Un désir d’enfant
Récit érotique écrit par Tamalou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-12-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Couleur du fond :
Un désir d’enfant
Je me tenais devant le grand miroir de ma chambre. Mes yeux suivaient la coulée de mèches rousses qui cascadait en larges boucles sur mes épaules. Les plus longues mèches touchaient mes seins, caressant légèrement ma tendre pâleur. Mes mamelons étaient dressés vers le haut et légèrement vers l'extérieur, les aréoles rougeâtres, assorties à mes cheveux, faisaient paraître ma peau encore plus blafarde.
Deux très grandes mains noires empaumaient mes seins, leurs doigts roulaient mes mamelons sensibles. Le noir de jais de cette peau renforçait ma pâleur. Les paumes des mains d’Abdoul étaient rugueuses, des mains de travailleur. Cette rugosité et la force de ses mains me faisaient chavirer de désir.
C’était un homme d'une force et d'une stature exceptionnelle. Cette pensée échauffait mes sens. Mon regard rencontra le sien dans le miroir. Un contraste parfait. Pas seulement la couleur de peau, mais la stature, lui si grand et si longiligne, alors que je suis tout le contraire.
Mon cœur battait la chamade. Abdoul me dominait de la tête et des épaules. Il planait au-dessus de moi en pressant son corps sec et musclé contre mon dos. Nous étions tous deux entièrement nus. Je pouvais sentir son énorme et empressé phallus grandir tout contre moi.
Ma main se glissa derrière moi à la rencontre de cet énorme organe de reproduction. Gigantesque. Plus gros que mon poignet. Sa surface était parcourue de veines. Bien que son membre soit dressé et raide comme un os, sa surface était douce et sensuelle.
Juste pour me convaincre que c'était vraiment son organe viril que je caressais et pas son poignet, j'ai laissé courir mes doigts de son gland circoncis jusqu’à sa base. J'ai trouvé ses testicules si grosses que ma main ne pouvait en soupeser qu'une à la fois.
Ma main parcourait cette hampe monumentale en la pressant amoureusement. Ma caresse lui inspira un grognement d’approbation. Mon vagin s'humidifiait dans l'attente de l’accueillir.
Il me fit pivoter pour lui faire face, et je m’enivrais dans son baiser profond. Ses bras caressants enlaçaient mon corps sensible, tandis que sa langue charnue prenait possession de ma bouche. La fièvre de l’attente me faisait chavirer. Abdoul me souleva doucement et me déposa sur le lit.
Mes jambes étaient maintenant largement écartées. Je cambrais mes reins afin de mieux l’accueillir, prenant appui avec mes talons sur ses fesses musclées tandis qu’il s'apprêtait à me pénétrer. J'aimais imaginer que je l'aidais et que je le guidais.
Mais avec sa puissante musculature, cela ne faisait aucune différence si je l’attirais ou si je le repoussais. J'ai pris le gland massif dans ma main et je l'ai frotté le long des lèvres de mon vagin, puis sur mon clitoris.
Une chaleur humide m’envahissait comme si c’était ma première fois. Il écarta ma main de son membre et s’introduisit directement en moi. Je lui appartenais. Dès son entrée, un ouragan de plaisir m'a terrassée.
Il coulissait de plus en plus profondément en moi, par à-coups prudents, et ses yeux épiaient mes réactions sur mon visage. J'ai regardé l'intensité de ses yeux et j’ai chaviré dans une douce luxure. Je n'avais plus aucun contrôle sur les évènements. Je m’abandonnais totalement à mon bel inconnu.
J'ai tourné mon regard vers le miroir pour apprécier le mouvement de ses hanches. Un mouvement de piston doux et régulier, j’imaginais le ressac de l’océan heurtant la plage. Sa noirceur contrastait avec ma blancheur.
Il frayait son chemin dans mes chairs. Son énorme pieu me fouillait au-delà du possible. Tout était si beau, si juste, chacun de ses gestes me procurait un plaisir unique. Je l'ai embrassé et je me suis offerte en souhaitant que ce moment dure une éternité.
Je savais que j'étais dans ma période fertile. Sur les conseils de mon gynécologue, j’avais arrêté la pilule. À l’approche de la trentaine, c’était le bon moment. Avec mon mari, Justin, nous voulions un enfant.
J'avais envisagé que nous pourrions le concevoir ce soir. Mais maintenant, à la place de Justin, c’est Abdoul qui m’imprégnait. À aucun moment, je n’ai eu la pensée de demander à Abdoul de se retirer ou d'utiliser un préservatif. Justin était loin de mes pensées.
