Un diplôme cela se fête - histoire érotique

Mauricette vient de réussir son master. Elle fête son succès avec ses amis et ses parents. Chaque année, elle passait ses vacances chez son oncle Paul et sa tante Lucie dans le sud. Très fusionnelle avec eux, comme ils n'ont pas d'enfant, ils la considèrent comme leur fille. Mauricette décide le leur faire la surprise en se rendant à leur mas en Provence. Le voyage est long plusieurs haltes sont nécessaires. Sur une aire de repos, elle fait la connaissant d'un autostoppeur, un peu plus âgé qu'elle. Ils sympathisent, déjeunent ensemble. Et prennent la route. Comme l'heure tourne, elle n'a pas d'autre choix que de s'arrêter Chez son oncle.

La surprise est totale, les embrassades sont interminables, les larmes de joie, coulent sur les joues de Lucie et de Paul. Après avoir repris leurs esprits. Mauricette présente Lucas l'autostoppeur. Les deux sont ravis de l'accueillir, ils lui proposent le gite et le couvert. Le lendemain, L'ambiance est au top, Lucie pousse Lucas à rester plusieurs jours avec eux.


L'accueil est si chaleur, que Lucas ne peut refuser une telle générosité. Les jours passent c'est le bonheur, les quatre s'entendent comme larrons en foire. La petite piscine permet de se rafraichir, au fil des jours le charme de Lucas, opère sur Lucie. Par contre, la beauté de cette femme mûre, ne laisse pas insensible Lucas. Paul remarque le petit l'intérêt que sa femme porte à son invité, d'un côté, il est ravit, car elle est plus souriante, elle rayonne de bonheur. Il est vrai que seul et sans enfants, la vie est monotone, cet homme et Mauricette leurs apportent du bonheur.

Paul et Lucie, s'aiment énormément, souvent ils se prennent la main se donnent de petits bisous. Mais doucement Lucie change, lorsque Lucas passe près d'elle l'effleure, elle défaille. Un soir, Lucas se fait plus hardi, pendant que Paul s'affaire au barbecue, et croyant Mauricette dans sa chambre, il enlace Lucie qui dressait la table sous l'olivier. Ce croyant à l'abri des regards, il se plaque contre le corps fébrile de Lucie. Elle se raidit en serrant les poings. Il ose lui donner quelques baisers sur la nuque et le cou, en lui murmurant des mot doux. Il la serre très fort contre lui, les fesses bien rebondies de la femme qu'il désire, appuient fortement sur sa verge.


L'effet est presque immédiat, Lucie sent monté dans la verge le désir du mâle, l'érection naissante la fait chavirer. Elle parvient à se dégager et à faire face à son agresseur, (le mot et fort) il l'enlace à nouveau et cherche ses lèvres. Lucie tente maladroitement d'éviter le contacte, mais pendant l'esquive elle entrouvre la bouche. La langue de Lucas pénètre la petite ouverture et cherche la langue de Lucie pour la nouer à la sienne.

Pratiquement inconsciente, elle prend Lucas par le cou et échange un baiser langoureux avec cet homme qui est presque un inconnu. Le baiser dure un long moment. La main de Lucas s'égare sur le ventre de Lucie, passe entre les cuisses et caresse au travers du fin tissu la vulve qui immédiatement se et à suinter. Pendant le baiser, Lucie geint, elle ondule du bassin, sa chatte est en feu. Lorsque les lèvres se séparent, les deux sursautent, ils croisent le regard de Mauricette, qui n'en croit pas ses yeux. Lucie est rouge comme une pivoine, Lucas ne peut placer un mot devant l'autre. Mauricette s'approche deux et murmure :

-Oh tante, qu'est-ce que tu fais ?

En béguant elle répond :

-Je ne sais pas, je ne suis plus la même, Lucas me fait vibrer !

Mauricette dit en souriant :

- Soyez plus discret à l'avenir !

