Un drôle de chantage

- Par l'auteur HDS FemINCONNUE -
Auteur femme.
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Récit libertin : Un drôle de chantage Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-11-2012 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(6.0 / 10)

Couleur du fond :
Un drôle de chantage
Je me suis fait prendre au piège du chantage, mais une situation plus que particulière
et à la limite de la déviance sexuelle, même si je suis consciente que certains hommes
aiment ça. Ce maitre chanteur était vraiment qu’un gros porc, je n’appellerais pas ça
un homme.

Tout ça pour m’être fait prendre dans ma voiture par un type, un jeune stagiaire que
j’ai eu avec moi en cours durant une semaine.

Ce n’était pas vraiment un canon, mais assez athlétique, donc bien foutu, âgé de 27
ans. Il venait de la région parisienne, logeait à 1 km du lycée et n’ayant pas de
voiture, venait à son stage en vélo.

Dès le deuxième jour de stage, il a commencé à me faire du « rentre dedans », sans
être grossier, mais assez direct. Je laissais faire, nous étions souvent que tout les
deux en fin de cours ou à des pauses, c’était plutôt agréable pour une femme de plus
de 40 ans de se voir être la convoitise d’un jeune homme. L’ayant parfois, pour cause
de temps pluvieux, ramené chez lui, nos rapports étaient devenus un peu plus
qu’amicales.

Bref, le dernier soir de son stage, nous avons quitté le lycée ensemble, il m’a
raccompagné à mon véhicule et nous avons discuté quelques minutes devant la voiture
avant de nous dire adieu.

Sauf qu’au moment de nous faire la bise, ses lèvres se sont collées aux miennes, je
n’ai pas résisté, seul angoisse sur le moment, être vu. Etant stationné dans la rue
voisine du lycée, l’endroit était plutôt désert et la nuit commençait à tomber, mais
par reflexe j’ai ouvert la porte arrière, plus par soucis de discrétion qu’autre
chose.

Il a du prendre ça comme une invitation, s’en était peut-être une inconsciemment, je
me suis retrouvé allongé sur la banquette, lui sur moi, m’embrassant et me caressant
les cuisses, la portière grande ouverte, tout s’est passé très vite, ma jupe relevée,
il m’a prise, je n’ai opposé aucune résistance, ça n’a duré que quelques minutes.

Pourquoi ne pas avoir résisté ? Peut-être le manque de sexe dans mon couple ? Les
qualités très médiocres de mon mari en tant qu’amant ? Mon état d’excitation fréquent
à chacune de ses « attaques » tout au long de nos têtes à têtes ? …

Quoi qu’il en soit je m’étais faite baisé comme ça, presque en pleine rue, moi une
mère de famille mariée, comme une nymphomane en chaleur. Avec du recul, je parlerais
plutôt de deux adultes consentants qui se donnent du plaisir avec un plan cul rapide !


Cet épisode était pour moi oublié, un simple petit écart de conduite, beaucoup moins
torride que mes quelques aventures adultérines précédentes.


Sauf qu’un mois plus tard, l’un de mes collègues, que je nommerais « X », professeur
d’espagnol, a demandé à s’entretenir avec moi à l’écart des regards !!!

X est un homme de 55 ans, proche de la retraite, de nature très réservée, voir une
timidité maladive, toujours à l’écart, écoutant les conversations discrètement mais
sans jamais y prendre part. D’une taille moyenne, une calvitie naissante sur des
cheveux grisonnants, un visage très banale et assez éloigné du critère de la beauté,
en fort surpoids, pas obèse mais vraiment très gras. La description peu paraitre
maladroite ou tout du moins blessante, mais il est loin de l’homme qui attire le
regard d’une femme, que se soit par son physique que par l’absence d’attrait total,
aucun charme ne ressort.
Le type même du professeur ressassant inlassablement ses cours sans aucune motivation
et intérêt pour ses élèves, peut-être en avait-il eu au début de sa carrière, mais
aujourd’hui il apparaissait aux yeux de tout le monde, professeurs et élèves, comme
une personne attendant patiemment la retraite. Sa seule qualité, toujours propre sur
lui et une certaine autorité sur les élèves malgré une attitude molle et effacée, ce
qui m’avait toujours surprise.

D’une maladresse totale avec les femmes, un regard fuyant, je dirais même pervers, pas
quelque chose d’angoissant pour une femme, il donnait même l’impression d’en avoir
peur. Célibataire, ce qu’on appelle un « vieux gars », il aurait été surprenant qu’il
ait pu draguer une femme un jour ! Peut-être était-il différent dans sa jeunesse, mais
j’en doute.

