Un beau mariage
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-02-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Un beau mariage
C'était un beau mariage, c'est ce que tout le monde disait. Le marié était très beau et très élégant. La mariée était en blanc … Ouai là il n'y avait rien de plus à rajouter.
Il avait dit oui, elle avait dit oui, au moins ils étaient d'accord. Là je me disais … '' Pourvu que ça dure ! ''.
Les familles des mariés étaient là, enfin juste deux cent ou deux cent cinquante invités. La fête avait été organisée dans une très belle demeure de la renaissance , il y avait un parc très agréable en été, mais là on n'était pas en été. Il y avait une très belle salle de danse. On avait bien mangé et le bal suivait, il commençait à être un peu tard. Pas pour aller danser en boite mais pour sortir de table. Les enfants qui étaient présents montraient des signes de fatigue les pauvres. Ils disparaissaient, c'était prévu aussi, les parents allaient les coucher. Seuls les plus âgés restaient encore là quand la musique à commencé à se faire entendre.
Je traînais un moment au bar et je picolais. J'allais remuer un peu mon corps mais ce n'était pas un succès. Je sortais sur la terrasse, discutait avec une des demoiselles d'honneur, un des damoiseau d'honneur … ça se dit ça ' Damoiseau d'honneur ' ?
Enfin bref, il y en avait bien un qui était tout mignon, un petit jeune. Il était plus petit que moi mais avait un beau visage et une silhouette fine. Ce n'était pas un mariage gay mais on ne sait jamais. Je ne suis pas le seul à m'intéresser aux garçons, c'est vrai il y a aussi les filles. Mais ça c'est de la concurrence déloyale !
Je regardais tout le monde il me semblait bien qu'il y avait plus de monde qu'au repas, on me disait que les mariés avaient invité des amis moins proches pour le bal, c'est vrai qu'ils avaient fait ça bien. Il y avait une vrai sono professionnelle, un truc sérieux, et un vrai DJ, là aussi c'était un truc sérieux. J'en aurais bien fait mon quatre heure, enfin je veux dire mon désert.
Le petit jeune que j'avais remarqué passait et repassait, je ne sais pas ce qu'il cherchait, je ne sait pas s'il cherchait quelque chose d'ailleurs. Il regardait la piste de danse, il regardait … Non je me disais que c'était une impression, il ne regardait pas les mecs, c'est moi qui les regardais.
À plusieurs reprises je croisais son regard, à chaque fois il détournait les yeux comme s'il était pris en faute. Peut être que c'était moi qu'il regardait. Je sortais sur le balcon.
Il me suivait, il avait l'air plus jeune que moi, c'était sa taille qui me le disait. Mais ce n'était plus un enfant, non, il était juste tout petit, et tout mignon aussi.
Je décidais d'aller prendre l'air un moment sur la terrasse, il y avait une très belle terrasse, légèrement en contre bas il y avait le gazon et quelques marches pour passer de l'un à l'autre. La nuit était claire et encore douce, un peu fraîche mais c'était normal en cette saison.
Je me retournais le petit jeune était là, il m'avait suivi.
– Salut ! Lui disais-je.
Il me saluait de la tête, il avait l'air embarrassé, comme intimidé il me répondait par un '' Bonsoir. ''.
– Tu fais parti de la famille de la marié ou du marié ? Lui demandais-je.
– De la mariée et toi ?
– Aucune, je suis un ami du marié.
Suivait un silence.
Un silence lourd et pesant.
C'est ce moment que je remarquait une sorte de bâtisse toute en verre.
– C'est quoi ça ? Demandais-je.
– Je sais pas, on va voir.
C'était une serre, il y avait plein de plantes et la température était particulièrement douce. Il me suivais, la porte n'était pas fermée, j'entrais, il me suivait.
