Un bon début de croisière

- Par l'auteur HDS Simorgh -
Récit érotique écrit par Simorgh [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Un bon début de croisière Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-10-2005 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Un bon début de croisière
<p>Les gros nichons de Josy, aux pointes turgescentes, montaient et descendaient au rythme des coups de la grosse bite qu’elle s’enfonçait profondément dans la chatte…A genoux sur le lit, elle regardait le queutard qui, sous elle, envoyait son bassin à la rencontre de sa motte coulante.

Draguée au sortir du restau de ce bateau de croisière, le tour dans la boite de nuit n’avait été que le prétexte à vérifier, en dansant, que la bosse du pantalon de ce garçon de service était faite de chair dure et chaude. Deux danses plus tard, Josy avait suggéré à cet homme brun et viril, qu’un petit tour dans sa cabine aurait l’avantage de leur permettre de faire plus ample connaissance.
La lune éclairait la cabine par la large ouverture vitrée. A peine rentrés et la porte refermée, le marin l’avait attrapée par derrière, mettant immédiatement ses mains sur ses gros seins aux pointes dardées en passant sous le chemisier qu’il avait sorti de la jupe. Il entreprit un malaxage en règle, pétrissant et enfonçant les doigts dans les masses de chair. Jo ne se sentait plus de joie. Elle envoyait des coups de rein en arrière pour sentir la grosseur virile qui, tout à l’heure, viendrait lui défoncer la chatte…ses doigts fiévreux défaisaient les boutons de sa jupe pour la laisser tomber au sol de la cabine, pendant que le marin continuait son malaxage d’une main, l’autre soulevant le soutien-gorge pour libérer les globes d’une sensibilité inouïe.
Jo aimait ses nibards maintenant. Avant, plus jeune, elle avait fait des complexes avec son 90 D, puis, son mari lui avait libéré l’esprit dans ce domaine, en lui démontrant que des gros nibards faisaient des gros orgasmes, quand on se laissait aller en se les faisant tripoter de toutes les manières, en se les faisant sucer, mordre, aspirer...en s’en servant pour passer une bonne grosse queue au milieu…et que, plus les seins avaient été travaillés, plus la bite était grosse et plus elle jouissait.
Elle en était devenue salope et exhib grâce à lui, grâce à son salaud de mari, qui lui avait fait découvrir les joies de la fourette salace, du triolisme avec soit elle et son mari, plus un copain, soit elle, une amie et son mari…
Pendant ces séances de baise elle se faisait mettre dans toutes les positions quand il y avait deux mecs pour elle, et jouissait en continu en se sentant possédée sans discontinuer des soirées entières. Toujours sollicités, ses nibards avaient pris des pointes énormes, qui se voyaient en permanence et attiraient les males comme du miel.

