Un doublé plus que réussi
Récit érotique écrit par Le Poète [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-05-2023 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Un doublé plus que réussi
Muriel avait tellement joui sous l’étreinte puissante de Wanda le noir qu’elle avait dragué dans les toilettes d’un établissement fréquenté par des africains et Gérard son mari avait tellement apprécié le spectacle pornographique qu’elle lui avait donné dans sa folie de se livrer à lui qu’ils en parlaient en faisant l’amour. À chaque fois, elle lui rappelait qu’elle voudrait essayer un autre black, car c’était devenu une addiction, un véritable et que peut-être elle pourrait s’offrir à deux à la fois. Maintenant elle éprouvait le fantasme de deux bouches noires lui mordillant les seins, avoir deux queues à sucer, d’être baisée par les deux et de se gorger de leur sperme, de subir leur poids sur elle, de sentir leur odeur, de goûter leur salive.
Gérard, très excité, avait promis d’en parler à Wamba pour voir s’il avait un copain qui pourrait venir avec lui satisfaire ses désirs.
Ce fut un vendredi que Wamba téléphona pour signaler qu’il pourrait venir avec Mathieu le lendemain soir. Il demanda à parler à Muriel et lui dit dans l’écouteur, tu sais il est petit et gros, il n’est pas très beau mais sa bite est plus grosse que la mienne, tu risques d’avoir des difficultés à l’introduire en toi. Est-ce que cela te convient ? À ces mots Muriel sentit son cœur s’emballer. L’idée de son vagin écartelé, de son ventre envahi lui fit murmurer d’une voix rauque « qu’il vienne, je vous attends. Muriel se tourna vers son mari et lui dit « Mon chéri, je crois que demain soir, tu vas bander comme jamais tu ne l’as fait ! »
Le lendemain, quand le timbre de la porte retentit, ce fut elle qui se précipité pour ouvrir la porte. Il faut dire qu’elle s’était maquillée outrageusement et ne portait qu’un soutien-gorge pigeonnant dévoilant des seins fermes dont les tétons étaient déjà durcis, une petite culotte transparente, des bas noirs à résilles et des hauts talons qui mettaient le galbe de ses jambes en valeur ! Elle se jeta au cou de Wanda et l’embrassa fougueusement. Gérard qui la suivait se sentit tout émoustillé. La soirée s’annonçait torride. Muriel se retourna pour examiner Mathieu, le nouveau complice annoncé. Elle fut déçue car comme Wanda l’avait prévenue, il petit et bedonnant mais à l’idée d’un sexe gigantesque, elle se mit à le désirer au point qu’elle lui offrit spontanément ses lèvres, cherchant sa langue et oubliant son appréhension première. Le feu lui ravageait les veines au point d’en oublier Wanda.
Sans hésiter une seconde, elle prit par la main les deux complices pour les entraîner directement vers la chambre suivie par Gérard. Elle tomba à genou et ouvrit fébrilement la braguette de Mathieu. Elle eut un comme un éblouissement à la vision d’une bite incroyablement disproportionnée, tige épaisse et longue surmontée d’un gland énorme déjà décalotté. Elle eut de la peine à l’introduire dans sa bouche douce et chaude. Pendant ce temps Wamba lui poussait la tête l’aider à avaler un peu de ce monstre. Elle étouffait mais se sentait heureuse. Cette belle verge qui voulait la pénétrer plus loin était pour elle, était à elle, devenue proie consentante, éveillant ses instincts les plus primitifs. Reconnaissante, elle se tourna vers Wamba et se mit à le pomper avec vigueur mais gardait en tête le merveilleux cadeau qu’elle allait offrir à son ventre gourmand. Gérard se branlait doucement, émerveillé de voir sa femme encore plus déchaînée que d’habitude. Dieu que sa femme était belle et désirable quand elle faisait l’amour avec ces noirs à qui elle se donnait, tant pour l’exciter et le satisfaire que pour son plaisir à elle, tendre et superbe complicité unie par un amour fou et une confiance totale !
