Un délire fécond

- Par l'auteur HDS Joe Vanille -
Auteur homme.
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Récit libertin : Un délire fécond Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-04-2016 dans la catégorie A dormir debout
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Un délire fécond
Qu’il est doux et bon d’avoir des amis, surtout quand ceux-ci mélangent finesse, intelligence, gentillesse et diligence. Mes amis Danielle et Marcus sont de cette trempe, en plus de la beauté physique humaine qu’ils créent tous deux par leur couple et les enfants qu’ils auront a fortiori engendrés pour le bienfait de l’humanité. Mais si l’adage dit que les vrais amis se comptent sur les doigts d’une main, il est à craindre aujourd’hui qu’il me soit obligé de m’en couper deux d’un coup… L’argent et ou le sexe n’arrangent rien à cette affaire.
Connaissant Danielle depuis de nombreuses années depuis nos études, j’eus pour elle de l’attirance à nos vingt ans. Elle avait cette allure ample de la girafe qui se mariait formidablement avec son tempérament, tant ouverte à son monde que convaincue de ses idéaux humains et éthiques. Elle avait encore ses longs cheveux blonds cendrés qui lui descendaient sur les reins et qu’elle portait souvent naturellement, plus rarement par un chignon magique qui me laissait découvrir son affriolante nuque.
Je l’aimais en secret- elle sortait avec un garçon depuis ses dix-sept ans, et ils se promettaient toutes sortes de vertus de couple, qu’un ami tel que je me voulais se devait de respecter, au nom d’une amitié précieuse. Je les aimais bien tous les deux, mais Danielle et moi cultivâmes une entente bien à nous : sa jeunesse trahissait sa candeur et sa pureté d’âme et d’attentes à l’encontre de la nature humaine. Je lui proposai à l’époque de ne pas trop dévoiler ses aspirations d’amour auprès de ses amis et proches, car la déconfiture aurait pu être plus grande encore, lorsqu’elle aurait compris que ses idéaux n’étaient pas toujours respectés par la cible de son jeune amour.
Elle comprit ce que je lui suggérai quand son amoureux lui révéla son intention de la quitter pour d’autres envolées essentiellement sexuelles. Il lui reprocha en fait de ne pas être un assez bon coup au lit pour rester avec elle... Danielle pleura toutes les larmes de son corps pendant des semaines, et je me mis à trouver cela de plus en plus absurdes. J’avais à la fois peur pour elle – qu’elle ne fasse « une connerie », et je la trouvai agaçante par ce refus de l’évidence, qui consistait à comprendre que les hommes n’étaient pas des princes charmants, mais bien souvent plutôt des satyres attisés par les flammes de leurs fantasmes conséquents. Pendant une bonne année, nous partageâmes un rapprochement émotionnel entre nous, je mis fin également à une relation qu’il m’était difficile de vivre et passai alors mon temps à lui proposer des activités et des sorties qu’elle acceptait toujours avec envie. Quelques soirs, nous restâmes ensemble et quelques de nos nuits furent douces et câlines. Mais elle était pudique, très pudique même, et ne me dévoilait ses douceurs et belles formes qu’au prix d’une mise à disposition que je qualifierais de fastidieuse : Danielle éprouvait des gênes dans sa sexualité, elle n’assumait que peu ses désirs qui émergeaient dans son esprit, et avait donc besoin d’un temps bien étalé et d’une ambiance construite dans la profonde intimité et la patience vertueuse.
A l’époque heureusement, j’étais émotionnellement empathique dans le devenir de mes plaisirs, que je mettais de côté pour me concentrer sur les abandons de mes dames. Ainsi, Danielle m’aimait pour ma tendresse, je la caressais pendant de longs épisodes sur des airs de musique qu’elle appréciait, souvent à travers le drap et dans une obscurité qui lui permettait de se pâmer à son aise. Quand enfin sa fleur timide éclorait, il y avait alors marée haute qui s’épandait vers ses fesses et inondait les draps à cette hauteur. Dans une chaleur et une senteur à l’étuvée, je léchais, je grignotais, je me tapissais de sa douce mouille les joues et le menton. Et je la faisais hululer de bonheur et d’extase, car le ton de sa voix et donc de ses cris étaient ce qu’il y avait de plus excitant chez elle.