Mais ce coté pervers me dégoutais, j’avais pu à quelques reprises le surprendre à me
scruter de façon obscène, c’était tout du moins mon ressenti, fuyant mon regard quand
je me tournais vers lui, baissant la tête honteusement, pour recommencer dès que je
relâchais mon regard. Et dans les couloirs, j’avais pu observer cette même perversité
lorsqu’il fixait son regard dans le dos d’élèves féminines.

D’où ma surprise lorsqu’il osa s’adresser à moi, avec maladresse et angoisse dans son
attitude d’ailleurs, qu’est qu’il pouvait bien me vouloir, pourquoi « à l’écart des
regards » ? Ca ne me faisait pas peur de me retrouver seule avec lui, je pense même
que s’est lui qui avait peur de moi, surtout des femmes en générales. Cette demande me
paraissant tellement inappropriée que je l’ai pris comme une maladresse de langage,
pensant qu’il voulait simplement m’entretenir d’un sujet tout à fait banal. Je lui
réponds tout naturellement :
- Ce soir, je parts à 17h00, si tu es là, on discutera à la sortie ?

Lui :
- Heu … oui … merci

Et je le vois quitter la salle des profs immédiatement, baissant la tète comme à son
habitude. Comment peut-il avoir de l’autorité sur ses élèves ? Un mystère, ou peut-
être l’expérience ?

A 17h10, je sorts du lycée et j’aperçois X légèrement à l’écart sur le parking un peu
plus haut à droite, je me dirige vers lui, essayant d’avoir une attitude la plus
conviviale possible, il a fait l’effort de venir vers moi, peut-être me suis-je
tromper sur lui, autant lui donner une chance.

Arrivé à sa hauteur, je sors mon plus grand sourire et lui dit :
- Alors, tu voulais me parler de quoi ?

Il me regarde d’un air gêné, et me tend son portable :
- Heu … de ça

Surprise, je regarde l’écran de son portable … Une photo de moi et du stagiaire dans
la voiture !!! Il reprend son téléphone et fait défiler une dizaine de photos de la
même scène sans dire un mot.

Je suis estomaqué, je n’en crois pas mes yeux, les photos ne sont pas d’une qualité
extrême, mais on nous voit bien nous embrasser et on devine aisément ce qui se passe
dans la voiture, surtout que trois des photos sont prises d’assez près, il avait du
prendre le risque de s’approcher au plus près ce gros connard.

J’essaye de reprendre mes esprits, il me regarde béatement scrutant ma réaction.
Inutile de dire que mon sourire avait totalement disparu :
- Tu joues à quoi, ça t’amuse de faire ça

Il cherchait ses mots, ne sachant comment réagir, n’osant pas me fixer, puis comme un
gamin stressé lors d’un examen d’oral, je vois à son visage qu’il va se lancer :
- Ils sont sur mon ordinateur aussi …. Je pourrais les mettre sur le net ….

Moi :
- Sur le net ? Mais tu n’es pas bien, ça fait un mois que tu t’amuse avec des
photos de moi, tu es un grand malade, t’es plus un gamin, alors arrête de dire
n’importe quoi

Lui :
- Heu… Désolé … mais je pourrais le faire … Je les regarde souvent…

J’étais dans un état d’énervement total, qu’un jeune ose faire ça, oui, mais lui, un
pauvre type, à 55 ans !!! :
- Ok, si ça t’aide à t’exciter, tant mieux pour toi, mais tu veux en venir où
avec ton pseudo chantage du net ? Si tu crois que je vais te payer ou coucher avec
toi, tu te mets le doigt dans l’œil

Il ne savait plus où se mettre, il ne s’attendait certainement pas à une telle
agressivité dans ma réponse. Je profite de mon emprise sur lui pour tenter de mettre
un terme à ces photos :
- Bon tu t’es bien branlé sur moi, c’est possible et tant mieux pour toi si tu
as pris du plaisir, mais tu sais très bien le mal que pourrais faire ces photos, que
ce soit du coté professionnel comme dans mon couple. Je ne pense pas que tu sois le
genre de type capable de porter atteint à ma carrière, alors tu oubli les photos ou au
moins tu les garde que pour toi, ok et on en parle plus.

J’essayais d’avoir une attitude agréable en sortant ces paroles, lui souriant comme
pour minimiser la situation et le rendre plus à l’écoute.

