Un doublé plus que réussi

- Par l'auteur HDS Le Poète -
Récit érotique écrit par Le Poète [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Un doublé plus que réussi Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-05-2023 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Un doublé plus que réussi
Muriel avait tellement joui sous l’étreinte puissante de Wanda, le noir qu’elle avait dragué dans les toilettes d’un établissement fréquenté par des Africains et Gérard son mari avait tellement apprécié le spectacle pornographique qu’elle lui avait donné dans sa folie de se livrer à lui qu’ils en parlaient en faisant l’amour. À chaque fois, elle lui rappelait qu’elle voudrait essayer un autre black, car c’était devenu une addiction, un véritable et que peut-être elle pourrait s’offrir à deux à la fois. Maintenant elle éprouvait le fantasme de deux bouches noires lui mordillant les seins, d’avoir deux queues à sucer, d’être baisée par les deux et de se gorger de leur sperme, de subir leur poids sur elle, de sentir leur odeur, de goûter leur salive.
Gérard, très excité, avait promis d’en parler à Wamba pour voir s’il avait un copain qui pourrait venir avec lui satisfaire ses désirs.

Ce fut un vendredi que Wamba téléphona pour signaler qu’il pourrait venir avec Mathieu le lendemain soir. Il demanda à parler à Muriel et lui dit dans l’écouteur. Tu sais, il est petit et gros, il n’est pas très beau, mais sa bite est plus grosse que la mienne, tu risques d’avoir des difficultés à l’introduire en toi. Est-ce que cela te conviendrait ? À ces mots, Muriel sentit son cœur s’emballer. L’idée de son vagin écartelé, de son ventre envahi, lui fit murmurer d’une voix rauque « qu’il vienne, je vous attends tous les deux". Muriel se tourna vers son mari et lui dit « Mon chéri, je crois que demain soir, tu vas bander comme jamais tu ne l’as fait ! »

Le lendemain, quand le timbre de la porte retentit, ce fut elle qui se précipita pour ouvrir la porte. Il faut dire qu’elle s’était maquillée outrageusement et ne portait qu’un soutien-gorge pigeonnant dévoilant des seins fermes dont les tétons étaient déjà durcis, une petite culotte transparente, des bas noirs à résilles et des hauts talons qui mettaient le galbe de ses jambes en valeur ! Elle se jeta au cou de Wanda et l’embrassa fougueusement. Gérard qui la suivait se sentit tout émoustillé. La soirée s’annonçait torride. Muriel se retourna pour examiner Mathieu, le nouveau complice annoncé. Elle fut déçue, car comme Wanda l’avait prévenue, il était petit et bedonnant, mais à l’idée d’un sexe gigantesque, elle se mit à le désirer au point qu’elle lui offrit spontanément ses lèvres, cherchant sa langue et oubliant son appréhension première. Le feu lui ravageait les veines au point d’en oublier Wanda.

