Un chaud voyage n°1
Récit érotique écrit par Mic79 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-03-2016 dans la catégorie Plus on est
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Un chaud voyage n°1
Un chaud voyage
Les aléas de la vie professionnelle, et la vie familiale ont mis un tempo dans nos aventures , mais pendant tout ce temps, nous avons eu le loisir d’évoquer nos expériences et de nous conforter sur notre accord à ce niveau ; Jean à de plus en plus envie de me voir faire l’amour avec un autre, et cela en étant parfois simple voyeur ; notre jouissance dans les deux soirées s’était située au même désir : moi de me faire pénétrer, et pour jean me voire me faire pénétrer ; si je n’aime pas le terme de cocu consentant, il faut bien reconnaitre que pour nous deux ce fut le cas ; et nos activités sexuelles furent souvent agrémentées de souvenirs de cette période , pour se terminer en jouissances ardentes.
6 mois plus tard, un ami, directeur d’un gros chantier naval, connaissant notre amour de la mer et mes expériences nautique, nous proposa de participer à un convoyage vers les Antilles d’un gros catamaran, voyage d’environ 25 jours et nécessitant, malgré notre expérience à tous, la présence d’un équipier aguerri ; La première partie du voyage se fit avec un temps déplorable ; les quarts occupant la majeure partie de nos journées ; et c’est avec soulagement que, après trois jours , notre escale du cap Finistère se profila, avec le retour du beau temps.
Dès notre arrivée Nini ressortit la panoplie d’été, à savoir petit maillot de bain et le soir , petit corsage dévoilant parfois ses seins, short court mettent en valeur sa croupe attirante ; après un bon repas , enfin au calme, nous avons profité d’un bon repos, non sans avoir rempli nos »devoirs amoureux », devoirs d’autant plus fougueux que cela faisait 3 jours que nous étions au repos forcé ; nous avons dû être un peu bruyant car , max le lendemain matin au petit déjeuner, eut un petit sourire en nous disant « que le début de nuit avait été un peu agité » ; comme le port était particulièrement calme, nini se piqua d’un joli rouge sur les joues et voyant sa gêne, Max lui caressa le joue en lui disant « j’ai envié ton mari » ; je vis dans les yeux de ma moitié, une petite lueur, qui annonçait sans doute d’autres envies ; Le reste de la journée se passa en courses diverses, indispensables pour plus de 20 jours de mer ; formalités de port puis retour au bateau ; vers 18 h, max nous proposa de prendre l’apéro et ensuite de faire une dernière sortie avant notre départ le lendemain : nous acceptâmes avec joie.
Autour du salon, max nous servit un planteur, accompagné de quelques gourmandises ; nous étions restés en tenue décontractée, nous en short et nini en maillot de bain deux pièces, sobre mais mini, son corps bronzé ressortait sur la couleur immaculée blanche du maillot et je vis les petits regards en coin de max, qui au vue de la bosse dans son short n’était pas insensible au charme de son amie ; pour nous la situation devenait intéressante et nini commença à onduler sur le siège, signe évident d’un désir naissant ; max avait envie mais max n’osait pas et comme nous n’ en avions pas parlé avant, nous n’avons pas bronché, malgré l’envie de plus en plus évidente de ma femme dont les pointes de seins étaient saillantes dans les bonnets ; » par hasard » quelques effleurements, une main sur l’épaule en conversant, max s’échauffait et par jeu, aucun de nous deux ne bougeât, alors que mon sexe était tendu et que le désir se voyait de plus en plus chez elle; d’un commun accord nous nous sommes levés pour nous changer, laissant un peu max dans ses baskets. Dès arrivés dans la cabine sans fermer la porte j’arrachais le bas du maillot et je plongeais ma bouche sur le sexe luisant de nini, ma langue partit en une toilette de son antre, léchant le jus qui coulait entre ses lèvres , puis n’y tenant plus je baissais mon short et d’un grand coup, je pénétrais entre ses lèvres ma queue gonflée à bloc, « baise –moi, défonce moi, enfonce ta bite profondément » elle ne se retenait plus et notre ami, plus haut, ne devait pas en perdre une miette, au vue des cris de ma femme ; ma décharge fut brutale et vient frapper les parois de son sexe ; un râle sortit de sa gorge puis un cri que j’essayais d’atténuer en l’embrassant, mais impossible de tout cacher ; un bruit , au- dessus, confirma la présence discrète de max et nous l’entendîmes redescendre dans sa cabine ; nous étions d’accord, le voyage allait être chaud ; après une douche réparatrice, nini ressortit de la cabine très BCBG, pantalon blanc légèrement moulant, cardigan bleu, légèrement et sagement déboutonné, laissant deviner la naissance de sa gorge, mais sans plus , escarpins dorés; je fus très surpris car je m’attendais à une tenue plus olé olé ; un petit sourire de sa part me rassura, ses idées n’étaient certainement pas très sages, le chaud et froid étaient au programme.