Pour l’instant elle se laissait aller à la houle qui l’envahissait. Ses nichons totalement libérés, le marin avait entrepris une caresse longue et lente d’une main, pendant que l’autre avait glissé vers son string pour y rentrer en écartant l’élastique…le sexe contre sa croupe avait encore prit du volume.
Un doigt inquisiteur avait écarté la fente de la motte bombée pour ensuite s’enfoncer doucement en glissant, puis la main entière avait empaumé la chatte renflée, entamant un pétrissage digne d’un mitron. Les pressions sur ses chairs excitaient son clitoris qu’elle sentait devenir dur et gros.
Envoyant ses mains derrière elle, Josy se mit à défaire la ceinture du pantalon du marin qui la fit se retourner vers lui, à l’instant où le vêtement tombait au sol. Dépassant du mini slip un gland énorme et violacé suintait doucement. Les mains de Jo s’en saisirent avec avidité, pour le dégager totalement et commencer à le branler avec lenteur, faisant coulisser la peau le long de la verge. Ce membre était fortement veiné et de dimensions impressionnantes…De grosses veines couraient dessus et le gland trigonocéphale vibrait doucement sous ses doigts. La bouche sèche, Jo se mit à genoux pour engouffrer la belle pine et commencer un pompage en règle, pendant que le marin continuait, en se courbant, à lui palucher les seins, tordant les pointes qui, maintenant, étaient devenues dures et jouisseuses.
Les lèvres gonflées et les joues creuses elle regardait sur le visage du type la montée du plaisir…elle suçait pour faire venir encore plus de sang dans cette bite fabuleuse…elle allait le vider celui là, lui faire comprendre comment une femme de 45 ans pouvait être la meilleure des suceuses, la meilleure des salopes, la meilleure des baiseuses. Sa bouche était distendue par le pieu de chair qui était devenu énorme. Jo sentait le gros gland vibrer préparant la salve de foutre qui allait lui inonder la gorge. Elle se mit à pomper encore plus vite, donnant des coups de langue précis et nerveux.
Soudain elle sentit les mains du type se crisper sur ses pointes en tirant dessus et sa gorge se mettre à recevoir une très forte giclée de sperme. Elle faillit s’étouffer tant il était abondant et elle sentit l’excès ressortir de sa bouche pour venir couler sur son menton. Ramassant cette sorte de crème elle se tapissa les seins avec, mesurant au passage la taille obscène des pointes de ses nibards.
Sans relâcher sa suçion elle se remit à pomper la bite du marin, pour le faire revenir dans une forme qui lui permettrait de se faire prendre par cet engin fabuleux. Elle s’y remit avec science, enroulant sa langue autour du gland, faisant descendre ses lèvres le long de la verge noueuse…pinçant les testicules avec ses ongles, engoulant bien à fond toute la longueur de cette bite qui venait au fond de sa gorge lui couper l’air. Elle reprenait son souffle et plongeait de nouveau sur cette bête à faire jouir. Quel pieu de salaud !!! Elle en voulait de cette grosse pine, elle en voulait au fond de son ventre et dit au mâle qui devenait de plus en plus nerveux :
- Vas yyy yyy yyy yyy y, main…te…nant, baise moi avec ta gro…oooo…oooosse queue, fais moi jouir en bo…ooo…nne salope que je suis !!!
Le type ne se le fit pas dire deux fois et, poussant Jo sur la couchette, il la mit sur le dos pour relever ses jambes et dégager l’entrée de sa chatte en feu. Il se mit à genoux sur la moquette et n’eut qu’à donner un coup rein pour s’enfoncer dans la fente trempée de la bourge en rut, qui se donnait comme la dernière des putes, vêtue de son seul chemisier, dépoitraillée, avec ses bas Dim et ses hauts talons, ce qui créait un spectacle des plus salauds, proche de la pornographie la plus salace. La grosse pine s’enfonça d’une seule poussée, arrachant un cri de gorge à la superbe femelle, qui se mit tout de suite à gémir et à crier :
- Ouiiiiiiiiiiiiiii, saa…aaa…aa…laud, tu me fais du…u…u bien…, ouiiiiiiiiii, en…en…en…en…core, plus fort, plus au fond, aaaaaaah ta gro…oo…oo…osse biii…ii…ii…iite me faii…iii…it du…u…u bien… !

Elle aimait ce moment où elle sentait son ventre possédé, envahi par une queue, anticipant la jouissance qu’elle allait en tirer, salivant d’avance au bonheur qu’elle allait se faire donner en se faisant défoncer.
La bite ressortait et rentrait, encore et toujours, dans un mouvement lent et puissant…les mains du marin lui avaient attrapé les hanches pour bien la maintenir pendant la pénétration et, dans la pénombre de la cabine, elle voyait ses yeux exorbités qui mataient le spectacle, parfaitement lubrique, qu’elle donnait avec ses gros nibards et ses cuisses remontées, au centre desquelles un gros piston de chair allait et venait.
Bien prise elle se mit à se pogner les seins pour augmenter son plaisir, caressant les masses et tirant sur ses pointes pour accentuer sa jouissance…elle se sentait bien, salope, pute, pleine de cette queue qui lui ramonait le ventre, pleine de cette bite qui la faisait couler, remplie par ce membre qui, bientôt, éjaculerait du sperme, ce qui lui procurerait un orgasme à chaque giclées…la décharge de foutre de la bite d’un inconnu lui procurait toujours des sensations fabuleuses…
Voulant encore plus elle attrapa l’homme aux hanches et se mit à le secouer pour le faire s’enfoncer encore plus au fond et surtout plus violemment.

