Un dîner très épicé au restaurant
Récit érotique écrit par Katagena [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-04-2012 dans la catégorie Dominants et dominés
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Un dîner très épicé au restaurant
[Ce texte suit directement journée de soumission surprise 1 et 2]
Je suis allongée sur le lit, fatiguée de cet après-midi très intense. Je suis nue, de mon corps s’échappe un mélange de nos sécrétions, j’ai la tête qui tourne légèrement avec le champagne.
Je me lève tout de même et me dirige vers la salle de bains, je sais que la journée est loin d’être terminée. Au passage, j’attrape dans la boîte mon œuf vibrant, et laisse la télécommande en évidence sur la table. J’entre et aperçois sur le rebord du lavabo des vêtements. Il y a une jupe fendue, un chemisier noir transparent, un corset, un porte-jarretelles et une paire de bas. Au sol, une paire de bottes à talons aiguilles, qui montent jusqu’aux genoux.
J’allume l’eau de la douche et m’y glisse, j’ai l’impression que mes sensations sont décuplées, que chaque goutte d’eau qui ruisselle sur ma peau me fait frissonner. Je profite quelques minutes de ce moment puis sort de la douche et me sèche. Je sais que je ne dois pas traîner, ne pas te faire attendre. Je commence par mettre l’œuf en place. Un gémissement, que tu distingues à travers la paroi, te signale qu’il est en place, car tu appuies aussitôt sur le bouton marche et je le sens vibrer en moi. Je sens qu’il va être compliqué pour moi de me concentrer. J’enfile le corsage, je le lace, ce qui fait ressortir ma poitrine. J’enfile le porte-jarretelles et les bas, puis passe la jupe et le chemisier. La jupe est fendue jusqu’en haut des cuisses, ce qui fait que l’on peut apercevoir la dentelle du bas. Quant au chemisier, je vois que tu as décousu certains boutons pour que je ne puisse pas fermer le haut, mon corsage est donc visible. Tu me veux de nouveau sexy et provocante, nous ne passerons pas inaperçus au restaurant. Alors que je me regarde dans le miroir pour me coiffer, je sens les vibrations s’accélérer. Cela fourmille dans tout mon corps et me rend de nouveau très excitée.
J’ouvre la porte de la salle de bains. Tu es assis sur le lit, tu t’es rhabillé. Tu zappes les programmes à la télé. Je m’approche et m’assoit à califourchon sur toi pour t’embrasser langoureusement. Je me délecte de cette tendresse. Tu poses tes mains sur mes fesses et les sert tout en me rendant ce baiser. Puis tu me dis :
« -Nous n’allons pas tarder. J’ai réservé pour 20h. Tu es prête ? »
« -Une petite retouche maquillage et je suis toute à toi »
« -Tu es toujours toute à moi… Allez dépêche-toi… »
J’attrape mon sac à mains et remet un coup de crayon noir. Je suis fin prête. Nous quittons la chambre. Une fois sur le parking, nous prenons ta voiture. Je m’assieds à tes côtés. Tu commences à relever ma jupe, qui m’arrive maintenant à la taille. Tu glisses la main dans ta poche, les vibrations sont maintenant discontinues. Tu mets le moteur en marche et nous roulons environ dix minutes. Dès que tu peux libérer ta main droite, elle se glisse sur ma cuisse dont elle caresse l’intérieur avec insistance. Arrêté au feu rouge, tu en profites pour faire sortir un de mes seins de mon corsage pour le lécher, sous le regard médusé de la conductrice d’à-côté qui se met à rougir quand je la regarde. Le feu passe au vert et nous repartons, je réajuste ma tenue. Tu te gares. Je sors de la voiture, il y a un peu de monde sur le parking, et de toute évidence ma tenue leur plait, il s’arrêtent de parler et nous regarde passer. Tu me tiens la main avec fierté, ils me désirent mais il n’y a que toi qui peux m’avoir.
Nous entrons dans le restaurant, et le serveur nous installe sur une table qui est au milieu. Ainsi nous sommes au centre de la scène, très bien, je ne vais pas m’intimider pour autant. Je pose mon gilet sur le dossier de la chaise.
