Un coup pour toi, un coup pour moi ! - histoire érotique

Corinne est collée nue contre moi, on vient de faire l'amour passionnément.

"Hummm ! C'était bon, ça fait du bien ! J'en avais besoin !".
"Moi aussi ! On le fait souvent, mais je m'en lasse pas !".

"Moi aussi ! Même si j'adore baiser avec les autres, c'est différent avec toi !".
"C'est normal ! On s'aime ! Mais dis-moi, tu t'es jamais attachée à un de tes amants ?".
"Non ! Jamais ! Je m'entend mieux avec certains, mais c'est tout !".
"Une amitié sexuelle, en quelque sorte !".
"Voilà !".

"Tu as des plans en ce moment ?".
"J'ai tchatté avec un homme, on s'est vus à l'hôtel, c'etait bien ! Mais j'aimerai le faire venir ici, si ça te déranges pas !".

"Pas du tout ! Mais quand ?".
"Demain ! En début d'après-midi ! Peut être avant !".
"Pas de souci, ça le gênera pas que je sois présent au début ?".
"Il m'a dit que non, il sait que tu sais ! Et toi tu as quelqu'un?".
"Je revois Gilles, de temps en temps ! On se redécouvre ! C'est de mieux en mieux !".

On s'embrasse fougueusement, puis nous sombrons dans un profond sommeil.

Le lendemain matin, je m'occupe de mes clients, en essayant de ne pas révéler que j'ai avalé le sperme de Phil, l'ami de Gilles, avant l'ouverture.

Puis, je me restaure chez moi, avec Corinne.
Vers 13h45, son nouveau complice arrive.

Malgré tout, il n'arrive pas à cacher une certaine gêne.
Je décide de partir sans attendre, et les laisser tranquilles, je dois ouvrir à 14 h !

En partant, je vois ma belle, se lover contre le torse de l'homme, en dirigeant sa main vers sa queue.

"Bon ! Amusez-vous bien !".
"Merci, Pascal !". Me réponds son nouvel amant, avant d'embrasser Corinne.

J'avoue que j'ai eu du mal à penser à autre chose qu'à ma femme, entrain de jouir avec son nouvel amant !
Vers 19 h30, je rentre à la maison, pensant la trouver épanouie, en préparant le repas du soir.
Mais je dois me rendre à l'évidence, ce n'est pas le cas !

Je me dirige vers la chambre et vois ma belle allongée sur le ventre, et endormie.

Son amant est encore nu près d'elle, sa grosse verge est courbée sur son ventre, une belle dose de sperme, sous le gland.
Je ne peux m'empêcher de constater la béance de son anus, d'où coule l'apparente insémination abondante qu'il lui a mis.

Mon arrivée la réveille.

"Tu es là ? Mais quelle heure, il est ?".
"7 h et demi !".
"Non ? Hummm ! Tant pis, c'était trop bon ! Pas vrai, Fabien ?".

"C'était super, ma belle ! Merci Pascal ! C'est un peu grâce à toi ! t'es sûr ? Ca te gênes pas ?".
"Non ! Pas du tout ! Au contraire ! J'y ai pris gout ! Mais comment ça se fait que vous avez baisé aussi longtemps ?".

"On a été dérangés par ma mère, il a du se cacher dans la chambre, il allait jouir en plus ! Et après, on a eu du mal à s'y remettre ! il était bloqué !".
"Je vois ! C'est pour ça qu'il y a autant de sperme !".

Elle se cambre pour essayer de voir son cul, puis laisse échapper une flatulence.

"Tu m'en veux pas, si je lui ai demandé de m'enculer ? Tu sais que j'aime ça !".
"Non, mon amour, il t'appartient ! Tu fais ce que tu veux avec ! C'était bon ?".
"Hummm ! Parfait ! Il m'a bien fait jouir !".

Je souris à Fabien, qui est fier de sa prestation en entendant ma belle.

Le lendemain, je suis encore sous l'effet du cul de ma belle, rempli du foutre de Fabien.
Phil n'est pas venu se faire sucer, quel dommage !
Je n'aurai pas été aussi frustré, si je n'avais rien vu du tout !