A table, Lucas est en face de Lucie. les trois ne cessent de se regarder, souvent Lucie baisse les yeux de honte, car Lucas lui fait du pied. Le bougre ose sans réaliser du danger. Son pied monte le long du mollet de la femme qu'il désir et cherche une ouverture entre les genoux. Lucie ne peut résister, elle ouvre le compas. Le pied nu, glisse lentement entre ses cuisses. Les orteils appuient sur la vulve qui se met à rejeter son jus. Paul est toujours au barbecue

le cœur de Lucie bat la chamade, elle déglutie en serrant les poings. Mauricette est aux premières loges, du coin de l'œil elle voit le pied bouger sous la jupe de sa tante. Lucie ondule doucement du bassin, en prenant de temps en temps une bouchée. La tension monte de plus en plus dans le corps de Lucie, le coquin insiste. Le Clito sous le fin tissu est devenu énorme. Lucas le taquine comme il le peux avec ses orteils. Soudain en se cabrant Lucie pousse un gémissement qui fait sursauter Mauricette, Lucas retire son pied satisfait de lui.



Mauricette souriante presse la cuisse de sa tante et lui glisse sa main sous la jupe. Lucie se cabre est regarde sa nièce en ravalant sa salive. Mais avant de retirer sa main, Mauricette fait quelques passes sur la culotte trempée au niveau de la fente. Sa tante se cambre légèrement en soupirant. le repas peut commencer Paul est enfin a table, le repas se passe très bien, les regards qu'échangent les trois en disent long. Quelques fois la nièce passe sa main sous la jupe de sa tante pour tenter de lui caresser la fente, mais Lucie serre les cuisses :

Soudain Paul se lève et dit :

-Pour arroser le master de Mauricette, je sors le champagne !

Paul s'absente, Lucie regarde sa nièce et dit :

-Mais qu'est-ce qui te prend ma chérie ?

Mauricette en souriant réplique :

-De t'avoir vue jouir, cela ma excitée, et je ne sais pas ce qui m'a pris, je dois dire que tu mouilles beaucoup tante, comme j'aimerai te caresser et te sucer !

Lucie n'en croit pas ses oreilles, elle bafouille :

-Mais, mais, je me trompe, tu est devenue lesbienne !

Mauricette en souriant répond :

-Non mais j'aimerai tenter l'expérience avec toi !

Lucas sourit sans dire un mot. Lucie réplique :

-Mais ma chérie tu ne penses pas ce que tu dis, tu plaisantes !

La nièce se lâche, et répond en faisant un grand sourire :

-Tu dois être un volcan, humm comme j'aimerai te bouffer la chatte !

Les yeux de la tante s'illuminent, elle ravale sa salive et dit en rougissant :

-Tu es folle ma chérie, ôte toi cette idée de la tête !

Mauricette replonge sa main entre les cuisses de sa tante et presse fortement les grandes lèvres vaginales. Lucie se cabre elle est rouge pivoine et dit avec des trémolos dans la voix :

-Non, non ma chérie, je ne suis pas un jouet !


Lucas intervient :

-Il suffit de sauter le pas, cela peut-être bénéfique !

C'est à ce moment que Paul réapparait, il dit :

-Qu'est-ce qui peut-être bénéfique ?

En riant Mauricette dit :

-Je propose à tante de faire une partie de lesbianisme, elle n'est pas trop chaude pour cela !

Paul éclate de rire et en rajoute une couche, il répond avec beaucoup d'ironie :

-Mais ma chérie, je te savais plus volontaire, c'est étrange que cette expérience ne te tente pas !

Lucie ne comprend plus rien, elle bègue :

-Toi tu serais d'accord que je tente un truc pareil ?

-Paul éclate de rire et dit :

-Cela doit-être excitant deux femmes ensemble, tu ne crois pas Lucas !

Lucas se redresse et en regardant Lucie dit :

-Hum, j'ai honte de le dire, mais j'imagine Lucie gémir sous les coups de langue de Mauricette !