Abdoul était un réfugié, venu de quelque part en Afrique. Il avait deux femmes dans son village et, malgré sa jeune trentaine, il avait déjà eu sept enfants avec elles. Il venait tout juste d'arriver ici, et peinait à trouver sa place dans ce pays si différent du sien.
Il était triste et regrettait d'être venu. J'ai essayé de le réconforter, et c'est tout naturellement que nous avons abordé le sujet du sexe. Il n'avait jamais tenu une femme blanche nue dans ses bras, et il était curieux de connaître cette sensation.
Je l’avais rencontré à l'arrêt de bus, plus tôt dans la journée. Il avait l’air si triste dans son imper jaune, grelottant sous le crachin humide, assis tout seul sur son banc de pierre. Je m’étais assise à côté de lui et il m'avait raconté son histoire.
Je voulais juste le réconforter, mais l’impressionnante carrure m’a mis d’autres idées en tête. J’ai voulu être son prix, sa récompense pour son long et difficile voyage, et lui souhaiter la bienvenue ici.
Je voulais lui permettre de s'intégrer dans ce nouveau monde et de commencer une nouvelle vie. J'avais entendu dire que les autorités chargées de l’accueil des réfugiés regardaient avec bienveillance les demandes des gens ayant de la famille sur place.
Je me demandais si un enfant illégitime pouvait compter comme tel. Je lui ai demandé son avis. Je n'avais jamais eu de relations sexuelles avec un homme de couleur auparavant. J'étais prête à vivre cette expérience.
Maintenant, sa détresse était aussi éloignée de ses pensées que Justin l'était des miennes. Il me martelait plus énergiquement. Fini les précautions des premiers instants. Il s’acharnait, labourant mes chairs, me faisant panteler, gémissante et crucifiée.
Les orgasmes successifs ont eu raison de mon esprit. J’ai basculé dans l’égarement, la démesure. J’étais au paradis et je le criais à plein poumon. Justin, à sa place, aurait fini depuis longtemps. Mais Abdoul était infatigable, insatiable, impitoyable. Une machine sexuelle.
Et puis Justin est arrivé. Le bruit de sa voiture dans l'allée. J’étais sous le choc. Trop tôt. Beaucoup trop tôt ! J'ai pleuré quelque chose. Je voulais qu'Abdoul termine maintenant, et qu’il continue éternellement. Je voulais qu’il me laisse remettre toutes les choses en ordre, et qu’il reste en moi. Tout à la fois. Incapable de choisir, de décider. J’étais sienne, et je voulais le rester. Et je ne voulais pas faire de peine à Justin.
Je pense qu'Abdoul a compris ce qui se passait, mais sa réaction ne fut pas celle attendue. Il a enraciné son pénis tout au fond de moi et m'a immobilisée dans ses bras puissants. Alors que la porte du garage grinçait déjà, il a craché ses jets de sperme chaud au plus profond de ma vulve. Même après qu’il se soit vidé, il m’a maintenue, immobile et soumise. Finalement, il s'est retiré. Son énorme phallus était en détumescence, et un fil de sperme pendait entre son gland et mes lèvres.
J'étais maintenant affolée, et je lui ai murmuré de s'habiller et de s'en aller. Je savais que nous avions très peu de temps. J'entendais le grincement de la porte de garage s'arrêter. Justin devait encore entrer la voiture à l'intérieur puis refermer. Il serait là bientôt. J'ai guidé Abdoul à travers la maison, ses lacets toujours défaits, et sa chemise encore ouverte. J'ai ajusté mon propre T-shirt juste au moment où Justin entrait. Ma culotte était de travers et m'irritait.
J'ai dû faire semblant d'être souffrante ce soir-là. Ce n'est pas parce que je ne voulais pas de sexe avec mon mari. En fait, j’en avais envie, et j’avais le désir de me faire pardonner. Mais l’abondante semence d'Abdoul s’écoulait de mon vagin souillé, et je ne savais pas comment la cacher. Justin s'est blotti contre moi et m'a embrassé pour me souhaiter une bonne nuit.
Bientôt, il dormait profondément. Je restais éveillée, caressant doucement ma chatte crémeuse. Mon ventre allait porter un bébé noir. Mes seins allaient se gonfler de lait pour nourrir un bébé mulâtre. J’étais heureuse d’avoir été fécondée par un si beau spécimen. Je me sentais misérable d'avoir trompé Justin, de lui avoir refusé la paternité. Mais je savais qu'il avait le cœur généreux, et qu'il comprendrait qu'Abdoul en avait plus besoin que lui.
Deux très grandes mains noires empaumaient mes seins, leurs doigts roulaient mes mamelons sensibles. Le noir de jais de cette peau renforçait ma pâleur. Les paumes des mains d’Abdoul étaient rugueuses, des mains de travailleur. Cette rugosité et la force de ses mains me faisaient chavirer de désir.