La transparence du chemiser permet aux personnes qui nous entourent de voir mon corset, ainsi que les tatouages que j’ai dans le dos, qui intriguent toujours les curieux. Je croise les jambes, ce qui a pour effet de faire remonter ma jupe dont la fente arrive maintenant en haut de ma cuisse, mes jarretelles étant visibles de tous. Tu me souris, et appuies de nouveau sur la télécommande pour augmenter la vibration. Je serre de ma main le bord de la table pour retenir un gémissement. Je sais que tu vas me pousser jusqu’au bout ce soir, ce n’est que le début.
Une serveuse arrive pour prendre notre commande. Elle demande si nous souhaitons prendre un apéritif. Je ne réfléchis même pas et ne peux m’empêcher de lui répondre :
« -J’ai très chaud, je voudrais bien un rafraichissement. », le tout en passant un doigt distraitement entre mes seins. Elle rougit, je sais que je l’ai perturbé. Elle te regarde du coin de l’œil puis demande :
« -Qu’est-ce que je vous mets ? Euh… Excusez-moi, je voulais dire, qu’est-ce que je vous sers ? »
« -Mmm, un cocktail, je vous laisse me faire la surprise, j’aime les surprises… »
Elle se retourne vers toi :
« -Et pour monsieur ? »
« -ça sera un cocktail sans alcool merci »
Elle s’éloigne, je prends le temps de l’observer. Sa démarche est rapide, sa petite jupe de service lui fait de très belles fesses. Tandis que je suis dans mes rêveries, tu changes de nouveau le mode de l’œuf pour me faire réagir. Tu me dis alors
« -Si tu es sage… »
J’ai compris ce que cela veut dire, et ça m’excite davantage. Je glisse mon pied sous la table et commence à te caresser le mollet. La serveuse revient et dépose nos verres sur la table. Elle est brune, doit avoir à peine 25 ans, a l’arcade percée, les yeux très maquillés. Elle est très jolie. En me voyant la détailler elle rougit légèrement. C’est pourtant elle qui, profitant d’ouvrir une bouteille d’Orangina pour préparer sous nos yeux ton cocktail, en profite l’air de rien pour frotter sa hanche contre mon bras. Ce contact est plaisant. Je la laisse faire mais ne répond pas, j’attendrais ton feu vert. Je vois un badge accroché à son chemisier. J’en profite donc pour lui dire :
« - Merci beaucoup Kathy, vous êtes très… aimable ».
Elle me sourit et prend nos commandes. Elle tremble légèrement en griffonnant sur son carnet. Je trouve cela touchant. Peut-être que c’est la première fois qu’une femme la drague, ou elle aime jouer la jeune fille prude pour cacher la furie déchaînée qui est en elle. Je le saurai bien assez tôt, je le sens…
Nous buvons nos cocktails. Tu jettes un coup d’œil dans la salle et aperçois les regards des curieux, puis tu glisses ta main dans ta poche pour ralentir un peu les vibrations de l’œuf. Cela me permet de souffler légèrement car je dégoulinais carrément sur la chaise… Un jeune homme arrive nous apporter nos assiettes. Il est très professionnel, un peu distant. Je suis étonnée du changement de service, et espère ne pas avoir fait fuir Kathy. Tu souris, lisant dans mes pensées. Tu trempes une frite dans la sauce et me la tend, je la mange avec un sourire qui te fait vite comprendre que je mangerai bien autre chose. Nous dégustons notre repas, tu me sers un verre de vin. Il est frais et cela fait le plus grand bien, j’ai l’impression qu’il fait au moins 40° ici…
Tu me demandes alors de défaire un bouton supplémentaire à mon chemisier. Tu sais que je ne suis déjà pas bien à l’aise dans cette tenue et veut tester mes capacités à repousser mes limites pour t’obéir. Je ne te décevrais pas.
