UN BON PLAN MARKETING 2
Récit érotique écrit par Alain Dex [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-09-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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UN BON PLAN MARKETING 2
Insolente Lucille 2
Curieuse passion que celle qui était née entre ces deux êtres que rien ne rapprochait et que tout éloignait. Elle était jeune, vingt-deux ans, de condition modeste. Il avait soixante-cinq ans, portait un nom à particule et était de condition aisée. En plus, la société renommée dont il était le digne administrateur, appartenait entièrement à la famille de sa femme qui occupait elle-même la fonction très plurivalente de Secrétaire générale.
La liaison qui unissait l’Administrateur émérite à Lucille, son employée modèle était surtout ambiguë à un autre titre. Lucille était toujours vierge et cette relation récente n’allait pas fondamentalement (si je puis dire) modifier cet état. Force lui a-t-il hélas bien fallu, au bout d’un certain temps, constater que, malgré le désir irrépressible qui les unissait maintenant l’un à l’autre, il était impuissant. Du moins avec elle. Ils n’abordèrent jamais ce sujet.
Rapport clandestin.
« Lucille, avez-vous l’occasion de passer dans mon bureau maintenant, je vous prie ? »
« Certainement, Monsieur, j’arrive de suite. »
L’Administrateur marchait lentement de long en large derrière son bureau. Lucille se tenait debout, bien droite, plaquée contre le bord gauche du bureau et les bras tendus, mains jointes, paumes tournées vers le haut, au-dessus du bureau.
« Mon enfant, vous n’ignorez pas qu’un conseil d’administration s’est tenu hier, dans la soirée et que j’eus le plaisir d’y présenter votre plan marketing destiné à redresser la déficiente situation économique de notre société. Ce plan a été accepté. Mais quelques retouches me paraissent indispensable avant de le mettre en œuvre, ma chère enfant… »
La petite lumière rouge de l’interphone était allumée. Cela signifiait que la femme de l’Administrateur écoutait la conversation. Il fallait donner le change.
L’Administrateur fit un signe discret à Lucille. Elle présenta la paume de ses mains jointes et l’Administrateur les cingla de sa petite réglette avec des petits coups répétés.
« Aïe !!! » fit Lucille.
L’Administrateur plaça son index devant la bouche, pour imposer le silence. Mais il continua, à petits coups répétés, de cingler avec sa réglette les paumes des mains de son employée.
« Le conseil d’administration, que mon épouse préside comme vous ne pouvez l’ignorer, veut s’engager dans un combat offensif et reconquérir un marché qui nous échappait peu à peu jusqu’à maintenant. Je compte beaucoup sur votre soutien. »
Tandis qu’il pérorait sentencieusement, il avait fait signe à Lucille d’ouvrir son chemisier et de sortir ses deux seins de leur bonnet. Elle obtempéra immédiatement et sans dire un mot.
Lucille avait une poitrine splendide avec des seins bien fermes et qui se tenaient bien droits. Le genre d’obus qui font remporter bien des combats.
Les yeux de monsieur l’Administrateur s’étaient agrandis. Comme Lucille s’y attendait, il commença par cingler sèchement cet orgueilleux ornement féminin.
Elle ne pouvait pas crier à cause de l’interphone espion et sa menaçante lumière rouge allumée . Elle aimait ça. Surtout savoir qu’ils sont surveillés par la femme de son Divin Maître, c’est ainsi qu’elle l’appelait maintenant, en pensée ou dans les rares moments de réelle intimité. Car elle, encore plus que son « Divin Maître », ne s’extasiait que dans cette périlleuse clandestinité combinée à la souffrance qu’il avait la bonté de lui infliger. Mais elle avait, en cet instant, trop envie de crier de plaisir, sous les coups de réglettes qu’elle recevait sur les seins et qui lui faisaient très mal.
Heureusement, avant qu’elle n’ait pu manifester trop bruyamment son plaisir et ainsi les trahir, la douleur cessa.
Lucille était soulagée. L’autoritaire épouse de l’Administrateur avait un ascenseur et un long couloir à emprunter avant de pouvoir les surprendre. Mais surtout, elle devait cesser d’appuyer sur le bouton qui transmettait le son entre les deux interphones délateurs. Ça laissait un peu de temps pour remettre de l’ordre dans leurs tenues et dans leurs positions respectives.
