un black une japonnaise , deux extremes - histoire érotique

Émigrée japonaise après le terrible tsunami je suis vendeuse dans un fast- food d’une
petite ville balnéaire de l’atlantique, j’ai dix huit ans je me nome Kimiko, je
commence à bien maitriser le français
D’apparence fluette, l’aspect d’une gamine de quatorze ans je suis quand même ‘bien
roulée’ comme disent mes camarades de travail, autonome, je viens de passer mon permis
de conduire, du point de vue sexuel ? et bien c’est le désert ….pourtant ce n’est pas
faute d’être sollicitée, mon physique attire surtout les hommes âgés et ce n’est pas
ce que je souhaite, intérieurement je suis attirée par un grand noir qui vient souvent
déjeuner ou je bosse il me jette des œillades ou je lis l’envie, pourquoi un black ?
par l’attirance des extrêmes ? tout en lui me séduit : sa couleur de peau, sa grandeur
, les effluves de sa sueur, ses cheveux crépus avec des rastas et … surtout la légende
qui les poursuit ….dans mon pays les hommes sont plutôt petits en tous points ce qui
ne les empêchent pas d’être vicieux
C’est un vieux qui m’a dépucelée là-bas au pays, sans caresses aimables, malgré sa
verge fripée il m’a fait subir les pires outrages c’est pour cela que je n’ai pas
récidivé depuis, j’avoue que ça me manque maintenant, le soir dans mon lit je
m’imagine les cuisses écartelées par ce noir, il regarde avec curiosité ma petite
fente comme celle d’une tirelire avec autour de longs poils noirs et raides, je
regarde avec envie sa longue et épaisse verge, comment cela pourrait il me pénétrer ?
En quelques coups de doigts je m’envoie en l’air et m’endors bienheureuse
Cet après midi je vais a la plage encore tranquille en cette fin juin, je me balade en
maillot de bain le long des vagues quand soudain quelqu’un me hèle
- Bonjour ! vous ne travaillez pas aujourd’hui ?
Un instant stupéfaite je réalise que c’est ‘mon black’ mais il n’est pas seul un homme
de type européen l’accompagne …zut dommage, néanmoins je stoppe ma marche
- Ha ! bonjour, non je suis de repos
- Vous êtes ravissante en maillot de bain, je vous admire en cachette à votre
boulot
- Merci …
- Je vous présente Tom un très bon copain rassurez vous nous ne somment pas
ensemble !
- Chacun fait ce qui lui semble bon !
- Venez vous assoir un instant avec nous j’aimerai faire connaissance nous
somment des gentlemans rassurez vous
- Pourquoi pas ….
Assise en tailleur face aux deux hommes je me sens importante, derrière mes lunettes
de soleil j’en profite pour détailler leurs anatomies ….le ‘ blanc’ doit avoir la
trentaine, blond, bien carré … un maillot qui moule plutôt bien ses attributs… mais
mon noir …. Houahhhhh …… tout m’attire en lui, sa tignasse douteuse, ses lèvres
pulpeuses, son nez épaté, ses pectoraux qui bougent au moindre mouvement sous sa peau
luisante et ….. A coté de cette bosse son copain n’a rien dans le maillot ! Perdue
dans mes constatations ils me parlent mais je n’entends pas !
- Ouh -ouh ? tout va bien ?
- Excusez moi ça doit être la chaleur !
- Je vous disais que je m’appelle Marvin
- Moi c’est Kimiko
- Kimiko ? quel joli prénom, je ne vous demanderais pas votre âge ça ne ce fait
pas mais vous semblez très jeune …
- J’ai dix huit ans et vous ?
- Tom vingt cinq et moi vingt six
Depuis que je leur ai dit mon âge leur regard se fait plus insistant sur mes formes,
mes seins bien ronds ne sont qu’à moitié caché par les bonnets et de part ma position
ouverte mon maillot serré doit dessiner parfaitement ma vulve, un silence plane un
court instant
- J’adore vos yeux, vous avez un amoureux Kimiko ?
- Non et vous ?
- Non plus, deux célibataires endurcis ! si nous allions nous baigner ?
- je suis venue pour cela !
Pas une âme a plusieurs centaines de mètres, nous faisons les fous, les distances de
pudeur sont respectées mais les maillots ont gonflés, celui du noir laisse apparaitre
une énorme banane recourbée, soudain un gros rouleau me fait violement chuter, j’ai
bus la tasse en roulant dans le sable ! Deux bras vigoureux me relève, Marvin me
maintient de dos sur son ventre, je reprends lentement mes esprits ….un sein c’est
échappé de sa cage, mon slip est remplit de sable et j’ai un genou écorché, ses larges
mains glissent sur ma poitrine
- Ça va Kimiko ?