« -Bien Maître, je suivrais tous vos désirs »
J’ouvre davantage mon chemisier, maintenant on voit clairement les bonnets de mon corsage. Je rougis légèrement mais reste assise bien droite, afin de te rendre fier. Nous finissons nos assiettes, le serveur vient nous débarrasser et prendre la commande pour les desserts. Je t’annonce que je m’absente deux minutes pour aller aux toilettes et tu me lances :
« -Tu peux même prendre un peu plus longtemps si tu retrouves notre serveuse ! »
Je te souris et m’éloigne. Je passe la première porte au fond du restaurant et accède au couloir de service. Une ombre passe derrière moi tandis que je pénètre dans les toilettes. Je sors des cabinets et me retrouve nez à nez avec Kathy, le regard pas franchement rassuré malgré une volonté pourtant flagrante de se retrouver seule avec moi.
« -J’avais peur de vous avoir froissée, vous ne venez plus nous servir. Je suis désolée, c’est juste que je vous trouve très jolie, je ne voulais pas vous offusquer… »
Elle m’écoute, tout en détaillant ma tenue, son regard s’attarde sur mes seins. Elle semble lutter intérieurement.
« -Je suis désolée, je ne pouvais pas continuer à vous servir. Je suis troublée. Et vous êtes venue accompagnée, je suis terriblement mal à l’aise »
Je sens soudain les vibrations de mon œuf s’accélérer. A priori tu as parfaitement compris la situation dans laquelle je me trouve. Je la trouve touchante, et encore plus attirante. Je m’approche d’elle, pas de mouvement de recul. Très bien. J’approche mon visage du sien et dépose mes lèvres sur les siennes, attendant sa réaction. Elle se laisse faire, et entrouvre même les lèvres pour laisser passer sa langue. Nous nous serrons l’une contre l’autre et nous embrassons ainsi un instant. Je laisse ma main parcourir son corps, tandis que de l’autre je la plaque contre moi. Je me glisse sous sa jupe, je la sens humide ce qui me plaît encore plus. Je la caresse un instant puis m’arrête, je ne voudrais pas aller trop vite.
Je lui souris, lui caresse la joue puis reviens m’avoir.
« -Alors, tu as croisé Kathy ? »
« -Oui, je lui ai fait un peu de bouche-à-bouche elle a repris des couleurs »
Les desserts étaient arrivés, je me délecte de ma chantilly, la léchant sur le dos de ma cuillère. Je croise et décroise les jambes, ne sait plus comment m’installer tellement l’excitation monte en moi. Tu me regardes dans les yeux, et mets de nouveau l’œuf en position vibrations discontinues afin que je puisse souffler un peu. La note arrive, le serveur nous annonce le montant. Alors que tu règles, je prends le ticket et le glisse dans la poche de ma veste. Un souvenir de cette soirée très sympathique.
Nous quittons le restaurant et retournons à l’hôtel. Là, tu me déshabilles, je t’enlève à mon tour tes vêtements. Lorsque j’arrive à ton pantalon, tu m’annonces que je n’ai plus le droit de me servir de mes mains. Je défais donc ta ceinture et tes boutons avec les dents, et tire dessus pour faire tomber ton jean à terre. Je fais de même avec ton dessous et te voilà toi aussi nu.
Tu me prends alors par la main, m’emmène sur le lit. Tu m’allonges sur le ventre, et commence à promener ta langue sur mon corps. Puis tu te diriges vers mes fesses, tes coups de langue les humidifient. Tu remontes jusqu’à mon oreille, puis me mords les épaules, le cou, cela me fais gémir, tu sais exactement ce qu’il faut faire et quand pour me faire monter au 7ème ciel… Je sens ton sexe dur appuyer sur mes fesses, implorant de pouvoir y entrer. Il n’a pas du implorer longtemps, et tu me pénètre avec force, me faisant crier de plaisir. Le temps me semble interminable, je ne sais combien de fois je jouis de cette façon, puis je te sens te déverser en moi, ce qui déclenche un dernier orgasme suivi de soubresauts.
