Un déménagement à l'africaine

- Par l'auteur HDS Micky -
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Auteur femme.
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Récit libertin : Un déménagement à l'africaine Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-09-2021 dans la catégorie Plus on est
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Un déménagement à l'africaine
On dit parfois que des femmes ont le fantasme de l'homme noir. Mais l'inverse peut aussi être vrai : l'homme blanc peut être attiré par les peaux d'ébène féminines. C'était le cas d'un chauffeur-livreur prénommé Marius, âgé de 28 ans, bien de sa personne mais pas pour autant doté d'un physique de play boy, bref un homme ordinaire mais pouvant être considéré comme "normal", si ce n'est un gabarit athlétique conforme à ses fonctions. Ses succès féminins se révélaient éphémères, y compris auprès d'une catégorie de femmes issues des Antilles ou, plus rarement, des anciennes colonies africaines. Au moins avait-il acquis à leur propos une certaine expérience. Il savait qu'il fallait les traiter avec précaution et ménager leur susceptibilité mais que rares étaient celles qui, selon son mot, "n'aiment pas le cul". Mais aucun des "râteaux" subis ne l'avait découragé à séduire ces filles à peau ambrée, chocolat ou café au lait. Il savait qu'un jour ou l'autre, l'une d'elles serait la femme de sa vie, à défaut de maîtresses occasionnelles, jamais décevantes au lit.

Le hasard des livraisons le conduisit un jour chez une femme d'une quarantaine d'années, noire comme le charbon, qui tenait un magasin de cosmétiques. Dès qu'il la vit, il ressentit un choc au niveau de la braguette. Ce qui le frappa d'abord fut son gabarit. Elle mesurait pas loin d'un mètre quatre vingt, pesait dans les 75 kg et respirait la santé. Le physique d'une handballeuse ou d'une basketteuse ayant pris un peu de poids à sa retraite sportive. Elle portait une robe lui arrivant à mi-cuisses (nues), décolletée en rond gonflant deux seins lourds, arborait une tête à cheveux tressés et un sourire ravageur aux dents carnassières. Elle rit même franchement quand le trouble de son livreur lui apparut, ce qui ne devait pas la surprendre vu qu'elle jouait manifestement sur sa sexualité débordante.

- Pose ça là et remet-toi, lança-t-elle au garçon qui portait ses colis. Lequel nota le tutoiement d'emblée.
Lorsqu'elle se pencha en avant pour vérifier les étiquettes, sa robe remonta si haut que ses cuisses larges et musclées apparurent en intégralité aux yeux du livreur, à tel point qu'il n'aurait eu qu'à se baisser légèrement pour apercevoir son slip... si slip il y avait. Puis elle se retourna, l'air de dire "alors, tu t'es bien rincé l'oeil ?", et lui proposa un café. Ce qu'il accepta malgré l'urgence des livraisons, trop heureux de prolonger cette entrevue avec cette femelle qui respirait le sexe à pleins poumons.

D'abord banale puisqu'ayant trait aux contraintes des livreurs en centre-ville, la conversation prit un tour inattendu lorsque la commerçante, demandant à se faire appeler Sandra, dit à Marius :- Je déménage samedi et j'ai besoin de main d'oeuvre. Tu es costaud et tu me rendrais bien service si tu venais aider mon mari et mes copains. Je ne peux pas te payer mais il y aura une récompense à la fin. J'organiserai une belle pendaison de crémaillère, à l'africaine. Ce sera une fête d'enfer. Tu peux même emmener ta copine si tu en as une. C'est même souhaitable car on aura aussi besoin de petites mains. Qu'en dis-tu ?
D'abord interloqué, Marius réfléchit quelques secondes. D'un naturel serviable, il ne voyait pas d'opposition à dépanner une femme à ses yeux aussi séduisante, même si elle venait de s'annoncer mariée. Et puis, il y aurait peut-être des "meufs" à peau noire dans cette fameuse fête. Ce serait un bon moyen de combattre ses mortels week-ends.
- Je ne suis pas contre, mais je n'ai pas de copine attitrée, répondit-il.
Tout sourire, Sandra apprécia l'accord du livreur mais ajouta :- Tu es sûr de ne pas connaitre une fille sympa, pas bégueule, aimant la fête ? Elle nous serait très utile aussi.