Lucie serre les dents, discrètement Mauricette, repasse sa main sous sa jupe, la coquine malgré les cuisses serrées, réussit à faire glisser ses doigts sur la fente. La culotte s'humidifie de plus en plus. Lucas sait qu'il se passe quelque chose, il fait tomber sa fourchette et se penche
. Il regarde sous la table et voit le spectacle. Mauricette insiste, sa tante surement en état d'excitation avancé, ouvre un peu plus les cuisses. Habilement Mauricette saisit au travers du tissu la boule de chair et la presse doucement. Lucie grimace, elle se pince les lèvres. Lucas se redresse il fait un clin d'œil à Lucie, qui semble tétanisée. Elle se raidit et pousse un petit gémissement qu'elle tente d'étouffer en se mordant la main, sa jouissance, n'a pas attirée l'attention de son mari.



Paul se démène avec la bouteille, il fait péter le bouchon et serre remplit les verres. La nièce cesse d'importuner sa tante, qui tremble comme une feuille. Les verres se vident, l'ambiance et très bonne, Lucie trinque avec les autres en étant sur un nuage. Doucement, elle reprend ses esprits. Paul dit allez, je vais mettre de ma musique, et nous allons faire la fête, j'ai plusieurs bouteilles en réserve, elle vont exploser.

Paul installe un cd dans le lecteur, la fête peut commencer. Il invite sa nièce, il l'enlace et la serre très fort entre ses bras et commence à danser. Lucas regarde Lucie, il l'invite. les deux s'enlacent tendrement et ondulent du bassin en se frottant bas-ventre, contre bas-ventre. Lucas murmure à l'oreille de Lucie :

-Tu as joui deux ma chérie, j'aime voir l'expression de ton visage lorsque tu jouis !

Lucie répond :

-Vous êtes deux montres, et si Paul nous aurait surpris, tu te rends compte du scandale !

Discrètement, Lucas mordille le lobe de l'oreille de sa partenaire. Elle frémit, mais elle ne le repousse pas. Les verres se suivent, ainsi que les danses. l'alcool donne du courage à Paul, en dansant le coquin s'agrippe aux hanches de sa nièce, et frotte son ventre contre le sien. les frottements continuels de Paul, provoquent sur lui une érection qu'il ne peut cacher. Mauricette sent le manche de chair qui coulisse contre son ventre. Au lieu le repousser l'audacieux tonton, elle fait le contraire, elle appuie plus fortement son bassin contre la bosse énorme qui gonfle le pantalon du tonton.

Elle ronronne en ondulant comme une danseuse orientale. Paul n'en revient pas, le bougre profite de la situation, pour donner de temps en temps un petit coup de reins pour simuler une pénétration. Mauricette soupire profondément, elle sent sur sa joue le souffle chaud de son oncle, et sa verge contre son ventre raide comme du bois. Cela ne ma laisse pas insensible, les multiples frottement de l'oncle, sur son bas ventre font suinter sa vulve, la nièce qui chauffe de plus en plus. Mauricette courageusement, glisse sa main entre les deux ventres. Sans faire de fioriture, elle saisit le manche tendu. Paul sursaute, la nièce lui presse plusieurs fois la verge sans le quitter des yeux.


Paul lui murmure :

-Salope !

Mauricette serre encore plus fort la bite, Paul se cabre en serrant les dents pour ne pas geindre de douleur. Avec habileté, la coquine branle comme elle peut le mat de chair. Paul n'ose gémir pour ne pas éveiller les soupçons. Sa bite devient de plus en plus grosse et dure comme du béton. la nièce vicieuse lui dit à l'oreille :

-Oh le cochon de tonton bande pour sa nièce, tu aimes qu'elle je te branle hein !

Paul à bout répond :

-Oh putain, si seulement nous étions seulement, je te défoncerai ma salope, tu me rends fou, putain je vais décharger arrête !