Monsieur l’Administrateur avait senti poindre le danger d’un cri ou d’un râle démonstratif inopportun. Il avait abandonné la divine réglette pour commencer à caresser les seins de sa victime. Avide de plaisir, il utilisait les deux mains avec lesquelles il effleurait de la paume, délicatement, les orgueilleux trésors.
Lucille commençait à haleter. Ses tétons s’étaient érigés, bien durs.
C’était vraiment excitant de l’entendre réciter mot à mot le rapport Marketing qu’elle avait elle-même rédigé et qui servait de couverture à ces instants de plaisirs infernaux.
Il lui tâtait les seins plus fermement, maintenant. Il les saisissaient par les bouts et les agitaient énergiquement. Il les frappaient. Puis il les caressaient à nouveau.
Mais en continuant à lire des passages du projet nommé « Lucille », il lui fit signe de rentrer sa magnifique poitrine dans son soutien et de reboutonner son chemisier.
« …implémenter un choix de médias plus performants conduira rapidement à l’élargissement du taux de pénétration du marché requis… »
L’Administrateur passait la main sous la jupe de Lucille pour la glisser sous le fin tissu de la petite culotte de Lucille. Sans perdre de temps, l’index suivit, à l’aveugle, le sillon de chairs tendres qui protégeait l’entrée du sexe de Lucille. Elle avait écarté les jambes pour en faciliter l’accès. Le doigt n’entra pas dans ce lieu de plaisir interdit, mais s’humecta de ce liquide gluant qui s’y était propagé en abondance. En ressortit ainsi trempé pour partir à l’assaut d’une autre caverne tout à côté. L’entrée était autrement mieux défendue, mais la résistance ne dura guère plus.
L’Administrateur introduisit son index dans le cul étroit de Lucille. Y tournoya de plaisir un petit temps. Puis entreprit un mouvement de va-et-vient lent, pour savourer. Puis de plus en plus vite.
Cette fois, Lucille ne put retenir un cri.
Il y eut un chuintement bizarre dans l’interphone. La petite lumière rouge s’éteignit. Alerte !
L’Administrateur retira précipitamment sa main et chacun s’affaira à remettre la tenue de l’autre en bon ordre. L’Administrateur ne cessa pas de continuer imperturbablement à réciter sa leçon, maintenant assis dans son fauteuil et Lucille, de l’autre côté du bureau, sur une chaise.
Mais comment expliquer sa rougeur ?
Curieuse passion que celle qui était née entre ces deux êtres que rien ne rapprochait et que tout éloignait. Elle était jeune, vingt-deux ans, de condition modeste. Il avait soixante-cinq ans, portait un nom à particule et était de condition aisée. En plus, la société renommée dont il était le digne administrateur, appartenait entièrement à la famille de sa femme qui occupait elle-même la fonction très plurivalente de Secrétaire générale.
La liaison qui unissait l’Administrateur émérite à Lucille, son employée modèle était surtout ambiguë à un autre titre. Lucille était toujours vierge et cette relation récente n’allait pas fondamentalement (si je puis dire) modifier cet état. Force lui a-t-il hélas bien fallu, au bout d’un certain temps, constater que, malgré le désir irrépressible qui les unissait maintenant l’un à l’autre, il était impuissant. Du moins avec elle. Ils n’abordèrent jamais ce sujet.
Rapport clandestin.
« Lucille, avez-vous l’occasion de passer dans mon bureau maintenant, je vous prie ? »
« Certainement, Monsieur, j’arrive de suite. »
L’Administrateur marchait lentement de long en large derrière son bureau. Lucille se tenait debout, bien droite, plaquée contre le bord gauche du bureau et les bras tendus, mains jointes, paumes tournées vers le haut, au-dessus du bureau.
« Mon enfant, vous n’ignorez pas qu’un conseil d’administration s’est tenu hier, dans la soirée et que j’eus le plaisir d’y présenter votre plan marketing destiné à redresser la déficiente situation économique de notre société. Ce plan a été accepté. Mais quelques retouches me paraissent indispensable avant de le mettre en œuvre, ma chère enfant… »
La petite lumière rouge de l’interphone était allumée. Cela signifiait que la femme de l’Administrateur écoutait la conversation. Il fallait donner le change.
L’Administrateur fit un signe discret à Lucille. Elle présenta la paume de ses mains jointes et l’Administrateur les cingla de sa petite réglette avec des petits coups répétés.
« Aïe !!! » fit Lucille.
