Un dérapage presque controlé
Récit érotique écrit par John Rabbit [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-07-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Un dérapage presque controlé
Cette histoire parle d’une aventure de Marjorie, professeure de lycée. Ce n’est pas vraiment une histoire de sexe… enfin, un peu quand même.
Marjorie est une jolie professeure de 28 ans. Elle mesure 1m63, est fine, avec une jolie poitrine et de jolies fesses. Elle a aussi de longs cheveux bruns et aime plaire.
L’histoire que je vais vous raconter ne se passe pas au lycée, même si cela y est lié.
J’adore sortir en boîte. Oui, les profs ont une vie aussi. Fraîchement célibataire, j’ai envie de m’amuser. Alors je suis sur la piste de danse et je danse, prévoyant de le faire toute la nuit. Alors que je suis sur la piste, je sens quelqu’un danser derrière moi. Au début, le contact semble involontaire, mais peu à peu, je sens un rapprochement. J’ai bien aimé ce moment de rapprochement sans savoir avec qui. Comme je laissais faire, le contact devint plus direct : il était maintenant clairement contre mon dos. Il tenta de poser sa main sur ma taille et, devant mon absence de refus, il mit clairement sa main sur ma taille. Ce n’était pas désagréable. Il prit de plus en plus confiance et sa deuxième main vint, elle aussi, se poser sur ma taille. Il me fit me coller encore plus contre lui. Je sentais très bien que la situation lui faisait de l’effet. Je sentis son souffle sur mon cou, puis il me fit un baiser dans le cou, sans que je n’aie vu son visage et sans qu’il n’ait vu le mien. Ses mains se mirent sur mon ventre et l’une d’elles monta un peu sur ma poitrine. J’avais l’impression qu’il n’y avait plus que nous deux en boîte. Sa main s’aventurait sur ma poitrine pendant que mes fesses étaient contre lui. D’un côté, j’avais envie de me retourner et de voir enfin qui était cette personne, mais d’un autre, je ne voulais pas prendre le risque de gâcher ce moment. Cependant, il fallait bien voir où cela irait, alors je me suis retournée. Ses mains, qui étaient sur mon ventre, se retrouvèrent sur mes fesses, et en nous voyant enfin l’un l’autre, ce fut le choc…
Lui comme moi, je crois que nous sommes passés d’un état d’excitation à un état de panique. L’homme avec qui j’avais flirté était un élève du lycée… J’avais envie d’hurler et de partir en courant, mais je n’avais plus la force. Tout s’écroulait autour de moi. J’ai quand même trouvé la force de partir. J’ai quitté la boîte, mais il m’a rattrapée. Lui aussi avait l’air paniqué. Il s’excusa, me jura qu’il ne savait pas que c’était moi. Je me suis excusée aussi, lui disant que je ne savais pas non plus. Il reprit un peu plus vite ses esprits et me dit de ne pas m’inquiéter, qu’il n’y avait rien eu de mal. Au final, c’était un peu vrai, même si ce n’était pas pour cela que c’était bien, mais cela me calma un peu et nous avons pu parler.
— Promis, je ne dirai rien à personne.
— J’espère.
— Vous savez, on est à la fin de l’année. Il n’y a quasiment plus de cours avec le bac qui arrive, et j’ai 18 ans…
— Je sais, mais ce n’est pas pour ça que c’est bien…
— Moi, j’ai trouvé ça bien, Madame…
Je ne sais pas pourquoi, sûrement le fait qu’il m’appelle encore "Madame" après ce qui s’était passé, mais cela me fit sourire et cela m’a détendue.
— Promis, tu ne diras rien ?
— Promis. Et je ne vais même pas vous demander de bonnes notes en échange, ça ne sert à rien…
— En effet, puis le chantage ne mène à rien…
— Oui, puis quitte à faire du chantage, je n’aurais pas demandé de bonnes notes !
— Ah bon, c’est-à-dire ?