Sans hésiter une seconde, elle prit par la main les deux complices pour les entraîner directement vers la chambre suivie par Gérard. Elle tomba à genou et ouvrit fébrilement la braguette de Mathieu. Elle eut un comme un éblouissement à la vision d’une bite incroyablement disproportionnée, tige épaisse et longue surmontée d’un gland énorme déjà décalotté. Elle eut de la peine à l’introduire dans sa bouche douce et chaude. Pendant ce temps Wamba lui poussait la tête pour l’aider à avaler un peu plus de ce monstre. Elle étouffait, mais se sentait heureuse. Cette belle verge qui voulait la pénétrer plus loin dans la gorge était pour elle, était à elle, devenue une proie consentante, éveillant ses instincts les plus primitifs. Reconnaissante, elle se tourna vers Wamba et se mit à le pomper avec vigueur, mais gardait en tête le merveilleux cadeau qu’elle allait offrir à son ventre gourmand. Gérard se branlait doucement, émerveillé de voir sa femme encore plus déchaînée que d’habitude. Dieu que sa femme était belle et désirable quand elle faisait l’amour avec ces noirs à qui elle se donnait, tant pour l’exciter et le satisfaire que pour son plaisir à elle, tendre et superbe complicité unie par un amour fou et une confiance totale !
Au bout d’un moment, Muriel se redressa et se coucha sur le lit, les cuisses largement écartées l'invitant à la posséder. Wamba se mit à pincer ses tétons érigés tandis que Mathieu explorait d’un doigt sa chatte inondée de cyprine tandis qu’il titillait d’une large langue chaude et baveuse. Cette intrusion intime se combinant à la douleur ressentie au niveau de ses seins rendit Muriel littéralement folle ! Haletante, elle cherchait le regard de son mari en lui disant « Regarde bien mon amour, j’adore qu’on martyrise mes tétons et qu’on explore ma chatte en même temps. Tu vois, ce sont mes deux chéris de ce soir et ils vont me baiser devant toi comme la pute que tu aimes que je sois. Je les adore ! ». Il lui répondit « je t’aime ma chérie, laisse-toi emporter par toutes tes envies et tes sensations Je veux te voir soumise et pantelante dans leurs bras. »
Wanda lui écarta brusquement les jambes pour la pénétrer, mais elle le repoussa en disant d’une voix rauque « je veux d’abord ton ami, je veux sa grosse queue en moi. Je veux le sentir m’écarter, me distendre, m’emplir. J’ai toujours rêvé d’engloutir un engin d’une telle taille ».
Mathieu conscient de la difficulté de pénétrer cette fente tellement étroite pour lui demanda à Gérard de venir le rejoindre au bord du lit et de prendre sa femme dans ses bras pendant qu’il l’immobilisait en se couchant sur elle pour tenter de s’introduire dans l’étroit passage.
Muriel un peu inquiète, malgré son envie d’être forcée, portait toute son attention sur son bas-ventre où l’énorme engin écartait ses chairs doucement, mais avec une puissance inexorable. Elle gémit doucement sous cet envahissement un peu douloureux qui la remplissait complètement et brusquement elle se sentit comblée comme elle ne l’avait jamais été, son ventre était empli de cet engin monstrueux. Mathieu heureux commença à bouger doucement et à chaque mouvement qu’il faisait, des ondes de plaisir submergeaient tout son corps. Elle leva les yeux pour voir l’effet que cette énorme intrusion faisait sur son mari qui, entretemps, lui avait pris la main et la serrait avec force. Il semblait fasciné par le spectacle qu’elle lui offrait. Le va-et-vient de la bite s’accéléra lui arrachant des cris de jouissance. Wanda se pencha sur elle pour lui introduire brutalement sa queue dans sa-bouche. Muriel se mit à le sucer avec violence en émettant des borborygmes. Sa tête étant proche de celle de Gérard, elle s’interrompit et lui demanda d’une voix haletante « embrasse-moi mon amour pour déguster le goût de la liqueur de mon amant sur mes lèvres ». Le cœur battant, Gérard s’exécuta. Il était là le véritable esprit du candaulisme, partager tous les plaisirs de la femme adorée. Cela l’excita très fortement, à tel point qu’il éprouva le désir secret de sucer ce membre puissant en communion avec elle. Il le réfréna, mais accentua la profondeur de son baiser.

Muriel était en extase. Ressentir les coups de boutoir de Mathieu de plus en plus rapides lui défonçant sa chatte écartelée et aspirer alternativement le jus de Wanda pour l’introduire dans la bouche d’un Gérard consentant lui donnait tout la plénitude d’une femme libérée, une déesse prédatrice dans un corps de putain.

La tension sexuelle atteignit un tel degré qu’il se passa un moment rare, l’union des quatre dans l’explosion orgasmique en même temps. N’en pouvant plus, Mathieu déchargea un flot de sperme dans ce ventre gourmand au même moment où Muriel hurlait sa jouissance en avalant le sperme chaud de Wamba et que Gérard termina de se branler en envoyant une large giclée. L’accord parfait !!! Ce fut tellement intense qu’ils en restèrent là pour cette soirée torride, totalement épuisés, mais comblés, en se jurant d’aller plus loin dans un proche avenir !
Une fois, les deux amants partis, Gérard et Muriel restèrent longtemps enlacés, tendrement, silencieux en se caressant du bout des doigts, les yeux dans les yeux.
Muriel, en soupirant d’aise, lui dit d’un air coquin, « mon amour quand je t’ai embrassé, la langue imprégnée de la saveur de la queue de Wanda, tu as semblé apprécier son goût. Dis-moi, sans rougir, n’aimerais-tu partager cette belle bite avec moi. Je t’avoue que cela m’exciterait de te voir le sucer et même de partager son sperme avec moi, sa jouissance nous unissant en une même communion ! Gérard, en la serrant plus fort dans ses bras, répondit le cœur battant « Oui, je le veux, j’en ai une folle envie. » 


Qu’est-ce qu’ils pouvaient s’aimer ces deux-là !

Les avis des lecteurs

Histoire Coquine
Bravo ! Ma femme et moi, on a adoré !!!!!!!!!!!!!!!!!!

Histoire Libertine
Apparemment vous aimez prendre des risques libre à vous !!!



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