A l'intérieur c'était magnifique, il y avait des plantes partout, on se serait cru dans une jungle d'intérieur. J'avançais, je sentais sa main sur mon bras, je m'arrêtais, me retournais. J'ai l'impression qu'à ce moment il a tenté de m'embrasser mais comme il faisait presque une tête de moins que moi, c'était loupé. Il avait l'air confus et voulait se retirer. Là c'est moi qui le retenais, il s'arrêtait et là c'est moi qui tentais de l'embrasser.
C'était plus facile, je n'avais qu'à me pencher. Ses lèvres étaient douce, on sentait sa moustache naissante qui frottait contre la mienne. La sienne était douce, la mienne beaucoup moins.
Il me prenait dans ses bras en me rendant mon baiser. Sa main me caressait le dos, en premier les épaules puis les reins et il terminait par mes fesses. C'est à peu près à ce moment qu'on était pris d'une fièvre.
Il glissait une mais sous ma chemise, je glissait une main dans son pantalon, il ouvrait ma chemise, j'ouvrais son pantalon et lui caressait les fesses. Il tombait à genoux devant moi en ouvrant mon pantalon. Je … Bon là je laissais faire.
Quelques instants plus tard ma queue avait trouvé une place douillette et câline dans sa bouche, je la lui enfonçait jusque dans la gorge. Je n'avais pas vraiment eu le temps de lui tâter les couilles, il s'était accroupi avant que je ne puisse toucher à son sexe.
Mais il suçait bien, je le laissais faire il semblait en vouloir.
– On doit la sentir passer ! Me disait-il un peu admiratif.
Puis il y retournait, il reprenait ma queue dans la bouche. Sa langue la caressait mon gland avec légèreté, c'était tellement doux, je tremblais de plaisir. Je lui caressais les cheveux et sans prévenir, j'appuyais sur sa tête et ma queue très large, comme il l'avait fait remarqué s'enfonçait bien profond dans sa gorge.
Il avait du mal à l'avaler, je ne m'en inquiétait pas. Je prenais sa tête de mes deux mains et je le guidais. Il n'avait plus qu'à bien ouvrir la bouche, je faisais le reste. Je tirais sur sa tête, j'appuyais mon bassin bien à fond, je me retirais, je le repoussais. Bref, c'est moi qui faisais tout.
Je ne me limitais plus à une simple fellation, je le baisais comme il convient, sans rien lui épargner. Je le baisais par la bouche.
Le pauvre petit n'avait rien d'une mauviette, il savait se tenir et rapidement c'est lui qui me retenait contre lui quand je me retirais. Je reculais mon bassin il avançait son visage vers moi, il en voulait.
– Je vais t'enculer. Là je ne lui demandais pas son avis.
Je le prévenais, c'était déjà ça remarquez.
– Vas y doucement. Me demandait-il en remettant sa mâchoire en place. Elle est grosse, et on doit la sentir passer.
Sans rien dire je le retournait face à un cocotier, il s'appuyait, je lui baissais son pantalon et sans attendre je lui glissais deux doigts dans le cul, directement deux doigts. On n'avait pas de temps à perdre.
– Quand on l'a bien dans le cul, ça doit être bon mais vas y doucement, elle est grosse.
Je lubrifiais, il faut toujours avoir un tube de gel ou qu'on aille. Je me positionnais, là je le sentais se contracter, il tremblait le pauvre.
– Ne resserre pas les fesses ! Lui disais-je sur un ton ironique.
– Vas y douuuuuuu … Aaaah ! Là tu me fais mal.
Bon je veux bien reconnaître que j'y étais allé un peu fort, j'avais poussé et ma queue était entrée jusqu'à la moitié de sa longueur. Il râlait de douleur.
– Vas y doucement ! Insistait-il.
Là je poussais de nouveau, ma queue s'est entièrement enfoncée dans son cul, mon ventre s'est écrasé sur ses fesses. Je le sentais, il poussait une sorte de cris étouffé. Je ne m'arrêtais pas pour autant.