Je roule et m’allonge sur le côté du lit, puis j’aperçois un morceau de papier qui jonche le sol. Je regarde de plus près et reconnaît la note du restaurant. Machinalement, je l’attrappe et la déplie, et peut y lire un numéro de téléphone :
« 0698XXXXXX, l’apéritif m’a laissé sur ma faim. Kathy »
Je te le montre et souris, je sens que je retournerai bientôt dans cet hôtel pour de toutes autres aventures…
Je suis allongée sur le lit, fatiguée de cet après-midi très intense. Je suis nue, de mon corps s’échappe un mélange de nos sécrétions, j’ai la tête qui tourne légèrement avec le champagne.
Je me lève tout de même et me dirige vers la salle de bains, je sais que la journée est loin d’être terminée. Au passage, j’attrape dans la boîte mon œuf vibrant, et laisse la télécommande en évidence sur la table. J’entre et aperçois sur le rebord du lavabo des vêtements. Il y a une jupe fendue, un chemisier noir transparent, un corset, un porte-jarretelles et une paire de bas. Au sol, une paire de bottes à talons aiguilles, qui montent jusqu’aux genoux.
J’allume l’eau de la douche et m’y glisse, j’ai l’impression que mes sensations sont décuplées, que chaque goutte d’eau qui ruisselle sur ma peau me fait frissonner. Je profite quelques minutes de ce moment puis sort de la douche et me sèche. Je sais que je ne dois pas traîner, ne pas te faire attendre. Je commence par mettre l’œuf en place. Un gémissement, que tu distingues à travers la paroi, te signale qu’il est en place, car tu appuies aussitôt sur le bouton marche et je le sens vibrer en moi. Je sens qu’il va être compliqué pour moi de me concentrer. J’enfile le corsage, je le lace, ce qui fait ressortir ma poitrine. J’enfile le porte-jarretelles et les bas, puis passe la jupe et le chemisier. La jupe est fendue jusqu’en haut des cuisses, ce qui fait que l’on peut apercevoir la dentelle du bas. Quant au chemisier, je vois que tu as décousu certains boutons pour que je ne puisse pas fermer le haut, mon corsage est donc visible. Tu me veux de nouveau sexy et provocante, nous ne passerons pas inaperçus au restaurant. Alors que je me regarde dans le miroir pour me coiffer, je sens les vibrations s’accélérer. Cela fourmille dans tout mon corps et me rend de nouveau très excitée.
J’ouvre la porte de la salle de bains. Tu es assis sur le lit, tu t’es rhabillé. Tu zappes les programmes à la télé. Je m’approche et m’assoit à califourchon sur toi pour t’embrasser langoureusement. Je me délecte de cette tendresse. Tu poses tes mains sur mes fesses et les sert tout en me rendant ce baiser. Puis tu me dis :
« -Nous n’allons pas tarder. J’ai réservé pour 20h. Tu es prête ? »
« -Une petite retouche maquillage et je suis toute à toi »
« -Tu es toujours toute à moi… Allez dépêche-toi… »
J’attrape mon sac à mains et remet un coup de crayon noir. Je suis fin prête. Nous quittons la chambre. Une fois sur le parking, nous prenons ta voiture. Je m’assieds à tes côtés. Tu commences à relever ma jupe, qui m’arrive maintenant à la taille. Tu glisses la main dans ta poche, les vibrations sont maintenant discontinues. Tu mets le moteur en marche et nous roulons environ dix minutes. Dès que tu peux libérer ta main droite, elle se glisse sur ma cuisse dont elle caresse l’intérieur avec insistance. Arrêté au feu rouge, tu en profites pour faire sortir un de mes seins de mon corsage pour le lécher, sous le regard médusé de la conductrice d’à-côté qui se met à rougir quand je la regarde. Le feu passe au vert et nous repartons, je réajuste ma tenue. Tu te gares. Je sors de la voiture, il y a un peu de monde sur le parking, et de toute évidence ma tenue leur plait, il s’arrêtent de parler et nous regarde passer. Tu me tiens la main avec fierté, ils me désirent mais il n’y a que toi qui peux m’avoir.
Nous entrons dans le restaurant, et le serveur nous installe sur une table qui est au milieu. Ainsi nous sommes au centre de la scène, très bien, je ne vais pas m’intimider pour autant. Je pose mon gilet sur le dossier de la chaise.