- Je suis un peu sonnée mais ça va
Tom face à nous reste les bras ballants, mon sauveur ne me lâche pas et je ne fais
rien pour me dégager tellement je suis bien entre ses bras, dans le bas de mes reins
la grosseur se manifeste par des à-coups, les doigts pétrissent mes seins je me laisse
aller sur son corps, Tom s’approche, me voilà cernée, minuscule entre deux géants, des
mains blanches se posent sur mes flancs avant de descendre vers le bas de mon maillot
pour en évacuer le sable , je ferme les yeux quand le tissu mouillé glisse sur mon
postérieur, Marvin fait passer mes seins par-dessus les bonnets , me voici
pratiquement nue, quatre mains me caresse, moi qui rêvais seulement de deux je suis
comblée et bizarrement pas offusquée
Tandis que Tom lave ma vulve en envoyant de l’eau sur mon pubis, Marvin m’embrasse
dans le cou pour me réconforter, ce qui attise mon excitation, une fois ma moule
rincée Tom cherche ma fente avec un doigt afin de s’assurer quelle est vierge … de
sable ! Aussitôt ma chatte devient fontaine
- Sa blessure au genou est superficielle, pas de sable dans la vulve mais qu’est
ce qu’elle est étroite …..par contre son clitoris est décapuchonné
- Nous ne devrions pas rester ici on peut nous voir
- Oui ne restons pas là
Je me suis demandée si c’est bien moi qui venais d’approuver cette proposition, ils
m’ont lâchée j’ai remonté mon maillot sur ma chatte détrempée et iodée, ils se
dirigent vers les dunes, je les suis sachant ce qui risque de m’arriver
- Voilà nous seront très bien ici nous allons étendre nos serviettes, assied toi
Kimiko
Je prends place au milieu, mes deux nouveaux amis assis de chaque cotés ne restent pas
inactifs longtemps, mon soutient gorge est dégrafé, de la main Tom appuis à peine sur
mon épaule je m’allonge posément offerte, quatre mains se partagent mes endroits
intimes, les grosses lèvres de Marvin se posent sur les miennes, Tom tire sur mon slip
je soulève les reins, ça y est je suis nue a leur merci
Mes jambes se relèvent a la verticale en formant un V très ouvert, une langue lisse
mes poils avant de séparer mes lèvres elle se fait pointue et s’enfonce en moi comme
une petite verge, mon noir tout en me faisant savourer sa langue lippue malaxe
patiemment mes seins il sait qu’il me baisera bientôt, il murmure a mon oreille
- J’ai envie de toi petite Kimiko mais j’ai peur de te faire mal
- Je n’ai pas peur, les femmes de mon pays sont dociles et courageuses, laisse
Tom lubrifier mon vagin avant que tu me prennes
- Vous voulez que je vous laisse ? je devine que tu as très envie de Marvin…
- Oui c’est vrai mais j’ai besoin de tes services, donne moi ta semence afin de
lubrifier mon vagin, baise moi Tom
- D’accord après je partirais
Marvin se met a genoux je me cale sur lui la tête tout prés de sa grosse verge
violette veinées, je la prends dans ma main quand l’homme blanc pointe sa queue vers
mon trou minuscule, je la regarde pénétrer lentement ma vulve, elle me fait un bien
immense, j’ai tellement envie de queue qui je suis dilatée comme après une heure de
préliminaires
- Je suis dans un véritable étau Marvin je vais décharger bien au fond, ce sera
moins dur pour toi ….
- Si ça force trop je n’insisterais pas
- Je veux que tu me l’enfonce le plus loin possible il y a trop longtemps que je
n’ai pas baisé ……oooooooohhhhhhh elle me fait du bien sa queue ….
- Lâche-toi joui petite geisha
- Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaooooooooooooooooooooooooouuuuuuuuuuuuhhhhhhhh, c’est
booooonnnn !!!!
- Ça y est je vais la graisser …… wwooooooooooouuuuuuuuuuhhhhhhhh
Un flot bouillant envahit mon ventre, Tom laisse sa queue dégonfler et sortir d’elle-
même, aussitôt je maintiens mon bas ventre le plus haut possible afin que mon vagin ne
perde pas tout le sperme emmagasiné
- Je vous quitte les amoureux, merci Kimiko
- Viens vite Marvin !!! tu me lécheras une autre fois
Il se place face a moi assis sur ses talons, la verge est impressionnante, le gland
presque rose par rapport au manche plus noir que son corps suinte de plaisir, il pose
mes fesses sur ses cuisses, mes bras par-dessous mes jambes pour les maintenir en
l’air, même une pute ne prend pas une telle position, mon amant frotte son pieu sur ma
fentine gluante, mes lèvres forment un accent circonflexe, une fois bien enduit il
présente son museau face a ma vulve en chaleur
- VA- Y- VA- Y- VA- Y !!!!!!!!!
- C’est monstrueux, je vais t’éclater la choune
- Ça va glisser mon amour défonce moi
Il se penche en avant ma chatte s’étire pour laisser pénétrer la chose, je ressens
chaque millimètre absorbé, un sentiment d’envahissement maximum mais pas de douleur,
le sperme précédemment déposé n’ayant plus sa place gicle par saccades
- Je sens le fond de ta moule ça va ?
- Pousse encore, POUSSE !!!!
- Je vais me retire pour mieux avancer ensuite
Quand il dégage sa queue il me semble que mes entrailles sortent de mon ventre, un
grand vide fait place
- Revient dans mon ventre vite !
Cette fois il prend appuis sur les mains, le redoutable bélier reprend place dans mon
être, des picotements excitent mes parois vaginales, mais est-ce encore un vagin ?
Quelques coups en avant quelques coups en arrière son sabre gagne du terrain
- Je n’irais pas plus loin sinon je vais te déchirer, tes lèvres sont prêtent a
saigner
- Je m’en fous, baise-moi vigoureusement, fait moi voir des étoiles, fait moi
hurler, fait moi pisser partout, je joooooouuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis je
jouis ! je jouis ! je jouis !!!!!!
Une délivrance incroyable accompagne mes cris il me semble que mon corps se vide de
tout son liquide, je verrais après être revenue a moi que j’ai aspergé mon amant sur
tout le ventre alors qu’il est encore fiché dans mon tube vaginal
- Ça va mieux ? tu m’as fait peur je n’ose plus me retirer
- Je vais merveilleusement bien, a part la moule en compote, retire toi
lentement avant que nous restions collés avec ton foutre qui sèche
- Tu ne veux plus continuer ?
- Houlàlà ! laisse ma moule se remettre, une autre fois avec plaisir, invite Tom
nous pourrons faire des figures !