C’était un homme d'une force et d'une stature exceptionnelle. Cette pensée échauffait mes sens. Mon regard rencontra le sien dans le miroir. Un contraste parfait. Pas seulement la couleur de peau, mais la stature, lui si grand et si longiligne, alors que je suis tout le contraire.
Mon cœur battait la chamade. Abdoul me dominait de la tête et des épaules. Il planait au-dessus de moi en pressant son corps sec et musclé contre mon dos. Nous étions tous deux entièrement nus. Je pouvais sentir son énorme et empressé phallus grandir tout contre moi.
Ma main se glissa derrière moi à la rencontre de cet énorme organe de reproduction. Gigantesque. Plus gros que mon poignet. Sa surface était parcourue de veines. Bien que son membre soit dressé et raide comme un os, sa surface était douce et sensuelle.
Juste pour me convaincre que c'était vraiment son organe viril que je caressais et pas son poignet, j'ai laissé courir mes doigts de son gland circoncis jusqu’à sa base. J'ai trouvé ses testicules si grosses que ma main ne pouvait en soupeser qu'une à la fois.
Ma main parcourait cette hampe monumentale en la pressant amoureusement. Ma caresse lui inspira un grognement d’approbation. Mon vagin s'humidifiait dans l'attente de l’accueillir.
Il me fit pivoter pour lui faire face, et je m’enivrais dans son baiser profond. Ses bras caressants enlaçaient mon corps sensible, tandis que sa langue charnue prenait possession de ma bouche. La fièvre de l’attente me faisait chavirer. Abdoul me souleva doucement et me déposa sur le lit.
Mes jambes étaient maintenant largement écartées. Je cambrais mes reins afin de mieux l’accueillir, prenant appui avec mes talons sur ses fesses musclées tandis qu’il s'apprêtait à me pénétrer. J'aimais imaginer que je l'aidais et que je le guidais.
Mais avec sa puissante musculature, cela ne faisait aucune différence si je l’attirais ou si je le repoussais. J'ai pris le gland massif dans ma main et je l'ai frotté le long des lèvres de mon vagin, puis sur mon clitoris.
Une chaleur humide m’envahissait comme si c’était ma première fois. Il écarta ma main de son membre et s’introduisit directement en moi. Je lui appartenais. Dès son entrée, un ouragan de plaisir m'a terrassée.
Il coulissait de plus en plus profondément en moi, par à-coups prudents, et ses yeux épiaient mes réactions sur mon visage. J'ai regardé l'intensité de ses yeux et j’ai chaviré dans une douce luxure. Je n'avais plus aucun contrôle sur les évènements. Je m’abandonnais totalement à mon bel inconnu.
J'ai tourné mon regard vers le miroir pour apprécier le mouvement de ses hanches. Un mouvement de piston doux et régulier, j’imaginais le ressac de l’océan heurtant la plage. Sa noirceur contrastait avec ma blancheur.
Il frayait son chemin dans mes chairs. Son énorme pieu me fouillait au-delà du possible. Tout était si beau, si juste, chacun de ses gestes me procurait un plaisir unique. Je l'ai embrassé et je me suis offerte en souhaitant que ce moment dure une éternité.
Je savais que j'étais dans ma période fertile. Sur les conseils de mon gynécologue, j’avais arrêté la pilule. À l’approche de la trentaine, c’était le bon moment. Avec mon mari, Justin, nous voulions un enfant.
J'avais envisagé que nous pourrions le concevoir ce soir. Mais maintenant, à la place de Justin, c’est Abdoul qui m’imprégnait. À aucun moment, je n’ai eu la pensée de demander à Abdoul de se retirer ou d'utiliser un préservatif. Justin était loin de mes pensées.
Abdoul était un réfugié, venu de quelque part en Afrique. Il avait deux femmes dans son village et, malgré sa jeune trentaine, il avait déjà eu sept enfants avec elles. Il venait tout juste d'arriver ici, et peinait à trouver sa place dans ce pays si différent du sien.
Il était triste et regrettait d'être venu. J'ai essayé de le réconforter, et c'est tout naturellement que nous avons abordé le sujet du sexe. Il n'avait jamais tenu une femme blanche nue dans ses bras, et il était curieux de connaître cette sensation.
Je l’avais rencontré à l'arrêt de bus, plus tôt dans la journée. Il avait l’air si triste dans son imper jaune, grelottant sous le crachin humide, assis tout seul sur son banc de pierre. Je m’étais assise à côté de lui et il m'avait raconté son histoire.