La transparence du chemiser permet aux personnes qui nous entourent de voir mon corset, ainsi que les tatouages que j’ai dans le dos, qui intriguent toujours les curieux. Je croise les jambes, ce qui a pour effet de faire remonter ma jupe dont la fente arrive maintenant en haut de ma cuisse, mes jarretelles étant visibles de tous. Tu me souris, et appuies de nouveau sur la télécommande pour augmenter la vibration. Je serre de ma main le bord de la table pour retenir un gémissement. Je sais que tu vas me pousser jusqu’au bout ce soir, ce n’est que le début.
Une serveuse arrive pour prendre notre commande. Elle demande si nous souhaitons prendre un apéritif. Je ne réfléchis même pas et ne peux m’empêcher de lui répondre :
« -J’ai très chaud, je voudrais bien un rafraichissement. », le tout en passant un doigt distraitement entre mes seins. Elle rougit, je sais que je l’ai perturbé. Elle te regarde du coin de l’œil puis demande :
« -Qu’est-ce que je vous mets ? Euh… Excusez-moi, je voulais dire, qu’est-ce que je vous sers ? »
« -Mmm, un cocktail, je vous laisse me faire la surprise, j’aime les surprises… »
Elle se retourne vers toi :
« -Et pour monsieur ? »
« -ça sera un cocktail sans alcool merci »
Elle s’éloigne, je prends le temps de l’observer. Sa démarche est rapide, sa petite jupe de service lui fait de très belles fesses. Tandis que je suis dans mes rêveries, tu changes de nouveau le mode de l’œuf pour me faire réagir. Tu me dis alors
« -Si tu es sage… »
J’ai compris ce que cela veut dire, et ça m’excite davantage. Je glisse mon pied sous la table et commence à te caresser le mollet. La serveuse revient et dépose nos verres sur la table. Elle est brune, doit avoir à peine 25 ans, a l’arcade percée, les yeux très maquillés. Elle est très jolie. En me voyant la détailler elle rougit légèrement. C’est pourtant elle qui, profitant d’ouvrir une bouteille d’Orangina pour préparer sous nos yeux ton cocktail, en profite l’air de rien pour frotter sa hanche contre mon bras. Ce contact est plaisant. Je la laisse faire mais ne répond pas, j’attendrais ton feu vert. Je vois un badge accroché à son chemisier. J’en profite donc pour lui dire :
« - Merci beaucoup Kathy, vous êtes très… aimable ».
Elle me sourit et prend nos commandes. Elle tremble légèrement en griffonnant sur son carnet. Je trouve cela touchant. Peut-être que c’est la première fois qu’une femme la drague, ou elle aime jouer la jeune fille prude pour cacher la furie déchaînée qui est en elle. Je le saurai bien assez tôt, je le sens…
Nous buvons nos cocktails. Tu jettes un coup d’œil dans la salle et aperçois les regards des curieux, puis tu glisses ta main dans ta poche pour ralentir un peu les vibrations de l’œuf. Cela me permet de souffler légèrement car je dégoulinais carrément sur la chaise… Un jeune homme arrive nous apporter nos assiettes. Il est très professionnel, un peu distant. Je suis étonnée du changement de service, et espère ne pas avoir fait fuir Kathy. Tu souris, lisant dans mes pensées. Tu trempes une frite dans la sauce et me la tend, je la mange avec un sourire qui te fait vite comprendre que je mangerai bien autre chose. Nous dégustons notre repas, tu me sers un verre de vin. Il est frais et cela fait le plus grand bien, j’ai l’impression qu’il fait au moins 40° ici…
Tu me demandes alors de défaire un bouton supplémentaire à mon chemisier. Tu sais que je ne suis déjà pas bien à l’aise dans cette tenue et veut tester mes capacités à repousser mes limites pour t’obéir. Je ne te décevrais pas.
