Un couple normal ou presque (5)
Récit érotique écrit par Thma69 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-01-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Un couple normal ou presque (5)
[Si vous n’avez pas lu les épisodes précédents, je vous le conseille fortement. Bonne lecture]
Me remettant doucement de mes émotions je me rajustais et me dirigeais vers la chambre. Ma femme avait quitté sa robe et elle était sur le lit, allongée sur le ventre, les jambes légèrement écartées. Ses fesses étaient mises en valeur car encadrée par les bas et le serre-taille. Le tanga qui disparaissait entre ses fesses leur donnait un arrondi adorable. Devant cette vision, mon sexe repris de la vigueur.
À mon tour je quittais ma robe et mes escarpins et même si je n’avais qu’une envie me jeter sur ces fesses et les caresser à pleines mains, les sucer, les lécher, les mordre, je refrénais mes envies et je commençais par un massage des pieds mais mains remontant de temps en temps sur ces mollets. Ces petits soupirs de satisfaction me confirmèrent que j’avais fait le bon choix. Après quelques minutes je remontais plus fréquemment sur ses mollets et petit à petit j’arrivais aux cuisses puis à la frontière entre les bas et sa peau que je ne franchis pas. Je m’avançais doucement à genoux entre ses jambes qui s’écartèrent pour me donner de l’espace et me donnèrent une vue nouvelle, je voyais la ficelle quitter son sillon pour s’élargir et enserrer sa vulve. Pour le coup mon sexe était tout à fait réveillé. Je m’arrachais à cette contemplation pour me concentrer sur mes caresses et me penchait pour embrasser ses cuisses juste au-dessus des bas. J’embrassais, je suçais et du bout de la langue je suivais la ligne de la jarretière. Mes mains quittèrent les bas et commencèrent à explorer cette zone de chaire pour arriver, lentement sur ces fesses.
Elle émit un petit gémissement de satisfaction et je poursuivais mon exploration tactile, ma bouche ne tardant pas à rejoindre mes mains. Du bout des doigts je parcourais la frontière entre ses fesses et son tanga tandis que ma bouche ne cessait de flatter chacune des fesses. D’un doigt un peu aventureux je parcouru lentement la ficelle qui disparaissait entre ses fesses, parcourant son sillon, le traversant pour poursuivre vers un autre sillon. Arrivé à son extrémité, ma femme a relevé le basse avec un soupir d’aise. Je me suis donc arrêté quelques instants à cet endroit en réalisant quelques cercles du bout du doigt puis mon doigt est remonté, il s’est attardé sur son œillet pour dessiner quelques cercles avant de repartir. J’ai ainsi réalisé quelques aller retours et à chaque passage elle remontait les fesses tant et si bien qu’elle finit à 4 pattes.
Une fois là j’en profitais pour lui ôter son tanga humide. Quelle vue, je n’avais plus qu’une envie, la pénétrer et la baiser violemment il fallait que je me contienne, j’avais une tâche à réaliser. Alors je me suis penché et j’ai commencé à embrasser son si joli minou avant de le lécher, de le parcourir du boute de la langue, de trouver son clitoris et de le titiller avec la langue, l’aspirant parfois. La sentant frémissante et sur le point de jouir, je remontais entre ses fesses et m’occupais de son œillet auquel j’administrais la même sentence à coup de baisers et de léchouilles. Pour ne pas laisser mes mains en reste, tandis que je lui mangeais l’anus, je commençais à lui caresser la chatte, à la pénétrer, à lui agacer le clitoris. Ma man libre remplaça bientôt ma bouche et après avoir dessiner quelques cercles sur son œillet, mon doit en força l’entrée. Je pris le gel, en versais une noisette à l’entrée de sa grotte palpitante et présentais deux qui furent rapidement engloutis. Je fis de même dans son sexe et commençais des aller-retour dans sa chatte et son cul. Ses gémissements plus forts m’indiquèrent et je poursuivis ainsi encore quelques instants avant de me saisir du god, après une nouvelle application de gel je le présentais à l’entrée de son petit qui fit un peu de résistance mai le gland fini par passer dans un gémissement. Je le laissais en place et me plaçais sur le dos entre ses jambes pour recommencer une séance de léchouilles.
Toujours dans cette position j’attrapais le god que je commençais à faire aller et venir de plus ne plus profondément un gémissement rauque quasi continu et quelques « Oh mon dieu ! » m’indiquèrent le niveau de plaisir qu’elle atteignait. Le sentant complètement enfoncé, je quittais ma position, je me plaçais à genoux derrière elle, lui attrapais les hanches et la pénétrais d’un seul mouvement. Elle émit un petit cri et lorsque je commençais à la labourer elle criait presque. Tout en poursuivant mon labeur je jouais avec le god. N’y tenant plus je lui reprenais les hanches et me lançais dans une chevauchée endiablée. Lorsque le claquais contre ses fesses je sentais le god contre mon ventre et imaginais qu’il s’enfonçait un peu plus en elle à chaque poussée. Elle n’était pas en reste et ses hanches se démenaient au rythme de mes assauts. Lorsque tout son corps se mit à trembler et qu’elle poussa un cri de jouissance, j’explosais à mon tour. Elle s’écroula littéralement sur le lit et m’affalais avec elle. Après quelques instants de récupération, je la quittais à regret et, doucement, lui extrayais le god toujours fiché entre ses fesses.
Lorsqu’elle eut récupéré elle se tourna vers moi et avec un grand sourire me dit « Et ben dit donc ! C’était magique mais je ne ferais pas ça tous les jours, j’ai cru que mon cœur allait exploser. ». Heureux, je me blottis dans ses bras et nous nous embrassâmes tendrement. Je crois bien que nous nous sommes endormis comme ça tous les deux car au réveil nous étions dans la même position, nos lèvres à quelques centimètres.