Avec sa main il tentait de me repousser mais je le tenais fort et je lui balançais des coups de bassin. Ma queue entrait bien à fond, elle lui dilatait l'anus et il gémissait. Un instant j'ai bien cru qu'il pleurait. J'aime pas entendre pleurer les mecs moi, ça aurait pu ma gâcher mon plaisir aussi je préférais ne plus écouter.
Bein oui il y a des fois ou je suis comme ça moi !
Je ne lâchais rien, il en prenait plein le cul. Je lubrifiais encore un petit coup et là ça glissait tout seul. Enfin quand je dis tout seul, il fallait pousser quand même. Il était étroit, sur ce point ça résistait et en plus il couinait. Bon c'est vrai que là je n'écoutais plus …
J'entrais et je sortais de son cul avec force, il résistais, je forçais. Il couinait, je n'écoutais pas. Il râlais, je n'entendais plus. Le bruit que faisait mon ventre quand il claquait sur mes fesses, ce bruit résonnait fort au travers de la serre, il marquait les coups que je donnais et que recevait le petit gars.
Il accompagnait le rythme de mes efforts par une plainte continue, un râle de plaisir. Ou je sais peut être pas que mais j'ai décidé de considérer que c'était du plaisir, moi ça me faisait plaisir donc …
Par moment je faisais une pause, il faut bien récupérer aussi … En plus je voulais faire durer, je sentais qu'il en voulait plus, donc pour faire durer il faut se retenir et pour ça il faut marquer une pause.
Je me retirais totalement, il était penché en avant, je le retenais, je le tenais même fermement par le poignet. Une main dans le dos et l'autre pour se retenir. Il s'appuyait je ne sais ou avec sa deuxième main et si il lâchait il tombait donc il n'avait pas vraiment le choix.
Il me parlait mais comme je vous ai dit, je n'écoutait plus ce qu'il disait. Je glissais mes doigts entre ses fesses. J'en enfonçais trois, il râlait. C'est quelque chose ça, même quand on ne l'écoute pas ce petit gars râlait tellement fort que j'entendais quand même.
Bon, donc c'est perdu dans mes pensées que je l'entendait, sans pour autant écouter, il hurlait au moment ou j'enfonçais de nouveau ma queue dans son cul.
J'ai fait comme au début, je me suis mis en position et j'ai poussé. J'ai poussé fort. Mon ventre s'est écrasé sur ses fesses et j'ai fermé mes oreilles.
Ensuite je l'ai limé de toutes mes forces, le plus vite possible. Il poussait une longue plainte qui durait dans le temps, je limais, il gémissait et je ne me calmais pas pour autant. Je le saisissais par les hanches et le tirais vers moi quand j'avançais mon bassin vers lui, ma queue lui défonçait le cul. Je le repoussait quand je reculais mon bassin.
Mais même là, il râlait quand même.
C'était un râleur, il fallait bien se rendre à l'évidence. Les derniers coups que je lui ai porté était particulièrement puissants, j'ai joui, j'ai éjaculé, et je me suis retiré, là il ne disait plus rien.
Je me doutais bien que depuis le début c'est ce qu'il voulait.
Je le serrais dans mes bras, en général à ce moment je redeviens câlin moi. Il ne râlait plus, il respirait fort. Il me regardait, un instant j'ai bien cru qu'il me regardait de travers mais c'était la faible lumière qui donnait cette impression. Je lui ai donné un baiser.
Ensuite on s'est essuyé, finalement tout s'était bien passé, il n'y avait pas eu de fuites qui auraient pu nous trahir. Quand on est revenu on s'est assuré l'un l'autre que nous étions parfaitement présentables.
Il avait l'air un peu retourné, je le suivais quand il entrait dans la salle de danse, il gardait une main sur son cul, un peu comme si …
Fin
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Il avait dit oui, elle avait dit oui, au moins ils étaient d'accord. Là je me disais … '' Pourvu que ça dure ! ''.