Au bout d’un moment, Muriel se redressa et se coucha sur le lit, les cuisses largement écartées en invite à la posséder. Wamba se mit à pincer ses tétons érigés tandis que Mathieu explorait d’un doigt sa chatte inondée de cyprine tandis qu’il titillait d’une large langue chaude et baveuse. Cette intrusion simultanée se combinant à la douleur ressentie au niveau de ses seins rendit Muriel littéralement folle ! Haletante, elle cherchait le regard de son mari en lui disant « Regarde bien mon amour, j’adore qu’on martyrise mes tétons et qu’on me lèche en même temps. Tu vois, ce sont mes deux chéris de ce soir et ils vont me baiser devant toi comme la pute que tu voulais que je devienne ! ». Il lui répondit « je t’aime ma chérie, laisse-toi emporter par toutes tes envies et tes sensations je veux te voir pantelante dans leurs bras. »
Wanda lui écarta brusquement les jambes pour la pénétrer mais elle le repoussa en disant d’une voix rauque « je veux d’abord ton ami, je veux sa grosse queue en moi. Je veux le sentir m’écarter, me distendre, m’emplir. J’ai toujours rêvé d’engloutir un engin d’une telle taille ».
Mathieu conscient de la difficulté de pénétrer cette fente tellement étroite pour lui demanda à Gérard de venir le rejoindre au bord du lit et de prendre sa femme dans ses bras pendant qu’il l’immobilisait en se couchant sur elle pour tenter de s’introduire dans l’étroit passage.
Muriel un peu inquiète malgré son envie d’être forcée, portait toute son attention sur son bas-ventre où l’énorme engin écartait ses chairs doucement mais avec une puissance inexorable. Elle gémit doucement sous cet envahissement un peu douloureux qui la remplissait complétement et brusquement elle se sentit comblée comme elle ne l’avait jamais été. Mathieu heureux commença à bouger en elle et à chaque mouvement qu’il faisait, des ondes de plaisir submergeait tout son corps. Elle leva les yeux pour voir l’effet que cette énorme intrusion faisait sur son mari qui, entretemps, lui avait pris la main et la serrait avec force. Il semblait fasciné par le spectacle qu’elle lui offrait. Le va-et-vient de la bite s’accéléra lui arrachant des cris de jouissance. Wanda se pencha sur elle pour lui introduire brutalement sa queue dans sa-bouche. Muriel se mit à le sucer avec violence en émettant des borborygmes. Sa tête étant proche de celle de Gérard, elle s’interrompit et se tournant vers lui « embrasse-moi mon amour pour déguster le goût de la liqueur de mon amant sur mes lèvres ». Le cœur battant, Gérard s’exécuta. Il était là le véritable esprit du candaulisme, partager tous les plaisirs de la femme adorée. Cela l’excita très fortement, à tel point qu’il éprouva le désir secret de sucer ce membre puissant en communion avec elle. Il le réfréna mais accentua la profondeur de son baiser.
Muriel était en extase. Ressentir les coups de boutoir de Mathieu de plus en plus rapides lui défonçant sa chatte écartelée et aspirer alternativement le jus de Wanda pour l’introduire dans la bouche d’un Gérard consentant lui donnait tout la plénitude d’une femme libérée, une déesse prédatrice dans un corps de putain.
La tension sexuelle atteignit un tel degré qu’il se passa un moment rare, l’union des quatre complices dans l’explosion orgasmique. N’en pouvant plus, Mathieu déchargea un flot de sperme dans ce ventre gourmand au même moment où Muriel hurlait sa jouissance en avalant le sperme chaud de Wamba et que Gérard termina de se branler en envoyant une large giclée. L’accord parfait !!! Ce fut tellement intense qu’ils en restèrent là dans leur soirée, totalement épuisés mais comblés, en se jurant d’aller plu loin dans un proche avenir !
Une fois, les deux complices partis, Gérard et Muriel restèrent longtemps enlacés, tendrement, silencieux en se caressant du bout des doigts, les yeux dans les yeux. Qu’est-ce qu’ils pouvaient s’aimer !
Gérard, très excité, avait promis d’en parler à Wamba pour voir s’il avait un copain qui pourrait venir avec lui satisfaire ses désirs.