Le type suivit immédiatement et se mit à pistonner comme un malade, devenant ordurier dans ses propos :
- saaaaaaaalope, ouaiiiiiiiiii, t’es une saaaaaaaaaaalope avec tes gros nibards, une pute même, ouaiiiiiiiiiiiiiii, c’est çaaaaaaaaaaaa, une pute, une puuuuuuuuutain de bouuuuuuurge, qui se fait saillir pour assouvir son manque de queue…tu voyages pour te faire troncher par de la grosse biiiiiiiiite…ça te plait comme ça, comme une puuuuuuuuuuute, qui aurait levé un client…hein, que tu aimes t’envoyer en l’air crûment, sans flirt ni préparation… ?, de la queue, tu veux de la queue…rien que de la queue pour jouir et sentir ta motte bien défoncée…Saloooooooope, prends ça, tiens, encoooooooooooore, ouiiiiiiiiiiiiiiii, tiens, bien au fond…
- Aâââââââââh putain que c’est bon une salope qui se fait baiser, fourrer, emmancher…âââââââââââhb je vais te décharger dans la chatte…je vais te remplir de foutre…
Ne pouvant plus se retenir, le type saisit les cuisses pleines et rondes de Josy et s’abutant bien contre ses fesses il poussa à fond, en criant son bonheur à décharger toute l’excitation qui lui venait des couilles, de la queue, de la vision de cette femelle échevelée, aux lèvres luisantes de foutre, aux gros nichons dont les pointes énormes le narguaient.
- AAAAAAAAAAAAH ouaiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, deeeeeeeeeedans ,deeeeeeeeeedans, je te décharge deeeeeeeeedans, je te remplie, saaaaaaaaalope, avec mon sperme de queutard.
Josy sentais dans sa chatte les vibrations de ce somptueux manche qui crachait en saccades puissantes un liquide chaud, épais, lourd, gras…elle partit elle aussi dans un long cri de salope comblée :
- Ouiiiiiiiiiiiiiiiii, OUIIIIIIII, OUiiiiiiiiiiiiiiiiii, OUI, aaaaaaaaaaaaaaaaaah salaud tu me remplies, tu me remplies, aaaaaaaah que c’est salaud, que c’est salaud, ouiiiiiiiiiiiii saââââââlaud, de jouîiiiiiiiiiiiir coooooooomme ça, comme une pute, emmanchée… baisée… baisée… oui je suis baisée, bien baiséééééééeeeeeee.

Le type lâcha les jambes qui retombèrent au bord de la couchette et il s’affala sur les seins dont il se mit à bouffer les pointes comme un affamé. La réaction ne fut pas longue à venir car l’orgasme avait créé cet appel de sexe qui faisait demander encore de la queue après en avoir pris juste avant.
Les mains de Josy partirent à la recherche du membre qui venait de la remplir de foutre et elle recommença à le branler, en salope experte qu’elle était devenue au fil des années. Le marin venait de lui rentrer deux doigts dans la chatte et donnait des petits coups, pour écraser le clitoris et aussi pour tapisser le sperme dont elle était remplie.
Les mains de Josy donnaient du plaisir au marin qui se remit rapidement à rebander et voulut la reprendre. Elle dit :
- non, pas comme ça, je veux te monter dessus, voir ta tête quand tu me pogneras les nibards, me suceras les pointes, me rentreras tes doigts dans la motte…
Le marin ne se le fit pas dire deux fois et il s’allongeât sur le dos pour permettre à cette somptueuse salope de l’enjamber.
Sitôt dessus Josy saisit la bite du type qui était redevenue ferme et commença une fellation tout en promenant la bête entre ses seins…le type râlait de plaisir. Il en avait tirés des touristes sur le bateau , certaines ne venaient que pour ça d’ailleurs…mais celle là, elle était d’une pointure au dessus avec ses gros nichons, ses grosses pointes, son cul large et ferme de salope en rut, ses coups de rein salaces, sa science de la fourette, sa voix de gorge quand elle s’envoyait en l’air, ses mots crus qui augmentaient la jouissance…
Trouvant le membre à sa convenance elle remonta et sans coup férir l’introduisit elle-même dans sa chatte qui s’ouvrit instantanément pour le laisser pénétrer. Elle descendit doucement, savourant l’instant où les chairs s’écartent sous la poussée du gland…où la muqueuse pompe le membre pour le faire s’enfoncer encore plus.

Pleine du jus de la décharge précédente elle sentait une jouissance salace revenir, comme quand elle rentrait chez elle, après s’être faite tirer en ville, pour demander à son mari de lui rentrer sa queue dans le ventre…ce qu’il faisait aussitôt, connaissant bien sa salope de femme, qui ne jouissait jamais autant que quand elle pouvait se faire prendre par deux ou trois bites différentes et finir avec celle qui lui avait libéré le corps et l’esprit…racontant comment ça avait été bon de baiser et de rentrer pour prendre encore du sperme en le mélangeant à celui des autres…