Ca semblait fonctionner, il me regardait honteux et il se force à parler :
- Je t’assure … je ne te veux surtout pas de mal … tu es très belle … je
n’oserais pas …

Moi :
- Voilà c’est mieux, on oubli tout, d’accord

Lui :
- Oui, mais tu sais … je ne cherchais pas de l’argent … ni du sexe avec toi … je
ne me permettrais pas …

Moi :
- Ne t’inquiète pas, c’est oublié, ok

Lui :
- Pardon …Je ….

Il range son téléphone et part comme un voleur en direction de sa voiture !!!

Dans un sens, je préfère ça, il voulait certainement profiter de ces photos, plus pour
s’amuser avec moi que pour autre chose, il avait du croire que s’était la chance de sa
vie, pauvre type quand même, il a suffit que je m’énerve pour qu’il s’écrase. Si ce
mec n’est pas puceau, ça ne peut être qu’avec une prostituée, incapable de prendre
l’ascendant sur moi alors qu’il avait un net avantage !!!

Bon, malgré tout, il va falloir que je me rapproche de lui de temps en temps et que je
sois plus avenante avec lui, mieux vaut éviter de prendre des risques.

Je monte dans ma voiture pour rentrer chez moi, quelque peu chamboulé par ces photos
il faut bien l’avouer.

Toute la soirée j’étais perturbé, mon mari s’est aperçu de mon inquiétude, j’ai
prétexté une journée difficile et le tour était joué. Ce n’était pas le moment non
plus pour qu’il est envi de sexe, mais avec lui s’est rare, heureusement.

Impossible de suivre le film à la télé, je me mets sur l’ordi, un peu de dialogue sur
facebook avec des copines ça me changera les idées.
J’ouvre ma session et là surprise, une demande d’ami de X !!!!!!!!!! Quoi faire, après
réflexion je me dis qu’il faut mieux l’accepter et éviter de le froisser, après tout
autant l’amadouer en faisant copain/copine. Je l’accepte.

A peine fait, il me prend en dialogue « ça va », du culot quand même, il essaye de se
faire pardonner, autant jouer le jeu et on dialogue quelques minutes avec des échanges
sans grands intérêts. Tout un coup, il me propose un nom de site internet qu’il
voudrait que je regarde, un nom plus qu’évocateur « French domin… » !!! Après des
petites questions de ma part sur le pourquoi de cette demande, il continu à insister
pour que je surf sur ce site, me suppliant même.

Je fini par capituler et discrètement, sans que mon mari puisse douter de quoi que ce
soit, je tape l’adresse du fameux site, vu le nom du site, je suis persuadé que mon
mari serait surpris de me voir regarder un tel site.

Le site fait apparaitre plusieurs vidéo, payante d’ailleurs, mais avec des extraits
gratuit. Je mets les écouteurs, le volume assez faible et je me tente à regarder le
premier aperçu, continuant avec quelques autres par la suite. On y voit selon les
vidéos, des femmes de tout âge, vieille comme jeune, belle et laide (il faut bien le
reconnaitre), avec à chaque fois un homme, avec des profils aussi hétéroclite que les
femmes, mais un point commun à toutes ces scènes, l’homme est entièrement soumis à la
femme, lui léchant les pieds, nu et chaussés, parfois humilié verbalement, voir giflé
sur certaine vidéo. Pas vraiment un truc SM, les femmes étant habillées normalement
sans accessoires particuliers, pas de sexe direct, mais des hommes qui semblent
prendre plaisir à leur lécher les pieds et a leurs être totalement dévoués !!! Sur
certaine, ils finissaient par jouir en se branlant !!!!

Ouahou, particulier le truc …

Je reprends la discussion facebook en commençant par un simple « j’ai vu », et là il
se lâche complètement, me faisant comprendre sa passion pour les femmes et jeunes
filles autoritaires, son plaisir de leur être soumis, faisant un paragraphe entier sur
la suprématie féminine ….

Comment peut-il être aussi à l’aise avec moi sur le net et surtout oser me raconter
tout ça, alors que je ne le connais à peine, on se croise simplement, toujours
incapable de me regarder en face !

C’est un vrai malade, comment peut-on avoir de tels fantasmes ? La suprématie
féminine, si seulement tout les hommes partageaient cette idée, quel bonheur pour
nous, quoi que …

J’essaye de rester courtoise, ne comprenant pas très bien pourquoi il me racontait des
choses aussi intimes à moi !!! Je répondais de temps en temps par des « ah bon », « je
vois », … sans rentrer vraiment dans le sujet, ne sachant que dire.