Ce fut un vendredi que Wamba téléphona pour signaler qu’il pourrait venir avec Mathieu le lendemain soir. Il demanda à parler à Muriel et lui dit dans l’écouteur, tu sais il est petit et gros, il n’est pas très beau mais sa bite est plus grosse que la mienne, tu risques d’avoir des difficultés à l’introduire en toi. Est-ce que cela te convient ? À ces mots Muriel sentit son cœur s’emballer. L’idée de son vagin écartelé, de son ventre envahi lui fit murmurer d’une voix rauque « qu’il vienne, je vous attends. Muriel se tourna vers son mari et lui dit « Mon chéri, je crois que demain soir, tu vas bander comme jamais tu ne l’as fait ! »
Le lendemain, quand le timbre de la porte retentit, ce fut elle qui se précipité pour ouvrir la porte. Il faut dire qu’elle s’était maquillée outrageusement et ne portait qu’un soutien-gorge pigeonnant dévoilant des seins fermes dont les tétons étaient déjà durcis, une petite culotte transparente, des bas noirs à résilles et des hauts talons qui mettaient le galbe de ses jambes en valeur ! Elle se jeta au cou de Wanda et l’embrassa fougueusement. Gérard qui la suivait se sentit tout émoustillé. La soirée s’annonçait torride. Muriel se retourna pour examiner Mathieu, le nouveau complice annoncé. Elle fut déçue car comme Wanda l’avait prévenue, il petit et bedonnant mais à l’idée d’un sexe gigantesque, elle se mit à le désirer au point qu’elle lui offrit spontanément ses lèvres, cherchant sa langue et oubliant son appréhension première. Le feu lui ravageait les veines au point d’en oublier Wanda.
Sans hésiter une seconde, elle prit par la main les deux complices pour les entraîner directement vers la chambre suivie par Gérard. Elle tomba à genou et ouvrit fébrilement la braguette de Mathieu. Elle eut un comme un éblouissement à la vision d’une bite incroyablement disproportionnée, tige épaisse et longue surmontée d’un gland énorme déjà décalotté. Elle eut de la peine à l’introduire dans sa bouche douce et chaude. Pendant ce temps Wamba lui poussait la tête l’aider à avaler un peu de ce monstre. Elle étouffait mais se sentait heureuse. Cette belle verge qui voulait la pénétrer plus loin était pour elle, était à elle, devenue proie consentante, éveillant ses instincts les plus primitifs. Reconnaissante, elle se tourna vers Wamba et se mit à le pomper avec vigueur mais gardait en tête le merveilleux cadeau qu’elle allait offrir à son ventre gourmand. Gérard se branlait doucement, émerveillé de voir sa femme encore plus déchaînée que d’habitude. Dieu que sa femme était belle et désirable quand elle faisait l’amour avec ces noirs à qui elle se donnait, tant pour l’exciter et le satisfaire que pour son plaisir à elle, tendre et superbe complicité unie par un amour fou et une confiance totale !
Au bout d’un moment, Muriel se redressa et se coucha sur le lit, les cuisses largement écartées en invite à la posséder. Wamba se mit à pincer ses tétons érigés tandis que Mathieu explorait d’un doigt sa chatte inondée de cyprine tandis qu’il titillait d’une large langue chaude et baveuse. Cette intrusion simultanée se combinant à la douleur ressentie au niveau de ses seins rendit Muriel littéralement folle ! Haletante, elle cherchait le regard de son mari en lui disant « Regarde bien mon amour, j’adore qu’on martyrise mes tétons et qu’on me lèche en même temps. Tu vois, ce sont mes deux chéris de ce soir et ils vont me baiser devant toi comme la pute que tu voulais que je devienne ! ». Il lui répondit « je t’aime ma chérie, laisse-toi emporter par toutes tes envies et tes sensations je veux te voir pantelante dans leurs bras. »
Wanda lui écarta brusquement les jambes pour la pénétrer mais elle le repoussa en disant d’une voix rauque « je veux d’abord ton ami, je veux sa grosse queue en moi. Je veux le sentir m’écarter, me distendre, m’emplir. J’ai toujours rêvé d’engloutir un engin d’une telle taille ».
Mathieu conscient de la difficulté de pénétrer cette fente tellement étroite pour lui demanda à Gérard de venir le rejoindre au bord du lit et de prendre sa femme dans ses bras pendant qu’il l’immobilisait en se couchant sur elle pour tenter de s’introduire dans l’étroit passage.
