Un conte pour adultes
Récit érotique écrit par Dede des alpes [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-09-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Un conte pour adultes
Un conte déconseillé aux enfantsPréambule : Un conte présente souvent quelques invraisemblances. Celui-ci ne déroge pas à cette règle et j’espère que vous ne m’en tiendrez pas rigueur.
Je vais vous conter l’histoire d’une pauvre veuve Maria. Pendant de nombreuses années tout allait bien pour cette femme jusqu’à la mort de son mari suite à un accident. Depuis l’argent s’est amenuisé pour cette femme, au point qu’il lui était difficile de se nourrir, de se chauffer et même de se vêtir. Elle habitait une maison qui d’année en année se dégradait. Cette toute petite masure isolée à l’orée du bois de Jouy en Josette, ne comprenait qu’une seule grande pièce qui servait de cuisine salle à manger et chambre. Meublée succinctement d’une table, quelques chaises, d’un grand buffet bas qui soutenait un petit réchaud et enfin un grand lit. Il y avait aussi une cheminée à foyer ouvert qui permettait l’hiver de brûler quelques buches ramenées de la forêt. Dans une alcôve ouverte sur cette salle on trouvait cote à cote un évier et un wc à la turc.
Il y a quelques années malgré ses difficultés financières cette veuve rencontrant plus pauvre qu’elle recueilli deux jeunes frères qui erraient dans le coin. Elle supplémentait l’alimentation de ces jeunes en les allaitant. Elle avait depuis toujours exercé jusqu’il y a peu le métier de nourrice pour enfants fortunés et n’avait jamais cessé de leur donner le sein ce qui avait évité le tarissement de ses mamelles volumineuses, toujours bien gonflées. Les jeunes adoptés la tétaient goulument chacun accroché à l’un de ses pis. C’était un réel plaisir pour cette femme que d’ouvrir généreusement son corsage (elle ne gaspillait pas son argent en soutien-gorge ni même culotte) de leur tendre ses mamelles, de sentir leur lèvres saisirent ses mamelons, qu’elle avait assez longs, et sucer, aspirer son lait toujours abondant. Actuellement l’ainé Jérôme allait atteindre ses 19 ans, le second Romain avait 18 ans mais ils prenaient, tous trois, toujours un extrême plaisir à perpétuer ce rite journalier.
Lors d’un hiver très rigoureux cette famille ne pouvait que chauffer très parcimonieusement son logis. Romain fit une remarque : « j’ai entendu dire que les alpinistes perdus pour éviter le froid se déshabillaient et se serraient tous ensembles dans un même sac de couchage. Je propose que cette nuit nous fassions un essai ». Le soir venu malgré un peu de gêne ils se mirent totalement nus et sautèrent dans le lit, Maria bien serrée entre les deux jeunes. Cet essai fut très concluant et ils prirent l’habitude de toujours dormir de cette façon. Mais les années passant les jeunes enfants devenaient des ados et maintenant je l’ai dit de jeunes hommes. L’ainé collé contre le dos de Maria, la bite coincée entre ses fesses plantureuses la sentait souvent se tendre et grossir. De même le second, visage contre les mamelles qu’il connaissait bien et sa queue enfouie dans les poils pubiens de Maria avait tendance à gonfler. Mais il fallait maintenir cette habitude plutôt agréable car l’ambiance du logis était toujours glaciale. Maria sentait bien ces changements de comportement mais ne pensait aucunement modifier ce rite qui leurs permettait de passer des nuits confortables.
L’ainé se levait souvent le premier pour allumer leur maigre chauffage et son érection matinale ne pouvait passer inaperçue des autres, surtout qu’il ne prenait pas le temps de se couvrir et nu se précipitait pour allumer le foyer. Le frugal petit déjeuner préparé, ayant passé une courte veste polaire pour se protéger de l’air encore frais il revenait vers le lit commun pour en avertir les occupants. Toujours en érection il surplombait Maria qui ne pouvait s’empêcher de remarquer les changements survenus dans cette partie de son corps. Si le jeune homme avait grandi et forci, sa bite, surtout dans son état actuel bien gonflée épaisse montrant une belle longueur, s’était bien développée. Ses grosses couilles légèrement remontées par l’érection pendaient malgré tout assez bas. Toute sa zone sexuelle était couverte de poils bruns. Son gland légèrement découvert par son prépuce rétracté montrait un méat suintant. Elle ne put s’empêcher de penser qu’un outillage comme cela ferait le bonheur de beaucoup !
-Allez debout il est l’heure de prendre votre petit déjeuner… Maria, dit-il la voyant peiner pour se redresser tu peux t’accrocher à ma queue… rigide comme elle est ce matin elle t’assurera un bon soutien!
Mais plus rapide c’est Romain qui agrippant l’appendice de son frère enjamba Maria qui ouvrait la bouche pour répondre. Passant par-dessus elle le sexe du jeune homme glissa sur les lèvres et ses bourses emplirent à demi la bouche de la femme, la bite lui heurtant l’œil. Maria fit comme si de rien n’était mais ne put s’empêcher de remarquer les changements sexuels survenus eux aussi chez Romain.
Après le petit déjeuner ils se précipitèrent tous trois dans l’alcôve pour prendre une douche rapide.