Au bout de 10 mn, son monologue se transforme en question direct « J’ai envi d’être à
tes pieds », « tu voudrais me gifler », « que je sois à genoux devant toi », … !!!! Là
c’est moi qui suis gêné, prise au dépourvu.

Mon absence de réponse semble l’énerver, ça c’est nouveau :
- Tu préfère te faire baiser hein, salope je vais mettre les photos sur le net

Mais qu’est-ce qu’il fait ce con :
- Non, attend, tu m’as surprise, c’est tout … et les photos on avait tiré un
trait dessus, non ?

Lui :
- C’est toi qui a décidé de ne plus en parler, pas moi, si tu veux t’en
débarrasser, viens chez moi demain matin, tu ne travailles pas, j’ai vu ton planning

Venir chez lui ? Il croit quoi ce vieux con :
- C’est facile devant un ordi, en face tu la ramène moins, arrête de rêver, je
viendrais pas chez toi pour me faire baiser, tu es loin d’être mon type mon pauvre et
pour les photos, si tu t’amuse à ça, moi je ferais savoir à tout le monde que tu n’est
qu’un pervers juste bon à se mettre aux pieds, à se faire gifler par les femmes, tu
crois que le lycée va te garder après ça.

Lui :
- Oui tu as raison, je veux que tu me gifle, tu es belle, stp … Et pour ma
carrière, je m’en fous, je sais très bien ce que tout le monde raconte sur moi, je
prendrais ma retraite avec quelques mois d’avance et alors … Soyons clair, je te
propose un truc

Moi :
- Vas’ y, je t’écoute

Il me débite tout un scénario qu’il souhaite me voir réalisé, précisant qu’il ne me
toucherait pas, pas de sexe et qu’après je n’entendrais plus parler de lui,
s’engageant à supprimer les photos.

Pas très intéressé, mais devant un ordinateur il est plus prolifique que dans la
réalité, il serait peut-être capable de les publier ces photos ce con, et après tout,
il ne posera pas ses mains sur moi, si ça lui plait de se faire traiter comme un sous
homme (c’est lui qui a employé ce terme), après qu’il est giclé, on en parlera plus.
Reste à m’assurer de son engagement à supprimer les photos, je lui réponds :
- Ok pour ta proposition à une condition, tu me laisse accéder à ton portable et
ordinateur et c’est moi qui supprime les photos, c’est ça ou rien.

Lui :
- Aucun problème, mais il faut que tu joues le jeu, que tu me traite vraiment
comme je te l’ais dit, ensuite je te laisserais faire tout ce que tu veux avec mon
téléphone et ordinateur.

Et il rajoute :
- Tu peux commencer maintenant que je puisse voir si tu as compris

Commencer là, devant l’ordi ? Impossible ! Il faut que je trouve un truc sinon il est
capable de péter les plombs de nouveau … Le vouvoiement, et oui il me l’a rappelé à
chacune de ses phrases :
- C’est « vous » qu’en tu t’adresse à moi gros porc, c’est compris

J’ai du taper juste, la réponse est équivoque :
- Pardon, excusez-moi madame

« Madame », il est à fond dedans ce connard, bon il me fatigue, j’en profite pour
stopper :
- Allez dégage, on verra ça demain

Et je coupe

Dans quoi je me suis embarqué, un vrai truc de dingue, on verra ça demain. Je
prétexte un cours demain matin à mon mari et lui dit que je suis crevé, je vais me
coucher. Une bonne nuit de sommeil m’aidera à me remettre les idées en place.

Le lendemain matin, mon mari est déjà parti travailler quand je me réveille, je
commence à réfléchir à ce qui m’attend dans quelques heures. Je suis vraiment folle
d’avoir accepté, en plus c’est contre nature pour moi, dominer un homme alors que
j’apprécie tout particulièrement les mecs virils, voir machos, qui prennent les
initiatives et là c’est moi qui vais devoir prendre les choses en main avec un gros
porc à l’opposé de mes attirances masculines.

Je reste quelques minutes à m’imaginer la scène, me remémorer sa demande de scénario,
l’humilier, l’insulter … c’est vraiment un malade ce type, à se demander si passé la
quarantaine les hommes ne deviennent pas de vrai gonzesse en terme de sexe, mon mari
n’en est pas à ce point mais quand même.

