UN BON COPAIN - L’initiation de Béatrice 06

- Par l'auteur HDS VIEULOU -
Récit érotique écrit par VIEULOU [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : UN BON COPAIN - L’initiation de Béatrice 06 Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-06-2014 dans la catégorie Dans la zone rouge
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UN BON COPAIN - L’initiation de Béatrice 06
UN BON COPAIN - L’initiation de Béatrice 06

Alors que je vais sur mes vingt-deux ans, je drague Béatrice une gamine dix-huit ans, me promettant bien de la déniaiser en l’emmenant batifoler à minuit sur les pelouses du bois de Boulogne. Après bien des difficultés, Béatrice me laisse lui prendre sa virginité et se révèle une jeune cavale bien prometteuse. Dans une auberge en bord de Seine près de Villeneuve-Saint-Georges, je l’initie à la fellation et je dépucèle son petit cul. Puis, au retour, je la persuade de masturber un voyeur dans la forêt où nous faisons l’amour.


Je retrouve Béatrice le soir même et je la prépare à accepter les amours multiples. Il est vrai que nous avons commencé avec le voyeur de la forêt de Fontainebleau lorsqu’elle a accepté ses attouchements sur ses seins et de le masturber jusqu’à l’éjaculation complète. Mais il va falloir à présent aller plus loin avec un autre homme en attendant que ma chère Cécile puisse l’initier aux joies du saphisme. Béatrice est étonnante, en une dizaine de semaines, elle est passée de l’état de pure innocence à la condition d’une parfaite salope, acceptant tout ce que je lui propose. Elle avale sans vergogne mon sperme et ne s’est pas dérobée lorsque je l’ai sodomisée pour la première fois. Elle se montre très amoureuse il est vrai, toujours prête à faire l’amour à n’importe quel moment et n’importe où. J’ai même réussi à la persuader de ne plus porter de culotte ni de soutien-gorge. Je peux la trousser à tout moment, même en public, glissant mes mains sous sa jupe et la masturbant jusqu’à ce qu’elle crie grâce. Les regards désapprobateurs ne l’empêchent pas de m’embrasser à bouche que veux-tu alors que je pelote ses seins. Elle est toute à moi, se montrant une vraie tigresse lorsqu’une fille me regarde avec un peu trop d’insistance. Pourtant, il va falloir qu’elle accepte de faire l’amour avec d’autres hommes pour que je puisse respirer et sauter d’autres filles en sa présence.

Je pense à mon ami Bernard qui m’a bien rendu service avec des photos compromettantes d’une mature que je convoitais depuis longtemps (voir la Présidente), aussi, je lui propose de lui offrir ma conquête du moment dans une partie à trois. Celui-ci a les yeux brillants lorsque je lui explique que ma « fiancée » n’est pas au courant, mais que je me fais fort de lui faire accepter de lui faire une fellation, et même de se faire baiser et enculer par nous deux.

Bernard, possesseur d’une carte de presse, a beaucoup de contacts dans différents milieux et profite largement d’avantages liés à sa profession. Il me propose, lors d’un prochain week-end, de profiter d’une suite dans un hôtel classé qu’une de ses relations met à sa disposition lorsqu’il en a besoin. Je saute sur l’occasion et emmène ainsi ma chérie dans cet hôtel de charme sous le prétexte d’un week-end coquin, lui promettant des surprises agréables.