A la fin de notre cycle d’études, elle rencontra Marcus qui était de ces jeunes hommes à la fois entreprenants sur le plan socio-professionnel, et désireux d’avoir une vie de couple comblée. Elle en tomba amoureuse en un rien de temps, et dut se présenter à moi dans une gêne amicale pour m’annoncer qu’entre nous l’intimité ne serait plus de mise. Je la regrettai dans la douleur mais aussi dans le mutisme, tandis que mes rapports avec son nouvel amour s’élaborèrent dans une distance polie, une hypocrite diplomatie. Le fait que j’avais eu une relation avec Danielle devait certainement le turlupiner, lui le Bouc, alors que je n’étais dans son esprit qu’un petit lapin…
Toutefois un an après leur rencontre, ils m’invitèrent chez eux, et ce que je pus observer entre eux ne pouvait que m’inciter à l’intrusion et l’investigation dans la voie bien étrange et folle où ma Danielle s’était engagée.
Je la trouvai dans un asservissement aux pulsions de son homme ; ainsi de l’apéritif au dessert elle se montra d’une féminité à la fois maternante et érectile. Combien de mains de son amant sur ses cuisses, ses hanches, sur et sous sa robe, ne la caressèrent en cette soirée ! Et sans qu’elle ne s’en offusque, Marcus me parla d’elle avec des mots simples, directs et crus.
Toute cette présentation n’avait qu’une intention nette et précise : Marcus voulait être père et se réjouissait pour cela de baiser sa Belle comme un damné ! Pourquoi simplement voulait-il me faire savoir de telle sorte ces engouements à l’égard de cette belle et fragile blonde ? Il désirait en réalité me faire témoin de sa fougue, de son amour, et de son envie de filiation, il voulait que je les mate et même que je les filme, pour garder entre eux un souvenir fort de leur grand amour mutuel.
Que pensait Danielle de tout cela ?
Qui s’en souciait sinon moi qui la connaissais si pudique, si classique dans sa possible animalité ?
Marcus montrait une forte indifférence aux ressentiments de sa Belle, peut-être même s’imaginait-il que son existence à lui dans son monde à elle n’avait que pour vocation de tuer cette pudeur, qui ne pouvait que handicaper la féminité ravageuse de sa Pute. Danielle avait son Dieu humain, Marcus voulait sa catin du soir au matin.
Et des enfants d’elle.
Il l’aimait, mais la voulait grande fille et belle femme. C’était pour tout cela qu’il me demanda de me joindre à eux un week-end bien défini, sans doute organisé en fonction des phases de fécondité de sa belle, qu’il connaissait bien mieux que moi. Tout fut prévu, rien ne manquait : à manger, à boire, de nombreux essuies de douche, une lumière calme et chaude tant au salon que dans leur chambre, de la musique de circonstance, puis des pieds de caméra de chaque côté du lit et deux appareils dont l’un resterait mobile pour des plans de vue plus précis. Peu de choses pour un magnifique moment de ma vie, l’assistance à une fécondation la plus naturelle qui soit, et la plus perverse aussi, que je ne peux désormais conter que par le souvenir indélébile et traumatisant toujours présent en ma mémoire…
J’avoue aussi avoir gardé une copie de ce film, cela m’aide donc à la précision de mon récit. Que ceci me soit sanctionné avec indulgence.


Samedi soir - de 18 heures à 20 heures
C’est Danielle qui m’ouvre la porte de leur maison de campagne, louée pour l’occasion. Un studio embrigadé de chambre d’étudiants n’aurait pu convenir à ce délire d’adultes certes jeunes, mais engagés dans une direction pervertie de l’Amour. Marcus a donc loué cette maison dans un petit village touristique en pleine morte saison, peu de gens ne pourront être ainsi intrigués par cette présence triolistique dans leur beau bastion. Elle m’ouvre, me regarde doucement avec un sourire fatigué, m’embrasse. Je lui prends le visage, m’inquiète de son état d’esprit et de sa forme, elle me baise les mains et m’assure que tout va bien. Marcus arrive du salon que je ne peux voir du hall d’entrée, il est habillé mais un sexe énorme est sorti de son pantalon et il le tient à pleine main en nous invitant à entrer et à m’asseoir confortablement. A Danielle, il lui dit tout autre chose avec un ton très mielleux et ferme en même temps. Tandis que je m’assois, lui s’appuie contre un mur, attrape la tête de sa femme, la met à genoux et la caresse de son sexe : « Danielle était en train de me sucer quand tu as sonné, permets-lui de finir sa tâche, et sers-toi un verre ! On est à toi très vite. ».