Chacun des habitants à son tour se tenait debout dans le bac du wc à la turc pendant que muni d’un arrosoir un second larron l’aspergeait parcimonieusement et que le troisième frottait vigoureusement toutes les parties du corps du premier. Maria profitait de cet instant, au moins une fois par mois, quand c’était à son tour de frotter l’un après l’autre les corps des jeunes hommes, pour contrôler leur état physique, décalottait les glands pour en vérifier la propreté, s’assurer que leur prépuce coulissait facilement, tâtait soigneusement chacune de leurs bourses pour éventuellement déceler une anomalie, les faisaient se pencher et demandait au frère d’écarter les fesses ainsi présentées pour découvrir l’anus et vérifier d’un ou deux doigts inquisiteurs qu’il restait souple et ne présentait pas d’hémorroïdes. Inutile de préciser que ces manœuvres déclenchait pratiquement toujours une belle érection que Maria se sentait obligée de calmer en les masturbant ou en les suçant selon les envies. Quand c’était à son tour de se faire doucher elle s’inquiétait bien un peu de l’insistance des frères sur ses zones sexuelles. En effet eux aussi prenaient grand soin d’examiner son bas ventre écartant les lèvres de sa moule pour s’assurer de leur netteté, eux aussi écartant ses grosses fesses s’assurant de sa propreté anale. Se considérant pratiquement comme leur mère elle satisfaisait leurs pulsions mais ne les laissait jamais l’enfiler, elle respectait certaines règles!
S’il fallait tôt le matin dans le lit qu’elle calme leurs ardeurs elle prenait grand soin lors des fellations de bien tout avale,r pour éviter de salir le drap disait-elle. A ceux qui s’étonnaient de ces pratiques elle répondait : je leur donne bien mon lait, ils peuvent bien me donner leur foutre !
Vu l’exiguïté du logement tout se passait dans la plus grande promiscuité et l’habitude aidant, sans la moindre gène d’autant plus que quand la température le permettait ils restaient tous trois totalement nus ou éventuellement passaient une veste polaire qui trop courte ne cachait pas grand-chose mais les réchauffait un peu malgré tout …Même lorsqu’elle devait uriner et s’accroupissait cuisses écartées au-dessus du trou du wc elle ne s’offusquait pas que s’asseyant au sol en face d’elle ils regardaient le jet d’urine fuser entre ses grosses lèvres vaginales. Par jeu quelques fois, elle les écartait même de ses deux mains pour qu’ils puissent voir au plus profond de son anatomie et bien repérer son méat urinaire sous un clitoris légèrement dressé par l’émotion de la situation. « Il faut bien que jeunesse s’instruise ! » disait-elle. Elle est même allée ayant besoin de déféquer, jusqu’à leurs tourner le dos, s’accroupir tenant de ses deux mains ses fesses écartées pour qu’ils scrutent ses contraction anales jusqu’à ce qu’un long boudin brun sorte de ses entrailles. Mais très gênée par cette exhibition elle ne le refit qu’une seule fois malgré la demande pressante des frères.
Lorsque tenaillée par le besoin d’une queue elle ramenait un ou deux hommes à la maison, elle demandait aux deux frères de se tenir tranquille dans un coin de la pièce pendant que les mâles la besognaient. Comme laver un drap était une vraie corvée dans le petit évier, elle préférait qu’ils copulent couchés sur le plancher ou leur présentait ses orifices allongée sur la table ou encore penchée sur le buffet. Surveillant les deux frères du coin de l’œil elle les ne leur interdisait pas de s’approcher discrètement au plus près pour assister aux ébats. » Il faut que la jeunesse s’instruise » rétorquait-elle si ses baiseurs s’en rendaient compte et protestaient quelque peu.
Un jour Jérôme ramena dans leur maison une fille qu’il avait rencontrée près du bois. Transie de froid sous sa légère et très courte robe elle fut rapidement déshabillée et frictionnée sur tout le corps par nos héros. Pendant ces manœuvres tous trois détaillaient son corps. La fille était de taille moyenne, assez maigre. Brune elle devait être métissée. Ses zones stratégiques ressortaient nettement sur sa peau peu halée : une bouche aux lèvres pulpeuses tirait sur le brun, tout comme les grandes et petites lèvres de sa chatte dont la fente placée assez haut attirait le regard, même cuisses serrées. Elle avait le clitoris un peu proéminant bien visible lui aussi car son pubis n’était couvert que de quelques rares poils et lorsque sa chatte baillait l’intérieur rose du vagin tranchait nettement sur les lèvres génitales très sombres. Sa colonne vertébrale en hyperlordose basculait un peu son bassin faisant saillir ses petites fesses vers l’arrière, on aurait dit qu’elle les offrait en permanence. Peu joufflues elles restaient naturellement écartées proposant son sphincter anal plissé d’une teinte très sombre. Je n’ai pas parlé de sa poitrine. Ses nichons peu développés mais bien fermes avait des tétons couleur caramel très longs, sans doute érigés par la fraicheur, entourés d’aréoles très brunes et très larges. On aurait dit que la nature cernant de brun soutenu tous ses orifices voulait attirer les regards ou même les bites vers ceux-ci. C’était le type de fille que l’on avait irrésistible envie de baiser.