Il me reste à me préparer, le seul avantage, pas la peine de réfléchir à ma tenue, il
l’a choisi pour moi, il devait me mater grave pour connaitre toute mes tenues, toutes
les femmes devait être regardées de la tête aux pieds par ce gros vicieux, les élèves
filles incluses je pense.

Je prends ma douche, puis choisi un ensemble de sous vêtements, il ne pouvait
connaitre mes sous-vêtements, il a seulement précisé sexy, assortie, en dentelle
noire. Mon choix se fixe sur un petit tanga à dentelle noire évidemment, très échancré
sur les hanches, avec un petit cordon au dessus des fesses, ce qui agrémente le coté
érotique pour moi, il me rentre bien dans les fesses et me donne un petit cul rebondi.
Coté soutien gorge, j’en ai deux assortis au tanga, j’opte pour le balconnet, moins
confortable mais beaucoup plus sexy, mettant mes seins en valeur.

Je sors ma robe, une petite robe mi courte, au niveau des genoux, de différents
dégradés de gris, sans manche à col rond et large laissant paraitre un petit
décolleté, assez sympa et très légère, plus vraiment de saison mais il avait du me
voir avec lors de la préparation des cours fin août. Ce n’est pas ma préféré, pas
spécialement sexy, même si parfois la légèreté du tissus peut s’apparentée à de la
transparence.

Coté maquillage, le tout reste léger, mais je décide d’accentuer un peu plus le rouge
à lèvre et de m’attacher les cheveux, ça me donnera un air plus sévère, c’est de
rigueur.

Le tout surmonté par des escarpins gris foncés à petites lanières serrées les unes
contre les autres, je les aime bien même si elles ne sont plus de saison non plus, je
pense que s’est les talons assez haut qui ont du lui plaire sur ces escarpins, ça doit
être mes plus haut à l’exception d’une paire de botte, je ne suis pas fan des talons
très haut, ceux là font 8 cm, ce qui est énorme pour moi, je ne dépasse rarement les 5
cm.

Je suis d’ailleurs assez surprise de n’avoir aucun stress pendant ma préparation, pas
d’anxiété, j’essaye de prendre ça comme un jeu.

J’enfile un manteau, monte dans la voiture et me dirige à son domicile.

Arrivée dans le petit lotissement, je cherche la rue et le numéro transmis, c’est là,
une petite maison assez simple, un petit jardin plutôt bien entretenu devant. Je
stationne devant le muret de la maison et descend de la voiture, à peine devant le
portillon que j’entends « bonjour madame … » ! C’est une femme de 35/40 ans, la
voisine, qui me dit bonjour, elle me connait, il me semble que j’avais du avoir son
fils il y a deux ou trois ans. Je lui rends le bonjour et elle croit comprendre ma
présence en précisant « c’est vrai, monsieur X est dans le même lycée que vous », je
lui fais un signe de tête attestant sa remarque et lui fait part de la préparation
d’une réunion d’élève pour expliquer ma présence. Avais-je besoin de lui exposer un
motif à ma venue chez X, non, suis-je bête, mon empressement à donner une explication
paraissait l’avoir surprise.

J’oubli ce contre temps, prend la petite allée donnant sur l’entrée principale de la
maison, je me retourne machinalement après avoir frappé à la porte et vois la voisine
qui m’observait toujours du coin de l’œil, je m’aperçois que tous les volets sont
fermés et comprends sa surprise de me voir rentrer dans une maison entièrement close
aux regards.

La porte s’ouvre, je ne m’engouffre rapidement à l’intérieur voulant me soustraire au
regard de cette voisine.

La porte se referme, je fais face au propriétaire des lieux, toujours aussi vieux et
gros, habillé d’un pantalon de toile et d’une chemise blanche, j’ôte mon manteau, ses
yeux sont figés sur ma silhouette comme hypnotisé ! Je le sort de sa stupeur :
- Oh oh le vieux, mon manteau

Il prend mon manteau, le pose avec précaution sur une chaise, j’en profite pour
regarder l’intérieur de son salon, beaucoup plus contemporain que je l’aurais pensé,
même si ce n’est pas dans mes goûts, mais extrêmement propre. Je prends place dans le
canapé, jambes croisées (comme prévu dans le scénario).

Le plus drôle, c’est que la voisine m’a permis de rentrer chez lui sans aucune
angoisse, elle m’a involontairement servi de diversion.