Je n’en crois pas mes yeux, ni mes oreilles, mais l’évidence est là : Danielle suce ce braquemart comme une artiste, une acrobate buccale. Elle salive, elle engouffre, elle lèche couilles, gland, et Marcus lui lance des injonctions comme à une esclave, une soumise : « Tu veux être la mère de mes enfants, alors suce et montre-nous que tu peux faire gicler ! ». L’explosion ne tarde pas en effet, Marcus lui attrape la chevelure de façon à pouvoir étaler sa crème, il se branle en panique et hurle enfin sa giclée abondante. Elle en reçoit partout sur le visage, les cheveux. Marcus lui dit sa beauté, sa grandeur, et lui promets pour cette nuit une grande manifestation de son amour. Il lui ordonne de s’asseoir à mes côtés, et lui sert un Muscat liquoreux, une boisson qu’elle apprécie. Elle a tout de même quelques droits à quelques saveurs. Il se sert un whisky de grande qualité, s’installe à quelques mètres de nous, et m’adresse ainsi la parole dans le but de nous présenter les règles qui conduiront notre nuit.
Danielle a le droit, même le devoir de me donner plaisir, mais je n’aurai jamais permission de la pénétrer, car ce temps est désormais révolu entre nous deux : elle est aujourd’hui future mère de ses enfants, et son con est son exclusive propriété. Je peux tout de même la préparer à l’amour comme je l’entends, je dois collaborer à l’émergence de sa virilité, pour qu’il puisse l’empaler comme un géniteur responsable et volontaire. Je peux la manger, la lécher, l’embrasser, lui fourrer ma pine en bouche, en cravate de notaire, sous ses aisselles, même la faire coulisser entre ses lèvres charnues, je peux lui cracher ma fougue séminale où je veux, bref la rendre proprement ou salement baisable. Seule sa bite à lui ira irriguer et fertiliser sa grotte de mousse : « Sommes-nous bien d’accord avec cela ? », nous demande-t-il tout sourire.
Belle Danielle me regarde, elle est couchée de tout son long, sa main droite dans mon pantalon, douce et tendre et vraisemblablement acquiesçante. « Aide-moi à devenir maman, j’ai besoin de toi, de ton envie de moi ! ». Elle se soulève et entre sa langue sucrée et salée dans ma bouche. Nos langues s’enroulent, je dépose mon verre et attire à moi ce corps chaud et disposé à la gestation d’un petit têtard et d’un petit œuf.
« Je peux la déshabiller ? », demandé-je à Marcus, « je t’en prie », me répond-t-il tandis qu’il se masturbe pour se grossir à nouveau. Danielle a une lourde poitrine qu’il me faut mettre en exposition, que je veux sentir chaude contre mon corps. J’ai envie de la préparer, puisqu’elle le veut également. Et j’ai envie de voir une vraie séance de copulation : « Il va être fou de toi, en fureur dans toi. Il va tout lâcher dans ta chatte, parce que moi aussi je vais lui en donner l’envie ! », lui susurré-je gentiment pendant que mes mains lui caressent les cheveux et le bas du corps, et qu’elle me réchauffe et m’empâte dans sa bouche. Le sperme de Marcus est encore frais sur son visage, et je lui étale au mieux sur toute la surface, qu’elle puisse respirer le suc d’amour qui va bientôt la couvrir. Je me sens gros dans sa bouche, et sa gentille langue risque de me faire exploser si je n’y prends pas garde. Alors, je sors de là, je me lève, et la rapproche de son homme en lui proposant de remplir sa bouche avec sa pine. J’ai envie de la lécher en chienne, de tout humidifier pour qu’il y soit bien à son aise quand il la pénètrera. Je sens que je veux participer à cette joute comme il se doit, en respectant les règles point par point. Etre le préparateur d’une fécondation et l’initiateur de la fougue viril dans un corps fou d’amour et ivre de bestialité. Il faut donc qu’on sente tous ces corps en démence, que toute cette tension animale explose dans une frénésie d’union.