L’Administrateur plaça son index devant la bouche, pour imposer le silence. Mais il continua, à petits coups répétés, de cingler avec sa réglette les paumes des mains de son employée.
« Le conseil d’administration, que mon épouse préside comme vous ne pouvez l’ignorer, veut s’engager dans un combat offensif et reconquérir un marché qui nous échappait peu à peu jusqu’à maintenant. Je compte beaucoup sur votre soutien. »
Tandis qu’il pérorait sentencieusement, il avait fait signe à Lucille d’ouvrir son chemisier et de sortir ses deux seins de leur bonnet. Elle obtempéra immédiatement et sans dire un mot.
Lucille avait une poitrine splendide avec des seins bien fermes et qui se tenaient bien droits. Le genre d’obus qui font remporter bien des combats.
Les yeux de monsieur l’Administrateur s’étaient agrandis. Comme Lucille s’y attendait, il commença par cingler sèchement cet orgueilleux ornement féminin.
Elle ne pouvait pas crier à cause de l’interphone espion et sa menaçante lumière rouge allumée . Elle aimait ça. Surtout savoir qu’ils sont surveillés par la femme de son Divin Maître, c’est ainsi qu’elle l’appelait maintenant, en pensée ou dans les rares moments de réelle intimité. Car elle, encore plus que son « Divin Maître », ne s’extasiait que dans cette périlleuse clandestinité combinée à la souffrance qu’il avait la bonté de lui infliger. Mais elle avait, en cet instant, trop envie de crier de plaisir, sous les coups de réglettes qu’elle recevait sur les seins et qui lui faisaient très mal.
Heureusement, avant qu’elle n’ait pu manifester trop bruyamment son plaisir et ainsi les trahir, la douleur cessa.
Lucille était soulagée. L’autoritaire épouse de l’Administrateur avait un ascenseur et un long couloir à emprunter avant de pouvoir les surprendre. Mais surtout, elle devait cesser d’appuyer sur le bouton qui transmettait le son entre les deux interphones délateurs. Ça laissait un peu de temps pour remettre de l’ordre dans leurs tenues et dans leurs positions respectives.
Monsieur l’Administrateur avait senti poindre le danger d’un cri ou d’un râle démonstratif inopportun. Il avait abandonné la divine réglette pour commencer à caresser les seins de sa victime. Avide de plaisir, il utilisait les deux mains avec lesquelles il effleurait de la paume, délicatement, les orgueilleux trésors.
Lucille commençait à haleter. Ses tétons s’étaient érigés, bien durs.
C’était vraiment excitant de l’entendre réciter mot à mot le rapport Marketing qu’elle avait elle-même rédigé et qui servait de couverture à ces instants de plaisirs infernaux.
Il lui tâtait les seins plus fermement, maintenant. Il les saisissaient par les bouts et les agitaient énergiquement. Il les frappaient. Puis il les caressaient à nouveau.
Mais en continuant à lire des passages du projet nommé « Lucille », il lui fit signe de rentrer sa magnifique poitrine dans son soutien et de reboutonner son chemisier.
« …implémenter un choix de médias plus performants conduira rapidement à l’élargissement du taux de pénétration du marché requis… »
L’Administrateur passait la main sous la jupe de Lucille pour la glisser sous le fin tissu de la petite culotte de Lucille. Sans perdre de temps, l’index suivit, à l’aveugle, le sillon de chairs tendres qui protégeait l’entrée du sexe de Lucille. Elle avait écarté les jambes pour en faciliter l’accès. Le doigt n’entra pas dans ce lieu de plaisir interdit, mais s’humecta de ce liquide gluant qui s’y était propagé en abondance. En ressortit ainsi trempé pour partir à l’assaut d’une autre caverne tout à côté. L’entrée était autrement mieux défendue, mais la résistance ne dura guère plus.
L’Administrateur introduisit son index dans le cul étroit de Lucille. Y tournoya de plaisir un petit temps. Puis entreprit un mouvement de va-et-vient lent, pour savourer. Puis de plus en plus vite.
Cette fois, Lucille ne put retenir un cri.
Il y eut un chuintement bizarre dans l’interphone. La petite lumière rouge s’éteignit. Alerte !
L’Administrateur retira précipitamment sa main et chacun s’affaira à remettre la tenue de l’autre en bon ordre. L’Administrateur ne cessa pas de continuer imperturbablement à réciter sa leçon, maintenant assis dans son fauteuil et Lucille, de l’autre côté du bureau, sur une chaise.
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