Un doigt, en douce
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-12-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Un doigt, en douce
Concert à Sète 2008, théâtre de la mer, Chuck Berry vieux rocker. Du monde, foule sentimentale et on se presse devant la scène avec la Méditerranée en fond d’écran.
Moi je suis fan et au premier rang contre les barrières d’acier galvanisé devant.
Derrière moi un grand gaillard avec une grosse empathie frotte contre moi. Ce n’est pas désagréable. Enfin, c’est dans le ton rock’ roll attitude de l’ambiance générale. Je reste discrète, je ne cambre pas, je fais l’indifférente. Pourtant je suis diablement troublée par cette poussée saillante dans mon derrière entre mes fesses.
Je suis habillée sobrement d’un teeshirt de coton blanc et d’un short ample. C’est l’été et c’est la fête que ce concert à Sète d’un vieux guitariste américain venu en famille nous rappeler à 80 ans passés qu’il a inventé le rock un demi siècle auparavant, au Missouri, province perdue oubliée des USA.
Son fils est à la guitare, sa fille à l’harmonica... Concert familial, je ne me méfie de rien.
Toujours dans mon dos le grand gars colle. Il fait chaud, son corps moite se fait très présent. C’est plutôt sympa et je me plais à ce contact appuyé. Surtout contre mes fesses la saillie dure qui fait bosse inquisitrice.
Je sens qu’il existe puissamment, ce gars-là.
Devant nous, derrière la scène, dessus la mer méditerranéenne noire, se lève une grosse lune pleine claire et chaleureuse.
Un ferry lumineux part pour l’Afrique, vers Tanger probablement, en silence.
Et puis, lors que Chuck Berry entame Caroll en jouant son pas sauté duckwalk, traversant la scène de gauche à droite, je sens la main sur mon haut de cuisse, douce, qui remonte, glisse toute mouillée des transpirations de l’été et s’immisce sous l’étoffe fine du short dans la touffe trempée et les mille villosités de mon intimité.
Un doigt deux doigts trois je ne saurais dire mais la visite profonde déclenche un orgasme violent et soudain, bassin rétroversé, en accueil inouï.
J’aurais voulu me retourner pour embrasser la bouche et baver de langue et de lèvres en harmonie en résonance du bonheur de mon ventre. Mais nous étions trop compactés contre la barrière d’acier devant la scène et puis Chuck Berry était en apothéose de son show et de ses riffs de guitare.
J’ai voulu par contraction de mes cuisses capturer faire prisonniers les doigts qui m’avaient profondément visitée afin de les garder plus encore en moi. Mais les lieux étaient inondés de substances fluides et visqueuses et ce fut effort vain.
Ma main est alors venue en arrière pour elle aussi visiter les lieux. Braguette zippée facilement descendue, bouton laiton du jean ouvert d’une bascule de deux doigts et zob jaillissant hors le boxer, prépuce roulé au col, tendu sur la tige.
Ma main sentait tout devinait tout savait tout.
Je ne me souviens pas trop du morceau que Chuck Berry a attaqué quand le grand gars a abaissé mon short et m’a enfilée cambrée comme chatte en lordose.
Mais je crois que c’était Johnny be Goode.
Moi je suis fan et au premier rang contre les barrières d’acier galvanisé devant.
Derrière moi un grand gaillard avec une grosse empathie frotte contre moi. Ce n’est pas désagréable. Enfin, c’est dans le ton rock’ roll attitude de l’ambiance générale. Je reste discrète, je ne cambre pas, je fais l’indifférente. Pourtant je suis diablement troublée par cette poussée saillante dans mon derrière entre mes fesses.
Je suis habillée sobrement d’un teeshirt de coton blanc et d’un short ample. C’est l’été et c’est la fête que ce concert à Sète d’un vieux guitariste américain venu en famille nous rappeler à 80 ans passés qu’il a inventé le rock un demi siècle auparavant, au Missouri, province perdue oubliée des USA.
Son fils est à la guitare, sa fille à l’harmonica... Concert familial, je ne me méfie de rien.
Toujours dans mon dos le grand gars colle. Il fait chaud, son corps moite se fait très présent. C’est plutôt sympa et je me plais à ce contact appuyé. Surtout contre mes fesses la saillie dure qui fait bosse inquisitrice.
Je sens qu’il existe puissamment, ce gars-là.
Devant nous, derrière la scène, dessus la mer méditerranéenne noire, se lève une grosse lune pleine claire et chaleureuse.
Un ferry lumineux part pour l’Afrique, vers Tanger probablement, en silence.
Et puis, lors que Chuck Berry entame Caroll en jouant son pas sauté duckwalk, traversant la scène de gauche à droite, je sens la main sur mon haut de cuisse, douce, qui remonte, glisse toute mouillée des transpirations de l’été et s’immisce sous l’étoffe fine du short dans la touffe trempée et les mille villosités de mon intimité.
Un doigt deux doigts trois je ne saurais dire mais la visite profonde déclenche un orgasme violent et soudain, bassin rétroversé, en accueil inouï.
J’aurais voulu me retourner pour embrasser la bouche et baver de langue et de lèvres en harmonie en résonance du bonheur de mon ventre. Mais nous étions trop compactés contre la barrière d’acier devant la scène et puis Chuck Berry était en apothéose de son show et de ses riffs de guitare.
J’ai voulu par contraction de mes cuisses capturer faire prisonniers les doigts qui m’avaient profondément visitée afin de les garder plus encore en moi. Mais les lieux étaient inondés de substances fluides et visqueuses et ce fut effort vain.
Ma main est alors venue en arrière pour elle aussi visiter les lieux. Braguette zippée facilement descendue, bouton laiton du jean ouvert d’une bascule de deux doigts et zob jaillissant hors le boxer, prépuce roulé au col, tendu sur la tige.
Ma main sentait tout devinait tout savait tout.
Je ne me souviens pas trop du morceau que Chuck Berry a attaqué quand le grand gars a abaissé mon short et m’a enfilée cambrée comme chatte en lordose.
Mais je crois que c’était Johnny be Goode.
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