Les familles des mariés étaient là, enfin juste deux cent ou deux cent cinquante invités. La fête avait été organisée dans une très belle demeure de la renaissance , il y avait un parc très agréable en été, mais là on n'était pas en été. Il y avait une très belle salle de danse. On avait bien mangé et le bal suivait, il commençait à être un peu tard. Pas pour aller danser en boite mais pour sortir de table. Les enfants qui étaient présents montraient des signes de fatigue les pauvres. Ils disparaissaient, c'était prévu aussi, les parents allaient les coucher. Seuls les plus âgés restaient encore là quand la musique à commencé à se faire entendre.
Je traînais un moment au bar et je picolais. J'allais remuer un peu mon corps mais ce n'était pas un succès. Je sortais sur la terrasse, discutait avec une des demoiselles d'honneur, un des damoiseau d'honneur … ça se dit ça ' Damoiseau d'honneur ' ?
Enfin bref, il y en avait bien un qui était tout mignon, un petit jeune. Il était plus petit que moi mais avait un beau visage et une silhouette fine. Ce n'était pas un mariage gay mais on ne sait jamais. Je ne suis pas le seul à m'intéresser aux garçons, c'est vrai il y a aussi les filles. Mais ça c'est de la concurrence déloyale !
Je regardais tout le monde il me semblait bien qu'il y avait plus de monde qu'au repas, on me disait que les mariés avaient invité des amis moins proches pour le bal, c'est vrai qu'ils avaient fait ça bien. Il y avait une vrai sono professionnelle, un truc sérieux, et un vrai DJ, là aussi c'était un truc sérieux. J'en aurais bien fait mon quatre heure, enfin je veux dire mon désert.
Le petit jeune que j'avais remarqué passait et repassait, je ne sais pas ce qu'il cherchait, je ne sait pas s'il cherchait quelque chose d'ailleurs. Il regardait la piste de danse, il regardait … Non je me disais que c'était une impression, il ne regardait pas les mecs, c'est moi qui les regardais.
À plusieurs reprises je croisais son regard, à chaque fois il détournait les yeux comme s'il était pris en faute. Peut être que c'était moi qu'il regardait. Je sortais sur le balcon.
Il me suivait, il avait l'air plus jeune que moi, c'était sa taille qui me le disait. Mais ce n'était plus un enfant, non, il était juste tout petit, et tout mignon aussi.
Je décidais d'aller prendre l'air un moment sur la terrasse, il y avait une très belle terrasse, légèrement en contre bas il y avait le gazon et quelques marches pour passer de l'un à l'autre. La nuit était claire et encore douce, un peu fraîche mais c'était normal en cette saison.
Je me retournais le petit jeune était là, il m'avait suivi.
– Salut ! Lui disais-je.
Il me saluait de la tête, il avait l'air embarrassé, comme intimidé il me répondait par un '' Bonsoir. ''.
– Tu fais parti de la famille de la marié ou du marié ? Lui demandais-je.
– De la mariée et toi ?
– Aucune, je suis un ami du marié.
Suivait un silence.
Un silence lourd et pesant.
C'est ce moment que je remarquait une sorte de bâtisse toute en verre.
– C'est quoi ça ? Demandais-je.
– Je sais pas, on va voir.
C'était une serre, il y avait plein de plantes et la température était particulièrement douce. Il me suivais, la porte n'était pas fermée, j'entrais, il me suivait.
A l'intérieur c'était magnifique, il y avait des plantes partout, on se serait cru dans une jungle d'intérieur. J'avançais, je sentais sa main sur mon bras, je m'arrêtais, me retournais. J'ai l'impression qu'à ce moment il a tenté de m'embrasser mais comme il faisait presque une tête de moins que moi, c'était loupé. Il avait l'air confus et voulait se retirer. Là c'est moi qui le retenais, il s'arrêtait et là c'est moi qui tentais de l'embrasser.