Lorsque nous prenons possession de la suite que Bernard a pu nous procurer gracieusement, Béatrice s’extasie devant le luxe dont nous allons profiter. Elle veut tout de suite faire l’amour sur le lit à baldaquin aux draps de satin qui trône au milieu d’une chambre immense. Mais je veux d’abord l’emmener dîner dans les jardins de l’hôtel où nous apprécions les mets délicieux qui nous son servis avec du champagne tout au long du repas. Lorsque nous remontons dans notre suite, Béatrice est un peu pompette. Je lui propose un jeu, lui demandant de se soumettre à toutes les fantaisies que je veux lui offrir pour cette nuit de folie. Elle accepte, bien entendu, et se laisse bander les yeux avec un foulard. Ensuite, je lui attache ses poignets aux barreaux du lit à baldaquin, mais de façon un peu lâche afin qu’elle puisse s’asseoir ou s’allonger à sa convenance. Je lui ai laissé sa robe en soie sous laquelle elle est nue, trouvant qu’il est plus érotique de la trousser et surtout de faire découvrir à mon ami Bernard les trésors de ma bien-aimée. Je lui dis que je vais commander une bouteille de champagne et la laisse dans la chambre pour ouvrir depuis le salon la porte à mon complice qui attendait avec un plateau, deux bouteilles de champagne et trois coupes. Il entre silencieusement et ouvrant une bouteille, nous nous servons du champagne et j’apporte une coupe à Béatrice et je la fais boire devant mon ami qui dévore des yeux la jeune fille dont il espère pouvoir profiter avant peu. Je sors les plantureux appas du décolleté de ma belle, agaçant d’un ongle le bourgeon érectile d’un de ses tétons. Béatrice gémit sous la caresse et je fais signe à Bernard de venir me remplacer. Celui-ci s’approche timidement, puis il masse les deux globes de la paume de ses mains, prenant bientôt entre ses lèvres un tétin, le pinçant et arrachant un gémissement de Béatrice qui se tortille et relève ses cuisses, découvrant sa chatte dénudée au regard de Bernard qui n’en croit pas ses yeux. Voyant que seule sa bouche est occupée, je retrousse la robe, laissant une main frôler la vulve qui tressaille sous l’attouchement. Béatrice écarte ses cuisses offrant à notre regard les grandes lèvres qui s’ouvrent et se ferment, attendant de toute évidence une caresse ou mieux. Mais je veux d’abord profiter et offrir à mon ami les lèvres et la bouche de ma chérie. Je me déshabille et fais signe à Bernard d’en faire autant. Celui-ci est bien bâti et possède une verge d’une taille convenable, un peu plus importante que la mienne. J’espère que dans un premier temps Béatrice ne fera pas de différence, car je ne veux pas qu’elle se rende compte tout de suite que nous sommes deux. Me disposant debout au-dessus d’elle, je plonge ma bite entre ses lèvres qu’elle avale sans rechigner, me pompant comme elle sait si bien le faire. Au bout d’un moment, je me retire et lui fais boire du Champagne, en lui demandant d’en garder dans sa bouche. Puis je fais signe à Bernard d’enfourner sa queue dans la bouche gonflée par le liquide. Béatrice ne se rend pas compte qu’elle absorbe le vit d’un inconnu et pompe avec détermination le membre gonflé qui s’enfonce jusqu’au fond de sa gorge. Je fais signe à Bernard de se dégager, puis j’allonge notre proie sur le dos et je fais signe à Bernard de brouter le vagin de Béatrice. Il engage sa tête entre les cuisses largement ouvertes et gougnotte la chatte baveuse de ma belle qui se laisse aller en des gémissements qui ne peuvent tromper. Je regarde avec délices ma dulcinée se prêter avec complaisance et sans le savoir à mes agissements libidineux. Mais il est temps de la faire prendre par mon ami. Je lui tape sur l’épaule et lui souffle dans l’oreille.

- Vas-y ! Baise-la ! Fourre-lui ta queue bien profonde. Elle adore !

Bernard ne se fait pas prier et prenant Béatrice de ses deux bras sous les fesses, il enfourne son vit dans le conin de ma belle qui frétille d’impatience. Elle pousse un cri lorsque l’engin vient bien à fond, buter contre son utérus, mais elle se met bientôt au diapason de son baiseur, accompagnant de son bassin le va-et-vient furieux de la verge qui la pourfend. À ce moment, je lui pousse mon pénis dans sa bouche grande ouverte et l’enfonce au fond de sa gorge. D’abord surprise, elle me pompe le vit comme elle le fait d’habitude, mais elle comprend aussi que deux hommes sont en elle et elle recrache mon vit en criant sa colère.

- Salauds ! Michel qui est avec toi ? Oh Mon Dieu que me faites-vous ? C’est affreux ! J’ai honte ! Que me fais-tu faire ?