En souriant, Mauricette continue un moment sans travail de sape et cesse d'agiter l'engin gonflé. Paul respire mieux, il est soulagé.


Lucie se laisse mener, elle semble envoutée par Lucas qui doucement lui suce le lobe de l'oreille. Elle trésaille, sa respiration s'accélère, les deux se serrent fortement, en dansant ou plutôt en faisant du surplace. Paul au bord de la jouissance, jette un regard vers le couple, il sent que de leur côté, la tension monte aussi, et cela lui fait plutôt plaisir. Dans la faible lueur, il distingue que Lucas a sa main sous la jupe de sa femme, et qu'elle agite doucement ses hanches, elle est au bord de l'explosion, elle serre les dents en geignant doucement.


Paul ravale sa salive, cela l'encourage même. Il regarde sa nièce dans les yeux, il approche ses lèvres des siennes, et fait glisser la pointe de sa langue sur les lèvres bien dessinées de Mauricette, qui frémit sans repousser l'agresseur de tonton. Plusieurs fois la langue se promène sur ses lèvres. La coquine, n'a toujours pas lâcher la bite du tonton, soutainement, elle reprend le branlage, mais, avec plus d'ardeur. Paul grimace, au bout d'un instant, il se cabre un flot de sperme lui souille le slip et une partie du pantalon. Il dit en grognant :

-Salope, salope !

Mauricette éclate de rire. Lucie et Lucas sursautent, ils cessent de se frotter, et tournent les yeux vers le couple. Lucie demande :

-Qu'est-ce qui se passe !

En riant la nièce répond :

- C'est pas grave, tonton ne sait pas se contrôler, il a eut un petit soucis de fuite !

Lucie fronce les sourcils et demande :

-Une fuite ?

Toujours en riant, Mauricette répond :

-Il a décharger dans son pantalon !

Paul un peu gêné réplique :

-c'est un petit accident regrettable, elle m'a tellement chauffée la coquine, vous pouvez constater le résultat !


Paul sans complexe, baisse son pantalon et son slip, et exhibe ses attributs englués de sperme. Lucas éclate de rire à son tour, Lucie ne sait comment réagir. Elle aussi à faillit jouir sous les doigts de Lucas, donc elle ne peut en vouloir à son mari. Les quatre se regardent intensément. Mauricette sans aucun scrupules, presse la hampe épaisse pour la vider totalement de son jus. Lucie regard la verge de son mari qui n'a pas baissée la tête, elle ravale da salive en soupirant fortement.

Mauricette, enlace son oncle et reprend les ondulations de son bassin. Sa jupe rapidement s'enduit de résidus visqueux, elle prend un malin plaisir à se frotter contre le sperme gluant.
Lucie reste un instant sans bouger, puis Lucas l'enlace. Ils ne dansent même plus, le bougre d'invité cherche les lèvres de son hôte. Ils échangent un baiser fougueux sous le regard de Paul et de la nièce.

Enlacés avec son oncle, elle ne cesse de sourire. Elle lui dit à l'oreille :

-Je crois que l'on va bien s'amuser tous les quatre !

Elle délaisse son oncle et s'approche du couple enlacé. Elle se place derrière sa tante, et doucement lui remonte la jupe. Elle dit en regardant Lucas :

-Bouffe lui la chatte, elle est en feu, vas-y, vas-y !

Lucas cesse le baiser, regarde Lucie qui semble hypnotisée, et se laisse tomber à genoux face à elle. D'une main, Mauricette maintient la jupe de sa tante relevée, et de l'autre écarte la culotte. Comme un vorace Lucas plaque sa bouche sur le fruit juteux, et aspire tout se qu'il peut avant d'enfoncer sa langue profondément dans le conduit brulant. Lucie se cambre en gémissant. Paul s'approche et lui dit amoureusement :

-Jouis ma chérie, jouis !