Me remettant doucement de mes émotions je me rajustais et me dirigeais vers la chambre. Ma femme avait quitté sa robe et elle était sur le lit, allongée sur le ventre, les jambes légèrement écartées. Ses fesses étaient mises en valeur car encadrée par les bas et le serre-taille. Le tanga qui disparaissait entre ses fesses leur donnait un arrondi adorable. Devant cette vision, mon sexe repris de la vigueur.
À mon tour je quittais ma robe et mes escarpins et même si je n’avais qu’une envie me jeter sur ces fesses et les caresser à pleines mains, les sucer, les lécher, les mordre, je refrénais mes envies et je commençais par un massage des pieds mais mains remontant de temps en temps sur ces mollets. Ces petits soupirs de satisfaction me confirmèrent que j’avais fait le bon choix. Après quelques minutes je remontais plus fréquemment sur ses mollets et petit à petit j’arrivais aux cuisses puis à la frontière entre les bas et sa peau que je ne franchis pas. Je m’avançais doucement à genoux entre ses jambes qui s’écartèrent pour me donner de l’espace et me donnèrent une vue nouvelle, je voyais la ficelle quitter son sillon pour s’élargir et enserrer sa vulve. Pour le coup mon sexe était tout à fait réveillé. Je m’arrachais à cette contemplation pour me concentrer sur mes caresses et me penchait pour embrasser ses cuisses juste au-dessus des bas. J’embrassais, je suçais et du bout de la langue je suivais la ligne de la jarretière. Mes mains quittèrent les bas et commencèrent à explorer cette zone de chaire pour arriver, lentement sur ces fesses.
Elle émit un petit gémissement de satisfaction et je poursuivais mon exploration tactile, ma bouche ne tardant pas à rejoindre mes mains. Du bout des doigts je parcourais la frontière entre ses fesses et son tanga tandis que ma bouche ne cessait de flatter chacune des fesses. D’un doigt un peu aventureux je parcouru lentement la ficelle qui disparaissait entre ses fesses, parcourant son sillon, le traversant pour poursuivre vers un autre sillon. Arrivé à son extrémité, ma femme a relevé le basse avec un soupir d’aise. Je me suis donc arrêté quelques instants à cet endroit en réalisant quelques cercles du bout du doigt puis mon doigt est remonté, il s’est attardé sur son œillet pour dessiner quelques cercles avant de repartir. J’ai ainsi réalisé quelques aller retours et à chaque passage elle remontait les fesses tant et si bien qu’elle finit à 4 pattes.
Une fois là j’en profitais pour lui ôter son tanga humide. Quelle vue, je n’avais plus qu’une envie, la pénétrer et la baiser violemment il fallait que je me contienne, j’avais une tâche à réaliser. Alors je me suis penché et j’ai commencé à embrasser son si joli minou avant de le lécher, de le parcourir du boute de la langue, de trouver son clitoris et de le titiller avec la langue, l’aspirant parfois. La sentant frémissante et sur le point de jouir, je remontais entre ses fesses et m’occupais de son œillet auquel j’administrais la même sentence à coup de baisers et de léchouilles. Pour ne pas laisser mes mains en reste, tandis que je lui mangeais l’anus, je commençais à lui caresser la chatte, à la pénétrer, à lui agacer le clitoris. Ma man libre remplaça bientôt ma bouche et après avoir dessiner quelques cercles sur son œillet, mon doit en força l’entrée. Je pris le gel, en versais une noisette à l’entrée de sa grotte palpitante et présentais deux qui furent rapidement engloutis. Je fis de même dans son sexe et commençais des aller-retour dans sa chatte et son cul. Ses gémissements plus forts m’indiquèrent et je poursuivis ainsi encore quelques instants avant de me saisir du god, après une nouvelle application de gel je le présentais à l’entrée de son petit qui fit un peu de résistance mai le gland fini par passer dans un gémissement. Je le laissais en place et me plaçais sur le dos entre ses jambes pour recommencer une séance de léchouilles.
Toujours dans cette position j’attrapais le god que je commençais à faire aller et venir de plus ne plus profondément un gémissement rauque quasi continu et quelques « Oh mon dieu ! » m’indiquèrent le niveau de plaisir qu’elle atteignait. Le sentant complètement enfoncé, je quittais ma position, je me plaçais à genoux derrière elle, lui attrapais les hanches et la pénétrais d’un seul mouvement. Elle émit un petit cri et lorsque je commençais à la labourer elle criait presque. Tout en poursuivant mon labeur je jouais avec le god. N’y tenant plus je lui reprenais les hanches et me lançais dans une chevauchée endiablée. Lorsque le claquais contre ses fesses je sentais le god contre mon ventre et imaginais qu’il s’enfonçait un peu plus en elle à chaque poussée. Elle n’était pas en reste et ses hanches se démenaient au rythme de mes assauts. Lorsque tout son corps se mit à trembler et qu’elle poussa un cri de jouissance, j’explosais à mon tour. Elle s’écroula littéralement sur le lit et m’affalais avec elle. Après quelques instants de récupération, je la quittais à regret et, doucement, lui extrayais le god toujours fiché entre ses fesses.
Lorsqu’elle eut récupéré elle se tourna vers moi et avec un grand sourire me dit « Et ben dit donc ! C’était magique mais je ne ferais pas ça tous les jours, j’ai cru que mon cœur allait exploser. ». Heureux, je me blottis dans ses bras et nous nous embrassâmes tendrement. Je crois bien que nous nous sommes endormis comme ça tous les deux car au réveil nous étions dans la même position, nos lèvres à quelques centimètres.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très belle histoire
Madame prend la main doucement…
Madame prend la main doucement…