À ce moment, je lui dénoue le foulard qui entoure ses yeux et elle me voit au-dessus d’elle, tandis que Bernard la tenant sous les fesses est encore complètement enfoui en elle. Elle écarquille les yeux devant cette scène pour elle irréelle. C’est alors que je finis de l’affoler.

- Mais ma Chérie, tu viens de prendre largement ton pied. Bernard, après que tu l’as sucé divinement, t’as dévoré ton minou et tu ne peux pas dire que tu n’as pas aimé ça. Tu ne peux nier non plus que depuis le temps qu’il te baise, tu cries ta joie à te faire pilonner par sa queue. Laisse-nous t’aimer à deux ma Chérie. Bernard est mon meilleur camarade et c’est lui qui nous a offert ce week-end dans ce palace, alors sois gentille et profites de deux hommes qui vont t’aimer durant deux jours.

M’interrompant, je m’empare de sa bouche et l’embrasse tendrement. Béatrice laisse des larmes s’écouler de ses jolis yeux, mais elle répond à mon baiser pendant que Bernard reprend ses va-et-vient. Ma belle me regarde avec tendresse et affolement mélangé, mais elle laisse bientôt son corps réagir et répond avec fougue aux coups de boutoir de son baiseur. Je lui triture avec mes doigts ses tétons pour l’affoler encore plus, tout en l’embrassant profondément, mordillant ses lèvres jusqu’à ce que son orgasme se déclenche, lui faisant hurler sa jouissance.

- Oh ! Oui ! Continuez mes chéris ! Vous êtes des salauds ! Vous abusez de moi ! Mais c’est bon ! Ouuuuiiiiiiiiiii......... Oh ! Quel bonheur ! Oh ! Oui ! Aaaaaaaaaaahhhh !

Pendant que Béatrice prend son pied, Bernard, se retire et éjacule sur le ventre et les seins de la fille qu’il vient de baiser. Je détache les poignets de ma belle et nous l’installons entre nous deux, lui embrassant les lèvres et les seins à tour de rôle. Elle se laisse faire, n’osant pas nous regarder, ayant de toute évidence honte de s’être laissée aller à crier son bonheur. Mais elle se laisse tout de même embrasser par Bernard, répondant même à ses baisers en mélangeant sa langue à la sienne. Elle va même jusqu’à prendre sa verge entre ses doigts pour la tâter et la masturber. Je regarde cela avec une pointe de jalousie, mais aussi avec une grande perversité, songeant à tout ce que je vais pouvoir faire faire à ma dulcinée. Comme je me sens désœuvré, je me glisse entre les cuisses de ma bien-aimée et je contemple avec ravissement la chatte bordée de ses poils frisés noir de jais. Ceux-ci ourlent joliment les lèvres charnues à la chair brune qui s’ouvre sporadiquement sur la chair rose orangée du vagin. J’aperçois ainsi l’antre mystérieux d’un rouge sombre dans lequel je glisse deux doigts, écartant ainsi ses chairs intimes. Je glisse un doigt de mon autre main vers la rosette de l’anus qui se rétracte fortement lorsque j’appuie fermement sur le plissement du trou du cul. Pourtant, je n’hésite pas une seconde à perforer de mon doigt le sphincter qui enserre mon doigt qui pénètre dans le rectum. Écartant toujours les grandes lèvres de mon autre main, je vois bien le doigt qui écarte la paroi séparant le rectum du vagin. Il faut tout de même qu’elle soit à la fois élastique et fiable pour résister à la pénétration simultanée de deux verges de fort calibre ou même de deux mains ou plus lors de séances de fists corsés. J’avoue que je rêve d’une double pénétration et je pense que cette nuit ma tendre oie blanche va passer à la casserole. D’ailleurs pour la préparer, je la dispose afin qu’elle soit à genoux et qu’elle puisse ainsi faire une fellation à Bernard. Pendant ce temps, je la prends en levrette dans son vagin pour bien humidifier ma queue, ensuite, je présente mon dard devant son anus et m’introduis d’un seul jet dans le rectum qui a pris l’habitude depuis plus d’un mois d’être sodomisé. Béatrice adore être prise ainsi, presque depuis le premier jour où j’ai dépucelé son cul. Je crois qu’elle éprouve encore plus de plaisir de se savoir enculée que baisée dans son vagin.

