Un couple de connivence - histoire érotique

Cette journée là je me baladais autour d’un lac lorsqu’une envie de pisser survient, afin de m’isoler je remonte sur la berge et entre dans un buisson où un chemin a été tracé par d’autres visiteurs hommes et aussi femmes à en juger les bouchons de kleenex qui jonchent le sol
Pour ne pas être surpris je vais derrière un arbre me débraguetter tout en surveillant l’entrée, je sors mon membre et m’apprête à pisser lorsqu’une jeune femme entre dans cette clairière et, sans regarder autour d’elle, debout, les pieds écartés pour éviter les gouttes perdues, elle relève sa robe, trop tard pour me manifester et puis la vue n’est pas désagréable, surtout lorsque la petite culotte bleue glisse lentement sur ses cuisses faisant apparaitre le magnifique petit buisson noir bien taillé qui orne sa fourche, elle tire sur le string pour ne pas qu’il soit mouillé, c’est a ce moment là que son sixième sens lui révèle une présence …nos regards se croisent , elle ouvre la bouche d’étonnement et d’impuissance car un jet doré chuintant impossible à réprimer commence à gicler devant elle, pour répondre a son appel muet j’hausse les épaules en signe d’impuissance, a quoi bon s’affoler pissons ensembles !

Ses yeux baissent de quelques centimètres pour découvrir ma queue qui éclabousse abondamment le sol, un sourire et un haussement de sourcils que j’interprète comme un compliment concernant la grosseur de mon sexe, il est vrai que j’ai été gâté par dame nature, du coup mon envie s’est tarie car en grossissant ma bite bloque le canal interdisant l’évacuation de l’urine, la femme non plus ne pisse plus mais elle garde la position attendant peut-être mon départ pour terminer son besoin, au lieu de cela je tire lentement sur la peau de ma pine pour la décalotter a fond, mon gland libéré grossit encore en prenant une couleur pourpre, sa bouche s’ouvre d’étonnement, toujours face à moi, machinalement, elle passe délicatement son bouchon de papier sur sa fente afin d’essuyer les gouttes prisonnières des poils, elle passe et repasse encore et encore d’une façon sensuelle sur son entrejambe, ce n’est plus pour essorer sa chatte mais pour répondre au défi que je lui ai lancé, alors je commence des vas et vient explicites sur ma hampe, par consentement mutuel nous nous masturbons inconsciemment
Soudain elle réagit et remonte sa culotte sur ses hanches étroites, puis disparait comme elle est venue, encore sous le choc je continue mes caresses sur ma bite désormais raide, je la cherche du regard prés du lac a travers le feuillage, la jeune femme a qui j’attribuerais vingt / vingt-cinq ans discute d’une façon volubile avec un homme, jeune aussi, en lui montrant notre bosquet, l’homme l’embrasse sur la bouche, se sépare d’elle pour commencer a marcher d’un pas décidé vers ‘mon’ buisson… que faire ? je ne vais pas me sauver comme un voleur ni un violeur !
Je range difficilement mon ‘matériel’ encore tendu et repatte ma braguette lorsqu’il me cherche du regard dans la clairière …

- Heuuuu … pardon monsieur
- Oui ?
- C’est vous que ma femme a vu il y a un instant ?
- Je pense être effectivement cet homme là, c’est arrivé comme ça sans intention de ma part de m’exhiber !
- Soyez rassuré je ne pense pas ça, vous êtes seul dans la vie ?
- Oui, hélas célibataire, vous avez une très jolie épouse
- Merci monsieur, ravi que Julie vous plaise, justement …ça vous dirait de faire plus ample connaissance avec elle
- Comment ça ?
- En ma présence bien sûr, vous pourriez la caresser et lui faire caresser le bel engin que vous cacher dans ce pantalon, il l’à littéralement subjuguée, a ses dires c’est le premier qu’elle voit de cette taille
- Et où se passerait cette divine rencontre ?
- A la maison, pas loin d’ici, nous pouvons y être a pied en moins de dix minutes
- Je ne refuse pas votre invitation, vous pourrez y mettre fin a votre convenance
- Connaissant Julie je doute qu’elle abrège facilement un divertissement de ce genre !
- Mon prénom est Lionel j’ai quarante cinq ans
- Moi c’est Alain, nous avons vingt quatre ans tous les deux, mariés depuis trois ans, en quête de découvertes sensuelles et … sexuelles sortant de l’ordinaire, vous pensez être a la hauteur de nos attentes ?
- Je pense avoir une certaine expérience en ce domaine
- Alors quittons ce bosquet qui sent la pisse et rejoignons ma femme pour en parler

