Un couple part faire des courses
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Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-07-2013 dans la catégorie Dominants et dominés
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Un couple part faire des courses
J'arrive à la maison après une journée de travail. Anne m'attend dans son bain. Elle me demande de la rejoindre, ce que je fais. Après trente minutes dans le bain on s'habille et nous allons dans notre restaurant préféré de Paris. A notre retour, vers deux heures du matin, une petite séance d'amour, fellation, soixante-neuf... Nous nous endormons comme des bébés.
Au petit matin je me réveille, avec la honte de ma vie d'homme, j'ai fait pipi au lit car nous n'avions pas mis une couche pour une fois. Je n'ose pas bouger, mais Anna se réveille et me dit :
- Va chercher des croissants.
c'est à ce moment là qu'elle s'aperçois que j'ai fait pipi au lit.
- Vient près de moi, et reste debout, dit-elle en me couchant sur ses genoux.
Je reçois une fessée pour avoir mouillé le lit. et je pars chercher les croissants. Quand je reviens avec ceux-ci et son chocolat chaud au lit, je vois à ma place une couche Tena Maxi et une culotte plastique.
- Mais nous devons aller faire les magasins ce matin, lui dis-je.
- Oui, mais les pisseux comme toi doivent prendre des précautions. De toute manière c'est ta punition pour avoir sali notre lit. Et ne te plains pas, sinon garde à toi !
Je passe ma Tena et ma culotte plastique. Je demande ce que je dois mettre comme pantalon et tshirt.
- Mets un jean serré et une polaire car il fait froid, dit-elle.
- Mais Anna, tout le monde va voir que j'ai une couche.
- Ce n'est pas mon problème.
Nous partons donc pour notre ballade dans Paris. Au bout de deux heures, nous nous trouvons au Printemps. Là Anna nous dirige vers le rayon homme et prend un short. Elle me dirige ensuite vers les cabines d'essayage.
- Mais je ne vais pas essayer cela Anna, je suis en couche et culotte plastique ! Lui dis-je rouge de honte.
- Vas-y ou tu vas le regretter.
Je rentre dans la cabine. Elle me donne le short et me dit de le passer. En restant dehors, elle ouvre de temps en temps le rideau pour voir comment cela se passe.
Avant que je passe le short, elle me demande de baisser ma culotte plastique pour voir l'état de ma couche culotte. Une fois en short, elle me dit :
- Rends-le moi, il est un peu petit avec ce que tu portes aujourd'hui. Je vais aller en chercher un plus grand.
Je l'enlève et lui tends.
- Tu restes comme cela, je reviens vite.
Je panique car si quelqu'un ouvre le rideau, je crois que je vais mourir de honte. Le rideau s'ouvre à moitié, je suis soulagé même si tout le monde peut me voir, du moins je le crois. Anna me tend un nouveau short. Je le passe rapidement, il me va bien.
- Tu repasses ton pantalon et on va payer.
Une fois sortis du Printemps, nous allons au BHV pour acheter des lampes. Après une heure, le choix fait nous nous dirigeons vers la caisse.
- Alors mon bébé, tu es trempé ?
Je ne réponds pas car la caissière enregistre nos achats et elle n'a pas pu ne pas entendre. Anna me repose à nouveau la question. Là je sais qu'il faut que je réponde.
- Oui, dis-je.
- Comment ?
- Oui, je suis mouillé.
- On va rentrer pour que je puisse te changer.
Je suis rouge comme une pivoine. La caissière sourit à ma femme et engage avec elle un début de conversation.
- Ca doit être dur mais je vous comprends. Il faut bien les changer de temps en temps.
- Oui surtout qu'il la porte depuis quatre heures, il doit être complètement trempé.
C'est une situation complètement irréaliste je suis rouge et honteux comme jamais.
- Je connais bien cela, car moi aussi je suis obligée d'en porter ici. Nous n'avons pas de temps pour aller aux toilettes facilement, et souvent nous avons des accidents. Donc il y a énormément de caissières qui en portent comme moi en ce moment, nous confie-t-elle.
- Avance, va faire un tour, va aux jeux pour enfants, on se retrouve là-bas dans cinq minutes, me dit Anne.
Il n'y a personne derrière nous dans la queue, Anna discuter encore quelques instants avec notre jolie caissière. Quelques minutes plus tard, Anna me rejoint dans le rayon pour enfants.
- On va boire un verre avec la jeune fille, car elle a fini sa journée.
Nous nous retrouvons tous les trois à la sortie du magasin.