Son attirance pour la soumission est certainement le moteur qui l’anime, elle m’a demandée plusieurs fois de la fouetter à nouveau avec des orties et je l’ai même initiée à recevoir de la cire chaude en provenance de bougies allumées sur ses seins et sur son pubis ainsi qu’à l’intérieur de son vagin. Lors de ces séances, elle s’étend sur une table et ne veut pas être attachée. Elle écarte d’elle-même ses jambes et ses cuisses et me demande de mettre un coussin sous ses fesses. Ainsi disposée, elle écarte avec ses doigts son vagin, se masturbant pour mouiller le plus possible, puis elle m’invite à lui faire couler la cire brûlante sur son corps. Je commence par ses seins en prenant deux bougies que je tiens d’abord à un bon mètre de sa poitrine, laissant les gouttes chaudes frapper les mamelons et quelquefois atteignant les tétons. Puis je descends progressivement jusqu’à n’être qu’à quelques centimètres de la chair tendre qui reçoit la cire brûlante, quelquefois encore enflammée et qui recouvre bientôt entièrement chaque mamelon. Béatrice supporte stoïquement cette douce torture. Il est vrai que la cire chaude refroidit aussitôt et qu’aucune trace de brûlure ne subsiste après la séance. Ensuite, je reprends deux autres bougies et je les fais s’écouler sur son ventre jusqu’au pubis. Puis je fais le tour des grandes lèvres que Béatrice tient écartées avec ses mains. Je laisse couler la cire sur le clitoris, le recouvrant entièrement. Béatrice pousse de petits gémissements à ces moments douloureux, mais, d’un regard, elle me fait signe de continuer. Alors approchant une bougie au plus près du vagin grand ouvert, je laisse couler la cire à l’intérieur des chairs humides de la cyprine produite par l’excitation. La cire coule au plus profond de la cavité utérine faisant faire des soubresauts à Béatrice qui me crie enfin d’arrêter. Je retire toute la cire séchée des mamelons et du ventre, puis j’écarte le plus possible les grandes lèvres et entre toute ma main dans la gaine vaginale afin de racler avec mes doigts la cire refroidie. Je crois que Béatrice prend un grand plaisir à ce que ma main qui la fiste, lui occasionne en même temps de la douleur et des orgasmes qui se multiplient à chaque fois.

Mais pour l’instant, je l’encule proprement, allant au plus profond de son rectum et la fessant en même temps. Elle remue son cul à la cadence de mes va-et-vient, mais soudain, je la bascule vers moi et me mets sur le dos. Elle se prête au jeu et prenant appui sur ses avant-bras, elle maintient la cadence. Je fais un clin d’œil à Bernard et comme nous nous en étions convenus, il vient se mettre à califourchon sur Béatrice et tout en l’embrassant pour détourner son attention, il introduit son vit d’une main dans le vagin entrouvert. Aussitôt que Béatrice sent le mandrin s’introduire dans sa gaine vaginale, elle proteste en essayant de se dégager.

- Non ! Arrêtez ! Vous êtes fou ! Ce n’est pas possible, vous allez m’éventrer !

Mais je la maintiens fermement contre moi de mes deux bras et Bernard a réussi à engager sa queue qui vient buter contre la mienne. Je la sens qui palpite comme si aucune membrane ne nous séparait. C’est une sensation extraordinaire. Pendant ce temps, Béatrice vocifère contre les deux hommes qui abusent d’elle.

- Arrêtez !…. Nooooon..... Arrêtez ! Sanglote-t-elle, - vous aller me fendre en deux... Pitié... Noon..... Vous me déchirez... Je vous en supplie arrêteeeeeez ! Ahhhhrrrrrrrrrrr......