Le diner dans un super resto, se passa sans problème, de grande qualité, arrosé d’un très bon vin des vignobles espagnols, accompagné il est vrai des regards flatteurs envers notre compagne qui sous son aspect classe dégageait une aura de sensualité ; notre hôte la ressentait sans aucun doute, je surpris plusieurs regards révélateurs et la voix chaude et charmeuse de Nini allumait encore un peu plus le pauvre garçon ; mais lui resta aussi très classe et pas un geste ou une parole ne laissa percer son intérêt ; le retour au bateau se fit joyeusement, elle accrochée à nos deux bras, sous prétexte de ses talons ; la petite garce savait y faire et vers 11 h du soir ,Max nous proposa un dernier verre avant de se coucher ; nous nous installons autour du salon et bavardons gentiment ; nous avons retiré nos chemises et je propose à ma douce d’aller se mettre à l’aise , ; sitôt dit, elle nous quitte et revient une dizaine de minutes après : et là le choc pour max mais aussi pour moi : sous un voile transparent , Nini est en string, petit soutien-gorge sans bonnet , ses seins simplement entourés de ruban noir, avec des bas noirs retenus par un collant dans le haut ; le contraste entre les deux tenues nous frappent ; et de suite , je bande, je ne peux voir le sexe de Max d’où je suis mais je ne doute pas du résultat ; elle s’installe à côté de moi, face à Max et croissant ses jambes découvre un peu plus son intimité, à peine cachée par la bordure du string qui lui rentre dans le sillon ; Max reste sans voix, et pendant quelques secondes un silence s’installe ; afin de rompre le silence je me lève pour fermer les rideaux, par précaution pour l’entourage, je ne tiens pas à voir débarquer les autorités ; je me rassoie à coté de Nicole et tout en discutant , je lui caresse les épaules encore couvertes du voile, et comme par hasard celui glisse progressivement, découvrant la poitrine presque totalement nue ; les pointes sont saillantes et le sein gonflé de désir ; la tension est totale.
elle tend la main vers max et lui dit de venir s’assoir près d’elle ; tel un pantin, Max jaillit de son siège et prend place à côté d’elle et libéré par son geste , il commence à lui caresser le bras , pour très vite trouver le chemin de ses seins qu’il pelote alors sans vergogne, ses gestes sont d’abord désordonnés puis il prend place, ses mains courent sur le corps , et elle, posant sa tête sur ma jambe, offre alors à sa vue et à ses mains la totalité de son corps ; les mains quittent alors ses seins et se réfugient sous le string ; un doigt, puis deux, lui pénètrent son intimité et les allées et venues se font de plus en plus rapides ; pour mieux s’offrit, nini écarte ses cuisses au maximum et c’est maintenant trois doigts qui lui fouillent le ventre ; les gémissements nous stimulent, et Max maintenant écarte la chatte et essaie de faire pénétrer sa main ; elle offre alors son ventre à la pénétration et stupéfait, je m’aperçois que toute la main est à l’intérieur ; c’est la première fois que je la vois se faire fister ainsi et à entendre ses cris de jouissance, elle y prend son pied ; la main lui fouille le ventre et ressort pour y retourner ; soudain son corps se cabre et un long feulement emplit la cabine, son corps est parcouru de soubresauts tant sa jouissance est grande, puis épuisée, elle retombe sur le siège et s’endort.