Pendant la journée, j'ai un appel de Fabien:

"Salut Pascal ! C'est Fabien ! Je te déranges pas ?".
"Non, Je suis seul dans la boutique, c'est Corinne qui t'a passé le numéro ?".
"Oui, je viens de l'appeler ! Je voudrais passer, tout à l'heure, mais je préfère te demander d'abord !".
"C'est sympa de ta part ! Aucun souci ! Mais elle t'attend pour quelle heure ?".
"Après le boulot ! Mais, j'arriverai vers 18 h 30 !".
"Ok, c'est parfait !".

C'est justement l'heure à laquelle Gilles débarque dans ma boutique en disant:

"Putain, il y a pas un chat dans les rues ! Ils sont surement devant le match !".
"C'est ça ! C'est long pour moi ! J'en ai marre !".
"Allez fermes ! Comme ça, je te baise maintenant !".

J'hésite, puis je pense comme lui. Il me palpe les fesses pendant que je baisse le rideau métallique.

"Hummm ! C'est à moi ça ! Je le baise quand je veux !".
"Tu t'en lasses pas ?".

Il me redresse en me prenant face à lui, par les lobes fessiers, serrés dans ses mains puissantes.
Je me laisse embrasser longuement, puis il me demande:

"Dis moi que ta chatte m'appartient !".

Mes yeux brillent, je souris en lui confirmant:

"Oui, chéri, elle est à toi ! C'est toi qui la baise le plus et le mieux !".
"Hummm ! Va m'attendre avec le cul en bombe dans l'arrière boutique ! Je me déshabille ici ! Tu m'appelles quand t'es prêt !".

Je m'exécute, il me rejoint et me voit nu, allongé sur le ventre, contre le canapé avec les genoux au sol.

"Ouais, comme ça ! T'es ma p'tite salope, tu le sais ?".
"Oui, je sais !".

S'en suis un dialogue sexuel, pendant qu'il se place derrière moi et me pénètre patiemment.

Je ressens un bien être énorme, quand son gland vient s'insérer en moi, au plus profond de mon cul.

"Arhhhh ! Putain, je crois que tu tombes à pic, c'est ce qu'il me fallait !".
"Elle t'as manqué ma bite ?".
"Orhhhh ! Oui ! Fais moi jouir, maintenant ! J'en ai besoin !".
"Hummm ! Avec plaisir ! Mon bébé ! Tu veux comme ça ?".

Il me transperce d'un coup sec et profond.

"Arghhhhhhhhhhh ! Oui, comme ça !".

Il coulisse en prenant de l'amplitude et de la puissance.
Le plaisir anal me gagne très rapidement, je lui déclare mon bonheur de l'avoir comme amant.
Je me sens chanceux d'avoir sa préférence.

"Arghhhhhhhhhhh ! Gilles ! Tu m'encules trop bien, elle est à toi ma chatte ! Défonces là ! Arghhhhhhhhhhh !".

Notre dialogue devient encore plus pervers, il me défonce copieusement.
Je me place au dessus de lui pour lui montrer à quel point, j'aime sa bite et baiser avec lui.
Il m'insulte pendant que je me détruis sur lui.

J'inonde ses couilles avec mon jus anal.
Il me dit qu'il adore ça !

Puis, il me pilonne sur le canapé, en me faisant face.
On s'embrasse souvent en mêlant nos râles de plaisir.
Je ne compte plus mes orgasmes anaux.

Ensuite, il me tourne encore pour m'enculer comme une pute, par derrière.
Je sens qu'il va éjaculer enfin, je me masturbe pour l'accompagner.

J'aime entendre les claquements qu'il provoque, en me baisant avec fougue.

"Arghhhhhhhhhhhh ! Pascal ! Je te rempli la chatte ! Arghhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhh !".

Je suis saisi d'un plaisir cérébral énorme, j'aime recevoir son insémination.
Je m'agite plus rapidement sur ma queue.

Il sort de mon anus et prend un immense plaisir à glisser sa queue en moi, en utilisant son foutre.
Il admire son gros et long sexe pollué de son jus.