Je plonge mon visage dans son sillon, ma langue s’engouffre violemment dans son con tandis que mon menton mal rasé va gratter la zone de sa pépite flamboyante. Et ces armes terribles se mettent à râper et à draguer si rapidement qu’une mare gluante, quelque peu sûrette, si grandement appétissante monte à la surface. Je la tiens par le haut de ses fesses, je la retiens prisonnière et je me débats dans cette riviera plutôt scandinave. Je la retiens, parce que je suis sans doute trop terrible dans mes caresses, Danielle veut comme s’enfuir, mais Marcus m’aide à la maintenir dans cette position pourrie. Il la garde tout contre lui, elle n’a plus la volonté de s’occuper de lui. Elle hurle, elle geint, elle supplie de calmer cette entrée en matière : « Laisse-le faire, pisse-lui dessus s’il le faut, ça le calmera peut-être… », lui dit-il aimablement, en lui caressant les seins. Moi, je crie là où je suis, entre la mer déchaînée et les précipices tremblants, car oui ! Danielle m’explose dessus, et son jus s’étale sur mon visage.
L’image est terrible, elle est tenue fortement par Marcus, hurlant de profil sans doute un premier orgasme ; je suis anonyme dans son cul et tiens à le rester, bougeant ma tête pour qu’on ne me reconnaisse pas, comme si je voulais entrer dans elle. Nous la posons sur le dos toute tremblante, saccadée, je lui écarte lentement la cuisse, et fais constater à Marcus qu’elle est visiblement prête à le recevoir. Elle nous assure pourtant dans un cri désespéré qu’il ne faut pas. Pas tout de suite.
Dans le rire, nous patientons donc, et profitons de ce temps pour changer tout de même de place. J’ai envie d’exploser, et le mieux est ce magnifique visage marqué comme de torture et soumission consentie : « Tu m’as joui dessus, Vilaine, à mon tour de te servir ! », lui dis-je décidé, « tu auras droit à une pause ensuite ! » . Cette scène se termine rapidement mais fortement : Marcus n’a pas encore toute sa vigueur disponible ; il attrape donc un godemiché qu’il finira par enfouir dans la chatte de sa Belle, tandis que je recouvre à nouveau et enfin de foutre ce visage angélique qui descend dans les enfers de deux satyres en rut.
De 20 heures à 22 heures
En comptant bien et en imaginant les vrais épisodes orgasmiques de Danielle, je peux lui en attribuer onze, alors que Marcus a certainement déchargé en elle quatre bonnes fois. Où va-t-il cherché toute cette vigueur, cette énergie et cette ressource liquide ?!
Très souvent, il lui fait face, soit en lui écartant les cuisses pour que son sexe rempli soit bien visible, mais surtout il se couche sur elle et lui enfonce la bite bien raide dans sa grotte enflammée. Là, par je ne sais imaginer quelles mouvements « vaginobités », il l’élève et la fait bondir dans diverses phases extatiques. Danielle se pâme comme elle tressaute alors que Marcus la pilonne ou la cloue sur place. Tout en la crucifiant de son dard, il lui dit des mots durs, des mots crus, des morsures injurieuses et d’amour, dans un rythme affolé. Il passe d’un tempérament de prince à sa princesse pour s’investir dans son rôle de salop qui défonce sa pute, et il joue l’admirateur pour s’essayer ensuite dans une colère qui cherche peut-être à tétaniser les transports de Danielle. Il lui gueule dessus comme il lui pleure son amour.