Marius pensa aussitôt à Marjorie, sa collègue du secrétariat. Agée tout juste de 50 ans, mais pimpante comme une jeune fille, elle venait de se séparer de son compagnon et lui avait avoué souffrir de sa solitude. Il l'avait sortie en boite avec lui un soir, en tout bien tout honneur, et l'avait laissée en compagnie d'un gaillard amateur de brune à peau mate et un peu rondelette comme Marjorie. Elle n'avait pas caché à Marius le lundi suivant qu'elle avait baisé tout le reste du week-end avec ce type et qu'elle était de ce fait "en miettes". Voilà pourquoi Marius considérait aujourd'hui qu'elle correspondait parfaitement au profil voulu par Sandra, "pas bégueule et aimant la fête".
*********La secrétaire accepta avec enthousiasme la proposition de Marius de venir l'aider à déménager la cliente :- J'adore les Africains, ils ont un sens inné de la fête, on va sûrement beaucoup s'amuser et si ça doit passer par un peu de manutention, ce n'est pas un problème. Au moins, je ne m'ennuierait pas.
Et c'est ainsi que le samedi suivant, Marius et Marjorie débarquèrent à l'adresse convenue. Sandra, sommairement vêtue d'un short dévoilant ses cuisses sculpturales et d'un débardeur découvrant ses épaules, les accueillit avec un sourire éclatant. Le mari, prénommé Boubacar, apparut, taillé lui aussi comme un ancien basketteur, et embrassa Marjorie sur les deux joues, ce qui la fit rosir. Deux autres manutentionnaires vinrent saluer les nouveaux venus : un compatriote du couple âgé d'une trentaine d'années aux cheveux rasta, grande perche au corps sec, prénommé Gaétan, et totalement inattendue dans ce contexte, une grande saucisse quinquagénaire à peau blanche et aux cheveux argentés, gaulée comme un ancien mannequin, prénommée Véronique, attachée commerciale spécialisée en cosmétique et à ce titre à la fois collaboratrice et amie de Sandra.
Celle-ci organisa aussitôt les activités : aux hommes les chargements et déchargements de la camionnette loue pour l'occasion, aux femmes les déballages et les rangements en plus de la manutention des petits objets.

Et c'est ainsi qu'après une brève collation aux alentours de midi, et une fois la maison définitivement rangée, tout le monde se retrouva en soirée dans le nouveau jardin du couple hôte pour un barbecue préalablement préparé, arrosé d'une sangria généreusement servie à la louche par Sandra, laquelle avait troqué son short et son débardeur pour une mini robe découvrant ses épaules et tenant par la magie de ses seins en obus sans le moindre soutien. Marius n'avait d'yeux que pour elle et en oubliait le mari qui, il est vrai, ne semblait guère s'en formaliser, étant surtout intéressé par Marjorie. Celle-ci avait prévu le vêtement ad hoc, sorti de son sac : une combinaison au tissu très souple qui la moulait d'un seul tenant des épaules aux chevilles comme une seconde peau et soulignait son arrière-train que Marius avait toujours trouvé un peu trop volumineux à son goût. Elle avait à l'évidence viré son soutif, à en croire la balancement de ses seins sous la toile légère, et Marius se demanda si elle n'avait pas exclu aussi son slip, vu le mouvement permanent de ses fesses charnues. Un string, peut-être... Si Sandra respirait le sexe avec sa robe, Marjorie n'était pas loin de l'imiter avec sa combinaison, d'où l'intérêt que lui manifestait Boubacar, sans que son épouse sans émût. Quant à Véronique, l'autre invitée, elle ne déparait pas avec une longue robe fendue jusqu'aux hanches et décolletée dans le dos jusqu'aux reins. Les trois hommes, Boubacar, Marius et le rasta Gaétan, ne pouvaient que saliver devant une sexualité si complaisamment affichée par les femmes présentes.
*******Gaétan sortit un tambourin et on dansa au son caverneux de l'instrument. Boubacar ne quittait plus Marjorie d'une semelle, ce qui amusa Marius, vu la différence de taille entre les deux. Les seins de la secrétaire dansaient la samba et ses fesses suivaient le même rythme :- Dis donc, elle est chaude, ta collègue, murmura Sandra à l'oreille de Marius, mon mari va finir par se la faire.
Le livreur fut interloqué par cette réflexion laissant supposer une certaine indifférence de l'épouse. Laquelle rit franchement à la surprise de son interlocuteur.
- Pas de souci, on est libertins, à l'africaine, ajouta-t-elle mezzo voce. Et de poser sa main sur la cuisse de Marius qui banda instantanément.
La soirée se poursuivait dans un érotisme de plus en plus perceptible. Véronique, l'attachée commerciale, qui venait de tendre un nouveau verre de sangria à Marius, lui glissa avec un demi sourire :- Ta copine, elle va baiser avec Bouba, c'est clair. D'ailleurs, on va tous baiser. Toi avec Sandra et moi avec Gaétan.