Le trio mettant à exécution la méthode qui leur avait si bien réussi elle fut portée sur le lit, placée sur le côté. Tous se mirent nus. Jérôme se serra le plus possible contre son dos, pendant que Romain se plaçait de l’autre côté. Gênés tous deux par une érection naissante ils lui demandèrent d’écarter légèrement ses cuisses et placèrent leurs mandrins entre elles. Ils purent ainsi l’enserrer thorax ventres et fesses en étroit contact. Maria se coucha par-dessus le trio ramenant la couette sur leurs corps. Bientôt réchauffée la fille put répondre à leurs questions. Elle s’appelait Câline, avait tout juste vingt ans et les remercia de leur accueille si particulier. Lorsqu’excités par son jeune corps nos mâles au sexe de plus en plus gonflés lui demandèrent si elle était vierge elle pouffa : « Comment croyez-vous que j’ai survécu dans la rue ? C’est mon cul qui m’a permis de gagner un peu d’argent pour me nourrir ». Sans attendre Jérôme remonta son vit jusqu’à l’anus de la demoiselle pendant que Romain enfonçait sa queue dans le vagin accueillant. Ils empoignèrent tous deux un des seins de Maria qui réchauffait toujours les trois jeunes pour la téter pendant que leurs bites pénétraient les trous de la fille. Prise en double Câline ne mis pas longtemps pour se réchauffer d’autant plus que rapidement des jets de sperme chaud inondèrent ses entrailles!
-« Ce n’est pas très gentil s’écria Maria, vous pompez mon lait mais ne m’avez pas craché pas votre jus de couilles au fond de la gorge. Retirez au moins vos queues que je puisse récupérer tout ce qui suinte des trous de votre belle, les draps vont être salis ». Elle se retourna en 69 au-dessus de Câline et d’une langue agile lécha soigneusement les écoulements de toutes sortes qui suintaient des orifices de la fille. » Ah c’est très gentil de ta part dit-elle à l’intention de Câline, il y a longtemps que je n’ai pas senti une douce langue me titiller la moule et l’anus! A ce jeu là tu es une vraie experte! Je vais apprécier ta présence.
Comme vous avez pu le constater du fait de ses aventures précédentes Câline n’eut aucun mal à s’adapter aux habitudes de nos amis. La plupart du temps elle déambulait nue comme les autres dans le logis exigu, prenait la douche matinale comme eux et les deux jeunes hommes n’hésitaient pas à la saillir très souvent seul ou ensemble. Un jour que Romain bourrait Câline allongée sur le dos Jérôme impatient fut attiré par le cul de Maria qui à quatre pattes nettoyait le dessous du buffet. Un besoin irrépressible le poussa à enculer à sec la femme qui sur le coup ne protesta pas, sembla plutôt apprécier cette violente sodomie. Mais elle reprit bientôt ses esprits: Jérôme tu as enfreint notre règle, tu sais qu’il vous est interdit de pénétrer d’autres orifices que ma bouche, installes toi à plat ventre sur mes cuisses je dois te châtier. S’attendant à ce que Jérôme se mette à bander elle plaçât d’une main sûre la queue du jeune homme entre ses deux cuisses lui permettant de se développer sans entrave et sous les regards attentifs des deux autres qui sur son invitation, interrompant leur coït s’étaient approchés, elle commençât à le fesser. Câlin s’étant t opportunément glissée sous les cuisses écartées de Maria pris en bouche le vît du jeune homme et subissait avec délice les secousses imprimées au sexe par la rude fessée.
Après cette bonne correction Maria lui ordonna d’écarter largement ses fesses rougies. Elle entreprit de fourrager brutalement dans son anus, poussant Romain à faire de même jusqu’à ce qu’il éjacule dans la bouche de Câline. Maria exigea même pour parfaire la punition que Romain le sodomise à sec comme Jérôme lui avait fait. Toujours maintenu à plat ventre sur les cuisses de Maria celle-ci pour augmenter l’humiliation du jeune homme demanda à Câline de diriger et introduire elle-même la bite de Romain dans le cul offert. Cette rude leçon lui montra qu’il ne fallait pas transgresser les règles de leur communauté et il n’osa plus recommencer à pénétrer Maria.
Par contre Câline était à la fête plus souvent qu’à son tour. Maria qui assistait à ces débordements sexuels leurs conseilla de se modérer un peu. D’autant plus que pour subvenir aux besoins financiers Câline amenait souvent de jeunes étalons qui la baisaient et profitaient même de Maria toujours prête à soulager quelque mâle en souffrance! Elles avaient vagins et culs en feu, sans parler de ce qu’elles devaient avaler ;La vie de leur groupe se passait donc tranquillement mais toujours dans le dénuement lorsque Câline qui avait toujours rêvé de faire du théâtre leur proposa de se produire à la ville voisine dans de petites saynètes qu’ils imagineraient. Ces sketches que certains qualifièrent de pornographiques rencontrèrent un franc succès, d’autant plus que les spectateurs avaient la possibilité de les rejoindre sur scène pour pimenter le spectacle qui se terminait le plus souvent en gang bang, nos acteurs couverts du sperme et même de l’urine de ceux qui voulaient bien participer. Dans certaines saynètes Jérôme et Romain durent à leur plus grand plaisir vous vous en douter copuler enfin avec Maria mais attention seulement durant les représentations! Ce fut la fin d’une longue frustration. Le théâtre de la réalité crue fit leur renommée et toute la région ne parlait plus que de ces comédiens sans tabou qui donnaient le meilleur d’eux- même.