Sa grosse verge qui coulisse dans mon cul, sans précipitation, nous procure un plaisir partagé.

"Je veux que tu jouisses, toi aussi ! Mon chaton !".

Je lui réponds:

"Arghhhhhhhhhhh ! Alors continues plus fort, je vais venir moi aussi !".

Il reprend un rythme plus intense et profond, jusqu'à me faire exploser d'un double orgasme anal et pénien.

"Oui ! Viens, mon chaton, tu aimes jouir avec ma bite dans le cul ! Ca te plais ça !".
"Arghhhhhhhhhhh ! Oui ! C'est si fort ! Chéri ! Arghhhhhhhhhhh !".
"J'adore te faire ça, moi aussi ! Tu m'excites trop Pascal !".

Il recule, je me tourne, et nous nous emboitons encore, en nous embrassant sensuellement.

"Hummm, j'ai bien joui ! Merci Gilles ! J'en avais besoin !".
"Tant que ça ?".

"Oui, je sais pas pourquoi, mais quand Corinne baise avec un autre homme, j'aime me faire prendre, moi aussi !".
"Elle a baisé avec un mec ?".
"Oui, je suis arrivé juste à temps pour voir son cul plein de foutre !".
"C'est chaud ! Pas évident de chasser l'image ! Non ?".

"T'as tout compris ! Bon, je dois rentrer ! Son amant passe encore ce soir ! Justement !".
"Tu vas participer ?".
"Non, je pense pas, tu m'as bien soulagé ! Merci, Tu reviens bientôt j'espère !".
"Oui, t'inquiètes ! Je suis trop accroc à ta chatte !".
"Ah bon, et moi ?".
"Toi ! Tu vas avec ! Tu sais que je t'adore !".

Lorsque je passe la porte d'entrée, vers 20 h, je suis accueilli par les gémissements étouffés de Corinne.
Je nous enferme, puis assiste à une fellation passionnée de ma belle.

Elle se régale littéralement de la large verge de Fabien, ses yeux fermés, alors qu'elle a le visage déformé par sa bite dans sa gorge, en dit long sur son plaisir de le sucer.

Fabien me fait un signe de la tête, je comprend qu'il ne puisse pas vraiment me dire bonsoir !
Il accompagne ma belle avec ses mains, il a l'air d'aimer la pipe gourmande de ma femme !

Elle remonte ses lèvres, pour lui lécher le gland en ouvrant les yeux.

"Tu es là ? Mon bébé ! On t'a pas attendu, tu nous en veux pas ? Tu peux finir de m'enlever ma culotte et le reste !".

J'attrape son string, à mi chemin sur ses cuisses, au même niveau que sa jupe, puis fait glisser le tout, en lui laissant ses bas de dentelles noirs et ses talons aiguilles.

Je la libère de son chemisier, à demi ouvert, et de son soutien gorge, qui ne couvre plus ses seins gonflés d'envie.

Fabien la redresse et la conduit au dessus de sa bite.
Elle la saisit entre ses doigts et la dirige vers son vagin.

En la voyant se pâmer en se plantant sur lui, je me rassure en pensant à ses exigences sur internet: "Test HIV obligatoire !".

Finalement, c'est bien que Gilles m'ai baisé avant de venir ! Sinon, j'aurai eu une érection impossible à tenir !
Mon éjaculation est toute fraiche ! Mais la voir onduler du bassin sur sa large bite, me rend dingue ! J'aime la voir baiser avec un autre homme !

Elle se cambre pour lui donner ses seins a dévorer.
Il s'en donne à cœur joie, tout en saisissant sa croupe à pleine mains, pour l'empaler encore et encore.

Elle crie très vite son premier orgasme en ma présence.
Pour aider Fabien à accepter ma présence, elle m'inclut dans ses commentaires pervers.

"Arhhhhh ! Mon bébé ! Tu vois comme il la baise bien ta salope ? Je t'ai pas dit que j'adorai sa queue ! Regardes comme il m'éclate la chatte ! Arghhhhhhhhhh ! Je vais encore jouir ! Arghhhhhhhhh !".