X s’approche de moi maladroitement, toujours aussi surpris de m’avoir chez lui, il est
rouge de honte ! Pourtant c’est lui qui est à l’origine de tout ça. La tête baissé
vers mes escarpins, il me demande :
- Tu veux boire quelques choses ?

Je sais parfaitement qu’à ce moment là, je dois me lever, le gifler pour m’avoir
tutoyé et lui demander de se mettre à genoux. Mais son attitude pitoyable qu’il a
devant moi, attendant sa correction me fait pouffer de rire. Mon rire se calme, je le
regarde en souriant et lui dit très gentiment :
- A genoux

Il ne comprend pas, certainement surpris de mon initiative de modification du
scénario, je reprends toujours avec calme et sourire :
- Allez, à genoux

Il s’agenouille enfin devant moi, je souris toujours autant, je le trouve tellement
pitoyable que ça m’amuse. Je reste assise bien confortablement dans le canapé,
bougeant légèrement mon pied droit autour de son menton, le sourire aux lèvres, je le
regarde prendre son plaisir à être ainsi sous mon emprise. Je me redresse vers lui, ma
main se saisit de son menton, le relève pour que je puisse bien me rendre compte de
son regard de soumission, il ose à peine me regarder, j’en souris et lui dit avec une
voix douce :
- Regarde-moi gros porc

Il relève les yeux, obéissant à ma demande et dit :
- Vous êtes belle, très belle

Je ne réponds pas, je tiens toujours son menton, aucune parole pendant la minutes qui
suit, un large sourire sur le visage et je lui décroche une gifle monumentale,
beaucoup plus forte que je m’y attendais. Il est même obligé de poser sa main au sol
pour ne pas tomber, j’entends un léger son qui sort de sa bouche dans le même temps :
- Merci madame

« Merci » !!! C’est sûr maintenant, il aime ça ce con.

Je change de main et lui remet une seconde gifle, moins forte celle-ci. Je me ré-
adosse confortablement au dossier du canapé, je le fixe :
- Un café avec un nuage de lait

Il ne s’est plus ou il en est, c’est bon de changer le scénario, il me répond
maladroitement :
- Heu … Tout de suite madame

Il se lève et se met à me préparer mon café

Tout en l’observant, je me surprends à réfléchir à cette situation, drôle de sensation
que de se faire servir aussi docilement, mais pas désagréable, j’avoue même y prendre
un certain plaisir.

Il revient avec la tasse de café, me la remet gentiment, une nouvelle fois je ne peux
m’empêcher de rire en le voyant. Il n’ose pas me regarder, je m’aperçois qu’il fixe
mes cuisses, en me ressayant après la dernière gifle, ma robe se trouvait remontée,
les jambes croisés dans un canapé plutôt confortable mais assez profond avait libéré
mes cuisses de tout tissu. Par reflexe, j’ai d’abords voulu réajuster ma robe, puis je
me suis dit, autant l’exciter ce vieux pervers il giclera plus vite.

Moi :
- Arrête ça tout de suite vieux porc, à genoux et lèche mes pieds

Lui :
- Pardon madame mais vous êtes belle, vous avez de jolies cuisses

Moi :
- Je sais, je suis trop belle pour toi, un sale chien comme toi ça se met aux
pieds, dépêche toi connard

Tout ça était bien sur à sa demande de scénario, il fallait que je reconnaisse ma
beauté exagérément et lui fasse comprendre que je lui faisais une faveur en la
partageant avec lui ! Bizarre, mais c’est lui qui le souhaitait, insultes inclus, il
m’avait même demandé de le traiter de salope, de Pd, de pouffiasse, terme plutôt
féminin, pas facile à dire.

Bref, il se retrouve de nouveau à genoux penché sur mes pieds, les embrassant. Je le
laisse prendre son plaisir, si ça l’amuse, je profite de mon café. Tout d’un coup je
l’entends :
- Madame, vous voulez que je me déshabille ?