Cette réputation vint aux oreilles du prince de la région qui les invitât à se produire devant la cour en son château. Pour cette représentation connaissant la réputation sulfureuse du prince ils mirent au point les tableaux les plus osés possibles, Ils introduirent même une séquence dans laquelle un chien léchait, puis guidé par Câline pénétrait Maria qui prodiguait une fellation à Jérôme et Romain en même temps! Sous les acclamations, Maria la bouche encore pleine de sperme et les trois autres acteurs s’inclinèrent devant la cour puis se retournant cuisses largement écartées, se penchèrent genoux à demi pliés, tête basse bouche ouverte afin que tous puisses se rendre compte que tous leurs orifices laissaient déborder les sucs de leurs prestations, ce qui prouvaient que tous les actes effectués n’étaient absolument pas simulés.
Le prince enthousiasmé voulu participer à quelques représentations. Il montait sur la scène, une suivante baissait ses chausses pour que le Prince puisse saillir Câline en levrette. Maria avait demandé la permission de se glisser entre leurs cuisses pour jouir au plus près de la princière intromission et recueillir le surplus de semence qui s’écoulait des sexes imbriqués pendant l’acte. Cette séquence applaudie par le peuple heureux de voir la bite princière en pleine action fut renouvelée de nombreuses fois. Le prince envouté par les charmes et l’habileté de Câline les invitât à séjourner au château mais exigeât qu’en dehors des sketchs la science de Câline lui soit réservée. Jérôme et Romains durent accepter ces conditions mais purent se rattraper en imaginant des sketchs qui leur permettaient de profiter au maximum des orifices de la belle mais aussi des appâts des dames de la cour qui se battaient presque pour être saillies par nos jeunes étalons.
Evidemment leurs problèmes financiers n’étaient plus qu’un lointain souvenir d’autant plus que le prince avait décidé de se marier avec Câline. La cérémonie fut grandiose. Le prince seulement vêtu d’un court pourpoint les couilles relevées par un anneau d’or arborait déjà une belle érection. Il conduisait Câline totalement nue, têtons de seins ornés de pendentifs de perles et émergeant de son vagin une chaîne brillante pendante entre ses cuisses était introduite dans son anus et maintenue par un gros rosebud scintillant de milles feux. A cette chaînette étaient suspendues des boules d’argent très fin qui tintaient à chacun de ses pas vers le l’officiant. Les lèvres vaginales de la belle étaient en plus porteuses de multiples piercings. Le cérémonial officiel accompli, les mariés furent invités selon le rite royal à immédiatement copuler à la vue de tous les invités pour sceller cette union. Ce fut le signal de mémoire d’historien, de la plus grande orgie publique du royaume.
Six mois plus tard Câline vit son ventre s’arrondir ses seins se gonfler. D’après les trois mages qui l’examinèrent elle était engrossée. Ce fut une grande liesse dans le pays d’autant plus que les représentations ne furent pas interrompues. Le public venait chaque fois plus nombreux pour suivre les modifications corporelles de la jeune femme et la voir malgré son état continuer à se faire prendre dans toutes sortes de positions. Participer au spectacle, couvrir en final ce gros ventre, ces mamelles développées, ce visage accueillant de mouille, sperme ou urine devenait le clou de la soirée.
Câline toute fière fut très heureuse de convier le peuple à son accouchement. Allongée nue sur la scène théâtrale, cuisses relevées tenues par Jérôme et Romain tous purent assister à la sortie vaginale du bébé princier et la liesse fut à son comble lorsque le Prince après avoir coupé le cordon ombilical du nouveau-né d’un coup de dent, annonça que c’était un mâle! Les trois mages s’accordèrent pour déclarer que le géniteur était bien le prince. En effet depuis le mariage chaque matin tous trois examinaient soigneusement l’état du vagin, l’odeur et le goût des sécrétions pour déterminer la période de fécondation de la princesse. Pendant cette période aucune personne n’était autorisée à éjaculer dans le vagin princier, même pendant les spectacles qui je l’ai déjà dit, avaient persistés jusqu’à l’accouchement, seuls son cul et sa bouche étaient disponibles selon son bon plaisir. Deux gardes veillaient de près au respect de cette règle. Compte tenu de ces précautions le père ne pouvait être que le prince.
Quelques temps plus tard Câline incita le prince à promulguer un édit de totale liberté sexuelle qui permettait à toutes et tous de se promener au sein du royaume dans la tenue qui lui plaisait, en vêtements vaporeux, transparents, en jupe ultra courte sans aucun dessous et même totalement nus. La vente de bijoux sexuels tels anneaux de tètons, bijoux de clitoris, de bite, rosbud etc…devint un commerce lucratif. Les actes sexuels consentis pouvaient être effectués n’importe où, magasins, bars parcs et voies publiques. Les gays, bisexuels ou autres catégories pouvaient s’enculer où bon leur semble sans risquer les foudres de la loi. Le royaume devint le paradis de la liberté ce qui attirant beaucoup de touristes fit la prospérité du royaume. Hormis quelques pisse-vinaigre tout le peuple n’eut qu’à se louer des décisions initiées par nos amis. Mais la natalité augmenta fortement à tel point que l’état incita les femelles à la sodomie plutôt qu’au coït classique.
La morale de ce conte exemplaire démontre que « ceux qui ne sont rien » lorsqu’ils donnent d’eux-mêmes, avec un peu de chance, peuvent s’en sortir haut la main (haut la queue oserai-je ajouter !) Il ne faut jamais désespérer de sa situation et ne pas hésiter à tout donner de soi, même son cul pour y parvenir. Une petite jeune fille sortie de la rue, qui a su sublimer ses talents érotiques a pu changer les mœurs de toute une région !