Après son deuxième nirvana sexuel, elle se décale pour se placer en levrette.

Fabien se relève en arborant sa magnifique bite tendue à l'extrême et reluisante de jus vaginal de ma belle.

Les joutes verbales continuent, Fabien se lâche enfin.

"Putain, j'adore la défoncer ta salope de femme ! Quelle chienne !".

En le voyant la secouer et lui claquer le cul, je repense à Gilles qui vient de me baiser de la même manière.
Je ressens encore du plaisir dans ma prostate, leur baise réveille mes sensations.

Leurs râles font mon bonheur, j'aime les voir s'éclater ensemble.

Ils se calment un peu, le temps d'une interminable fellation, puis il la cale contre un meuble.
Il commence à la baiser en s'accrochant à ses fesses.

Je le voit lui susurrer des mots à l'oreille en la baisant.

"Mon amour, il a envie de m'enculer, mais il ose pas ! Dis-lui que je fais ce que je veux de mon cul !".
"Ben ! Il le sait déjà ! Je te l'ai dit l'autre jour ! Devant lui !".
"Tu vois ! Encules-moi, je veux jouir par là aussi !".

Il la baisse un peu, ce qui la pousse à prendre appui contre le meuble, à l'équerre.
Il utilise sa lubrification vaginale au début, puis sa salive pour la pénétrer.

Elle pousse un long râle lorsqu'il s'insère en elle.
Je commence à rebander, puis de plus en plus fort, quand il entame sa destruction anale.

"Arghhhhhhhhhhhh ! Arhhhhh ! Arhhhhh ! Bébé ! il me casse le cul ! Arhhhhh ! Arhhhhh ! Je vais prendre mon pied ! Arhhhhh ! Arhhhhh ! ...".

C'est lorsqu'elle lâche un interminable râle, plus long que les autres, que je comprend qu'elle a atteint son premier véritable orgasme anal.

Elle se laisse démonter l'anus, toute pantelante, puis il la cale contre le dossier du canapé.
Il la démonte encore et encore, lui procurant d'autres envolées de plaisir.

Je n'en peux plus, je déballe ma bite et me glisse sous son visage.
Elle me prend en bouche, je sens les assauts de Fabien sur ma queue, pendant qu'il lui burine le cul.
J'aime la voir jouir analement, avec ma verge dans sa gorge.

Je lui parle crûment, elle gémit son plaisir, puis Fabien crie son orgasme éjaculatoire en la couvrant de mots crus et de mots plus tendres.

Je craque sous la pression de toute cette excitation.
Je lâche mon jus sans la prévenir, elle est d'abord surprise, puis gémit fortement en avalant mon foutre avec gourmandise.

Je joui en voyant Fabien qui continue de se déverser dans son anus, si accueillant.

"Orhhh ! Putain ! Quelle salope ! J'adore ta femme Pascal ! Elle m'épuise, mais j'adore ça !".

Il lui caresse le dos avec sensualité.

"T'as aimé ma belle ?".
"Hummm ! J'ai adoré ! En plus, j'ai eu le sperme de mon homme ! Que demander de plus ?".
"Vous êtes un super couple tous les deux ! Changez rien !".

Comme l'heure du repas à été repoussée pour la baise, il insiste pour nous commander des Pizzas.
On se restaure après une douche, pendant laquelle Corinne me demande la raison de mon retard.

"Gilles est venu me voir !".
"Il t'a baisé ?".
"Chht ! Moins fort ! Oui !".
"C'est super, je me sens moins coupable du plaisir que j'ai pris, alors !".
"Il ne faut pas, profites !".

Ce moment de repas, a beaucoup aidé Fabien, je le trouve très sympathique et bien plus respectueux envers ma femme que lorsqu'il la baise.

C'est parfait ! C'est tout ce qu'elle recherche ! Du respect avant et après ! Mais pendant ! Tout est permis au niveau des mots crus !

Leur relation à été épisodique, suivant les disponibilités professionnelles de Fabien.