Arrivés dans le bar et après avoir commandé trois bières, Anna dit à la caissière de venir avec elle aux toilettes, car elle veut vérifier quelque chose. Je sais très bien ce qu'Anna va faire, mais je ne dis rien. De retour, je vois notre nouvelle amie rouge de honte.
- Elle est comme toi, sa couche est trempée, mais elle n'a pas de culotte plastique, elle.
- Elle doit être changée ?
- Oui comme toi. On va à la maison tous les trois et je vais vous changer.
Le rêve continue.
Nous arrivons chez nous. Une fois la porte fermée, Anna nous met tous les deux devant elle.
- Je dois déshabiller Sophie, mais la laisser en couche. Elle est trempée.
Je durcis dans ma couche. Puis mon tour vient, je me retrouve en culotte plastique devant Sophie.
- Allez Sophie, baisse-lui sa culotte plastique pour que vous soyez tous les deux dans la même position.
- Tu vois, il est encore plus trempé que toi. Restez là tous les deux, je vais dans la chambre pour préparer ce qu'il faut pour des pisseuses comme vous deux.
Cinq minutes après, Anna nous entraîne dans la chambre. Sur le lit se trouvent des layettes, deux couches-culottes, du talc, mais aussi tout pour me punir. Une fois qu'Anna a changé sa petite Sophie avec une couche propre, elle lui tend une tenue
de gamine BCBG, jupe écossaise et des chaussettes blanches. Sophie doit rester dans cette tenue, debout, le temps que je reçoive ma punition en travers des genoux de ma maîtresse.
Après avoir reçu ma punition, Anna me fait mettre au coin dans le salon pendant qu'elles boivent un thé toute les deux, en discutant de la vie de Sophie. Comment lui est venu le port des couches et surtout le plaisir qu'elle en tire.
Puis Sophie lui avoue que quand elle a entendu Anna me demander si j'avais mouillé ma couche, vu ma réaction de soumission, elle s'est sentie excitée et elle espérais qu'elle serait dominée par Anna.
Anna lui avoue :
- Lorsque que tu nous as dit que tu en portais aussi, j'avoue que j'ai réfléchi, et vu ta voix, je me suis dit que tu accepterais surement de boire un verre avec nous, et surtout que tu aurais envie d'aller plus loin. Viens Sophie, on va habiller Fabrice et on le met au lit pour qu'il fasse la sieste.
Elle me passe une grenouillère puis elle m'attache les mains au haut du lit. Une fois au lit, les femme sont parties dans le salon puis je me suis endormi.
Anna raconte la suite.
Une fois Fabrice au lit, nous sommes remontées toutes les deux. Là je décide de jouer les maîtresses avec ma nouvelle petite fillette.
Je m'assoie sur le canapé et je demande à Sophie de venir devant moi. Elle doit relever sa jupe pour que j'inspecte sa couche culotte, mais elle ne le fait pas tout de suite. Je lui lance un regard suffisamment sévère pour qu'elle me dise :
- Anna, j'ai honte.
- Pourquoi ?
- ...
- Dit-moi pourquoi tu as honte, ma pisseuse ?
- Justement Anne, j'ai fait pipi dans ma couche.
- C'est pour cela que tu as honte ? Je ne comprends pas, ce midi quand j'étais à la caisse tu n'avais pas honte ?
- Oui, mais ce n'est pas pareil Anna. Je suis obligée d'en porter au travail sinon je me fais pipi dessus. Mais ici, chez vous, devant vous dans cette tenue...
- Bien, alors tu remontes ta jupe ou il faut que je le fasse moi-même ?
- Oui...
- Bon, d'accord.
Je me lève et je soulève la jupe de Sophie, évidemment sa couche est trempée. Je m'assieds et je la mets en travers de mes genoux. Je commence à lui baisser sa couche pour lui donner une fessée.
- Non Anna, non ! Anna !, dit-elle en se débattant.
Je prends une cordelette que j'avais sur la table basse et je lui attache les mains derrière le dos. Je la redresse et la fait mettre à genoux devant moi.
Au bout de cinq minutes dans cette position, je lui demande pourquoi elle se trouve dans cette position.
- Sûrement, Anna, parce que je n'ai pas accepté ma punition sans bouger.
- En partie, mais aussi que j'aime que mes pisseuses m'obéissent au doigt et à l'oeil.
Je lui enlève sa couche et la pose sur la table de la salle à manger. Je penche Sophie et lui met la tête dedans, je lui attache les jambes aux pieds de la table et la laisse là pour aller chercher un bâillon-boule et quelques instruments pour qu'elle apprenne à obéir. Elle reçoit cinq coups de badine sur ses belles fesses blanches.