Merde, j’avais oublié cette partie, lui ordonner de se mettre nu et me moquer de son
physique, sa virilité …

Moi :
- Tu attends quoi, oui met toi à poil tout de suite

Il défait tout tremblotant les boutons de sa chemise, l’enlève puis me regarde,
attendant mon impression sur ce que je voyais ? Franchement, tellement gras qu’il
avait des seins, du bide … Bref rien de plaisant :
- T’es gros, tu crois vraiment que t’es un homme avec des seins comme ça

Je pose mon café (pour passer à la suite du scénario), me met debout, il dégrafe son
pantalon toujours à genoux, oups j’ai été trop vite, il fallait d’abords qu’il se
mette totalement à poil. Trop tard :
- Lâche ton pantalon, je n’ai pas envi de voir ta petite bite de Pd pour le
moment (un de placé)

Il est surpris de ce nouveau changement dans le déroulement du scénario, je ne lui
laisse pas le temps de réagir, je pince ses tétons avec mes doigts, il grimace, pousse
un petit cri de satisfaction :
- Tu aime ça, hein, tu n’es pas un homme, tu n’es qu’une pouffiasse

Il aime ça, je ne cache pas un certain plaisir à voir un homme, même vieux et gras,
entièrement soumis, sous mon emprise. Je ne m’attendais pas à y prendre une certaine
satisfaction, pas de l’excitation, mais une impression de pouvoir qui n’est pas pour
me déplaire.

Il se touche par-dessus son pantalon, en me matant d’envie, toujours sous mes
pincements, il ne peut s’empêcher de me dire que je suis belle, excitante …. Il est à
bout, je vais pouvoir terminer plus vite que je le pensais, mais il prend la parole :
- Tu peux enlever ta robe stp

A quoi il joue ce con, je lâche ses seins de gros porc, lui déclenche une claque :
- C’est « vous » gros porc

Il semble un peu énervé par ma gifle, pourtant c’est son truc, il me répond avec plus
d’assurance qu’avant :
- Oui vous c’est vrai, mais enlève … je veux dire enlevez votre robe, j’ai envi
de me branler en te ma… enfin je voulais dire vous …

Il ne sait plus vraiment où il en est, si ça peut l’aider à gicler. Je commence à
relever ma robe, je regarde sa réaction, il est comme scotché à mes cuisses, mon
tanga, mon ventre … Je passe ma robe par-dessus mes épaules, je me retrouve en sous
vêtement devant lui. Je veux en finir rapidement, l’excitation lui donne de
l’assurance, comme à tous les mecs d’ailleurs. Je décide de finir la séance !
- Ca t’excite, mets toi à poils et branle ta petite bite, t’as jamais vu une
femme devant toi, hein, tu es encore puceau

En finissant ma phrase, un fou rire me prend, il se lève fasse à moi, baisse son
pantalon entrainant son slip ou caleçon, je n’ai pas fait attention. Mon fou rire
stoppe net, mes yeux se fixent sur son sexe, raide oui, mais petit non,
impressionnant, je ne m’attendais pas à ça, longue et très large. Peut-être est-ce
l’opposition entre l’impression que je m’en faisais et la réalité qui me laissait la
voir plus grosse encore, je ne sais pas, mais je dois l’avouer, ma surprise était
totale.

Je ne pouvais détacher mon regard, je vois sa main qui enveloppe sa bite et commence
les va et vient, j’entends :
- T’aime ça les grosses bites salope

Je reprends mes esprits et lui réponds honnêtement :
- Je m’y attendais pas c’est tout et ce n’est pas la peine de me traiter de
salope, branle toi et gicle

Lui :
- Tu m’excite, je n’ai jamais baisé de femme et toi tu me donne envie

Moi :
- On se calme mon gros, que tu sois puceau à 55 ans je m’en tape, mais me
baiser ça jamais

Lui :
- Pourquoi, t’aime ça, avec le stagiaire tu ne disais pas non, salope … laisse
moi te gicler dans la bouche

Ca commençait à mal tourner, ok il avait une grosse bite, ce qui avait peut-être
entrainé une petite excitation chez moi, je le reconnais, mais le reste ne m’attirait
pas du tout :
- Ta gueule, tu te calme tout de suite, tu gicle et s’est tout, pas sur moi

Il semblait près à jouir, je le voyais à son visage, il n’écoutait plus. Je sens sa
main sur ma hanche, elle monte sur mon ventre, il est brutal dans ses gestes,
tellement brusque qu’il me fait m’affaler sur le canapé, il s’appui sur moi, mes
jambes coincées entre les siennes, assises sur le canapé, ou plutôt enfoncé dans le
canapé, sa main sur mes seins, il s’avance tout en se branlant :
- Salope, sale pute tu va me faire gicler

Avant même que je puisse me dégager, il met ses genoux sur le canapé, sa bite à
quelques centimètres de mon visage et il me gicle dessus en me traitant de tous les
noms, j’en reçois sur les seins, mon visage, dans les cheveux …. Je cris :
- Dégage, merde,

Il se lève tout penaud, se met à genoux et m’embrasse les piedst en me disant « merci
» !!!