Lucie ne tient plus sur ses jambes, c'est soutenue pas sa nièce qu'elle s'allonge sur l'herbe. Rapidement Lucas reprend en bouche la vulve suintante, et agresse brutalement le clito qui est devenu méconnaissable. Lucie ne retient plus ses gémissements, elle geint fortement.
Terriblement excité, Paul s'assied sur une chaise, son pantalon toujours baisser, il saisit la main de sa nièce, qui se place à califourchon sur ses genoux. Elle le prend par le cou et l'embrasse avec une sauvagerie extrême. Elle s'agite en grognant, rapidement la bite du tonton revient opérationnelle. La coquine écarte sa culotte et s'empale jusqu'aux couilles sur la bite puissante du tonton.


La nièce fougueuse s'agite sur le pal en cherchant un orgasme. Ses gémissements sont aussi bruyants que ceux de sa tante.
En poussant un cri terrible Lucie explose, sa jouissance et grandiose elle remplit la bouche de Lucas avec son jus. Paul bien qu'emboité dans sa nièce tourne la tête vers sa femme, et entre deux gémissements, lui souffle :

-Jouis ma chérie, jouis, oh la vache moi aussi je vais exploser ouah ça vient !

En se cabrant comme un pont et en s'agrippant à sa nièce, Paul en poussant un rugissement de fauve, gicle sa semence dans le ventre de sa nièce, qui comme une forcenée chevauche sa monture. Son corps monte et descend sur le pieu rigide, qui remplit la vulve en ébullition. Elle serre les dents, la jouissance n'est plus très loin, c'est en poussant un cri terrible, qu'elle se laisse retomber de tout son poids sur le pal gorgé de sang, en jouissant fortement. Elle halète en s'accrochant au cou de son oncle amant.

Lucas retire ses vêtements, la jupe de Lucie et remontée, avec habileté, il lui retire la culotte. Lucie semble être sur une autre planète, Lucas prend place être ses cuisses sa verge est dressée comme un mat de cocagne. Il pose sa queue contre a fente ruisselante, et pousse en se cabrant Lucie reçoit dans son ventre le glaive épais de son amant. Un fois le membre planté profondément dans son corps, elle s'accroche à son amant en poussant de petits râles. Lucas avec art, travaille la chatte de longues minutes en faisant gémir sa proie. Sa bite coulisse aisément dans la gaine lubrifier naturellement par la cyprine qu'elle sécrète. Paul avec sa nièce appuie contre son torse, regarde sa femme se faire prendre par son amant avec de plus en plus d'ardeur. Excité par ce qu'il voit, sa bite reprend de la puissance. rapidement, il bascule sa nièce sur le sol et frotte contre ses lèvres son gland. Mauricette saisit le manche vivant et le décalotte à fond, elle ouvre la bouche et comme une vorace lui gobe le cèpe.

Les succions de la bougresse, sont terribles. Paul gémit à chacune de ses aspirations. la nièce bien que jeune sait se servir de sa bouche. La fellation est monstrueuse, la bouche de Mauricette est redoutable. Paul grimace, il regarde toujours sa femme se faire besogner le ventre. La coquine gémit comme un animal blessé, ses yeux sont vitreux. Un cri terrible resonne, la jouissance de Lucie et fabuleuse. Lucas accéléré, il s'accroche à elle comme une pieuvre à son rocher. Ses coups de reins sont violents, Lucie défaille, ne seconde jouissance la fait cabrer. Les deux hommes jouissent presque en même temps, l'un dans la bouche de sa nièce, l'autre dans le ventre de son amante.

Les deux mâles, se redressent, les bites gluantes, laissent tomber sur les sol quelques gouttelettes de sperme. Ils se regardent, et se sourient, Paul propose après une pause réparatrice de remettre ça. Les hommes prennent place à table et casse une petite croûte. Pendant que Lucie halète étendue sur l'herbe, jambes écartées. Mauricette regarde la chatte de sa tante rejeter le surplus de semence. La tentation est trop forte, elle s'approche, en retirant ses vêtements.