« -Bien Maître, je suivrais tous vos désirs »
J’ouvre davantage mon chemisier, maintenant on voit clairement les bonnets de mon corsage. Je rougis légèrement mais reste assise bien droite, afin de te rendre fier. Nous finissons nos assiettes, le serveur vient nous débarrasser et prendre la commande pour les desserts. Je t’annonce que je m’absente deux minutes pour aller aux toilettes et tu me lances :
« -Tu peux même prendre un peu plus longtemps si tu retrouves notre serveuse ! »
Je te souris et m’éloigne. Je passe la première porte au fond du restaurant et accède au couloir de service. Une ombre passe derrière moi tandis que je pénètre dans les toilettes. Je sors des cabinets et me retrouve nez à nez avec Kathy, le regard pas franchement rassuré malgré une volonté pourtant flagrante de se retrouver seule avec moi.
« -J’avais peur de vous avoir froissée, vous ne venez plus nous servir. Je suis désolée, c’est juste que je vous trouve très jolie, je ne voulais pas vous offusquer… »
Elle m’écoute, tout en détaillant ma tenue, son regard s’attarde sur mes seins. Elle semble lutter intérieurement.
« -Je suis désolée, je ne pouvais pas continuer à vous servir. Je suis troublée. Et vous êtes venue accompagnée, je suis terriblement mal à l’aise »
Je sens soudain les vibrations de mon œuf s’accélérer. A priori tu as parfaitement compris la situation dans laquelle je me trouve. Je la trouve touchante, et encore plus attirante. Je m’approche d’elle, pas de mouvement de recul. Très bien. J’approche mon visage du sien et dépose mes lèvres sur les siennes, attendant sa réaction. Elle se laisse faire, et entrouvre même les lèvres pour laisser passer sa langue. Nous nous serrons l’une contre l’autre et nous embrassons ainsi un instant. Je laisse ma main parcourir son corps, tandis que de l’autre je la plaque contre moi. Je me glisse sous sa jupe, je la sens humide ce qui me plaît encore plus. Je la caresse un instant puis m’arrête, je ne voudrais pas aller trop vite.
Je lui souris, lui caresse la joue puis reviens m’avoir.
« -Alors, tu as croisé Kathy ? »
« -Oui, je lui ai fait un peu de bouche-à-bouche elle a repris des couleurs »
Les desserts étaient arrivés, je me délecte de ma chantilly, la léchant sur le dos de ma cuillère. Je croise et décroise les jambes, ne sait plus comment m’installer tellement l’excitation monte en moi. Tu me regardes dans les yeux, et mets de nouveau l’œuf en position vibrations discontinues afin que je puisse souffler un peu. La note arrive, le serveur nous annonce le montant. Alors que tu règles, je prends le ticket et le glisse dans la poche de ma veste. Un souvenir de cette soirée très sympathique.
Nous quittons le restaurant et retournons à l’hôtel. Là, tu me déshabilles, je t’enlève à mon tour tes vêtements. Lorsque j’arrive à ton pantalon, tu m’annonces que je n’ai plus le droit de me servir de mes mains. Je défais donc ta ceinture et tes boutons avec les dents, et tire dessus pour faire tomber ton jean à terre. Je fais de même avec ton dessous et te voilà toi aussi nu.
Tu me prends alors par la main, m’emmène sur le lit. Tu m’allonges sur le ventre, et commence à promener ta langue sur mon corps. Puis tu te diriges vers mes fesses, tes coups de langue les humidifient. Tu remontes jusqu’à mon oreille, puis me mords les épaules, le cou, cela me fais gémir, tu sais exactement ce qu’il faut faire et quand pour me faire monter au 7ème ciel… Je sens ton sexe dur appuyer sur mes fesses, implorant de pouvoir y entrer. Il n’a pas du implorer longtemps, et tu me pénètre avec force, me faisant crier de plaisir. Le temps me semble interminable, je ne sais combien de fois je jouis de cette façon, puis je te sens te déverser en moi, ce qui déclenche un dernier orgasme suivi de soubresauts.
Je roule et m’allonge sur le côté du lit, puis j’aperçois un morceau de papier qui jonche le sol. Je regarde de plus près et reconnaît la note du restaurant. Machinalement, je l’attrappe et la déplie, et peut y lire un numéro de téléphone :
« 0698XXXXXX, l’apéritif m’a laissé sur ma faim. Kathy »
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