Un bon coin
Récit érotique écrit par Robsilv [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-05-2014 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Un bon coin
Il y a quelque temps de cela, j'avais quelques objets à vendre, direction donc un célèbre site de petites annonces par région, annonce postée, et dans l'heure déjà un appel.
Rendez-vous pris pour le jour même, montant fixé à 80€.
La journée se passe, comme elle se passe d'habitude quand je suis seul à la maison, je fume des joints, je regarde des séries et des films, et je me branle en matant des vidéos pornos sur internet.
Vers 15 heures, on sonne. Je met ma vidéo en pause, et défoncé comme je le suis, j'oublie de switcher l'écran.
J'invite l'homme à la porte à rentrer afin qu'il puisse voir ce qu'il est venu acheter.
Il a une trentaine d'année, assez normal de visage, pas beau, mais pas moche non plus.
Lorsqu'il passe à coté de mon bureau, il ne peut pas ne pas voir le trio qui s'enfile sur mon écran, je suis un peu gêné, mais tant pis, hin, j'assume.
Il charge ses objets dans sa camionnette, puis reviens pour me donner l'argent.
Il cherche dans son portefeuille, s'interrompt, et me dit :
- on avait dit 80 c'est ça ?
Je réponds que oui
- d'accord pour 80, mais je te donne 110 si tu me suces.
Je suis vaguement interloqué, c'est la première fois qu'on me propose de l'argent comme ça.
Je prend quelques temps pour répondre, à la fois parce que ça m'amuse, et aussi parce que 30€ pour une pipe, ça fait un peu pute au rabais.
- pour 150 j'avale, je lui dis
Il réfléchit quelques secondes et me dit ok.
Il sort 150€ de son portefeuille et me les tends.
Avant de les prendre, j'ajoute :
A une condition toutefois, il faut qu'elle soit propre, tu peux te servir de ma salle de bain.
Il met l'argent dans ma main, la passe sur mon visage, et se dirige vers la salle de bain.
Il en ressort quelques minutes plus tard, son pantalon dans sa main.
Sa bite est normale, sans trop de poils, des couilles rondes et remplies.
Il reste debout, je m'approche de lui, et prends ses bourses dans mes mains, doucement je les caresse.
Il soupir de plaisir, je sens sa bite qui gonfle.
Je me met sur les genoux, et je le gobe en entier. Je reste sans bouger, la bouche remplie de cette bite qui commence à grossir de plus en plus.
J'aime ces moments, quand le sang afflue dans ce morceau de chair et qu'il gonfle par pulsion régulière, c'est aussi le seul moyen que je connaisse, pour faire une gorge profonde sans trop avoir envie de vomir, la laisser grandir dans ma bouche.
Il ne faut bien évidemment pas longtemps pour qu'il soit tout dur, je sens son gland au fond de ma gorge.
J'ai une botte secrète quand je suce, un petit plus qui les fait grimper au rideau, mes ongles. Pas trop longs ni trop courts, je m'en sers pour lui caresser les fesses, le haut des cuisses, derrière les genoux, tout en commençant les mouvements de va et vient avec ma tête.
Je sens aussi que ma propre bite qui enfle, je suis totalement excité par la situation.
A chaque fois que mes ongles le caresse il est prit de frisson et de légers tremblements qui ne font qu'accentuer le travail de ma bouche sur sa bite.
Lorsque mes ongles caressent doucement ses couilles, ses râles se font plus forts.
Je déploie mes talents, je fais tourner ma langue autour de cette bite, j'accentue la succion, je la relâche pour mieux recommencer.
Les contractions de son ventre et de son périnée m'indiquent qu'il ne va pas tarder. Je le regarde, il a la tête penchée en arrière, les yeux fermés, la bouche ouverte qui jouit de plus en plus.
Entre deux souffles/râles il me dit qu'il va jouir.
J’accélère doucement ma succion, je prend ses couilles dans mes mains pour les caresser. Mes lèvres se font plus fermes, ma bouche se resserre, je veux qu'il se sente un peu comme dans un cul.
Ses gémissements deviennent des cris, il pose ses mains sur ma tête et enfin jouit dans ma bouche en effectuant des mouvements de bassin.
Son sperme épais et chaud rempli ma bouche, j'en avale autant que je peux, mais il en sort encore et encore, il a un gout amère.
Une fois la dernière éjaculation avalée, je continue de le garder dans ma bouche en le suçant très doucement pour qu'il débande.
Je me relève et ouvre ma bouche pour lui montrer qu'il ne reste rien.
Il me remercie en me disant qu'on ne l'avait jamais sucé comme ça, qu'il dort sur la béquille depuis au moins 3 semaines, qu'il avait trop envie, et qu'il faudrait que je donne des cours à sa femme.
Je suis vaguement flatté, et je lui répond que c'est ma copine à moi qui m'a tout appris et qu'il faudrait qu'elle se parlent.
Il y a une sorte de désespoir hystérique dans son rire, et je comprend que cette petite pipe à 70€ ne sera jamais contée à sa femme.
La mienne en revanche aura tout les détails quand elle rentrera, on se fera même un bon resto avec ces 70€
L'homme dont je ne connais pas le prénom, me remercie et s'en va, comme il était venu.
Toute cette histoire à durée à peine 15 minutes, je file me brosser les dents, et je me branle furieusement et éjacule dans le lavabo en quelques secondes.