— Bah, j’aurais plutôt demandé de faire ce qui serait arrivé si nous ne nous connaissions pas…
— Euh, attends, il serait arrivé quoi ?
— Bah, nous nous serions embrassés, non ?
— Ah euh, possible, je ne sais pas…
— Allez, ne vous inquiétez pas, vous pouvez le dire. J’ai bien aimé être contre vous, mais vous avez dû vous en rendre compte…
— Eh oh, dis donc, tu te calmes !
— Ça va, ne vous énervez pas, ça vous a plu aussi…
— Ce n’est pas la question !
— Oui mais vous aimé quand même !
En disant cela, il passa sa main le long de mon bras. J’étais perturbée par la situation, ne sachant pas trop comment réagir, sûrement encore troublée par ce moment intense sur la piste de danse. Les barrières commençaient peut-être à céder. Comme je ne le repoussais pas, il s’approcha de moi et me dit à l’oreille qu’il s’excusait à l’avance et qu’il accepterait les conséquences. Après avoir dit cela, il m’embrassa. Au début, je gardais ma bouche fermée, mais je ne le repoussais pas. Puis, je me suis laissée aller, et nous sommes partis dans un baiser fougueux. Nous étions dans un endroit un peu isolé derrière la boîte. En m’embrassant, il me fit reculer. Je me suis retrouvée les fesses à moitié sur un muret. Il se mit entre mes jambes et continua de m’embrasser, ses mains agrippant mes fesses. Puis, il m’embrassa dans le cou et ses mains agrippèrent mes seins. Je sentais son désir grossir contre mon intimité à travers son pantalon. Il retourna très vite vers ma bouche pour reprendre un fougueux baiser. À un moment, il me fit me remettre dos à lui, un peu penchée sur le muret. Il se collait contre moi, ses mains passèrent sous ma jupe et touchèrent mes fesses. Alors qu’il déboutonnait son pantalon, je repris mes esprits et lui demandai d’arrêter. Il s’exécuta. Il resta contre moi encore quelques instants, s’excusa, me promit encore de ne jamais en parler, puis il s’en alla.
Marjorie est une jolie professeure de 28 ans. Elle mesure 1m63, est fine, avec une jolie poitrine et de jolies fesses. Elle a aussi de longs cheveux bruns et aime plaire.
L’histoire que je vais vous raconter ne se passe pas au lycée, même si cela y est lié.
J’adore sortir en boîte. Oui, les profs ont une vie aussi. Fraîchement célibataire, j’ai envie de m’amuser. Alors je suis sur la piste de danse et je danse, prévoyant de le faire toute la nuit. Alors que je suis sur la piste, je sens quelqu’un danser derrière moi. Au début, le contact semble involontaire, mais peu à peu, je sens un rapprochement. J’ai bien aimé ce moment de rapprochement sans savoir avec qui. Comme je laissais faire, le contact devint plus direct : il était maintenant clairement contre mon dos. Il tenta de poser sa main sur ma taille et, devant mon absence de refus, il mit clairement sa main sur ma taille. Ce n’était pas désagréable. Il prit de plus en plus confiance et sa deuxième main vint, elle aussi, se poser sur ma taille. Il me fit me coller encore plus contre lui. Je sentais très bien que la situation lui faisait de l’effet. Je sentis son souffle sur mon cou, puis il me fit un baiser dans le cou, sans que je n’aie vu son visage et sans qu’il n’ait vu le mien. Ses mains se mirent sur mon ventre et l’une d’elles monta un peu sur ma poitrine. J’avais l’impression qu’il n’y avait plus que nous deux en boîte. Sa main s’aventurait sur ma poitrine pendant que mes fesses étaient contre lui. D’un côté, j’avais envie de me retourner et de voir enfin qui était cette personne, mais d’un autre, je ne voulais pas prendre le risque de gâcher ce moment. Cependant, il fallait bien voir où cela irait, alors je me suis retournée. Ses mains, qui étaient sur mon ventre, se retrouvèrent sur mes fesses, et en nous voyant enfin l’un l’autre, ce fut le choc…
Lui comme moi, je crois que nous sommes passés d’un état d’excitation à un état de panique. L’homme avec qui j’avais flirté était un élève du lycée… J’avais envie d’hurler et de partir en courant, mais je n’avais plus la force. Tout s’écroulait autour de moi. J’ai quand même trouvé la force de partir. J’ai quitté la boîte, mais il m’a rattrapée. Lui aussi avait l’air paniqué. Il s’excusa, me jura qu’il ne savait pas que c’était moi. Je me suis excusée aussi, lui disant que je ne savais pas non plus. Il reprit un peu plus vite ses esprits et me dit de ne pas m’inquiéter, qu’il n’y avait rien eu de mal. Au final, c’était un peu vrai, même si ce n’était pas pour cela que c’était bien, mais cela me calma un peu et nous avons pu parler.