Les aléas de la vie professionnelle, et la vie familiale ont mis un tempo dans nos aventures , mais pendant tout ce temps, nous avons eu le loisir d’évoquer nos expériences et de nous conforter sur notre accord à ce niveau ; Jean à de plus en plus envie de me voir faire l’amour avec un autre, et cela en étant parfois simple voyeur ; notre jouissance dans les deux soirées s’était située au même désir : moi de me faire pénétrer, et pour jean me voire me faire pénétrer ; si je n’aime pas le terme de cocu consentant, il faut bien reconnaitre que pour nous deux ce fut le cas ; et nos activités sexuelles furent souvent agrémentées de souvenirs de cette période , pour se terminer en jouissances ardentes.
6 mois plus tard, un ami, directeur d’un gros chantier naval, connaissant notre amour de la mer et mes expériences nautique, nous proposa de participer à un convoyage vers les Antilles d’un gros catamaran, voyage d’environ 25 jours et nécessitant, malgré notre expérience à tous, la présence d’un équipier aguerri ; La première partie du voyage se fit avec un temps déplorable ; les quarts occupant la majeure partie de nos journées ; et c’est avec soulagement que, après trois jours , notre escale du cap Finistère se profila, avec le retour du beau temps.
Dès notre arrivée Nini ressortit la panoplie d’été, à savoir petit maillot de bain et le soir , petit corsage dévoilant parfois ses seins, short court mettent en valeur sa croupe attirante ; après un bon repas , enfin au calme, nous avons profité d’un bon repos, non sans avoir rempli nos »devoirs amoureux », devoirs d’autant plus fougueux que cela faisait 3 jours que nous étions au repos forcé ; nous avons dû être un peu bruyant car , max le lendemain matin au petit déjeuner, eut un petit sourire en nous disant « que le début de nuit avait été un peu agité » ; comme le port était particulièrement calme, nini se piqua d’un joli rouge sur les joues et voyant sa gêne, Max lui caressa le joue en lui disant « j’ai envié ton mari » ; je vis dans les yeux de ma moitié, une petite lueur, qui annonçait sans doute d’autres envies ; Le reste de la journée se passa en courses diverses, indispensables pour plus de 20 jours de mer ; formalités de port puis retour au bateau ; vers 18 h, max nous proposa de prendre l’apéro et ensuite de faire une dernière sortie avant notre départ le lendemain : nous acceptâmes avec joie.
Autour du salon, max nous servit un planteur, accompagné de quelques gourmandises ; nous étions restés en tenue décontractée, nous en short et nini en maillot de bain deux pièces, sobre mais mini, son corps bronzé ressortait sur la couleur immaculée blanche du maillot et je vis les petits regards en coin de max, qui au vue de la bosse dans son short n’était pas insensible au charme de son amie ; pour nous la situation devenait intéressante et nini commença à onduler sur le siège, signe évident d’un désir naissant ; max avait envie mais max n’osait pas et comme nous n’ en avions pas parlé avant, nous n’avons pas bronché, malgré l’envie de plus en plus évidente de ma femme dont les pointes de seins étaient saillantes dans les bonnets ; » par hasard » quelques effleurements, une main sur l’épaule en conversant, max s’échauffait et par jeu, aucun de nous deux ne bougeât, alors que mon sexe était tendu et que le désir se voyait de plus en plus chez elle; d’un commun accord nous nous sommes levés pour nous changer, laissant un peu max dans ses baskets. Dès arrivés dans la cabine sans fermer la porte j’arrachais le bas du maillot et je plongeais ma bouche sur le sexe luisant de nini, ma langue partit en une toilette de son antre, léchant le jus qui coulait entre ses lèvres , puis n’y tenant plus je baissais mon short et d’un grand coup, je pénétrais entre ses lèvres ma queue gonflée à bloc, « baise –moi, défonce moi, enfonce ta bite profondément » elle ne se retenait plus et notre ami, plus haut, ne devait pas en perdre une miette, au vue des cris de ma femme ; ma décharge fut brutale et vient frapper les parois de son sexe ; un râle sortit de sa gorge puis un cri que j’essayais d’atténuer en l’embrassant, mais impossible de tout cacher ; un bruit , au- dessus, confirma la présence discrète de max et nous l’entendîmes redescendre dans sa cabine ; nous étions d’accord, le voyage allait être chaud ; après une douche réparatrice, nini ressortit de la cabine très BCBG, pantalon blanc légèrement moulant, cardigan bleu, légèrement et sagement déboutonné, laissant deviner la naissance de sa gorge, mais sans plus , escarpins dorés; je fus très surpris car je m’attendais à une tenue plus olé olé ; un petit sourire de sa part me rassura, ses idées n’étaient certainement pas très sages, le chaud et froid étaient au programme.