Je les filme moi aussi sous divers angles : en rapproché, ou en plan de recul, ils sont à moi ; je les filme sous toutes les coutures. Mais j’aime concentrer mon film sur le visage de Danielle qui perle de larmes, de sueur et encore de foutre d’avant-guerre. Son visage pourtant si blanc est maintenant rosé et grimaçant. Il illustre la soumission, l’invasion contrainte, le pillage de ses sillons fertiles mais aussi l’émerveillement lors d’un voyage en terres inconnues, le ravissement devant tant de beautés violées par la cupidité phallique. Je n’ai que peu d’occasions de me joindre à eux lors de ces joutes de fous, la caméra m’indispose à y participer aisément, mais je profite de mes plans rapprochés pour venir caresser ses joues, ses yeux, sa bouche avec mon sexe raide, quand Marcus m’en laisse l’espace.
Nous terminons ainsi en gros plan, Marcus éjacule pour la dernière fois dans son ventre, Danielle n’est plus de ce monde, elle est ailleurs, les yeux presque révulsés, le visage en feu ; le tremblement de son corps est perceptible par les allers-retours face caméra de son portrait, car ma main s’est calée entre son pubis et celui de Marcus, et mes doigts couronnent son clitoris englué de cyprine et de sperme. Il y a enfin leurs cris à tous les deux, graves, brutaux, bruyants, puissants.
Nous attendons vingt bonnes minutes, Danielle est recroquevillée sur le divan, en position de fœtus qu’elle est certainement déjà en train de mijoter dans son four d’amour. En voix off, Marcus lui dit ceci : « On va manger quelque chose, ma Salope ! Moi, j’ai le ventre creux, toi aussi j’en suis sûr ». Et il éclate de rire : « Elle est bonne, non ? ». De qui, de quoi parle-t-il ?!




22 heures-23 heures
Ceci n’est pas filmé, mais je livre ici mes chauds souvenirs. Marcus s’est dirigé vers la cuisine pour un en-cas bien mérité. Je me love auprès de la future maman, qui planera encore pendant de longues minutes. Je lui susurre les folies que j’ai en tête, je lui caresse le visage et les flancs qui sont les seules parties de son corps qui me tolèrent pour l’instant. Ma queue se caresse sur ses reins, et je lui raconte ce que je ressens car elle ne peut rien dire. Je luis dis combien elle est belle, ainsi foutue. Elle est plein de larmes et elle me sourit. Mais elle ferme aussitôt les yeux, je crois qu’elle est épuisée d’amour.
Je lui promets une douche chaude après tout ceci. En réalité, Marcus la lui refusera pour envisager autre chose. Pendant le repas, il s’offrira le privilège de nourrir Danielle, comme une enfant qu’on doit accompagner et soutenir tant dans sa faim que dans son sommeil. Ayant acheté deux kilos de raisin rouge, son fruit préféré, il prendra le temps de manger une bonne grappe tout en écrasant le jus du fruit sur le corps de Danielle, et en insérant quelques boules dans sa moiteur. La Belle nous supplie de la laisser se reposer, Marcus obtempère en lui proposant une toilette dont il m’en donne la charge, tandis qu’il passera derrière la caméra. Je la prends donc dans mes bras, elle est lourde dans son laisser-aller ce qui m’excite au plus haut point et vais la coucher sur le lit voisin. Marcus nous suit. Avec une bassine expressément acquise pour la cause et un gant de toilette granuleux, je la lave tièdement du stupre qui l’enrobe. La chambre est chaude, nous sommes nus à jamais tous les trois, et je me frotte à elle là où le tissu brutal est venu curer les fautes précédemment commises. Pas de savon, pas de parfum, m’a demandé Marcus, juste un peu d’eau pour la rafraîchir, Elle et sa chatte.