Je vais vous conter l’histoire d’une pauvre veuve Maria. Pendant de nombreuses années tout allait bien pour cette femme jusqu’à la mort de son mari suite à un accident. Depuis l’argent s’est amenuisé pour cette femme, au point qu’il lui était difficile de se nourrir, de se chauffer et même de se vêtir. Elle habitait une maison qui d’année en année se dégradait. Cette toute petite masure isolée à l’orée du bois de Jouy en Josette, ne comprenait qu’une seule grande pièce qui servait de cuisine salle à manger et chambre. Meublée succinctement d’une table, quelques chaises, d’un grand buffet bas qui soutenait un petit réchaud et enfin un grand lit. Il y avait aussi une cheminée à foyer ouvert qui permettait l’hiver de brûler quelques buches ramenées de la forêt. Dans une alcôve ouverte sur cette salle on trouvait cote à cote un évier et un wc à la turc.
Il y a quelques années malgré ses difficultés financières cette veuve rencontrant plus pauvre qu’elle recueilli deux jeunes frères qui erraient dans le coin. Elle supplémentait l’alimentation de ces jeunes en les allaitant. Elle avait depuis toujours exercé jusqu’il y a peu le métier de nourrice pour enfants fortunés et n’avait jamais cessé de leur donner le sein ce qui avait évité le tarissement de ses mamelles volumineuses, toujours bien gonflées. Les jeunes adoptés la tétaient goulument chacun accroché à l’un de ses pis. C’était un réel plaisir pour cette femme que d’ouvrir généreusement son corsage (elle ne gaspillait pas son argent en soutien-gorge ni même culotte) de leur tendre ses mamelles, de sentir leur lèvres saisirent ses mamelons, qu’elle avait assez longs, et sucer, aspirer son lait toujours abondant. Actuellement l’ainé Jérôme allait atteindre ses 19 ans, le second Romain avait 18 ans mais ils prenaient, tous trois, toujours un extrême plaisir à perpétuer ce rite journalier.
Lors d’un hiver très rigoureux cette famille ne pouvait que chauffer très parcimonieusement son logis. Romain fit une remarque : « j’ai entendu dire que les alpinistes perdus pour éviter le froid se déshabillaient et se serraient tous ensembles dans un même sac de couchage. Je propose que cette nuit nous fassions un essai ». Le soir venu malgré un peu de gêne ils se mirent totalement nus et sautèrent dans le lit, Maria bien serrée entre les deux jeunes. Cet essai fut très concluant et ils prirent l’habitude de toujours dormir de cette façon. Mais les années passant les jeunes enfants devenaient des ados et maintenant je l’ai dit de jeunes hommes. L’ainé collé contre le dos de Maria, la bite coincée entre ses fesses plantureuses la sentait souvent se tendre et grossir. De même le second, visage contre les mamelles qu’il connaissait bien et sa queue enfouie dans les poils pubiens de Maria avait tendance à gonfler. Mais il fallait maintenir cette habitude plutôt agréable car l’ambiance du logis était toujours glaciale. Maria sentait bien ces changements de comportement mais ne pensait aucunement modifier ce rite qui leurs permettait de passer des nuits confortables.
L’ainé se levait souvent le premier pour allumer leur maigre chauffage et son érection matinale ne pouvait passer inaperçue des autres, surtout qu’il ne prenait pas le temps de se couvrir et nu se précipitait pour allumer le foyer. Le frugal petit déjeuner préparé, ayant passé une courte veste polaire pour se protéger de l’air encore frais il revenait vers le lit commun pour en avertir les occupants. Toujours en érection il surplombait Maria qui ne pouvait s’empêcher de remarquer les changements survenus dans cette partie de son corps. Si le jeune homme avait grandi et forci, sa bite, surtout dans son état actuel bien gonflée épaisse montrant une belle longueur, s’était bien développée. Ses grosses couilles légèrement remontées par l’érection pendaient malgré tout assez bas. Toute sa zone sexuelle était couverte de poils bruns. Son gland légèrement découvert par son prépuce rétracté montrait un méat suintant. Elle ne put s’empêcher de penser qu’un outillage comme cela ferait le bonheur de beaucoup !
-Allez debout il est l’heure de prendre votre petit déjeuner… Maria, dit-il la voyant peiner pour se redresser tu peux t’accrocher à ma queue… rigide comme elle est ce matin elle t’assurera un bon soutien!
Mais plus rapide c’est Romain qui agrippant l’appendice de son frère enjamba Maria qui ouvrait la bouche pour répondre. Passant par-dessus elle le sexe du jeune homme glissa sur les lèvres et ses bourses emplirent à demi la bouche de la femme, la bite lui heurtant l’œil. Maria fit comme si de rien n’était mais ne put s’empêcher de remarquer les changements sexuels survenus eux aussi chez Romain.
Après le petit déjeuner ils se précipitèrent tous trois dans l’alcôve pour prendre une douche rapide.