Muriel un peu inquiète malgré son envie d’être forcée, portait toute son attention sur son bas-ventre où l’énorme engin écartait ses chairs doucement mais avec une puissance inexorable. Elle gémit doucement sous cet envahissement un peu douloureux qui la remplissait complétement et brusquement elle se sentit comblée comme elle ne l’avait jamais été. Mathieu heureux commença à bouger en elle et à chaque mouvement qu’il faisait, des ondes de plaisir submergeait tout son corps. Elle leva les yeux pour voir l’effet que cette énorme intrusion faisait sur son mari qui, entretemps, lui avait pris la main et la serrait avec force. Il semblait fasciné par le spectacle qu’elle lui offrait. Le va-et-vient de la bite s’accéléra lui arrachant des cris de jouissance. Wanda se pencha sur elle pour lui introduire brutalement sa queue dans sa-bouche. Muriel se mit à le sucer avec violence en émettant des borborygmes. Sa tête étant proche de celle de Gérard, elle s’interrompit et se tournant vers lui « embrasse-moi mon amour pour déguster le goût de la liqueur de mon amant sur mes lèvres ». Le cœur battant, Gérard s’exécuta. Il était là le véritable esprit du candaulisme, partager tous les plaisirs de la femme adorée. Cela l’excita très fortement, à tel point qu’il éprouva le désir secret de sucer ce membre puissant en communion avec elle. Il le réfréna mais accentua la profondeur de son baiser.
Muriel était en extase. Ressentir les coups de boutoir de Mathieu de plus en plus rapides lui défonçant sa chatte écartelée et aspirer alternativement le jus de Wanda pour l’introduire dans la bouche d’un Gérard consentant lui donnait tout la plénitude d’une femme libérée, une déesse prédatrice dans un corps de putain.
La tension sexuelle atteignit un tel degré qu’il se passa un moment rare, l’union des quatre complices dans l’explosion orgasmique. N’en pouvant plus, Mathieu déchargea un flot de sperme dans ce ventre gourmand au même moment où Muriel hurlait sa jouissance en avalant le sperme chaud de Wamba et que Gérard termina de se branler en envoyant une large giclée. L’accord parfait !!! Ce fut tellement intense qu’ils en restèrent là dans leur soirée, totalement épuisés mais comblés, en se jurant d’aller plu loin dans un proche avenir !
Une fois, les deux complices partis, Gérard et Muriel restèrent longtemps enlacés, tendrement, silencieux en se caressant du bout des doigts, les yeux dans les yeux. Qu’est-ce qu’ils pouvaient s’aimer !
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
En tant que mari soumis et cocu volontaire, j'ai adoré ce récit !
Bravo à toi
Ta femme aime se faire remplir par des jeunes
Moi la mienne préfère les vieux
Mais elle baise aussi avec des jeunes et des gens de notre âge
Tellement magnifique de voir sa moitié se faire remplir sous mes yeux
Quel plaisir d'être candauliste
Ta femme aime se faire remplir par des jeunes
Moi la mienne préfère les vieux
Mais elle baise aussi avec des jeunes et des gens de notre âge
Tellement magnifique de voir sa moitié se faire remplir sous mes yeux
Quel plaisir d'être candauliste
Adeptes de candaulisme depuis dix ans, on adore.
Magnifique jouissance qu'un partage réciproque, une femme offerte et remplie du sperme de ses amants.
Nous pratiquons cela le plus souvent possible, généralement en compagnie de plusieurs jeunes hommes très bien membrés avec de fortes éjaculations, la préférence de miss.
Magnifique jouissance qu'un partage réciproque, une femme offerte et remplie du sperme de ses amants.
Nous pratiquons cela le plus souvent possible, généralement en compagnie de plusieurs jeunes hommes très bien membrés avec de fortes éjaculations, la préférence de miss.
Magnifique femme, qui aime se faire démonter devant toi.
La mienne aussi aime se faire baiser sous mes yeux.
10 ans de candaulisme, et une centaine de partenaires.
Notre plus gros kiffe, qu'elle se fasse baiser en robe de mariée, dans laquelle elle c'est mariée avec moi.
Elle 37 ans, moi 52.
Ça préférence, les vieux.
Le plus vieux 83 ans.
Mais elle aussi les jeunes.
La mienne aussi aime se faire baiser sous mes yeux.
10 ans de candaulisme, et une centaine de partenaires.
Notre plus gros kiffe, qu'elle se fasse baiser en robe de mariée, dans laquelle elle c'est mariée avec moi.
Elle 37 ans, moi 52.
Ça préférence, les vieux.
Le plus vieux 83 ans.
Mais elle aussi les jeunes.
Donc le mari accepte que la femme nique sans capotes avec tous les risques que cela engendre !!!
Après la bite monstrueuse des blacks c'est 1 legende urbaine bref.
A quand le candaulisme inversé la femme offre son mari !!!!!
Après la bite monstrueuse des blacks c'est 1 legende urbaine bref.
A quand le candaulisme inversé la femme offre son mari !!!!!