UN COUPLE ATTENTIONNÉ - histoire érotique

Mon nom est Sylvie et j'ai connu Eugénie au travail il y a 6 mois. On lui avait assigné un bureau en face du mien et nous avons vite sympathisé. Nous avons le même âge, 35 ans, et nous aimons le sport, la lecture et les voyages. Je suis célibataire et elle a, actuellement, un compagnon, Luc.
Assez rapidement nous avons fait des activités ensemble, la natation et le tennis. Dans les douches, nous avons constaté que nous avions des morphologies assez semblables, mais Eugénie trouvait que mes seins étaient plus beau que les siens. Eugénie était très affectueuse et le montrait par de multiples petits gestes anodins comme des baisers sur les joues, ou en prenant une main dans une de ses mains.

Après ces 6 mois, je n'étais jamais allé chez Eugénie et je ne connaissais toujours pas son ami Luc. Il y a quinze jours Eugénie me demanda si j'étais libre pour venir passer la soirée de samedi, chez elle avec Luc. J'acceptai et je proposai de venir avec une bouteille de vin.
J'arrivai chez eux vers 20 h et ce fut Eugénie qui m'accueillit. Je fis connaissance de Luc, un bel homme, avenant, à l'allure sportive qui devait aussi avoir notre âge. Après la traditionnelle visite des lieux, on s'installa au salon pour un apéritif léger. Nous parlions un peu de tout et ce fut l'occasion pour Luc de se présenter. Finalement, tous les trois nous avions pas mal de points d’intérêts en commun.

On passa à table dans la partie cuisine du salon et le repas fut très agréable, à cause des succulents plats servis et aussi à cause des convives contents d'être là. Le vin fut apprécié et, sans exagérer sa consommation, nous avons fait honneur à la bouteille que j'avais apportée.
Le café fut servi au salon et, en m'asseyant sur le divan, je ressentis l'effet un peu euphorisant du vin. Luc mis de la musique douce et Eugénie changea pour de la danse. Comme Eugénie trouvait que Luc était un mauvais danseur, elle m'invita à danser. Elle colla son corps au mien, ses deux mains sur mes reins et elle conduisit la danse. Je sentais très bien ses seins contre les miens et son ventre chaud contre le mien. Luc, assis sur le divan, nous regardait et je commençais à avoir d'agréables sensations dans le bas du dos et vers mon bas ventre. Je me laissai guider et j'étais bien. Les yeux mi clos, je croyais rêver qu'Eugénie m'embrassait sur la bouche et, en ouvrant grands les yeux, je réalisais qu'Eugénie m'embrassait bien sur la bouche! La douceur de ses lèvres était irrésistible et j'ouvrais les miennes pour recevoir sa langue chaude et un peu sucrée. Eugénie me tenait maintenant fermement par la taille avec son bras gauche et, avec l'autre bras, elle pressait la paume de sa main contre mes seins. J'étais un peu dans un nuage de plaisir. Luc quitta alors le divan et vint nous rejoindre et il nous entoura de ses bras.Tout en continuant de danser, il embrassa tendrement et longuement sa compagne. Il tendit ensuite ses lèvres vers les miennes, je ne pouvais pas, je ne voulais pas résister. Sa langue ouvrit sans difficulté mes lèvres et caressa la mienne. Une bouffée de plaisir me saisit et je savais que j'étais très excitée.

Sans offrir la moindre résistance et même avec un consentement évident, Luc et Eugénie me conduisirent vers leur chambre. Je m'étendis sur le lit et Luc mis de la lumière tamisée. Pendant qu'Eugénie, avec mon aide maladroite, entrepris d'enlever mon corsage et mon soutien gorge, je compris que Luc se dévêtait. En effet, il revint entièrement nu et se mis à genoux sur mon côté droit.Il posa ses lèvres sur un de mes mamelons et exerça une légère succion, alors qu'Eugénie finissait d'enlever mes chaussures, mon pantalon, ma culotte. La bouche de Luc passait d'un mamelon à l'autre en frôlant mes lèvres. À ma droite, je voyais bien le sexe de Luc qui, entre ses cuisses, ne bandait pas. Je remarquai tout de suite que son pénis avait un gland plutôt gros qui se détachait nettement du reste de l'organe. Cela n'était pas pour me déplaire car, lors d'une pénétration j'aime bien sentir le gland frayer le passage au reste du membre. Avec ma main droite j'allai chercher le pénis de Luc et je le masturbai doucement et, avec la paume de ma main, je caressai le gland. Au toucher, je constatai ce que j'avais vu et le gland, ainsi que le reste du sexe, commencèrent à gonfler et à durcir. Eugénie était maintenant, elle aussi, entièrement nue et se plaça, devant moi, entre mes jambes qu'elle écarta. Sa tête se dirigea alors vers ma toison humide et je ne tardai pas à sentir sa langue ouvrir doucement ma fente très lubrifiée.Je n'avais jamais donné accès à mon intimité à un homme et à une femme en même temps. C'était, pour moi, une découverte délicieuse qui augmentait mon excitation. Le pénis de Luc était maintenant bien cambré et Eugénie comprit que je souhaitais aller vers l'orgasme. Sa langue se mis alors à branler mon clitoris plus rapidement et, sans tarder, les vagues successives de la jouissance irradièrent tout mon corps. Je gémissais de plaisir et, avec sa langue et ses lèvres, Eugénie sut parfaitement faire ce qu'il fallait faire pour que l'orgasme se prolonge et se termine en douceur. J'eus alors quelques instants de demi sommeil. Quand j'ouvris les yeux Luc et Eugénie avaient interverti leurs places. Luc était entre mes jambes avec son sexe en pleine érection et Eugénie était à côté de moi caressant d’une main mes seins et mes cheveux. Luc se pencha un peu vers moi et son gland vint librement parcourir plusieurs fois ma fente en l'ouvrant à peine.Il semblait me laisser l'initiative de la suite. J'avais envie qu'il me pénètre et, me relevant un peu, avec ma main droite je pris son sexe bandé et le guidai vers l'entrée de mon vagin. Luc attendait que cela pour faire un peu pression sur son gland qui, compte tenu de mon excitation, fut comme avalé par mon sexe. Même si je m'attendais à cela, je poussai un petit cri de jouissance. Une fois entièrement en moi, je sentais le sexe de Luc qui se gonflait à chaque va et vient. Les lèvres d'Eugénie quittèrent les miennes pour aller rejoindre celles de Luc dans un baiser sans fin. Avec une main, je pris alors dans ma paume les testicules de Luc et je les serrai un peu. Luc gémis et jouit immédiatement et le jet de son sperme en moi fut comme un éclair de plaisir. Luc se retira doucement de moi et avec Eugénie ils vinrent s'allonger de chaque côté de moi, chacun posant une main sur mon ventre.