C'était plus facile, je n'avais qu'à me pencher. Ses lèvres étaient douce, on sentait sa moustache naissante qui frottait contre la mienne. La sienne était douce, la mienne beaucoup moins.
Il me prenait dans ses bras en me rendant mon baiser. Sa main me caressait le dos, en premier les épaules puis les reins et il terminait par mes fesses. C'est à peu près à ce moment qu'on était pris d'une fièvre.
Il glissait une mais sous ma chemise, je glissait une main dans son pantalon, il ouvrait ma chemise, j'ouvrais son pantalon et lui caressait les fesses. Il tombait à genoux devant moi en ouvrant mon pantalon. Je … Bon là je laissais faire.
Quelques instants plus tard ma queue avait trouvé une place douillette et câline dans sa bouche, je la lui enfonçait jusque dans la gorge. Je n'avais pas vraiment eu le temps de lui tâter les couilles, il s'était accroupi avant que je ne puisse toucher à son sexe.
Mais il suçait bien, je le laissais faire il semblait en vouloir.
– On doit la sentir passer ! Me disait-il un peu admiratif.
Puis il y retournait, il reprenait ma queue dans la bouche. Sa langue la caressait mon gland avec légèreté, c'était tellement doux, je tremblais de plaisir. Je lui caressais les cheveux et sans prévenir, j'appuyais sur sa tête et ma queue très large, comme il l'avait fait remarqué s'enfonçait bien profond dans sa gorge.
Il avait du mal à l'avaler, je ne m'en inquiétait pas. Je prenais sa tête de mes deux mains et je le guidais. Il n'avait plus qu'à bien ouvrir la bouche, je faisais le reste. Je tirais sur sa tête, j'appuyais mon bassin bien à fond, je me retirais, je le repoussais. Bref, c'est moi qui faisais tout.
Je ne me limitais plus à une simple fellation, je le baisais comme il convient, sans rien lui épargner. Je le baisais par la bouche.
Le pauvre petit n'avait rien d'une mauviette, il savait se tenir et rapidement c'est lui qui me retenait contre lui quand je me retirais. Je reculais mon bassin il avançait son visage vers moi, il en voulait.
– Je vais t'enculer. Là je ne lui demandais pas son avis.
Je le prévenais, c'était déjà ça remarquez.
– Vas y doucement. Me demandait-il en remettant sa mâchoire en place. Elle est grosse, et on doit la sentir passer.
Sans rien dire je le retournait face à un cocotier, il s'appuyait, je lui baissais son pantalon et sans attendre je lui glissais deux doigts dans le cul, directement deux doigts. On n'avait pas de temps à perdre.
– Quand on l'a bien dans le cul, ça doit être bon mais vas y doucement, elle est grosse.
Je lubrifiais, il faut toujours avoir un tube de gel ou qu'on aille. Je me positionnais, là je le sentais se contracter, il tremblait le pauvre.
– Ne resserre pas les fesses ! Lui disais-je sur un ton ironique.
– Vas y douuuuuuu … Aaaah ! Là tu me fais mal.
Bon je veux bien reconnaître que j'y étais allé un peu fort, j'avais poussé et ma queue était entrée jusqu'à la moitié de sa longueur. Il râlait de douleur.
– Vas y doucement ! Insistait-il.
Là je poussais de nouveau, ma queue s'est entièrement enfoncée dans son cul, mon ventre s'est écrasé sur ses fesses. Je le sentais, il poussait une sorte de cris étouffé. Je ne m'arrêtais pas pour autant.
Avec sa main il tentait de me repousser mais je le tenais fort et je lui balançais des coups de bassin. Ma queue entrait bien à fond, elle lui dilatait l'anus et il gémissait. Un instant j'ai bien cru qu'il pleurait. J'aime pas entendre pleurer les mecs moi, ça aurait pu ma gâcher mon plaisir aussi je préférais ne plus écouter.
