Un casting particulier (2) - histoire érotique

Le casteur se leva, « Bien je vais chercher un des acteurs qui fait passer les castings il va m’aider ».

Il quitta la pièce, refermant la porte derrière lui. Benjamin toujours immobile et silencieux, restant prostré sur sa chaise.

Aline, qui n’eut guère la moindre attention sympathique à son égard, en rajouta une couche :

— Je te préviens, tu ne me fais pas honte, on est là, tu assumes. Si tu fais foirer ce casting je ne te le pardonnerai pas! C’est notre avenir qui est en jeu, déjà que finalement vu la réaction qu’il a eu, je regrette amèrement de t’avoir amené, alors ne me fais pas plus regretter. Donc tu restes dans ton coin, s’il te demande un truc tu lui réponds et c’est tout.


Les bruits de pas dans le couloir coupèrent Aline dans son discours, qui se tut instantanément. Le casteur rentra dans la pièce, refermant une nouvelle fois la porte derrière lui.


— Il ne va pas tarder à arriver, on va commencer réellement le casting installe-toi sur le canapé je vais commencer à filmer

Aline s’installa sur le canapé, répondant aux questions du casteur, avec une véritable aisance, même une certaine facilité. Benjamin observant religieusement la scène. Puis une fois les questions terminées, vint le moment du physique.

« Bon très bien, maintenant tu vas te déshabiller, couche par couche, en te montrant bien sous tous les angles à la caméra à chaque fois ». Elle s’exécuta sans mal, enlevant les uns après les autres ses vêtements jusqu’à se retrouver nue. Moment choisi par le casteur pour se lever.

Il examina alors la compagne de Benjamin, comme un objet qu’on va acheter dans un magasin. Prenant ses seins dans la main, les pesants, touchant son corps partout. Il la fit se mettre de dos à la caméra, la penchant en avant, en lui demandant de bien écarter les jambes pour avoir une vue totalement ouverte sur ses deux orifices. Il commença à les toucher, les fouiller avec ses doigts.

D’un ton sec, sans tourner la tête en continuant son inspection, il dit :

— Elle fait combien ta queue, Benjamin qui ne comprit pas sur le coup que la question lui était adressée, ne répondit pas.

— Oh ducon je t’ai posé une question!


Il répondit en bafouillant, rougissant :
— Oh euh je fais 15 centimètres mais...


Il ne put finir sa phrase, coupé par Aline :
— Non non il fait 13 centimètres, il a dû atteindre une fois 14 dans sa vie et encore, je ne vois pas pourquoi tu veux mentir !


Sans pouvoir apercevoir son visage, rien qu’à l’intonation de la voix, il comprit à quel point elle était énervée de ce mensonge.

Le casteur totalement insensible à cette scène de ménage reprit la parole :

— C’est bien ce que je pensais, ce n’est pas ouvert, et ton cul c’est encore pire. On va voir comment ça se passe mais va falloir travailler ça aux godes. Ou carrément coucher régulièrement avec d’autres personnes mais mieux membrés. Enfin après c’est votre problème ça. Enfin avant de commencer remets-toi face à la caméra, il faut voir les réactions de ton corps aux différentes interactions.


Il rapprocha le trépied pour pouvoir obtenir une meilleure qualité d’image.


— Il faut bien comprendre que ce pour quoi tu castes ça n’a rien à voir avec de l’érotique, là on est dans du hard, les consommateurs veulent du sexe sans retenue, où la plupart du temps la femme est utilisée comme un simple objet de plaisir sexuel, donc il faut voir comment ton corps réagit à l’image.


Et là il enchaîna, avec un flegme exemplaire, les fameuses interactions. D’abord des bifles avec un gode. Puis une gifle simple, et en aller-retour. Il enchaîna avec claques, sèches, sur les seins avant de les prendre en main et de les malaxer très fort sans considération pour ces derniers. Il continua avec des claques sur les cuisses, sa chatte et bien sûr des fessées. Sous différentes formes, avec différents degrés de force. Benjamin stupéfait de l’image d’Aline qui lui apparut à cet instant était presque bouche bée devant la scène. D’autant qu’il ne remarqua pas, qu’au même moment la chatte d’Aline mouillait de plus en plus.


Le casteur demanda à Aline de s’asseoir sorti son sexe et la laissa faire pour la fellation. Il laissa apparaître un beau sexe, comparé à Benjamin ce ne fut cependant pas difficile. Un sexe de 18 centimètres, assez large, Aline fut ravie. Elle s’appliqua prenant le soin de la caresser, la lécher de tout son long, tout en passant sur les couilles également.


Elle s’attarda de cette manière trop longuement, pour son compère d’un jour. Il prit sa tête et commença à lui faire des va-et-vient dans la bouche, Aline essayant de réceptionner au mieux.


— Je t’ai dit que ce n’était pas un film érotique, donc arrête avec tes caresses et simagrées, t’es là pour vider des couilles il faut que tu te le mettes dans le crâne. Et va falloir faire quelque chose parce que si tu ne sais pas gérer une queue comme la mienne ce n’est même pas la peine d’espérer quoi que ce soit.


Dans un sursaut d’orgueil, elle mit ses mains derrière son dos et commença à littéralement se baiser la bouche, manquant plusieurs fois de vomir tant elle y allait sans ménagement. Des larmes coulant de ses yeux, et de grands filets de bave qu’elle ne put retenir tant elle se concentra pour le satisfaire. Benjamin bien que ne pouvant retenir une érection, fut choqué par la scène, ne reconnaissant la nullement sa compagne.

Le casteur, qui sembla enfin satisfait par la prestation d’Aline, retira son sexe pour la mettre en position levrette sur le canapé. Il enfila sa capote puis commença à baiser Aline.


— Tu avais beau ne pas être ouverte, tu es tellement excité que ça rentre tout seul. En tout cas on est bien dans ta chatte!


N’hésitant pas à accentuer au fur et à mesure les coups de reins, et distillant quelques fessées au passage. C’est à ce moment que la porte s’ouvrit de nouveau.