Julie nous regarde arriver affichant un large sourire, elle sait qu’elle a gagné le droit de voir ma verge de très prés

- Chérie ? Lionel a accepté de nous suivre à la maison
- Ha ? à présent je me sens toute bête…
- C’est bien ce que tu voulais non ?
- Oui mais maintenant que ça va se concrétiser j’ai honte de me montrer nue devant Lionel …
- Ça va bien se passer Julie, c’est moi qui vais retirer vos vêtements un a un
- Hooooo je crois que je mouille Alain chéri
- Vérifie Lionel …je te cache des promeneurs…
- Huuuuummmm le fond de ton string est bien humide et ce n’est pas dût au pipi de tout à l’heure
- Enfonce un doigt bien profondément, je connais bien son odeur, tu me le feras sentir
- Vous êtes incorrigibles les hommes… haaaaaa hooooouuuuuiiiiiii mets en un deuxième hhhhhooooooooooo
- Moins fort chérie tu va nous faire remarquer
- Goûte-moi ce doigt Alain je me réserve l’autre !
- Huuuuuummmmmmmm elle est a point, allons vite a la maison !
- Qu’allez-vous me faire ?
- Je vais commencer par retirer ta petite culotte avec les dents
- Mais elle a reçu du pipi ?
- J’espère bien !
- Chérie les bons amants ne reculent devant rien ! tu vas te régaler

Julie étroitement serrée entre nous deux, en marchant son mari lui pelote discrètement le cul en affirmant qu’il bande comme un cerf, sachant que je vais me faire cette petite brunette je suis bien raide aussi ! je vais perforer ce p’tit cul pommé que j’ai aperçu dans les fourrés, d’après son décolleté ses seins peuvent accueillir ma queue entre eux pour une bonne cravate de notaire

- Nous voilà arrivés, tu veux une bonne bière Lionel ?
- Ce n’est pas de refus
- Faites plus ample connaissance le temps que j’aille chercher ça, chérie, fait assoir notre invité
- Venez a coté de moi Lionel

Julie s’est assise prenant soin de me montrer ses cuisses dénudées, j’aperçois le mini triangle bleu dont le fond est taché par sa mouille immédiatement nos genoux entrent en contact, voulant démontrer mon expérience j’attrape sa jambe droite pour la poser sur ma cuisse, ainsi l’angle de vue est superbe, une lèvre nacrée de cyprine déborde sur le coté du string, elle passe un bras autour de mon cou, j’approche mes lèvres des siennes entrouvertes pour un baiser passionné, son haleine fraiche décuple mon envie ma main s’égare dans son décolleté ouvert par ses soins, j’empoigne un sein ferme et haut placé libre de toutes entraves, la femme geint tandis que nos salives se mêlent
Sa menotte impatiente chope ma queue à travers mon pantalon, mais ça ne lui suffit pas, ses doigts nerveux s’attaquent à mes boutons de braguette ainsi qu’à ma ceinture, la main crispée sur mon slip tendu la fait gémir d’impatience, ses doigts cherchent l’élastique quasiment décollé de ma taille par l’érection, elle soupire d’aise lorsqu’elle peut enfin saisir mon membre qui tressaute dans sa main, par-dessus son épaule je vois son mari caméscope a la main qui ne perd rien de nos ébats
Pour lui rendre la politesse je lâche son sein pour venir entre ses cuisses qui s’écartent au maximum, mon index pousse le fond du string trempé dans sa fente, elle met fin a notre baiser ardent pour me supplier …

- Tire sur mon slip, enfonce tes doigts dans mon con
- Comme tu veut …

Le slip viré j’enfonce deux doigts très profondément a l’intérieur de sa vulve et je tire comme pour l’amener là où je veux… je veux qu’elle s’agenouille et prenne ma queue en bouche, docile elle se laisse guider, je n’ai plus qu’a appuyer sur sa tête pour que mon gland soit avalé, dans cette position sa mouille coule le long de mon poignet
Alain se positionne derrière sa femme pour filmer en gros plan sa cramouille écartelée et triturée par l’agitation virile de mes doigts, je donne des coups de reins afin de lui faire avaler le maximum de ma barre de chair