Je voulais juste le réconforter, mais l’impressionnante carrure m’a mis d’autres idées en tête. J’ai voulu être son prix, sa récompense pour son long et difficile voyage, et lui souhaiter la bienvenue ici.
Je voulais lui permettre de s'intégrer dans ce nouveau monde et de commencer une nouvelle vie. J'avais entendu dire que les autorités chargées de l’accueil des réfugiés regardaient avec bienveillance les demandes des gens ayant de la famille sur place.
Je me demandais si un enfant illégitime pouvait compter comme tel. Je lui ai demandé son avis. Je n'avais jamais eu de relations sexuelles avec un homme de couleur auparavant. J'étais prête à vivre cette expérience.
Maintenant, sa détresse était aussi éloignée de ses pensées que Justin l'était des miennes. Il me martelait plus énergiquement. Fini les précautions des premiers instants. Il s’acharnait, labourant mes chairs, me faisant panteler, gémissante et crucifiée.
Les orgasmes successifs ont eu raison de mon esprit. J’ai basculé dans l’égarement, la démesure. J’étais au paradis et je le criais à plein poumon. Justin, à sa place, aurait fini depuis longtemps. Mais Abdoul était infatigable, insatiable, impitoyable. Une machine sexuelle.
Et puis Justin est arrivé. Le bruit de sa voiture dans l'allée. J’étais sous le choc. Trop tôt. Beaucoup trop tôt ! J'ai pleuré quelque chose. Je voulais qu'Abdoul termine maintenant, et qu’il continue éternellement. Je voulais qu’il me laisse remettre toutes les choses en ordre, et qu’il reste en moi. Tout à la fois. Incapable de choisir, de décider. J’étais sienne, et je voulais le rester. Et je ne voulais pas faire de peine à Justin.
Je pense qu'Abdoul a compris ce qui se passait, mais sa réaction ne fut pas celle attendue. Il a enraciné son pénis tout au fond de moi et m'a immobilisée dans ses bras puissants. Alors que la porte du garage grinçait déjà, il a craché ses jets de sperme chaud au plus profond de ma vulve. Même après qu’il se soit vidé, il m’a maintenue, immobile et soumise. Finalement, il s'est retiré. Son énorme phallus était en détumescence, et un fil de sperme pendait entre son gland et mes lèvres.
J'étais maintenant affolée, et je lui ai murmuré de s'habiller et de s'en aller. Je savais que nous avions très peu de temps. J'entendais le grincement de la porte de garage s'arrêter. Justin devait encore entrer la voiture à l'intérieur puis refermer. Il serait là bientôt. J'ai guidé Abdoul à travers la maison, ses lacets toujours défaits, et sa chemise encore ouverte. J'ai ajusté mon propre T-shirt juste au moment où Justin entrait. Ma culotte était de travers et m'irritait.
J'ai dû faire semblant d'être souffrante ce soir-là. Ce n'est pas parce que je ne voulais pas de sexe avec mon mari. En fait, j’en avais envie, et j’avais le désir de me faire pardonner. Mais l’abondante semence d'Abdoul s’écoulait de mon vagin souillé, et je ne savais pas comment la cacher. Justin s'est blotti contre moi et m'a embrassé pour me souhaiter une bonne nuit.
Bientôt, il dormait profondément. Je restais éveillée, caressant doucement ma chatte crémeuse. Mon ventre allait porter un bébé noir. Mes seins allaient se gonfler de lait pour nourrir un bébé mulâtre. J’étais heureuse d’avoir été fécondée par un si beau spécimen. Je me sentais misérable d'avoir trompé Justin, de lui avoir refusé la paternité. Mais je savais qu'il avait le cœur généreux, et qu'il comprendrait qu'Abdoul en avait plus besoin que lui.
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6 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
comme disait un autre lecteur …. ben nul !
Cette femme voulait simplement goûter à la bite africaine plus grosse car le désir d un enfant peut être donner par son mari légitime sans aucune contrainte ,je suis pas d accord sur l avis de changer le jeune noir par un blanc ,cela semble aller vers la xénophobie ,alors que les problemes de sex les noirs sont impliquer par leur spécifiâtes
Bien raconté le texte est travaillé intelligent seul hic pourquoi un noir que l on laisse les africains en Afrique les blancs sont bien plus beau plus travailleurs et intelligent que des sous développés mis à part peut-être au niveau du sexe et encore ça reste à prouver Rocco silfredi il n est pas noir que je sache. Donc veuillez mettre des amants de chez nous dans vos prochains récits merci d avance
Ben nulle ….
ah ah ah c'est du second degré et très amusant. Surtout pas de suite car je ne pense pas que ce serait aussi drôle !
Femme débile que son mari se tire