Chacun des habitants à son tour se tenait debout dans le bac du wc à la turc pendant que muni d’un arrosoir un second larron l’aspergeait parcimonieusement et que le troisième frottait vigoureusement toutes les parties du corps du premier. Maria profitait de cet instant, au moins une fois par mois, quand c’était à son tour de frotter l’un après l’autre les corps des jeunes hommes, pour contrôler leur état physique, décalottait les glands pour en vérifier la propreté, s’assurer que leur prépuce coulissait facilement, tâtait soigneusement chacune de leurs bourses pour éventuellement déceler une anomalie, les faisaient se pencher et demandait au frère d’écarter les fesses ainsi présentées pour découvrir l’anus et vérifier d’un ou deux doigts inquisiteurs qu’il restait souple et ne présentait pas d’hémorroïdes. Inutile de préciser que ces manœuvres déclenchait pratiquement toujours une belle érection que Maria se sentait obligée de calmer en les masturbant ou en les suçant selon les envies. Quand c’était à son tour de se faire doucher elle s’inquiétait bien un peu de l’insistance des frères sur ses zones sexuelles. En effet eux aussi prenaient grand soin d’examiner son bas ventre écartant les lèvres de sa moule pour s’assurer de leur netteté, eux aussi écartant ses grosses fesses s’assurant de sa propreté anale. Se considérant pratiquement comme leur mère elle satisfaisait leurs pulsions mais ne les laissait jamais l’enfiler, elle respectait certaines règles!
S’il fallait tôt le matin dans le lit qu’elle calme leurs ardeurs elle prenait grand soin lors des fellations de bien tout avale,r pour éviter de salir le drap disait-elle. A ceux qui s’étonnaient de ces pratiques elle répondait : je leur donne bien mon lait, ils peuvent bien me donner leur foutre !
Vu l’exiguïté du logement tout se passait dans la plus grande promiscuité et l’habitude aidant, sans la moindre gène d’autant plus que quand la température le permettait ils restaient tous trois totalement nus ou éventuellement passaient une veste polaire qui trop courte ne cachait pas grand-chose mais les réchauffait un peu malgré tout …Même lorsqu’elle devait uriner et s’accroupissait cuisses écartées au-dessus du trou du wc elle ne s’offusquait pas que s’asseyant au sol en face d’elle ils regardaient le jet d’urine fuser entre ses grosses lèvres vaginales. Par jeu quelques fois, elle les écartait même de ses deux mains pour qu’ils puissent voir au plus profond de son anatomie et bien repérer son méat urinaire sous un clitoris légèrement dressé par l’émotion de la situation. « Il faut bien que jeunesse s’instruise ! » disait-elle. Elle est même allée ayant besoin de déféquer, jusqu’à leurs tourner le dos, s’accroupir tenant de ses deux mains ses fesses écartées pour qu’ils scrutent ses contraction anales jusqu’à ce qu’un long boudin brun sorte de ses entrailles. Mais très gênée par cette exhibition elle ne le refit qu’une seule fois malgré la demande pressante des frères.
Lorsque tenaillée par le besoin d’une queue elle ramenait un ou deux hommes à la maison, elle demandait aux deux frères de se tenir tranquille dans un coin de la pièce pendant que les mâles la besognaient. Comme laver un drap était une vraie corvée dans le petit évier, elle préférait qu’ils copulent couchés sur le plancher ou leur présentait ses orifices allongée sur la table ou encore penchée sur le buffet. Surveillant les deux frères du coin de l’œil elle les ne leur interdisait pas de s’approcher discrètement au plus près pour assister aux ébats. » Il faut que la jeunesse s’instruise » rétorquait-elle si ses baiseurs s’en rendaient compte et protestaient quelque peu.
Un jour Jérôme ramena dans leur maison une fille qu’il avait rencontrée près du bois. Transie de froid sous sa légère et très courte robe elle fut rapidement déshabillée et frictionnée sur tout le corps par nos héros. Pendant ces manœuvres tous trois détaillaient son corps. La fille était de taille moyenne, assez maigre. Brune elle devait être métissée. Ses zones stratégiques ressortaient nettement sur sa peau peu halée : une bouche aux lèvres pulpeuses tirait sur le brun, tout comme les grandes et petites lèvres de sa chatte dont la fente placée assez haut attirait le regard, même cuisses serrées. Elle avait le clitoris un peu proéminant bien visible lui aussi car son pubis n’était couvert que de quelques rares poils et lorsque sa chatte baillait l’intérieur rose du vagin tranchait nettement sur les lèvres génitales très sombres. Sa colonne vertébrale en hyperlordose basculait un peu son bassin faisant saillir ses petites fesses vers l’arrière, on aurait dit qu’elle les offrait en permanence. Peu joufflues elles restaient naturellement écartées proposant son sphincter anal plissé d’une teinte très sombre. Je n’ai pas parlé de sa poitrine. Ses nichons peu développés mais bien fermes avait des tétons couleur caramel très longs, sans doute érigés par la fraicheur, entourés d’aréoles très brunes et très larges. On aurait dit que la nature cernant de brun soutenu tous ses orifices voulait attirer les regards ou même les bites vers ceux-ci. C’était le type de fille que l’on avait irrésistible envie de baiser.