Je pense plutôt que je ne fais que les réchauffer toutes les deux, mais je dis à Elle qu’elle va pouvoir dormir un peu. Nous, les hommes, avons du boulot. Il nous faut monter le film, et nous serons à l’ouvrage pendant son sommeil. Je lui assure qu’elle aura un beau souvenir de sa soirée, qu’elle pourra en être fière, qu’elle pourra même le montrer à sa mère… Je suis dans sa bouche en lui disant tout cela, mais je parle à sa chatte, que j’ai laissée odorante. J’ai nettoyé juste les contours et le tapis de son pubis, mais j’ai gardé souillé l’intérieur de son sexe pour lécher et nettoyer le plus simplement avec mes doigts et ma langue. Je suis très appliqué, Marcus semble apprécier, il fait un gros plan ; les râles de Danielle harmonisent le tout, elle ne veut ou ne peut plus m’emboucher, je me branle donc et décharge sur elle, sans savoir où exactement… Nous admirerons après. Pour le moment, la caméra, Marcus et moi contemplons éruptions et geysers minuscules exploser entre nous. C’est drôle, c’est beau, c’est magnifique, c’est à mourir… C’est Marcus qui vient une dernière fois s’engouffrer pour souhaiter une bonne nuit. Il fait vite, il fait fort, il fait l’homme pressé. Pressé par une chatte désespérément fatiguée. « Endors-toi Femme, prends ta gelée et repose-toi ! ».
Nous repassons au salon. Le film se termine la porte refermée par Marcus, Danielle au loin fourbue, foutue, crucifiée, ensemencée…Nettoyée.
Dimanche – 4 heures
Nous avons bien travaillé. Le film-souvenir sera long, car Marcus a voulu faire des plans de montage différents en fonction des moments de filmage : des plans avec Danielle, des plans où Danielle n’est plus, mais où sa présence sonore est aussi excitante qu’avec l’image. Elle a une tonalité si rauque lors de ses orgasmes, que nous ne pouvions travailler qu’en érection. Il a fallu plus d’une fois que nous nous retenions tous deux pour ne pas la rejoindre et lui soumettre à nouveau sa tâche de mère-pute. Mais Marcus voulait la consacrer par cette petite œuvre que nous cherchions à inventer. Il voulait le lui faire visionner au plus tard après le déjeuner, et envisager une fin de dimanche cinéphile.
Il voulait consacrer la beauté de Danielle, mais voulait par-dessus-tout moraliser et lui raconter une histoire. « Je veux qu’elle sache qu’elle est à moi, que je la veux mienne ! Je veux qu’elle comprenne qu’elle sera tout ce qu’elle veut, mais qu’avec moi elle est à moi ! Je veux que ce soit le film de notre union, celle qui sacre l’amour fou que je lui porte ! Tu comprends mon ami et fidèle Allié à ma cause ? », dit-il en riant. Ne sachant pas trop quoi lui répondre, je lui demandai si quelque chose manquait dans son film. « Un final, un happy end ! Viens, allons la rejoindre, remettons les caméras en place, plan fixe, et viens la baiser avec moi ! Laisse-moi faire pour le dialogue, improvise avec moi, accepte tout ce que je te proposerai, tu vas jouer ton plus beau rôle. ».
Nous revenons dans la chambre, avec tout l’outillage pour leur bon souvenir. Marcus installe avec fracas les caméras fixes pour chercher à réveiller Danielle. Il m’enjoint à me coucher auprès d’elle, dans la position de la cuillère et de me préparer. Il attrape la main de Danielle et la mets à disposition entre ses cuisses. J’ai droit à des touchers si doux et chauds là où je me trouve que ma verge émerge rapidement. « Couche-toi sur le dos maintenant, je vais t’aider à la poser sur toi, et vais guider ta bite dans sa chatte ! Petite chérie, c’est moi qui dis quand tu te fais foutre, c’est moi qui t’offre des bites pour assouvir ta faim. ». Il se couche entre nos entrecuisses, m’attrape la verge qu’il doit avoir huilée, tant il coulisse aisément de mon long. Son index et son majeur font alors pression à la base de mon gland, et l’aide à s’engloutir dans le con de la Princesse. Je suis heureux de sentir une moiteur dont j’avais oublié sa force de plaisir engendré, les touchers de Marcus étant nouveaux pour moi. J’ai peur de perdre toute contenance, mais Marcus se veut rassurant : « je ne vais pas te la sucer, je laisse la chatte de ma femme s’occuper de toi. Mais vos sexes sont à moi, je les marie comme je veux, à vous je vous laisse tout en haut la culpabilité qui doit vous animer. Regardez-vous dans les yeux, et dites-vous combien vous êtes deux bêtes immondes ! Vous copulez dans le pêché, mais je vous y autorise ! Dites-moi merci ! Dis-moi que tu m’aimes, Salope, remercie-moi, Ordure ! ».
