Un cul à prendre et pris
Récit érotique écrit par QKC [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-02-2010 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Un cul à prendre et pris
Depuis tout jeune, je suis timide. Déjà à l’école je me faisais dispenser de sport pour ne pas avoir à me déshabiller devant les autres. Plus tard, j’ai fait du sport et je me suis toujours débrouillé pour prendre la douche le dernier et seul ou plus tard chez moi.
Ce soir-là, comme d’habitude, je prenais ma douche seul, quand un mec très grand entra. J’étais de dos. Quand il a fermé violemment la porte, je me suis retourné, surpris. Il était nu, la serviette autour du cou. Il me regardait avec un sourire carnassier.
- T’as un beau cul, tu sais ! Dit-il.
J’essayai de m’enfuir, mais il me barra le passage. Jetant sa serviette sur le banc, il m’attrapa par le bras et m’entraîna dans le bac à douche. Il m’attira sous le jet d’eau chaude. Il prit ma main et la referma sur son sexe. Puis, il me fit mettre à genoux et pointa son sexe vers ma bouche. Je m’assis sur mes talons et ouvris mes lèvres à son membre. Il mit ses mains sur ma nuque et, par de lents mouvements de hanches, il fit glisser sa queue entre mes lèvres. Il prit alors mes mains et les posa sur ses fesses.
C’est à ce moment qu’une équipe qui jouait sur un autre terrain fit son apparition. Eux aussi étaient nus. Ce qui est normal pour qui vient prendre une douche. J’ai cru que mon agresseur prendrait alors la fuite mais, sans se presser, il alla au bout de son plaisir et sans vergogne, il se retira de ma bouche et éjacula sur ma figure. Il sortit de la douche sans aucun remords, se sécha et sortit. J’allais me relever quand un des joueurs s’approcha tenant sa bite à la main. Il ne dit rien mais le geste était sans équivoque. Le bassin en avant, son gland toucha mes lèvres. Pendant que je le suçais, un doigt s’enfonça dans mon cul. Je me soulevai et regardai le mec qui occupait ma bouche. Il se mit à genoux et moi à quatre pattes. Des mains écartèrent mes jambes. Pendant que je m’activai sur le sexe dans ma bouche, un autre pénétra dans mon cul. Puis, quand celui qui m’enculait s’enfonçait dans mon cul, ma bouche descendait le long du sexe que j’avais dans la bouche. Je ne sais pas combien ils étaient, mais vu les trois heures que j’ai passé dans la douche, ils m’ont tous possédé.
Je suis rentré chez moi, bien décidé à revenir souvent. Il est arrivé quelquefois que certains m’attendent sous la douche et la plupart du temps j’étais au rendez-vous, jusqu’au jour où un esprit chagrin nous dénonça et je fus interdit de stade. Du moins, dans celui-là.
Dans le groupe, il y avait un gay. Il vint me dire que si j’aimais me faire sauter, il connaissait un endroit, totalement sécurisé où je pourrais donner mon cul sans limite. C’était un bistrot relativement classe. Il me présenta au patron qui nous fit passer dans une pièce, au fond de l’établissement. Il me demanda si j’étais sain et de bien vouloir me foutre à poil. J’ai obéi. Il a passé ses mains partout sur ma peau, introduit un doigt dans ma bouche, puis dans mon cul. Il m’a courbé sur la table et m’a enculé.
J’avais une table réservée au milieu de la salle. Les clients friands de garçons le savaient. La plupart venaient s’asseoir et m’offraient à boire avant de prendre mon cul. Certains, sans ménagement, me prenaient par le bras et m’entraînaient dans la salle arrière. Ce n’était pas de la prostitution. Tous savaient que celui qui s’asseyait à cette table mettait son cul à disposition de celui qui le voulait. Tous les soirs, en sortant du boulot, je venais passer deux heures ici, avant de rentrer chez moi, rassasié.
Ce soir-là, comme d’habitude, je prenais ma douche seul, quand un mec très grand entra. J’étais de dos. Quand il a fermé violemment la porte, je me suis retourné, surpris. Il était nu, la serviette autour du cou. Il me regardait avec un sourire carnassier.
- T’as un beau cul, tu sais ! Dit-il.
J’essayai de m’enfuir, mais il me barra le passage. Jetant sa serviette sur le banc, il m’attrapa par le bras et m’entraîna dans le bac à douche. Il m’attira sous le jet d’eau chaude. Il prit ma main et la referma sur son sexe. Puis, il me fit mettre à genoux et pointa son sexe vers ma bouche. Je m’assis sur mes talons et ouvris mes lèvres à son membre. Il mit ses mains sur ma nuque et, par de lents mouvements de hanches, il fit glisser sa queue entre mes lèvres. Il prit alors mes mains et les posa sur ses fesses.
C’est à ce moment qu’une équipe qui jouait sur un autre terrain fit son apparition. Eux aussi étaient nus. Ce qui est normal pour qui vient prendre une douche. J’ai cru que mon agresseur prendrait alors la fuite mais, sans se presser, il alla au bout de son plaisir et sans vergogne, il se retira de ma bouche et éjacula sur ma figure. Il sortit de la douche sans aucun remords, se sécha et sortit. J’allais me relever quand un des joueurs s’approcha tenant sa bite à la main. Il ne dit rien mais le geste était sans équivoque. Le bassin en avant, son gland toucha mes lèvres. Pendant que je le suçais, un doigt s’enfonça dans mon cul. Je me soulevai et regardai le mec qui occupait ma bouche. Il se mit à genoux et moi à quatre pattes. Des mains écartèrent mes jambes. Pendant que je m’activai sur le sexe dans ma bouche, un autre pénétra dans mon cul. Puis, quand celui qui m’enculait s’enfonçait dans mon cul, ma bouche descendait le long du sexe que j’avais dans la bouche. Je ne sais pas combien ils étaient, mais vu les trois heures que j’ai passé dans la douche, ils m’ont tous possédé.
Je suis rentré chez moi, bien décidé à revenir souvent. Il est arrivé quelquefois que certains m’attendent sous la douche et la plupart du temps j’étais au rendez-vous, jusqu’au jour où un esprit chagrin nous dénonça et je fus interdit de stade. Du moins, dans celui-là.
Dans le groupe, il y avait un gay. Il vint me dire que si j’aimais me faire sauter, il connaissait un endroit, totalement sécurisé où je pourrais donner mon cul sans limite. C’était un bistrot relativement classe. Il me présenta au patron qui nous fit passer dans une pièce, au fond de l’établissement. Il me demanda si j’étais sain et de bien vouloir me foutre à poil. J’ai obéi. Il a passé ses mains partout sur ma peau, introduit un doigt dans ma bouche, puis dans mon cul. Il m’a courbé sur la table et m’a enculé.
J’avais une table réservée au milieu de la salle. Les clients friands de garçons le savaient. La plupart venaient s’asseoir et m’offraient à boire avant de prendre mon cul. Certains, sans ménagement, me prenaient par le bras et m’entraînaient dans la salle arrière. Ce n’était pas de la prostitution. Tous savaient que celui qui s’asseyait à cette table mettait son cul à disposition de celui qui le voulait. Tous les soirs, en sortant du boulot, je venais passer deux heures ici, avant de rentrer chez moi, rassasié.
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