Le diner dans un super resto, se passa sans problème, de grande qualité, arrosé d’un très bon vin des vignobles espagnols, accompagné il est vrai des regards flatteurs envers notre compagne qui sous son aspect classe dégageait une aura de sensualité ; notre hôte la ressentait sans aucun doute, je surpris plusieurs regards révélateurs et la voix chaude et charmeuse de Nini allumait encore un peu plus le pauvre garçon ; mais lui resta aussi très classe et pas un geste ou une parole ne laissa percer son intérêt ; le retour au bateau se fit joyeusement, elle accrochée à nos deux bras, sous prétexte de ses talons ; la petite garce savait y faire et vers 11 h du soir ,Max nous proposa un dernier verre avant de se coucher ; nous nous installons autour du salon et bavardons gentiment ; nous avons retiré nos chemises et je propose à ma douce d’aller se mettre à l’aise , ; sitôt dit, elle nous quitte et revient une dizaine de minutes après : et là le choc pour max mais aussi pour moi : sous un voile transparent , Nini est en string, petit soutien-gorge sans bonnet , ses seins simplement entourés de ruban noir, avec des bas noirs retenus par un collant dans le haut ; le contraste entre les deux tenues nous frappent ; et de suite , je bande, je ne peux voir le sexe de Max d’où je suis mais je ne doute pas du résultat ; elle s’installe à côté de moi, face à Max et croissant ses jambes découvre un peu plus son intimité, à peine cachée par la bordure du string qui lui rentre dans le sillon ; Max reste sans voix, et pendant quelques secondes un silence s’installe ; afin de rompre le silence je me lève pour fermer les rideaux, par précaution pour l’entourage, je ne tiens pas à voir débarquer les autorités ; je me rassoie à coté de Nicole et tout en discutant , je lui caresse les épaules encore couvertes du voile, et comme par hasard celui glisse progressivement, découvrant la poitrine presque totalement nue ; les pointes sont saillantes et le sein gonflé de désir ; la tension est totale.
elle tend la main vers max et lui dit de venir s’assoir près d’elle ; tel un pantin, Max jaillit de son siège et prend place à côté d’elle et libéré par son geste , il commence à lui caresser le bras , pour très vite trouver le chemin de ses seins qu’il pelote alors sans vergogne, ses gestes sont d’abord désordonnés puis il prend place, ses mains courent sur le corps , et elle, posant sa tête sur ma jambe, offre alors à sa vue et à ses mains la totalité de son corps ; les mains quittent alors ses seins et se réfugient sous le string ; un doigt, puis deux, lui pénètrent son intimité et les allées et venues se font de plus en plus rapides ; pour mieux s’offrit, nini écarte ses cuisses au maximum et c’est maintenant trois doigts qui lui fouillent le ventre ; les gémissements nous stimulent, et Max maintenant écarte la chatte et essaie de faire pénétrer sa main ; elle offre alors son ventre à la pénétration et stupéfait, je m’aperçois que toute la main est à l’intérieur ; c’est la première fois que je la vois se faire fister ainsi et à entendre ses cris de jouissance, elle y prend son pied ; la main lui fouille le ventre et ressort pour y retourner ; soudain son corps se cabre et un long feulement emplit la cabine, son corps est parcouru de soubresauts tant sa jouissance est grande, puis épuisée, elle retombe sur le siège et s’endort.
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