Arrivée en bas elle se mit à tourner pour bien faire s’enfoncer la queue puis remonta doucement, sentant le sperme de la précédente décharge refluer…
C’était d’un salaud limite pornographique…la chatte pleine elle se faisait remettre de la bite dans le ventre, en baiseuse insatiable qu’elle était…
Les mains du type lui avaient attrapé les pointes des seins, tirant dessus et les allongeant d’au moins trois centimètres, pour ensuite prendre les masses de chair à pleine mains et malaxer à grandes pognées. Le plaisir lui remontait dans le ventre et elle demanda au marin qu’il lui mette ses doigts dans la chatte pour pincer et tirer sur son clito…
- Lààààààààààààà, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, saaaaaaalaud tu es bon…pinces, tires, enfonces, ouiiiiiiiiiiiii au fond, rentre tes doigts…
Remplie, elle était remplie…une grosse bite, plus deux doigts, lui travaillaient le sexe la faisant jouir en continu…elle se mit à crier de nouveau…tout en accélérant sa cadence de montée et de descente sur ce pieu fabuleux. Ses bas étaient tirebouchonnés, mais elle s’en foutait…plus rien ne comptait que la grosse queutasse qui maintenant la défonçait à grands coups de rein…rien d’autre que les doigts qui la fouillaient profondément, rien d’autre que les pointes de ses copieux nichons qui dardaient, obscènes de grosseur, devant elle…
Salope, ouiiiiiiiiiiiiiiiiii, saaaaaaaaaalope…il pouvait le dire… car c’était vrai…salope au sens effectif du terme, pour baiser, jouir, jouir, jouir encore et toujours, prendre du membre, du raide, du gros, du salaud, du vultueux, du crapuleux…salope pour s’envoyer en l’air avec des baiseurs… salope pour se faire tringler… comme une pute en mal de rut.
Brusquement, le marin sortit sa grosse queue bien raide de la chatte de Josy, en la faisant remonter avec ses mains et, sans la prévenir, il la fit retomber en se déportant pour que le membre lui perfore l’anus…elle cria comme une damnée, plus de surprise que de douleur car dans la transe érotique et salope où elle était cette pénétration était la bienvenue…elle aurait souhaité, à ce moment, qu’il y ait deux mecs pour la défoncer…elle le méritait en baiseuse qu’elle était. Il faudrait qu’elle voit pendant la croisière, d’ailleurs, si cette éventualité pourrait se faire jour.
Pour l’instant elle gueulait sa joie, le cul rempli par le braquemard de son baiseur qui, en même temps, lui avait rentré les doigts dans la chatte, pinçant, tirant, limant, allant très au fond de sa motte, au point de sentir à travers la mince paroi le membre qui pistonnait les boyaux de la femelle jouissante. Elle pleurait presque, hoquetant à chaque fois que la bite lui arrivait au fond du cul, sentant son ventre plein de jouissance devenir lourd. L’orgasme montait, elle ne pourrait pas tenir longtemps à ce régime d’enfer avec une grosse et fabuleuse bite qui lui ramonait le fondement pendant que une main presque entière lui travaillait la motte, lui donnant orgasmes sur orgasmes, la faisant jouir en continu…

D’un coup elle partit, tombant sur le coté, sans pouvoir se retenir, en hurlant tellement fort que le marin en fut désarçonné. Toutefois, la voyant à plat ventre, frémissante et pantelante, il ne perdit pas de temps et se mettant à califourchon sur elle il lui écarta les fesses pour remettre sa bite dans le cul encore ouvert et qui ne demandait que ça. Le sexe tumescent s’enfonça de nouveau bien au fond, arrachant un feulement de plaisir à cette bourge en gésine. Les mains bien cramponnées à la large croupe de la belle femelle il se mit à limer et à pomper comme un derrick, enfonçant puissamment sa grosse queue dans le cul de cette femme en rut, qui depuis qu’elle avait commencé à jouir n’avait pratiquement pas arrêté. Il tira sur la croupe pour la faire se mettre à quatre pattes de manière à pouvoir bien s’enfoncer dans le ventre de Josy qui criait de plaisir, jouissante sans arrêt…La vision de ces hanches était des plus salaces, avec les fesses bien écartées et son membre qui entrait et sortait avec la régularité d’un métronome rythmé par les cris de joie de la belle pute…oui la belle pute…il le lui disait, qu’elle était une belle pute et elle jouissait, jouissait, jouissait…

D’un seul coup, puissant, le marin s’enfonça brutalement, maintenant plus rien comptait que son plaisir à lui…il allait décharger pour lui, vider tout le sperme qu’il avait encore dans les couilles dans le ventre de cette baiseuse…
La tenant abutée il se mit à pistonner à petits coups rapides, ce qui eut pour effet de la faire s’envoyer encore en l’air car elle sentait la queue devenir encore plus grosse…dans un hurlement elle se repoussa en arrière pour s’enfoncer sur la grosse bite au moment où la giclée de foutre sortit avec force lui procurant un dernier soubresaut de bonheur.
Elle tomba à plat ventre entraînant son amant qui vint s’abattre sur elle, encore planté dans son gros de jouisseuse…laissant les vagues du plaisir refluer doucement.


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