Le trio mettant à exécution la méthode qui leur avait si bien réussi elle fut portée sur le lit, placée sur le côté. Tous se mirent nus. Jérôme se serra le plus possible contre son dos, pendant que Romain se plaçait de l’autre côté. Gênés tous deux par une érection naissante ils lui demandèrent d’écarter légèrement ses cuisses et placèrent leurs mandrins entre elles. Ils purent ainsi l’enserrer thorax ventres et fesses en étroit contact. Maria se coucha par-dessus le trio ramenant la couette sur leurs corps. Bientôt réchauffée la fille put répondre à leurs questions. Elle s’appelait Câline, avait tout juste vingt ans et les remercia de leur accueille si particulier. Lorsqu’excités par son jeune corps nos mâles au sexe de plus en plus gonflés lui demandèrent si elle était vierge elle pouffa : « Comment croyez-vous que j’ai survécu dans la rue ? C’est mon cul qui m’a permis de gagner un peu d’argent pour me nourrir ». Sans attendre Jérôme remonta son vit jusqu’à l’anus de la demoiselle pendant que Romain enfonçait sa queue dans le vagin accueillant. Ils empoignèrent tous deux un des seins de Maria qui réchauffait toujours les trois jeunes pour la téter pendant que leurs bites pénétraient les trous de la fille. Prise en double Câline ne mis pas longtemps pour se réchauffer d’autant plus que rapidement des jets de sperme chaud inondèrent ses entrailles!
-« Ce n’est pas très gentil s’écria Maria, vous pompez mon lait mais ne m’avez pas craché pas votre jus de couilles au fond de la gorge. Retirez au moins vos queues que je puisse récupérer tout ce qui suinte des trous de votre belle, les draps vont être salis ». Elle se retourna en 69 au-dessus de Câline et d’une langue agile lécha soigneusement les écoulements de toutes sortes qui suintaient des orifices de la fille. » Ah c’est très gentil de ta part dit-elle à l’intention de Câline, il y a longtemps que je n’ai pas senti une douce langue me titiller la moule et l’anus! A ce jeu là tu es une vraie experte! Je vais apprécier ta présence.
Comme vous avez pu le constater du fait de ses aventures précédentes Câline n’eut aucun mal à s’adapter aux habitudes de nos amis. La plupart du temps elle déambulait nue comme les autres dans le logis exigu, prenait la douche matinale comme eux et les deux jeunes hommes n’hésitaient pas à la saillir très souvent seul ou ensemble. Un jour que Romain bourrait Câline allongée sur le dos Jérôme impatient fut attiré par le cul de Maria qui à quatre pattes nettoyait le dessous du buffet. Un besoin irrépressible le poussa à enculer à sec la femme qui sur le coup ne protesta pas, sembla plutôt apprécier cette violente sodomie. Mais elle reprit bientôt ses esprits: Jérôme tu as enfreint notre règle, tu sais qu’il vous est interdit de pénétrer d’autres orifices que ma bouche, installes toi à plat ventre sur mes cuisses je dois te châtier. S’attendant à ce que Jérôme se mette à bander elle plaçât d’une main sûre la queue du jeune homme entre ses deux cuisses lui permettant de se développer sans entrave et sous les regards attentifs des deux autres qui sur son invitation, interrompant leur coït s’étaient approchés, elle commençât à le fesser. Câlin s’étant t opportunément glissée sous les cuisses écartées de Maria pris en bouche le vît du jeune homme et subissait avec délice les secousses imprimées au sexe par la rude fessée.
Après cette bonne correction Maria lui ordonna d’écarter largement ses fesses rougies. Elle entreprit de fourrager brutalement dans son anus, poussant Romain à faire de même jusqu’à ce qu’il éjacule dans la bouche de Câline. Maria exigea même pour parfaire la punition que Romain le sodomise à sec comme Jérôme lui avait fait. Toujours maintenu à plat ventre sur les cuisses de Maria celle-ci pour augmenter l’humiliation du jeune homme demanda à Câline de diriger et introduire elle-même la bite de Romain dans le cul offert. Cette rude leçon lui montra qu’il ne fallait pas transgresser les règles de leur communauté et il n’osa plus recommencer à pénétrer Maria.
Par contre Câline était à la fête plus souvent qu’à son tour. Maria qui assistait à ces débordements sexuels leurs conseilla de se modérer un peu. D’autant plus que pour subvenir aux besoins financiers Câline amenait souvent de jeunes étalons qui la baisaient et profitaient même de Maria toujours prête à soulager quelque mâle en souffrance! Elles avaient vagins et culs en feu, sans parler de ce qu’elles devaient avaler ;La vie de leur groupe se passait donc tranquillement mais toujours dans le dénuement lorsque Câline qui avait toujours rêvé de faire du théâtre leur proposa de se produire à la ville voisine dans de petites saynètes qu’ils imagineraient. Ces sketches que certains qualifièrent de pornographiques rencontrèrent un franc succès, d’autant plus que les spectateurs avaient la possibilité de les rejoindre sur scène pour pimenter le spectacle qui se terminait le plus souvent en gang bang, nos acteurs couverts du sperme et même de l’urine de ceux qui voulaient bien participer. Dans certaines saynètes Jérôme et Romain durent à leur plus grand plaisir vous vous en douter copuler enfin avec Maria mais attention seulement durant les représentations! Ce fut la fin d’une longue frustration. Le théâtre de la réalité crue fit leur renommée et toute la région ne parlait plus que de ces comédiens sans tabou qui donnaient le meilleur d’eux- même.