Marius ne répondit pas mais il sentait de plus en plus une boule dans la gorge et une tension dans son bas-ventre. Quand Boubacar prit Marjorie par la main et l'entraina à l'intérieur de la maison, il comprit que Véronique avait parfaitement analysé la situation. Mais il n'osait pas passer à l'acte avec Sandra, même quand Gaétan posa son tambourin pour venir enlacer Véronique et l'embrassa en glissant ses mains dans son décolleté arrière pour atteindre ses fesses, probablement nues. Eux aussi disparurent dans la maison, laissant le livreur en la seule présence de son hôtesse, de plus en plus hilare.
- Alors, tu te décides ou il faut que je vienne te chercher ? lui lança-t-elle.

Elle le prit par la main et l'entraina vers une banquette où ils s'assirent côte à côte. Elle le bécota et il ne résista pas à l'appel de ses cuisses ouvertes et découvertes. Confirmation : elle ne portait pas de slip. Et sa fente révéla une humidité ne laissant aucun doute sur son appétit. Dans le même temps, elle avait libéré son pénis et ne tarda pas à se pencher pour l'emboucher. Marius sentit une gaine de velours s'emparer de son gland. Bon dieu quelle pipe ! Elle savait y faire, la commerçante ! Il palpait en même temps ses seins lourds et fut épaté par leur fermeté. De vrais muscles ! Puis elle finit par s'interrompre et lui dit :- Garde des réserves, on ne fait que commencer. Viens, on sera mieux au lit.

Dans le salon, la scène qui sauta aux yeux de Marius le mit dans l'ambiance. Boubacar était assis sur le canapé et Marjorie, totalement nue, le chevauchait avec toute l'ardeur de son cul pulpeux qui tremblotait sous l'effet du pal. Le volume et la longueur du pénis de l'Africain se révélait à chaque fois que la secrétaire se relevait pour mieux s'enfoncer dans un cri rauque. Elle ne serait pas venue pour rien, la copine ! A l'étage, Marius et Sandra passèrent devant une chambre à la porte ouverte où Véronique, vue de face, se faisait prendre en levrette par Gaétan, très concentré, sa partenaire montrant un visage rayonnant, comme si elle allait rire sous l'effet du choc des peaux qui emplissait la pièce.
- Tu es bien baisée, hein, ma cochonne ? lui lança Sandra.
Véronique lui répondit en lui tirant la langue sans interrompre ses coups de cul enthousiastes. Et Sandra tira Marius vers une autre chambre, celle de son couple avec Boubacar, environnée de miroirs jusqu'au plafond, ce qui stupéfia le livreur.