Elle pleure dans sa couche-culotte trempée. Je la laisse dans cette position quinze minutes pour qu'elle repense à cette première séance de punition et à notre week end qui s' annonce sous de très bon hospices.
Après cela je la prends dans mes bras et je la cajole. Sophie commence à m'embrasser, à me caresser et à passer sa main sous ma jupe. Je lui dis d'arrêter et lui demande si
elle a déjà eu des relations avec une femme comme moi.
- Non, Anna. Jamais avec une femme dominatrice comme vous, et surtout une femme aimant les jeux de couche.
- Bien, pousse-toi, on va ouvrir le canapé. Après on pourra jouer comme tu le veux.
- Viens, déshabille-moi et embrasse-moi.
Après un soixante-neuf d'enfer, je décide de mettre mon god-ceinture, car j'ai envie de la récompenser de m'avoir donner du plaisir avec sa langue.
Je décide qu'il est temps d'aller réveiller Fabrice. Mais avant je passe une couche à ma
petite Sophie. Je lui demande d'aller réveiller Fabrice et de le détacher. Mais avant elle doit
vérifier l'état de sa couche et de venir me dire dans quel état il se trouve. Elle est vraiment
superbe dans sa tenue de gamine.
- Fabrice a trempé sa couche, Anna.
- Bon tu vas aller le changer, je viens avec toi tu sauras le faire ?
- Oui, je pense...
- Allons-y. Mais ne le détache pas.
- Bien, Anna. Où se trouvent les couches et les layettes pour nettoyer ce grand pisseux ?
Fabrice est rouge comme une tomate et Sophie prend une claque.
- Soit gentille avec ton copain d'infortune. N'oublie pas que tu vas vivre la même chose que lui. Et que tu vas devenir comme lui une véritable pisseuse, soumise à mon service. Tout se trouve dans ce placard.
Là je voie Sophie ouvrir le placard et rester bouche bée devant la pile de couches droites, couches-culottes, mais aussi diverses tenues de fille, de jeune garçon et de bébé, ainsi que des culottes plastiques. Elle choisit en me regardant une couche droite, un change complet. Puis elle commence à défaire le change et à langer Fabrice.
- Tu mets une culotte plastique à Fabrice en plus. Passe-lui la tenue de ce midi, quand on s'est rencontrés. Fabrice tu mets à Sophie la culotte plastique avec les frou-frous comme j'aime. Nous allons manger quelque chose au resto. Après on rentrera vite en espérant que vous ne serez pas trempés tous les deux.
Au petit matin je me réveille, avec la honte de ma vie d'homme, j'ai fait pipi au lit car nous n'avions pas mis une couche pour une fois. Je n'ose pas bouger, mais Anna se réveille et me dit :
- Va chercher des croissants.
c'est à ce moment là qu'elle s'aperçois que j'ai fait pipi au lit.
- Vient près de moi, et reste debout, dit-elle en me couchant sur ses genoux.
Je reçois une fessée pour avoir mouillé le lit. et je pars chercher les croissants. Quand je reviens avec ceux-ci et son chocolat chaud au lit, je vois à ma place une couche Tena Maxi et une culotte plastique.
- Mais nous devons aller faire les magasins ce matin, lui dis-je.
- Oui, mais les pisseux comme toi doivent prendre des précautions. De toute manière c'est ta punition pour avoir sali notre lit. Et ne te plains pas, sinon garde à toi !
Je passe ma Tena et ma culotte plastique. Je demande ce que je dois mettre comme pantalon et tshirt.
- Mets un jean serré et une polaire car il fait froid, dit-elle.
- Mais Anna, tout le monde va voir que j'ai une couche.
- Ce n'est pas mon problème.
Nous partons donc pour notre ballade dans Paris. Au bout de deux heures, nous nous trouvons au Printemps. Là Anna nous dirige vers le rayon homme et prend un short. Elle me dirige ensuite vers les cabines d'essayage.
- Mais je ne vais pas essayer cela Anna, je suis en couche et culotte plastique ! Lui dis-je rouge de honte.
- Vas-y ou tu vas le regretter.
Je rentre dans la cabine. Elle me donne le short et me dit de le passer. En restant dehors, elle ouvre de temps en temps le rideau pour voir comment cela se passe.
Avant que je passe le short, elle me demande de baisser ma culotte plastique pour voir l'état de ma couche culotte. Une fois en short, elle me dit :
- Rends-le moi, il est un peu petit avec ce que tu portes aujourd'hui. Je vais aller en chercher un plus grand.
Je l'enlève et lui tends.
- Tu restes comme cela, je reviens vite.
