardes ses pieds s’éloigner !! Ils sont petits et joliment galbés. Ils ont l’air d’être faits pour caresser et être caressés.
Tu fermes à demi les yeux et tu laisses ton imagination te porter. Tu vois Hanna s’approcher de toi, se pencher au-dessus de toi et t’inviter à la suivre. Tu la regardes surpris mais sans dire un mot tu l’accompagnes. Elle te mène dans un salon privé inoccupé de la classe affaire.
« Dès que je vous ai vu… j’ai eu envie de vous faire plaisir. » Commence –t-elle en te regardant droit dans les yeux. « J’ai senti qu’entre nous quelque chose de beau était possible. Me laisserez vous faire ? »
Tu n’en crois pas tes oreilles, ton fantasme te demande la permission de te donner du plaisir. C’est inouï…. Tu acceptes presque timidement tellement tu es sous le choc de cette demande. Hanna te fait asseoir dans un confortable fauteuil où tu peux prendre tes aises. Tu t’installes, le dos plaqué au dossier, les jambes légèrement écartées, les pieds bien à plat sur le sol. Pour elle même, elle choisit un tabouret de bar un peu surélevé. Assise face à toi, elle te domine. Elle se penche vers toi et te donne son décolleté à admirer. Les premiers boutons de son chemisier sont défaits, tu entraperçoit la dentelle blanche de son soutien gorge, elle se détache magnifiquement sur sa peau. Elle s’installe le dos droit face à toi, ses jambes légèrement écartées font remonter sa jupe sur ses cuisses et te prouvent qu’elle porte des bas maintenus par des porte-jarretelles de la même dentelle que son soutien gorge. Le contraste des bas sombres sur sa peau nacrée te fait rêver, elle semble douce au toucher et tu as envie de toucher. Il semble qu’Hanna n’est pas l’intention de te laisser perdre d’initiative. C’est elle qui t’a amené ici et elle a l’intention de garder la main sur tout ce qui se passera.
Elle te demande de la regarder dans les yeux et de la laisser faire.
Délicatement elle laisse tomber ses escarpins sur la moquette. Elle te tend son pied droit et te demande de la masser. Dans le même temps, elle approche son pied gauche de ton mollet et doucement, délicatement elle fait glisser ses bas sur ta jambe. Elle monte et descend, te caresse le mollet, la cuisse et remonte vers ton entrejambe.
Son regard reste rivé au tien, elle te demande de te concentrer sur son pied droit. Une lueur surprise traverse ton regard. Concentré sur ses mouvements à elle, tu avais oublié le délicat pied qui reposait entre tes mains. Tu reprend les cercles avec tes pouces sur le coup de pied et près du talon. Hanna semble apprécier et continue de son côté.
Doucement du bout des orteils, elle joue avec la fermeture de ta braguette, elle glisse le long de la protubérance que ton excitation a créé. Elle s’enhardit et glisse son pied entre tes cuisses sous tes bourses et remonte. Elle recommence à plusieurs reprises appuyant plus ou moins selon les moments et tes réactions. Doucement elle te retire son pied droit et te demande d’ouvrir ton pantalon, de le faire glisser le long de tes jambes jusque sur tes chevilles. Tu lui obéis avec promptitude. Tu te réinstalle dans le fauteuil, elle reprend ses caresses depuis le début. Elle fait remonter l’un à côté de l’autre ses deux pieds gainés de soie. Elle te caresse les jambes ensemble et l’une après l’autre. Hanna remonte ses pieds de plus en plus et passe de tes mollets à tes cuisses. Elle suit le parcours des frissons sur ta peau … le pouvoir est quelque chose de fascinant et d’éphémère.
Ses pieds remontent encore jusqu’à encercler ton pénis à travers ton caleçon. Du bout de ses orteils, Hanna te caresse, elle excite ton sexe tendu par d’audacieuses caresses qui te font frissonner de plus en plus. Elle va et vient, doucement, rapidement, presque avec tendresse. Tu te laisses faire heureux et émerveillé de voir prendre forme un de tes plus chers désirs.
Ses pieds vont et viennent, caressent ta verge tendue, tes bourses pleines. Ils passent dessous, dessus ils ne laissent aucun centimètre carré de ta peau sensible libre.
Brutalement Hanna s’arrête et se redresse. Tu l’interroges du regard ; elle te demande de te mettre nu. Aussitôt tu te lève et lui obéis. Impatient et plein de fougue, tu as hâte de reprendre ce moment rêvé. Tu te cales confortablement au fond de ton fauteuil et tu attends.
L’attente n’est certes pas longue. Hanna est aussi impatiente que toi de t’emmener encore plus loin.
Elle aime beaucoup le contact de ta peau contre ses bas. La friction entre la soie et la peau est d’un érotisme torride. Elle est excitée de ses caresses et adore voir l’excitation monter sur ton visage. Doucement, elle reprend ses caresses. Ses orteils caressent ta verge, montent et descendent, caressent tes bourses et recommencent le même chemin encore et encore.
Hanna appuie ses caresses de plus en plus. Elle veut te donner encore plus de plaisir. Elle aime cela, faire jouir ses partenaires. Elle continue ses caresses jusqu’à ce que tu ne puisses plus te retenir. A ton visage, elle voit que tu ne te retiendras plus très longtemps. Un doux sourire sur ses lèvres, elle t’emmène encore plus loin et t’encourage de la voix à te laisser aller. Elle adore ce regard perdu au moment de la jouissance. Tu te répands sur ses bas.
Avec grâce, Hanna se lève rajuste sa tenue. Elle s’avance vers la porte. « Vous pouvez rester dans ce salon jusqu’à l’atterrissage. Il n’est pas prévu qu’il soit occupé sur ce vol. Bon vol, Monsieur, et bon séjour. »
Tu la regardes fermer la porte encore ébloui par l’instant passé et un peu confus de ne pas lui avoir rendu la pareille.