Par la suite, il tomba totalement sous le joug de Sandra. L'athlétique commerçante le plaqua sur le lit, le déshabilla, fit de même et s'empala en rugissant sur la queue verticale, imposant son rythme, ses initiatives, se tournant et se retournant, tournoyant du cul et virevoltant du buste. Marius en prenait plein les yeux autant que de la pine. Il était baisé de long en large par une femelle en chaleur qui suait l'amour par tous les pores au point de parfumer la pièce d'une puissante odeur sui generis. Quand elle se retira, elle se retourna et se mit à quatre pattes, croupe en l'air, et lui dit :- Mon cul t'inspire, hein ? Un cul de négresse, ça s'encule. Encule-le.

Une telle invitation ne se refusait pas. Il entra avec une surprenante facilité, signe d'une pratique assidue de la part de la dame. Sa queue était comme une branche de teck, infatigable, et il se demanda en limant si le couple hôte n'avait pas jeté un filtre d'amour dans la sangria pour qu'il se montre aussi viril et endurant. Sandra passait de temps à autre sa tête par-dessus son épaule pour l'admonester et il suait à grosses gouttes pour répondre à sa demande. Puis elle se cambra en poussant un cri. Elle avait joui. Mais toujours pas lui.

Alors qu'il était en train de se demander comment il allait la reprendre, les deux autres couples entrèrent dans la chambre en rigolant.
- Alors, ça va, les amoureux ? lança Boubacar, dont le pénis pointait encore à l'horizontale.
Marius croisa le regard de Marjorie, toujours à poil et visiblement amusée par la scène. Elle rejoignit Véronique sur le lit avec l'intention évidente de poursuivre ses ébats au milieu des miroirs, tout en lançant à son collègue en regardant son bas-ventre :- Dis donc, tu es drôlement gaillard, tu m'avais caché ça !

Mais elle s'interrompit aussitôt car Gaétan, le tambourineur, venait de se glisser entre ses cuisses et elle marqua son adhésion en lui encerclant les reins de ses mollets ronds. Dans le même temps, Véronique s'était emparée de la queue du livreur et le suçait pendant que Boubacar la prenait par derrière, encouragé par Sandra. Le lit était devenu un chantier que les miroirs renvoyaient dans un kaléidoscope d'un érotisme intense. Et c'est par miroir interposé que Marius vit Boubacar se détacher de Véronique et venir enfiler son épouse, faisant tanguer le lit sur ses bases.
- Tu me baises ? souffla la quinqua argentée au livreur, coudes sur le lit, seins étalés sur son buste, cuisses en V.

Il était dans un tel état d'excitation qu'il en avait presque mal à la queue. Il lui fallait absolument pénétrer. L'attachée commerciale était à peu près dans le même état et elle cala avec souplesse ses longues jambes au ras des oreilles de Marius pour qu'il puisse entrer en elle au plus profond.
- Oui. C'est ça. Tu y es. Bouge. Bouge encore. Secoue-moi. J'adore ça. T'arrête pas, hein ? Regarde-moi. Tu aimes me baiser, dis ?
Marius opina du chef tout en roulant des hanches. Il y avait belle lurette qu'il n'avait pas honoré une femme blanche mais celle-ci était un sacré coup. De quoi réviser ses positions. Il suivait dans les yeux de Véronique la montée de son plaisir :- Putain que tu es dur ! Tu me régales... ah ah ah je jouis, je jouiiiiis...
Il allait tout lâcher lui aussi quand il fut tiré en arrière manu militari par Sandra :- Tu en as encore, hein ? Maintenant, tu vas baiser ta copine, lui intima-t-elle.

Marius n'avait pas prévu ce scénario. La secrétaire n'avait jamais fait partie de ses priorités érotiques. Mais délaissée par Gaétan, qui venait de le relayer entre les cuisses de l'attachée commerciale, à peine remise de son orgasme, Marjorie regarda son collègue avec amusement :- Alors ? Tu assures ou pas ?
C'était quasiment un défi. La chair pulpeuse de la secrétaire palpitait encore après les assauts du tambourineur.
- T'inquiète pas, ça ne sortira pas d'ici, lui dit-elle. Mais j'ai envie de ta queue. Donne-la moi. S'il te plait.

