Un bon quatre heures pour Magalie
Récit érotique écrit par Matthieu [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-05-2008 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Un bon quatre heures pour Magalie
Je vis depuis quelques mois maintenant avec Magalie, une fille super, elle a 21 ans et elle est aide-soignante. Elle est brune, les cheveux longs et une paire de seins et de fesses magnifiques !
Ce jour-là elle fini de travailler à l’hôpital à 16 heures. Moi, en recherche d’emploi, j’étais à la maison depuis le matin même. Comme à mon habitude, je parlais de cul avec un pote sur MSN. Pendant toute la journée nous échangeons des photos de cul ou des vidéos.
Depuis le début d’après-midi, j’ai une super envie de me branler mais je décide d’attendre le retour de Magalie pour pouvoir la baiser.
Il est 16 heures, Magalie finit de travailler et arrive dans notre petit appartement de la campagne varoise. Elle se détend sur le canapé en matant un petit film. Nous échangeons juste quelques mots à propos de notre journée. Moi je continue de discuter sur MSN.
Quelques minutes plus tard, bien chaud d’avoir parlé que de cul, je me déconnecte et je me dirige vers le canapé ou elle est assise. Je m’assoie au près d’elle et je commence à l’embrasser, puis je retire doucement ses vêtements. Nous continuons à nous embrasser. La voilà maintenant en soutien-gorge et en petite culotte. Ma bouche se retire de la sienne et descend tout doucement vers sa nuque, puis vers ses seins. Elle se caresse au travers de sa culotte déjà mouillée.
Mes mains retirent son soutien-gorge qui englobe sa magnifique poitrine et ma bouche se dépose sur ses tétons qui n’en finissent plus de durcir. Ma bouche descend vers sa culotte. Je lèche son sexe au travers. Puis, je l’aide à la retirer. Son sexe est maintenant à l’air. Je commence maintenant à la lécher, aussi bien la chatte que son cul. Puis, un doigt pénètre doucement dans sa chatte humide. Mon doigt va de plus en plus fort. Magalie laisse échapper quelques gémissements.
C’est maintenant à son tour de jouer, elle enleva mon pantalon ainsi que mon caleçon et attrapa ma queue déjà bien droite. Elle commença à me sucer. Sa langue alla de mes couilles à l’extrémité de mon gland. Que c’est bon ! La voilà maintenant à genoux devant moi, elle n’en finit plus de me sucer.
Une dizaine de minutes plus tard, elle se mit sur le canapé, à quatre pattes devant moi. Ma queue pénétra doucement dans son cul bien dilaté. Mes vas-et-viens se font de plus en plus vite, de plus en plus forts. Ses cris et ses gémissements se font entendre. Je suis en train de lui exploser le cul.
Au bout d’un petit moment, je retirai ma bite de son joli cul bien ouvert et je l’enfonçai bien profondément dans sa chatte. Elle se torda dans tous les sens. « Tu aimes ça, salope » lui dis-je. Ma bite n’en finissait plus de rentrer et de sortir de sa chatte dilatée. Magalie attrapa un coussin et commença à le serrer fort contre elle. Ses cris se faisaient de plus en plus forts et de plus en plus puissants. Elle venait d’avoir un orgasme. Aussi, mes vas-et-viens allaient de plus en plus vite.
Elle s’assied puis elle commença à me sucer de nouveau. Puis, elle me branla de plus en plus vite. Je ne puis plus me retenir. Je laissai échapper mon sperme chaud de ma queue en feu. Magalie avala tout et continua à me sucer. Tout en me suçant, elle caressa sa chatte défoncée par mon bel engin.
Ce jour-là elle fini de travailler à l’hôpital à 16 heures. Moi, en recherche d’emploi, j’étais à la maison depuis le matin même. Comme à mon habitude, je parlais de cul avec un pote sur MSN. Pendant toute la journée nous échangeons des photos de cul ou des vidéos.
Depuis le début d’après-midi, j’ai une super envie de me branler mais je décide d’attendre le retour de Magalie pour pouvoir la baiser.
Il est 16 heures, Magalie finit de travailler et arrive dans notre petit appartement de la campagne varoise. Elle se détend sur le canapé en matant un petit film. Nous échangeons juste quelques mots à propos de notre journée. Moi je continue de discuter sur MSN.
Quelques minutes plus tard, bien chaud d’avoir parlé que de cul, je me déconnecte et je me dirige vers le canapé ou elle est assise. Je m’assoie au près d’elle et je commence à l’embrasser, puis je retire doucement ses vêtements. Nous continuons à nous embrasser. La voilà maintenant en soutien-gorge et en petite culotte. Ma bouche se retire de la sienne et descend tout doucement vers sa nuque, puis vers ses seins. Elle se caresse au travers de sa culotte déjà mouillée.
Mes mains retirent son soutien-gorge qui englobe sa magnifique poitrine et ma bouche se dépose sur ses tétons qui n’en finissent plus de durcir. Ma bouche descend vers sa culotte. Je lèche son sexe au travers. Puis, je l’aide à la retirer. Son sexe est maintenant à l’air. Je commence maintenant à la lécher, aussi bien la chatte que son cul. Puis, un doigt pénètre doucement dans sa chatte humide. Mon doigt va de plus en plus fort. Magalie laisse échapper quelques gémissements.
C’est maintenant à son tour de jouer, elle enleva mon pantalon ainsi que mon caleçon et attrapa ma queue déjà bien droite. Elle commença à me sucer. Sa langue alla de mes couilles à l’extrémité de mon gland. Que c’est bon ! La voilà maintenant à genoux devant moi, elle n’en finit plus de me sucer.
Une dizaine de minutes plus tard, elle se mit sur le canapé, à quatre pattes devant moi. Ma queue pénétra doucement dans son cul bien dilaté. Mes vas-et-viens se font de plus en plus vite, de plus en plus forts. Ses cris et ses gémissements se font entendre. Je suis en train de lui exploser le cul.
Au bout d’un petit moment, je retirai ma bite de son joli cul bien ouvert et je l’enfonçai bien profondément dans sa chatte. Elle se torda dans tous les sens. « Tu aimes ça, salope » lui dis-je. Ma bite n’en finissait plus de rentrer et de sortir de sa chatte dilatée. Magalie attrapa un coussin et commença à le serrer fort contre elle. Ses cris se faisaient de plus en plus forts et de plus en plus puissants. Elle venait d’avoir un orgasme. Aussi, mes vas-et-viens allaient de plus en plus vite.
Elle s’assied puis elle commença à me sucer de nouveau. Puis, elle me branla de plus en plus vite. Je ne puis plus me retenir. Je laissai échapper mon sperme chaud de ma queue en feu. Magalie avala tout et continua à me sucer. Tout en me suçant, elle caressa sa chatte défoncée par mon bel engin.
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