C'était la première fois que je suçais pour de l'argent, mais comme on dit, c'est l'occasion qui fait le larron.
Rendez-vous pris pour le jour même, montant fixé à 80€.
La journée se passe, comme elle se passe d'habitude quand je suis seul à la maison, je fume des joints, je regarde des séries et des films, et je me branle en matant des vidéos pornos sur internet.
Vers 15 heures, on sonne. Je met ma vidéo en pause, et défoncé comme je le suis, j'oublie de switcher l'écran.
J'invite l'homme à la porte à rentrer afin qu'il puisse voir ce qu'il est venu acheter.
Il a une trentaine d'année, assez normal de visage, pas beau, mais pas moche non plus.
Lorsqu'il passe à coté de mon bureau, il ne peut pas ne pas voir le trio qui s'enfile sur mon écran, je suis un peu gêné, mais tant pis, hin, j'assume.
Il charge ses objets dans sa camionnette, puis reviens pour me donner l'argent.
Il cherche dans son portefeuille, s'interrompt, et me dit :
- on avait dit 80 c'est ça ?
Je réponds que oui
- d'accord pour 80, mais je te donne 110 si tu me suces.
Je suis vaguement interloqué, c'est la première fois qu'on me propose de l'argent comme ça.
Je prend quelques temps pour répondre, à la fois parce que ça m'amuse, et aussi parce que 30€ pour une pipe, ça fait un peu pute au rabais.
- pour 150 j'avale, je lui dis
Il réfléchit quelques secondes et me dit ok.
Il sort 150€ de son portefeuille et me les tends.
Avant de les prendre, j'ajoute :
A une condition toutefois, il faut qu'elle soit propre, tu peux te servir de ma salle de bain.
Il met l'argent dans ma main, la passe sur mon visage, et se dirige vers la salle de bain.
Il en ressort quelques minutes plus tard, son pantalon dans sa main.
Sa bite est normale, sans trop de poils, des couilles rondes et remplies.
Il reste debout, je m'approche de lui, et prends ses bourses dans mes mains, doucement je les caresse.
Il soupir de plaisir, je sens sa bite qui gonfle.
Je me met sur les genoux, et je le gobe en entier. Je reste sans bouger, la bouche remplie de cette bite qui commence à grossir de plus en plus.
J'aime ces moments, quand le sang afflue dans ce morceau de chair et qu'il gonfle par pulsion régulière, c'est aussi le seul moyen que je connaisse, pour faire une gorge profonde sans trop avoir envie de vomir, la laisser grandir dans ma bouche.
Il ne faut bien évidemment pas longtemps pour qu'il soit tout dur, je sens son gland au fond de ma gorge.
J'ai une botte secrète quand je suce, un petit plus qui les fait grimper au rideau, mes ongles. Pas trop longs ni trop courts, je m'en sers pour lui caresser les fesses, le haut des cuisses, derrière les genoux, tout en commençant les mouvements de va et vient avec ma tête.
Je sens aussi que ma propre bite qui enfle, je suis totalement excité par la situation.
A chaque fois que mes ongles le caresse il est prit de frisson et de légers tremblements qui ne font qu'accentuer le travail de ma bouche sur sa bite.
Lorsque mes ongles caressent doucement ses couilles, ses râles se font plus forts.
Je déploie mes talents, je fais tourner ma langue autour de cette bite, j'accentue la succion, je la relâche pour mieux recommencer.
Les contractions de son ventre et de son périnée m'indiquent qu'il ne va pas tarder. Je le regarde, il a la tête penchée en arrière, les yeux fermés, la bouche ouverte qui jouit de plus en plus.
Entre deux souffles/râles il me dit qu'il va jouir.
J’accélère doucement ma succion, je prend ses couilles dans mes mains pour les caresser. Mes lèvres se font plus fermes, ma bouche se resserre, je veux qu'il se sente un peu comme dans un cul.
Ses gémissements deviennent des cris, il pose ses mains sur ma tête et enfin jouit dans ma bouche en effectuant des mouvements de bassin.
Son sperme épais et chaud rempli ma bouche, j'en avale autant que je peux, mais il en sort encore et encore, il a un gout amère.
Une fois la dernière éjaculation avalée, je continue de le garder dans ma bouche en le suçant très doucement pour qu'il débande.
Je me relève et ouvre ma bouche pour lui montrer qu'il ne reste rien.
Il me remercie en me disant qu'on ne l'avait jamais sucé comme ça, qu'il dort sur la béquille depuis au moins 3 semaines, qu'il avait trop envie, et qu'il faudrait que je donne des cours à sa femme.
Je suis vaguement flatté, et je lui répond que c'est ma copine à moi qui m'a tout appris et qu'il faudrait qu'elle se parlent.
Il y a une sorte de désespoir hystérique dans son rire, et je comprend que cette petite pipe à 70€ ne sera jamais contée à sa femme.
La mienne en revanche aura tout les détails quand elle rentrera, on se fera même un bon resto avec ces 70€
L'homme dont je ne connais pas le prénom, me remercie et s'en va, comme il était venu.
Toute cette histoire à durée à peine 15 minutes, je file me brosser les dents, et je me branle furieusement et éjacule dans le lavabo en quelques secondes.
C'était la première fois que je suçais pour de l'argent, mais comme on dit, c'est l'occasion qui fait le larron.
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