Mais il est malade ce type, je ne bouge pas, tellement il me scotche, il continu à
m’embrasser les pieds en disant « pardon », « excusez-moi », « vous êtes trop belle »


Il m’énerve, je me redresse et lui lance deux gifles coup sur coup, je ressens de la
méchanceté dans mon geste, je ne suis plus dans le jeu. Je me lève et lui cris :
- Donne-moi une serviette gros connard et rhabille-toi

Il essaye de m’expliquer son geste, s’est la première fois qu’il a une femme aussi
jolie devant lui, il n’a pas pu se retenir … C’est surtout la première fois qu’il a
une femme en sous vêtement en face lui, belle ou pas belle.

Moi :
- C’est bon, va me chercher une serviette pour m’essuyer

Il quitte la pièce et revient quelques secondes plus tard avec une serviette, il me
demande si je veux prendre une douche !

Moi :
- Une douche chez toi, oh tu va redescendre sur terre, donne moi ton téléphone
et le code de ton ordi plutôt

Lui :
- Il est la bas à coté de l’ordinateur, il n’y a pas de code, je vis seul

Moi :
- Ca je peux le comprendre, qui voudrait d’un porc comme toi

J’étais plus qu’énervé, méchante oui, surtout que je commençais à apprécier cette
domination avant qu’il me traite comme une vulgaire salope.

Je m’essuie comme je peux, il m’en a mis partout ce gros con, mon soutient gorges est
collant. Je me dirige vers l’ordi, je m’assois devant, tout est prêt, le dossier des
fameuses photos s’affiche directement, au moins ça il l’avait fait correctement, je
supprime les photos, contrôle qu’il n’en reste plus, ordi comme téléphone, c’est fait.

Je reviens vers le canapé, il est là à genoux, toujours à poil, m’observant, il me
regarde prendre ma robe ! Autant le laisser faire et partir au plus vite, en plus je
vois qu’il commence à bander de nouveau, 55 ans mais encore en forme ou le faite que
ce soit une première pour lui de voir une femme à moitié dénudée devant lui. Il me
fait pitié, je décide même de lui faire plaisir, il a l’air inoffensif, dans son coin
comme un bon toutou, mon soutien gorge colle trop, je l’enlève, il a les yeux exorbité
me voyant dégrafer mon sous vêtement, j’en rigolerais presque, je prends mon temps,
ôte mon soutien gorge lentement en le regardant faire, sa main sur sa bite, il se
branle encore une fois en fixant mes seins libre de tout corset. Je continu mon petit
manège en remettant ma robe toujours aussi doucement. Il est comme un fou, il profite
de ce qu’il voit au maximum, l’âge est là, dur de gicler, pourtant il se branle comme
un dingue.

Je réajuste ma robe, prend mon manteau, au moment de partir je me retourne vers lui,
il se branle toujours ne me lâchant pas du regard. Je reviens vers lui :
- C’est bon, t’en profite gros connard hein, c’est la dernière fois

Et je lui mets de nouveau une gifle, ça semble lui faire plaisir une nouvelle fois,
franchement quel homme accepterait ça ?

J’ouvre la porte et je lui dis :
- Je te laisse mon soutien gorge, ça te fera un souvenir gros dégueulasse, allez
branle-toi bien gros porc

Et je claque la porte, sauf qu’en arrivant à la voiture j’entends :
- C’est fini la réunion ?

La voisine ! Je me retourne avec le plus de naturel possible, un grand sourire :
- Oui, on est obligé de faire comme ça, au lycée on n’a pas toujours le temps de
préparer nos réunions, bonne journée

J’espère qu’elle n’a pas entendu la dernière phrase en sortant de chez X, en tout cas
je n’ai pas entendu de rumeur qui courait sur moi. Je reste persuadé qu’elle a du
remarqué mon absence de sous vêtement, une femme voit ce genre de chose.

Je monte en voiture et rentre chez moi,

Monsieur X s’est mis en arrêt maladie jusqu’à la fin de l’année scolaire, normalement
je ne devrais pas le croiser, ce qui est une bonne chose. Comment le regarder en face
sans l’imaginer à mes pieds prenant du plaisir sous mes gifles.

J’ai au moins compris une chose, certains hommes sont de vrai soumis devant une femme,
et une femme peut y prendre plaisir, mais heureusement qu’il existe aussi de vrai mec
pour nous faire jouir.

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