- Baise-là maintenant Lionel, j’ai hâte de voir ta queue plantée dans son ventre de salope
- Là ? a genoux sur le canapé ?
- Oui, la tête sur l’accoudoir, je veux tout voir
- Moi aussi ! lâche ma pine Julie et positionne-toi comme le veut ton mec
- Oui … comme ça ?
- Plus cambrée, fait ressortir ta choune qu’il puisse te saillir comme une truie... voilà c’est mieux, putain quelle vue ! prend ton temps pour l’enfiler Lionel
- Je vais faire entrer et ressortir plusieurs fois mon nœud avant l’estocade finale
- Fait gicler sa mouille a l’extérieur

Mes mains sur mes hanches, mon gland mafflu repousse les deux crêtes que terminent ses lèvres et l’enveloppe tel un étuis de soie, le caméscope d’une main sa bite dans l’autre Alain mate la scène a travers le viseur, une fois entré d’un quart je fais marche arrière jusqu’à faire poindre mon bout cramoisi luisant de cyprine, ce recul fait rager ma jeune maitresse, un coup sec et il disparait encore, elle vient a ma rencontre afin de s’empaler elle même sur mon pic mais je veille au grain afin de ne pas jouir trop rapidement et reflue vivement

- Putain ! Merde ! Baise-moi connard !!
- Donne lui ce qu’elle demande, éclate lui sa moule de chaudasse

J’attrape le haut de ses cuisses et l’attire a moi d’un geste brusque, soudé a son cul, touchant le fond de sa gaine vaginale ma queue se courbe, la femelle hurle, douleur ou surprise ? néanmoins je maintien la pression afin de l’habituer a mon manche, son cul ondule pour essayer d’échapper à mon emprise, ça ne fait qu’avancer son orgasme, ses muscles étreignent ma queue, du liquide rosâtre suinte de son sexe, je me retire de quelques centimètres pour mieux la réinvestir, cette fois la jouissance la terrasse bruyamment, je choisis ce moment pour la secouer comme un prunier, mon bas ventre frappe bruyamment son cul, heureusement que les fenêtres sont fermées sinon les voisins accourraient tellement elle braille, lorsque j’éjacule sa tête dodeline en tous sens comme ses nichons pourtant menus, son mari n’en revient pas

- Je ne l’ai jamais vue dans un tel état, tu l’as vraiment bien baisée
- C’est tout pour aujourd’hui ? je m’en vais ?
- Sodomise là …
- NON chéri ! j’ai mon compte pour aujourd’hui !
- Ta rondelle est boursouflée, je sais que tu en as envie
- Tu vas me prendre pour une salope si j’accepte ?
- Tu es ma salope préférée, donne lui ta rondelle
- Retire-toi Lionel, je vais éponger mon vagin sinon je vais en trainer partout, passe-moi une serviette Alain
- Je vais en profiter pour tartiner ton anus avec mon foutre

Mon doigt est comme aspiré par son boyau, ça va être un jeu d’enfant de la sodomiser, Alain, impatient de voir sa femme se faire prendre par derrière à les yeux exorbités, sa queue raide bat au rythme de ses battements de cœur lorsque je prends position derrière elle, ses poils sont plaqués par le sperme sur ses organes génitaux, beaucoup feraient marche arrière devant l’aspect répugnant de sa moule entrouverte et suintante, le duvet collé qui entoure son anus dégage bien la cible que je vise de mon gland, au contact de celui-ci l’œillet se referme, Julie gémit me priant de faire doucement

- Décontracte toi chérie Lionel sait ce qu’il fait, c’est bien, ton anus se déplisse, ça va aller, vas-y Lionel enfonce lui ton chibre …
- Elle est serrée mais ça cède…regarde, mon gland est passé, je m’arrête un peu … ça va Julie ?
- Ça brule un peu mais c’est supportable, continue …aaaaaaahhhhhhhhhhhhoooooooouuuuuuuuiiiiiiiii !!!!!!!
- Putain tu lui as tout mis !
- Enfonce tes doigts dans sa chatte tu sentiras ma queue
- C’est vrai, je sens ton nœud ! bouge ? houaaaais !
- Ne frotte pas trop, tu vas me faire décharger
- C’est vrai ? alors laisse-moi te branler je n’ai jamais osé toucher la bite d’un mec et pourtant j’en rêve
- Alors chéri fait toi plaisir ensuite tu le suceras lorsqu’il va sortir de mon cul !
- Chiche …..

Morale de cette histoire, je me suis fait le mari aussi …. Et ça dure encore….