— Promis, je ne dirai rien à personne.
— J’espère.
— Vous savez, on est à la fin de l’année. Il n’y a quasiment plus de cours avec le bac qui arrive, et j’ai 18 ans…
— Je sais, mais ce n’est pas pour ça que c’est bien…
— Moi, j’ai trouvé ça bien, Madame…
Je ne sais pas pourquoi, sûrement le fait qu’il m’appelle encore "Madame" après ce qui s’était passé, mais cela me fit sourire et cela m’a détendue.
— Promis, tu ne diras rien ?
— Promis. Et je ne vais même pas vous demander de bonnes notes en échange, ça ne sert à rien…
— En effet, puis le chantage ne mène à rien…
— Oui, puis quitte à faire du chantage, je n’aurais pas demandé de bonnes notes !
— Ah bon, c’est-à-dire ?
— Bah, j’aurais plutôt demandé de faire ce qui serait arrivé si nous ne nous connaissions pas…
— Euh, attends, il serait arrivé quoi ?
— Bah, nous nous serions embrassés, non ?
— Ah euh, possible, je ne sais pas…
— Allez, ne vous inquiétez pas, vous pouvez le dire. J’ai bien aimé être contre vous, mais vous avez dû vous en rendre compte…
— Eh oh, dis donc, tu te calmes !
— Ça va, ne vous énervez pas, ça vous a plu aussi…
— Ce n’est pas la question !
— Oui mais vous aimé quand même !
En disant cela, il passa sa main le long de mon bras. J’étais perturbée par la situation, ne sachant pas trop comment réagir, sûrement encore troublée par ce moment intense sur la piste de danse. Les barrières commençaient peut-être à céder. Comme je ne le repoussais pas, il s’approcha de moi et me dit à l’oreille qu’il s’excusait à l’avance et qu’il accepterait les conséquences. Après avoir dit cela, il m’embrassa. Au début, je gardais ma bouche fermée, mais je ne le repoussais pas. Puis, je me suis laissée aller, et nous sommes partis dans un baiser fougueux. Nous étions dans un endroit un peu isolé derrière la boîte. En m’embrassant, il me fit reculer. Je me suis retrouvée les fesses à moitié sur un muret. Il se mit entre mes jambes et continua de m’embrasser, ses mains agrippant mes fesses. Puis, il m’embrassa dans le cou et ses mains agrippèrent mes seins. Je sentais son désir grossir contre mon intimité à travers son pantalon. Il retourna très vite vers ma bouche pour reprendre un fougueux baiser. À un moment, il me fit me remettre dos à lui, un peu penchée sur le muret. Il se collait contre moi, ses mains passèrent sous ma jupe et touchèrent mes fesses. Alors qu’il déboutonnait son pantalon, je repris mes esprits et lui demandai d’arrêter. Il s’exécuta. Il resta contre moi encore quelques instants, s’excusa, me promit encore de ne jamais en parler, puis il s’en alla.
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