Bein oui il y a des fois ou je suis comme ça moi !
Je ne lâchais rien, il en prenait plein le cul. Je lubrifiais encore un petit coup et là ça glissait tout seul. Enfin quand je dis tout seul, il fallait pousser quand même. Il était étroit, sur ce point ça résistait et en plus il couinait. Bon c'est vrai que là je n'écoutais plus …
J'entrais et je sortais de son cul avec force, il résistais, je forçais. Il couinait, je n'écoutais pas. Il râlais, je n'entendais plus. Le bruit que faisait mon ventre quand il claquait sur mes fesses, ce bruit résonnait fort au travers de la serre, il marquait les coups que je donnais et que recevait le petit gars.
Il accompagnait le rythme de mes efforts par une plainte continue, un râle de plaisir. Ou je sais peut être pas que mais j'ai décidé de considérer que c'était du plaisir, moi ça me faisait plaisir donc …
Par moment je faisais une pause, il faut bien récupérer aussi … En plus je voulais faire durer, je sentais qu'il en voulait plus, donc pour faire durer il faut se retenir et pour ça il faut marquer une pause.
Je me retirais totalement, il était penché en avant, je le retenais, je le tenais même fermement par le poignet. Une main dans le dos et l'autre pour se retenir. Il s'appuyait je ne sais ou avec sa deuxième main et si il lâchait il tombait donc il n'avait pas vraiment le choix.
Il me parlait mais comme je vous ai dit, je n'écoutait plus ce qu'il disait. Je glissais mes doigts entre ses fesses. J'en enfonçais trois, il râlait. C'est quelque chose ça, même quand on ne l'écoute pas ce petit gars râlait tellement fort que j'entendais quand même.
Bon, donc c'est perdu dans mes pensées que je l'entendait, sans pour autant écouter, il hurlait au moment ou j'enfonçais de nouveau ma queue dans son cul.
J'ai fait comme au début, je me suis mis en position et j'ai poussé. J'ai poussé fort. Mon ventre s'est écrasé sur ses fesses et j'ai fermé mes oreilles.
Ensuite je l'ai limé de toutes mes forces, le plus vite possible. Il poussait une longue plainte qui durait dans le temps, je limais, il gémissait et je ne me calmais pas pour autant. Je le saisissais par les hanches et le tirais vers moi quand j'avançais mon bassin vers lui, ma queue lui défonçait le cul. Je le repoussait quand je reculais mon bassin.
Mais même là, il râlait quand même.
C'était un râleur, il fallait bien se rendre à l'évidence. Les derniers coups que je lui ai porté était particulièrement puissants, j'ai joui, j'ai éjaculé, et je me suis retiré, là il ne disait plus rien.
Je me doutais bien que depuis le début c'est ce qu'il voulait.
Je le serrais dans mes bras, en général à ce moment je redeviens câlin moi. Il ne râlait plus, il respirait fort. Il me regardait, un instant j'ai bien cru qu'il me regardait de travers mais c'était la faible lumière qui donnait cette impression. Je lui ai donné un baiser.
Ensuite on s'est essuyé, finalement tout s'était bien passé, il n'y avait pas eu de fuites qui auraient pu nous trahir. Quand on est revenu on s'est assuré l'un l'autre que nous étions parfaitement présentables.
Il avait l'air un peu retourné, je le suivais quand il entrait dans la salle de danse, il gardait une main sur son cul, un peu comme si …
Fin
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Que dire, mais c'est vrai que mes textes ne sont pas tous du même niveau de qualité ... Le prochain peut être .
Je n'aime pas cette histoire...c'est le détail d'un viol.je suis plutôt fan de tes écrits .mais pas celui là ...
Après la trente premières secondes de la fellation (d'abord consentie, j'admets), ça vire clairement au viol Ô.o