Cette réputation vint aux oreilles du prince de la région qui les invitât à se produire devant la cour en son château. Pour cette représentation connaissant la réputation sulfureuse du prince ils mirent au point les tableaux les plus osés possibles, Ils introduirent même une séquence dans laquelle un chien léchait, puis guidé par Câline pénétrait Maria qui prodiguait une fellation à Jérôme et Romain en même temps! Sous les acclamations, Maria la bouche encore pleine de sperme et les trois autres acteurs s’inclinèrent devant la cour puis se retournant cuisses largement écartées, se penchèrent genoux à demi pliés, tête basse bouche ouverte afin que tous puisses se rendre compte que tous leurs orifices laissaient déborder les sucs de leurs prestations, ce qui prouvaient que tous les actes effectués n’étaient absolument pas simulés.
Le prince enthousiasmé voulu participer à quelques représentations. Il montait sur la scène, une suivante baissait ses chausses pour que le Prince puisse saillir Câline en levrette. Maria avait demandé la permission de se glisser entre leurs cuisses pour jouir au plus près de la princière intromission et recueillir le surplus de semence qui s’écoulait des sexes imbriqués pendant l’acte. Cette séquence applaudie par le peuple heureux de voir la bite princière en pleine action fut renouvelée de nombreuses fois. Le prince envouté par les charmes et l’habileté de Câline les invitât à séjourner au château mais exigeât qu’en dehors des sketchs la science de Câline lui soit réservée. Jérôme et Romains durent accepter ces conditions mais purent se rattraper en imaginant des sketchs qui leur permettaient de profiter au maximum des orifices de la belle mais aussi des appâts des dames de la cour qui se battaient presque pour être saillies par nos jeunes étalons.
Evidemment leurs problèmes financiers n’étaient plus qu’un lointain souvenir d’autant plus que le prince avait décidé de se marier avec Câline. La cérémonie fut grandiose. Le prince seulement vêtu d’un court pourpoint les couilles relevées par un anneau d’or arborait déjà une belle érection. Il conduisait Câline totalement nue, têtons de seins ornés de pendentifs de perles et émergeant de son vagin une chaîne brillante pendante entre ses cuisses était introduite dans son anus et maintenue par un gros rosebud scintillant de milles feux. A cette chaînette étaient suspendues des boules d’argent très fin qui tintaient à chacun de ses pas vers le l’officiant. Les lèvres vaginales de la belle étaient en plus porteuses de multiples piercings. Le cérémonial officiel accompli, les mariés furent invités selon le rite royal à immédiatement copuler à la vue de tous les invités pour sceller cette union. Ce fut le signal de mémoire d’historien, de la plus grande orgie publique du royaume.
Six mois plus tard Câline vit son ventre s’arrondir ses seins se gonfler. D’après les trois mages qui l’examinèrent elle était engrossée. Ce fut une grande liesse dans le pays d’autant plus que les représentations ne furent pas interrompues. Le public venait chaque fois plus nombreux pour suivre les modifications corporelles de la jeune femme et la voir malgré son état continuer à se faire prendre dans toutes sortes de positions. Participer au spectacle, couvrir en final ce gros ventre, ces mamelles développées, ce visage accueillant de mouille, sperme ou urine devenait le clou de la soirée.
Câline toute fière fut très heureuse de convier le peuple à son accouchement. Allongée nue sur la scène théâtrale, cuisses relevées tenues par Jérôme et Romain tous purent assister à la sortie vaginale du bébé princier et la liesse fut à son comble lorsque le Prince après avoir coupé le cordon ombilical du nouveau-né d’un coup de dent, annonça que c’était un mâle! Les trois mages s’accordèrent pour déclarer que le géniteur était bien le prince. En effet depuis le mariage chaque matin tous trois examinaient soigneusement l’état du vagin, l’odeur et le goût des sécrétions pour déterminer la période de fécondation de la princesse. Pendant cette période aucune personne n’était autorisée à éjaculer dans le vagin princier, même pendant les spectacles qui je l’ai déjà dit, avaient persistés jusqu’à l’accouchement, seuls son cul et sa bouche étaient disponibles selon son bon plaisir. Deux gardes veillaient de près au respect de cette règle. Compte tenu de ces précautions le père ne pouvait être que le prince.
Quelques temps plus tard Câline incita le prince à promulguer un édit de totale liberté sexuelle qui permettait à toutes et tous de se promener au sein du royaume dans la tenue qui lui plaisait, en vêtements vaporeux, transparents, en jupe ultra courte sans aucun dessous et même totalement nus. La vente de bijoux sexuels tels anneaux de tètons, bijoux de clitoris, de bite, rosbud etc…devint un commerce lucratif. Les actes sexuels consentis pouvaient être effectués n’importe où, magasins, bars parcs et voies publiques. Les gays, bisexuels ou autres catégories pouvaient s’enculer où bon leur semble sans risquer les foudres de la loi. Le royaume devint le paradis de la liberté ce qui attirant beaucoup de touristes fit la prospérité du royaume. Hormis quelques pisse-vinaigre tout le peuple n’eut qu’à se louer des décisions initiées par nos amis. Mais la natalité augmenta fortement à tel point que l’état incita les femelles à la sodomie plutôt qu’au coït classique.
La morale de ce conte exemplaire démontre que « ceux qui ne sont rien » lorsqu’ils donnent d’eux-mêmes, avec un peu de chance, peuvent s’en sortir haut la main (haut la queue oserai-je ajouter !) Il ne faut jamais désespérer de sa situation et ne pas hésiter à tout donner de soi, même son cul pour y parvenir. Une petite jeune fille sortie de la rue, qui a su sublimer ses talents érotiques a pu changer les mœurs de toute une région !
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