Nous lui obéissons tous les deux, moi fiché en elle selon ses envies à lui. Il attrape de temps en temps le bas du corps de Danielle, et l’oblige à des frénésies de ramonage intempestifs, il insulte et adule sa chatte, il crache et caresse sur ma bite et mes couilles. Il nous fustige par sa puissance et sa colère. Je la caresse, je l’admire elle tout en le sacrant, lui. Je lui dis toute ma gratitude et il me donne sa Belle de toute ma tige. J’éjacule une première fois si fortement que je me m’étale sur nos visages à Danielle et moi. Marcus m’a sorti et branlé. Je n’ai pas résisté, Danielle m’a pris la tête et me colle des baisers de chienne. Jamais je ne l’ai vécue ainsi, jamais non plus je ne l’avais réveillée pour la sauter. Tout était nouveau, pour elle comme pour moi.
Marcus me remet en elle, je bande encore !
Marcus colle sa bouche sur le sexe de Danielle.
Danielle se débat, veut fuir, mais je la maintiens, la caresse et l’envahit. Elle me compresse, Marcus le sait bien et poursuit son supplice. Il me sort tout à coup, et me frotte à sa grotte. Nous jouissons tous les deux presqu’en même temps, longuement, suavement.
Marcus monte sur nous : « Je vais vous baiser tous les deux ! Toi salope dans ta chatte, et toi petit branleur, dans ton âme ! ». Il s’écrase sur Danielle et me fixe, la pénètre et me souris plein de mon foutre et de sa mouille : « Pour moi ! Elle est pour moi, cette maman ! Elle va être grosse de mon jus, elle va être ronde de mon plaisir de devenir père, elle va enfanter ma passion de sa chatte, c’est ma bite et moi qui sommes sa famille ! ».
Danielle hurle maintenant, soudée à son corps. Ils m’écrasent de leur folle lourdeur et démoniaques mouvements. Moi aussi je hurle. Sur Danielle. Je l’insulte, je lui ordonne de le faire jouir, je lui somme de devenir mère, je lui propose de devenir le parrain de son troisième enfant, je viendrai lui donner le sein, ou la pipe, selon ses envies, je serai fou de la langer ou de venir lui nettoyer la fente, mais je lui supplie de le vider de son foutre.
Mes mains la palpe, la pince, la comprime, la caresse. Elle jouit. Encore. Elle réussit à achever son homme en rut au bout de quelques secondes, remplie une dernière fois de sa crème.
Dimanche – 13 heures
Je suis le premier réveillé. Je n’ai plus rien à faire ici, le reste ne regarde plus que les deux amoureux, les futurs parents. Ils dorment encore, elle blottie contre son flanc, lui sur le dos, le bras droit passé sur son corps.
Nous nous sommes quasiment évanoui tous les trois après cette folie sexuelle je l’espère féconde. J’ai comaté contre le dos de Danielle, elle s’est affalée contre son homme tout de suite après sa dernière expulsion, lui qui s’est dégagé lourdement de sa fente ravagée. Nous l’avons sans le vouloir enveloppée de tout notre amour alors que l’aube tentait de se montrer à travers les tentures que nous avions tirées.
Avant de quitter la chambre, j’ai tendrement embrassé une dernière fois ce qu’elle m’offrait de sa féminité, à savoir ses fesses suintantes de foutre et de sueur… Elle fleurait l’amour animal, ma langue alla dire merci au peu d’ouverture qu’elle faisait entrevoir de ses cuisses serrées l’une contre l’autre. J’allai me prendre une copie de notre production X, leur écrivis un petit mot tout en tendresse et en reconnaissance éternelle et partis comme un voleur pour leur laisser cette maison à eux deux.
Une petite Eve est née de cette furie, mais je n’en suis pas le parrain. Entre nous, cela m’est bien égal.

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