Je panique car si quelqu'un ouvre le rideau, je crois que je vais mourir de honte. Le rideau s'ouvre à moitié, je suis soulagé même si tout le monde peut me voir, du moins je le crois. Anna me tend un nouveau short. Je le passe rapidement, il me va bien.
- Tu repasses ton pantalon et on va payer.
Une fois sortis du Printemps, nous allons au BHV pour acheter des lampes. Après une heure, le choix fait nous nous dirigeons vers la caisse.
- Alors mon bébé, tu es trempé ?
Je ne réponds pas car la caissière enregistre nos achats et elle n'a pas pu ne pas entendre. Anna me repose à nouveau la question. Là je sais qu'il faut que je réponde.
- Oui, dis-je.
- Comment ?
- Oui, je suis mouillé.
- On va rentrer pour que je puisse te changer.
Je suis rouge comme une pivoine. La caissière sourit à ma femme et engage avec elle un début de conversation.
- Ca doit être dur mais je vous comprends. Il faut bien les changer de temps en temps.
- Oui surtout qu'il la porte depuis quatre heures, il doit être complètement trempé.
C'est une situation complètement irréaliste je suis rouge et honteux comme jamais.
- Je connais bien cela, car moi aussi je suis obligée d'en porter ici. Nous n'avons pas de temps pour aller aux toilettes facilement, et souvent nous avons des accidents. Donc il y a énormément de caissières qui en portent comme moi en ce moment, nous confie-t-elle.
- Avance, va faire un tour, va aux jeux pour enfants, on se retrouve là-bas dans cinq minutes, me dit Anne.
Il n'y a personne derrière nous dans la queue, Anna discuter encore quelques instants avec notre jolie caissière. Quelques minutes plus tard, Anna me rejoint dans le rayon pour enfants.
- On va boire un verre avec la jeune fille, car elle a fini sa journée.
Nous nous retrouvons tous les trois à la sortie du magasin.
Arrivés dans le bar et après avoir commandé trois bières, Anna dit à la caissière de venir avec elle aux toilettes, car elle veut vérifier quelque chose. Je sais très bien ce qu'Anna va faire, mais je ne dis rien. De retour, je vois notre nouvelle amie rouge de honte.
- Elle est comme toi, sa couche est trempée, mais elle n'a pas de culotte plastique, elle.
- Elle doit être changée ?
- Oui comme toi. On va à la maison tous les trois et je vais vous changer.
Le rêve continue.
Nous arrivons chez nous. Une fois la porte fermée, Anna nous met tous les deux devant elle.
- Je dois déshabiller Sophie, mais la laisser en couche. Elle est trempée.
Je durcis dans ma couche. Puis mon tour vient, je me retrouve en culotte plastique devant Sophie.
- Allez Sophie, baisse-lui sa culotte plastique pour que vous soyez tous les deux dans la même position.
- Tu vois, il est encore plus trempé que toi. Restez là tous les deux, je vais dans la chambre pour préparer ce qu'il faut pour des pisseuses comme vous deux.
Cinq minutes après, Anna nous entraîne dans la chambre. Sur le lit se trouvent des layettes, deux couches-culottes, du talc, mais aussi tout pour me punir. Une fois qu'Anna a changé sa petite Sophie avec une couche propre, elle lui tend une tenue
de gamine BCBG, jupe écossaise et des chaussettes blanches. Sophie doit rester dans cette tenue, debout, le temps que je reçoive ma punition en travers des genoux de ma maîtresse.
Après avoir reçu ma punition, Anna me fait mettre au coin dans le salon pendant qu'elles boivent un thé toute les deux, en discutant de la vie de Sophie. Comment lui est venu le port des couches et surtout le plaisir qu'elle en tire.
Puis Sophie lui avoue que quand elle a entendu Anna me demander si j'avais mouillé ma couche, vu ma réaction de soumission, elle s'est sentie excitée et elle espérais qu'elle serait dominée par Anna.
Anna lui avoue :
- Lorsque que tu nous as dit que tu en portais aussi, j'avoue que j'ai réfléchi, et vu ta voix, je me suis dit que tu accepterais surement de boire un verre avec nous, et surtout que tu aurais envie d'aller plus loin. Viens Sophie, on va habiller Fabrice et on le met au lit pour qu'il fasse la sieste.
Elle me passe une grenouillère puis elle m'attache les mains au haut du lit. Une fois au lit, les femme sont parties dans le salon puis je me suis endormi.
Anna raconte la suite.
Une fois Fabrice au lit, nous sommes remontées toutes les deux. Là je décide de jouer les maîtresses avec ma nouvelle petite fillette.