Mais il est trop tard, nous la baisons et l’enculons en cadence ; l’un sortant pendant que l’autre s’enfonce au plus profond, soit du rectum, soit du vagin. À certains moments, nous arrivons même à entrer tous les deux en même temps, nous masturbant nos bites à travers la fine cloison qui sépare les deux conduits. Béatrice ne pleure plus ni ne proteste depuis un moment. Elle nous accompagne même avec tout son corps qui s’emboîte profondément entre les deux nôtres. Nous sentons qu’elle prend son plaisir en même temps que nous et bientôt, elle se lâche.

- Oh ! Mes Amours ! Je vous aime ! Continuez ! Encore ! Encore Oh ! Oui ! Je jouis ! Je jouis ! Oui ! Oui ! Oui ! Ooooh ! Oh !.......... Mhhhh.... Oh !........... Encoorrrr !... Je jouis ! Oui ! Oh ! Je… Je…….. jouuuuuiiiiiiiiiiiiiiii........ Aaaaaaaaaaahhhh !

Cette fois, je sens que nous sommes au nirvana avec cette donzelle. Je sens ma semence qui circule dans l’urètre et, presque en même temps que Bernard qui a pris de l’avance, nous lâchons notre sperme dans les deux conduits. Nous restons tous les trois étroitement enlacés pendant presque vingt minutes, réticents à nous séparer après cette folle chevauchée qui nous a donné un plaisir exceptionnel. Nous faisons des petits bisous à Béatrice qui se laisse faire dans un état second. C’est avec stupéfaction que nous sentons nos sexes se regonfler à l’intérieur du corps pantelant de notre proie. Celle-ci se rend compte que nous allons encore la baiser et l’enculer. Nous nous attendons à ce qu’elle proteste, pourtant, c’est d’une toute petite voix qu’elle nous demande.

- Michel, je sens que vous allez encore me prendre tous les deux, mais si tu veux bien, je voudrais t’avoir par-devant et Bernard pourrait venir dans mon derrière. Tu veux bien mon Chéri ?

Je manque éclater de rire à cette demande aussi puérile de ma dulcinée. Mais aussitôt nous retournons Béatrice qui vient se mettre sur moi par-devant, elle s’introduit elle-même ma pine dans sa chatte, alors que Bernard s’apprête à l’enculer en ouvrant ses fesses. Nous voilà donc repartis pour un tour de manège. Enculant et baisant à qui mieux mieux la belle brune qui a repris de la vigueur et qui mélange sa langue à la mienne pendant que ma queue ramone sa gaine vaginale et que Bernard lui défonce son troufignon. Nos queues encore une fois se frottent l’une contre l’autre, accentuant les sensations que nous éprouvons avec notre femelle. Nous ne sommes pourtant ni l’un ni l’autre homosexuel, mais nous éprouvons du plaisir à nous toucher par rectum et vagin interposés. Lorsque bien plus tard, nous arrivons au terme de notre chevauchée, ayant bien du mal cette fois à éjaculer, nous nous écroulons tous les trois, épuisés et nous endormons instantanément. Lorsque deux heures plus tard, nous nous réveillons, nous décidons de prendre un bain ensemble, pour nous laver et nous détendre. La salle de bains est immense et nous tenons à l’aise tous les trois dans la baignoire digne d’une piscine. En riant, nous nous savonnons mutuellement, nos doigts se mélangeant sur et dans nos sexes. Je savonne le sexe de Bernard qui en fait autant sur le mien. Nous découvrons avec curiosité et plaisir le sexe d’un autre homme qui ne tarde pas à entrer en érection. Sans aucune gêne, nous nous laissons masturber l’un par l’autre devant Béatrice qui nous regarde, tout de même un peu étonnée. Chacun agit avec la plus grande douceur et avec fermeté à la fois et nous regardons dans l’eau transparente nos verges qui deviennent, de plus en plus rigides. Nous n’avons aucune envie d’interrompre cette masturbation magistrale, aussi, c’est jusqu’à l’éjaculation que nous laissons nos doigts masturber l’autre. Béatrice se penche devant nos deux queues réunies pour absorber le liquide séminal qui s’en écoule. Elle prend les deux verges dans sa bouche, nous donnant encore des sensations inconnues et les suce jusqu’à la dernière goutte. Je me promets que s’il y a une prochaine fois, je prendrai la verge de Bernard dans ma bouche pour y goûter.

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