Après une dizaine de minutes de ce repos silencieux, nous revenions sur terre et nous échangions des sourires entendus. Puis, à tour de rôle, chacun pris une douche. Eugénie avaient trouvé trois peignoirs légers et, de retour dans le salon, la seule trace visible de ce qui c'était passé était une certaine familiarité entre nous. J'étais allongé sur le divan, la tête sur les cuisses d'Eugénie et Luc me massait les pieds. Il était un peu tard et Eugénie et Luc trouvaient dommage que je rentre chez moi. Ils me proposèrent de dormir chez eux. Je dormirai avec Eugénie dans le grand lit et Luc dormira sur le divan du salon. J'acceptai et, pour la nuit, Eugénie me prêta un Tshirt et je gardais ma culotte et, elle aussi, allait dormir avec un Tshirt et une culotte.

Une fois dans le lit, je m'enfonçais lentement dans le sommeil, en revivant des instants de la partie de plaisir que fut la soirée. Eugénie tomba rapidement dans le sommeil, son corps collé au mien. Luc devait lire un peu car, en fermant les yeux, je vis de la lumière dans le salon.


Vers le matin, je fus réveillé par de très légères vibrations du matelas. Émergeant du sommeil, je vis Eugénie à côté de moi se masturbait en agitant un peu son bassin. Elle avait enlevé sa culotte et, dessous ses mains, on voyait bien sa toison plus touffue que la mienne. En guise de bonjour, je l'embrassai sur la bouche et, avec mes mains, dessous son Tshirt, je caressai ses seins en pinçant un peu les bouts. Eugénie prit alors tout de suite une de mes mains et la guida rapidement vers son sexe. Je compris qu'elle voulait que je la masturbe. Le changement de main eut un effet immédiat et les gémissements orgasmiques d'Eugénie alertèrent Luc qui entra dans la chambre. Il était en pyjama et, quand Il vit l'état d'Eugénie et il enleva le bas. Son sexe ne bandait pas. Prêt à se branler pour faire durcir son membre, je lui fit comprendre que je n'étais pas contre l'idée de lui faire une fellation. Je pris son membre dans ma bouche et j'aimais sentir ma langue faire le tour du gros gland de son pénis. En un rien de temps, la nouveauté ou la surprise aidant sans doute, son sexe fut raide et son gland gonflé. Alors, craignant peut-être d'éjaculer dans ma bouche, Il retira vite son pénis de celle ci, et Il se plaça entre les cuisses écartées de sa compagne qui semblait somnoler. Sans autres préliminaires, il la pénétra d'un coup. Alors, je ne sais pas pourquoi, mais Eugénie et moi poussèrent, en même, un petit cri. Pendant que Luc faisait, des mouvements de va et vient avec son pénis, ma bouche suçait ses mamelons et, comme la veille, en touchant à nouveau ses testicules avec une de mes mains et en les serrant un peu, il jouit rapidement, par saccades son visage déformé par le plaisir.


Après les douches, le petit déjeuner fut très enjoué et vers 11h je quittai Engénie et Luc pour rentrer chez moi. Tout l’après midi je fus un peu dans une brume de doux plaisir.
Le lundi matin, en arrivant au bureau, Eugénie vint vers moi avec un sourire complice et, après un coup d'oeil à gauche et à droite, déposa un léger baiser sur mes lèvres et me dit:"La semaine commence bien!".Je souris.

JULIE ANAIS