Je m'assoie sur le canapé et je demande à Sophie de venir devant moi. Elle doit relever sa jupe pour que j'inspecte sa couche culotte, mais elle ne le fait pas tout de suite. Je lui lance un regard suffisamment sévère pour qu'elle me dise :
- Anna, j'ai honte.
- Pourquoi ?
- ...
- Dit-moi pourquoi tu as honte, ma pisseuse ?
- Justement Anne, j'ai fait pipi dans ma couche.
- C'est pour cela que tu as honte ? Je ne comprends pas, ce midi quand j'étais à la caisse tu n'avais pas honte ?
- Oui, mais ce n'est pas pareil Anna. Je suis obligée d'en porter au travail sinon je me fais pipi dessus. Mais ici, chez vous, devant vous dans cette tenue...
- Bien, alors tu remontes ta jupe ou il faut que je le fasse moi-même ?
- Oui...
- Bon, d'accord.
Je me lève et je soulève la jupe de Sophie, évidemment sa couche est trempée. Je m'assieds et je la mets en travers de mes genoux. Je commence à lui baisser sa couche pour lui donner une fessée.
- Non Anna, non ! Anna !, dit-elle en se débattant.
Je prends une cordelette que j'avais sur la table basse et je lui attache les mains derrière le dos. Je la redresse et la fait mettre à genoux devant moi.
Au bout de cinq minutes dans cette position, je lui demande pourquoi elle se trouve dans cette position.
- Sûrement, Anna, parce que je n'ai pas accepté ma punition sans bouger.
- En partie, mais aussi que j'aime que mes pisseuses m'obéissent au doigt et à l'oeil.
Je lui enlève sa couche et la pose sur la table de la salle à manger. Je penche Sophie et lui met la tête dedans, je lui attache les jambes aux pieds de la table et la laisse là pour aller chercher un bâillon-boule et quelques instruments pour qu'elle apprenne à obéir. Elle reçoit cinq coups de badine sur ses belles fesses blanches.
Elle pleure dans sa couche-culotte trempée. Je la laisse dans cette position quinze minutes pour qu'elle repense à cette première séance de punition et à notre week end qui s' annonce sous de très bon hospices.
Après cela je la prends dans mes bras et je la cajole. Sophie commence à m'embrasser, à me caresser et à passer sa main sous ma jupe. Je lui dis d'arrêter et lui demande si
elle a déjà eu des relations avec une femme comme moi.
- Non, Anna. Jamais avec une femme dominatrice comme vous, et surtout une femme aimant les jeux de couche.
- Bien, pousse-toi, on va ouvrir le canapé. Après on pourra jouer comme tu le veux.
- Viens, déshabille-moi et embrasse-moi.
Après un soixante-neuf d'enfer, je décide de mettre mon god-ceinture, car j'ai envie de la récompenser de m'avoir donner du plaisir avec sa langue.
Je décide qu'il est temps d'aller réveiller Fabrice. Mais avant je passe une couche à ma
petite Sophie. Je lui demande d'aller réveiller Fabrice et de le détacher. Mais avant elle doit
vérifier l'état de sa couche et de venir me dire dans quel état il se trouve. Elle est vraiment
superbe dans sa tenue de gamine.
- Fabrice a trempé sa couche, Anna.
- Bon tu vas aller le changer, je viens avec toi tu sauras le faire ?
- Oui, je pense...
- Allons-y. Mais ne le détache pas.
- Bien, Anna. Où se trouvent les couches et les layettes pour nettoyer ce grand pisseux ?
Fabrice est rouge comme une tomate et Sophie prend une claque.
- Soit gentille avec ton copain d'infortune. N'oublie pas que tu vas vivre la même chose que lui. Et que tu vas devenir comme lui une véritable pisseuse, soumise à mon service. Tout se trouve dans ce placard.
Là je voie Sophie ouvrir le placard et rester bouche bée devant la pile de couches droites, couches-culottes, mais aussi diverses tenues de fille, de jeune garçon et de bébé, ainsi que des culottes plastiques. Elle choisit en me regardant une couche droite, un change complet. Puis elle commence à défaire le change et à langer Fabrice.
- Tu mets une culotte plastique à Fabrice en plus. Passe-lui la tenue de ce midi, quand on s'est rencontrés. Fabrice tu mets à Sophie la culotte plastique avec les frou-frous comme j'aime. Nous allons manger quelque chose au resto. Après on rentrera vite en espérant que vous ne serez pas trempés tous les deux.
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Les avis des lecteurs
Bonne histoire, nous sommes un couple réel et vivons des relations abdl.