Marius jeta un bref regard vers l'autre bout du lit XXL. Couchées en parallèle, Sandra et Véronique subissaient les assauts de Boubacar et Gaétan en rivalisant de piaillements. Marjorie se rapprocha de Marius et lui glissa à l'oreille :- Ils baisent bien, hein ? Regarde comme elles jouissent. Tu vas me faire jouir, toi aussi. Prends-moi comme tu veux. C'est l'occasion ou jamais.
Il pensa alors à sa croupe qu'il avait longtemps trouvé trop grosse mais qu'il avait trouvé belle en chevauchant Boubacar en peu plus tôt.
- J'ai envie de t'enculer, lui souffla-t-il.
- Tu n'es pas le premier. Mais lèche-moi d'abord.
Il s'exécuta en lui écartant les fesses, lui trouva un goût un peu sauvage mais excitant, s'il en était besoin. Quand il plaça sa queue à l'orifice, elle l'aida en venant doucement à sa rencontre et quand il entra vraiment, le contact de la peau douce et charnue sur son ventre le mit en transes. Il enculait Marjorie ! Il lima avec enthousiasme pendant qu'elle se caressait la vulve. Il ne voyait même plus les deux autres couples qui avaient fini par exploser et les regardaient, coudes sur le lit. En revanche, il se voyait dans le miroir d'en face et regardait Marjorie qui le regardait aussi, ses seins ballottants entre ses bras.
- Tu aimes ça, hein ? Tu l'aimes, mon cul, petit salaud. Rentre-moi bien dedans, j'adore. Mmmmhhh.
Elle lui parlait de sa bite en fixant son visage par miroir interposé et il sentit son sperme remonter du fin fond de ses couilles. Il allait enfin pouvoir se soulager mais pas avant qu'elle eut vraiment atteint l'orgasme anal. Soudain, son regard devint vitreux, sa bouche s'ouvrit en grand, muette et elle roula des hanches dans un spasme, criant :- Maintenant ! Maintenant !
Et il éjacula ce qui lui sembla un litre de sperme, le museau dans les cheveux bruns de la secrétaire affalée sur le matelas, bavant dessus. Des applaudissements saluèrent cet orgasme commun. Les deux autres couples n'avaient rien perdu de ce bouquet final. Marjorie reprit peu à peu ses esprits, embrassa Marius sur la bouche et lui dit simplement :- Merci.
C'était le remerciement le plus inattendu de sa collègue...
******Les protagonistes de cette chaude soirée laquelle, ne l'oublions pas, concluait un emménagement, éprouvèrent le besoin de retourner à la sangria. Mais cette fois, Marius déclina. Il était lessivé, avait mal à la queue et éprouvait le besoin de rentrer chez lui. Marjorie décida de l'accompagner ou plutôt de se faire raccompagner. Les hôtes le déplorèrent mais n'insistèrent pas et les deux collègues se retrouvèrent dans la voiture de Marius, celui-ci inquiet d'un contrôle éventuel d'alcoolémie vu tout ce qu'il avait bu. Mais le retour se passa sans anicroche et il laissa Marjorie devant chez elle. En le quittant, elle lui glissa :- Bon, comme je te l'ai dit tout à l'heure, tout ça reste entre nous. J'ai passé une super soirée et je ne te remercierai jamais assez de m'avoir invitée. J'ai pris un pied d'enfer, y compris avec toi et franchement, j'en avais grand besoin. Mais tous les deux, on en restera là. Je n'aime pas les relations sexuelles dans le boulot. Enfin, le moins possible... Allez, gros bisous et à bientôt.
Et Marius regarda la secrétaire ouvrir sa porte, la croupe serrée et mouvante dans sa combinaison moulante sous laquelle, il le savait désormais, elle était nue. Une croupe qu'il ne verrait désormais plus du même oeil, pour l'avoir honorée de la manière la plus virile qui soit. Et ça, on ne pourrait pas le lui enlever.

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