Un dialogue secret

- Par l'auteur HDS Jpj -
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
  • • 281 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.4 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.9
  • • L'ensemble des récits érotiques de Jpj ont reçu un total de 1 731 617 visites.
Récit libertin : Un dialogue secret Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-12-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 4 116 fois depuis sa publication.
Note attribuée à cette histoire érotique par les lecteurs :
(9.0 / 10)
Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(10.0 / 10)

Couleur du fond :
Un dialogue secret
Jpj, Montpellier, décembre 2016

On était plutôt mal assis sur des chaises scolaires de tube acier laqué vert et contreplaqué cintré. La salle était petite, sans charme.
L'adjoint à l'urbanisme parlait fort dans le micro et les deux enceintes montées sur des trépieds de part et d'autre du bureau imposaient à l'auditoire une attention totale au discours municipal.
Mon voisin était attentif. C’était un grand gars en chemisette et jean noir. J’avais repéré son jean noir au tout début de la réunion à cause de ses fesses. Moi j’aime mater les fesses des garçons.

Ma robe à moi était printannière. Avec manches longues quand même mais printanière de coton léger à fleurs imprimées. Et puis toute une série de minuscules boutons qui partaient du col jusqu’à la ceinture. De faux boutons qui ne s’ouvrent pas. Juste en déco.

Le futal de jean noir, je l’avais sous les yeux. Le mec assis arborait une braguette à boutons. Pas courant ça une braguette à boutons de laiton. On ne voyait que ça sur la chaise, ces boutons brillants de cuivre jaune gonflés d’on ne sait quoi en dedans. Mon regard était scotché et ma main avait du mal à rester tranquille.

Moi je pensais, et mon pubis à moi, gonfle-t-il aussi pareillement le tissu de la robe, en indécence ? Et mon regard passait furtivement pour vérifier d’une cuisse à l’autre. Et ma culotte fut tout inondée d’incontinence languissante de fond de gousset. Je croisai alors les jambes et serrai en moi mes chairs pour retenir la béance qui me décontractait comme un accomplissement, un épanouissement.

Mes yeux étaient rivés sur le denim sombre du mec d’à côté. Je distinguais parfaitement le gland dressé qui gonflait le tissu noir à droite des coutures compliquées et rigides de la braguette.
A droite. Le gars, donc, portait à droite.
Ma copine m’avait dit, à tout faire, préfère un mec qui porte à droite. Moi, ce jour-là, je n’avais pas compris le bien-fondé du conseil. Mais maintenant je comprenais tout. Qu’importe le côté où il porte le mec, pourvu qu’il porte, haut et ferme, et que le bitos tende bien le pantalon, détaillant le rond du gland et son méat fendu.

Moi, j’avais décroisé les cuisses. J’étais penchée en avant et je pensais, le contre-plaqué vernis de la chaise est complètement trempé de mes sécrétions à travers culotte et robe. J’ai honte de pareil outrage au matériel municipal. Je pensais, à la fin de la réunion, me faudra discrètement m’éloigner avant que quelqu’un s’avise de la chose. Et y passe, concupissant, la paume pour s’en délecter.

J’avais en tête les fesses du gars dans son denim noir gonflé. La craque profonde avait avalé la couture du jean et les deux globes gonflaient l’étoffe arrondissant le tissu usé, moins noir, presque gris. On avait envie d’y mettre les mains, les deux mains et de tirer à soi pour enfoncer plus avant son pubis contre le sien et le sentir profond en soi.

Ma main est montée inconsciemment à mon sein gauche pour une caresse personnelle. Le coton pommelait ma poitrine. Le geste a fait saillir simultanément les deux tétons lors que je n’en n’avais empaumé qu’un seul.

Mes yeux sont tombés dans les siens. Le discours du délégué municipal ronronnait et j’ai senti qu’on me prenait la main et il me souriait.
Il s’est levé. Je me suis levée. Nous avons posé, lui sa sacoche, moi mon sac sur les chaises scolaires de bois vernis et, avec un sourire à l’assistance, on a filé, main dans la main vers les vestiaires.

La braguette à boutons fut dure à débragueter. D’autant que l’engin pressait fort dans sa hâte à se dégager. Ma robe fut plus facile à trousser et mon gousset à écarter. Mes bras, mon front sur les livres de la bibliothèque municipale, mes jambes écartées, mes fesses cambrées et la bite de cet homme, inconnu quelques minutes auparavant qui lutinait puissamment derrière moi et soudain la fulgurance de son plaisir déclenchant le mien. Et longues giclées apaisantes au fond de mon être et mes habituelles compulsions intimes en réflexe.

Il est allé récupérer nos impédimenta dans la salle de conférence lors que j’asséchais mes moiteurs aux toilettes. Et on a filé.

Les avis des lecteurs

Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...


Texte coquin : Un dialogue secret
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par Jpj

Le Maillot - Récit érotique publié le 11-07-2022
Pharmacienne stagiaire - Récit érotique publié le 10-07-2022
L'abricotier - Récit érotique publié le 22-06-2022
La Voisine d’en dessous de chez moi - Récit érotique publié le 26-05-2022
Une fille qui aimait ça - Récit érotique publié le 15-05-2022
Ado - Récit érotique publié le 06-05-2022
Petite Finlandaise - Récit érotique publié le 18-04-2022
Une Grande - Récit érotique publié le 13-04-2022
Garçon ou fille ? - Récit érotique publié le 28-03-2022
Elle a vendu son pyjama sur le Bon Coin - Récit érotique publié le 18-03-2022