Un drôle de coq
Récit érotique écrit par Christian [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-08-2007 dans la catégorie Dominants et dominés
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Un drôle de coq
<p>Il est dix-huit heure, je fais de l’auto-stop sur une route départementale quasi déserte et les quelques voitures qui passent semblent conduites par des bougons qui se moquent pas mal de moi.
Je marche le long de cette route en attendant la prochaine voiture. Ce n’est pas que j’ai envie d’arriver plus vite à destination, il me reste encore 150 km à faire, mais c’est surtout parce que je suis en plein soleil et qu’il fait très chaud… au loin j’aperçois une forêt… c’est là que je souhaite me rendre le plus vite.
J’entends une voiture au loin… je prends la pose du parfait auto-stoppeur et j’attends… une vieille au volant avec son vieux qui doit être bourré… pas de chance… il ne me prête même pas attention, je ne sais même pas s’ils m’ont vus.
La forêt se rapproche maintenant, il ne me reste plus que quelques centaines de mètres à parcourir et je serai à l’ombre.
Voilà, c’est fait, je suis à l’ombre… qu’il fait bon ici… je marche plus lentement, je n’ai plus ce soleil de plomb qui me tape sur la figure.
Ah, une voiture se dessine au loin… une camionnette d’un quelconque entrepreneur qui a terminé sa journée et qui rentre à la maison... s’il va s’arrêter pour moi ? Et peut-être m’offrir le logis car j’aperçois au loin des nuages d’un noir pas très prometteur… il y a de l’orage dans l’air.
La camionnette est toute proche, une entreprise d’électricité… je fais de l’auto-stop et oh miracle la camionnette s’immobilise une dizaine de mètres plus loin.
Je presse le pas, me rend à hauteur de la portière passager, la vitre est ouverte et une femme d’environ 25 à 30 ans me sourit et me demande ou je vais…
- Je peux te prendre un bout de chemin mais tu ne seras pas encore à destination.
- Ça ne fait rien, j’espère tout au plus trouver de quoi me loger car je crois qu’un gros orage arrive…
En effet, des éclairs menaçants zébrais le ciel qui s’était obscurcit et le tonnerre roulais au loin.
Je monte dans la voiture et lui demande en plaisantant.
- C’est toi l’électricienne ?
- Ça ne se voit pas ?
- Ce n’est pas une profession où il y a beaucoup de femmes.
- Il est temps que cela commence.
Je réalise seulement qu’elle porte une salopette-short ainsi qu’un teeshirt à bretelle fine qui montre qu’elle ne porte rien dessous. Ses bras sont parfaitement bronzés et la partie short de sa salopette montre des cuisses également parfaitement bronzées comme si elle passait plus de temps au soleil qu’à travailler.
- Tu as beaucoup de travail ?
- En ce moment énormément, je viens de m’installer et je n’ai aucune envie de me faire piquer ma clientèle par un collègue… ce qui fait que je fais de grosses journées… aujourd’hui est la première fois depuis longtemps que je rentre aussitôt, tu as de la chance.
- Nous voici arrivés.
Elle emprunte un petit chemin gravillonné qui conduit à une ferme rénovée à une centaine de mètres de la route à l’entrée du village que j’aperçois au loin.
- C’est ici que tu habites ?
- Oui, c’est également ici que je stock mon matériel… je dois juste faire le plein pour être prête pour demain. C’est plus facile pour moi de combiner domicile et lieu de travail surtout qu’il ne me faut que mon stock et un petit bureau pour la comptabilité.
Elle gare sa camionnette auprès de la grange et descend.
- Tu viens m’aider ou bien tu veux continuer ta route tout de suite ?
Et de me montrer le ciel qui est noir comme de la suie avec de temps en temps un éclair qui l’illumine, je la suis donc et elle me donne des rouleaux de tubes et de fils à porter dans sa camionnette.
Elle est vraiment ravissante dans sa salopette-short… le short est coupé très court et découvre la base de ses fesses lorsqu’elle se penche en avant.
- Dis-moi, en tant que femme, tu n’es pas importunée sur les chantiers où tu travaille ?
- Pourquoi veux-tu que l’on m’emmerde sur les chantiers ?
- Oh, je dis cela comme ça… tu es une jolie fille et ta tenue n’est exactement celle que l’on attend d’un électricien ?
- Eh bien tu vois, c’est une différence, je suis une électricienne et j’ai aussi envie de le montrer.
- Et si part hasard un collègue ou un autre ouvrier sur le chantier venait à te faire des avances précises… est-ce que cela ne te dérange pas ?
- Tant que ce ne sont que des avances, cela ne me gène absolument pas.
- Et si cela devenait plus sérieux... car je dois te l’avouer, avec ta tenue d’électricienne je serais tenter de faire un pas de plus histoire de…
- Rassure-toi, je n’aime pas les messieurs aux mains baladeuses et gare à ceux qui s’y risqueraient.
- Il y a de costauds gaillards sur les chantiers…
- Ne t’inquiète pas pour moi, j’ai ce qu’il faut pour les calmer.
Et de me montrer un spray paralysant.
- Tu vois avec cela, je peux calmer les avances les plus audacieuses.
- Et si malgré cela ça ne suffisait pas ?
- J’ai de quoi calmer les plus aventureux…
- Comment cela ?
Et elle de sortir de la poche de poitrine de sa salopette un morceau de nylon blanc.
- Tu vois cela ?
- Qu’est ce que c’est ce truc là ?
- Un serre câbles, j’en utilise toute la journée pour assembler des câbles entre eux en faisceaux.
- Et qu’est ce que tu peux faire avec cela ?
- Attends un moment je vais te faire une démonstration.
Elle ferme la porte du la grange, ferme la camionnette à clé, puis elle s’approche de moi avec un serre câbles dans la main.
Nous passons derrière la maison, là ou il y a un joli coin de pelouse et un jardin bien entretenu.
- Mets tes mains dans le dos…
Je m’exécute mais avant que j’aie eu le temps de réagir, j’entends un cliquetis dans mon dos et quelque chose qui se serre autour de mes poignets.
- Voila… comme ça, finit les mains baladeuses.
- Tu parles, avec ce petit morceau de nylon, il suffit de tirer un peu fort dessus et il casse…
- Essaye donc, tu vas être surpris de voir comme il est solide.
Je tire d’abord doucement puis plus fort et enfin très fort, rien à faire, il résiste.
- Alors, tu vois, ça tient bon hein ?
- En effet, je ne l’aurais pas cru.
- Et pour ceux qui ne veulent pas encore se calmer, je peux forcer la dose.
Elle s’approche de moi avec deux serre câbles d’environ cinquante centimètres de long, elle les enfile l’un dans l’autre comme un 69 ce qui forme un cercle… elle passe mes mains dans le cercle et le remontre jusqu'au dessus de mes coudes et là elle referme le cercle en tirant sur les serre câbles : mes coudes se resserrent l’un contre l’autre, je dois l’empêcher de serrer trop fort… je gonfle mes muscles pour garder un peu de liberté mais elle s’en aperçoit.
- Ce n’est pas la peine de gonfler tes muscles comme ça, même les plus costaux ne me résistent pas.
De la poche de sa salopette elle sort ce qui ressemble à un pistolet.
- C’est un outil à serrer les serre câbles, avec ça je peux serrer sans me fatiguer.
Elle bricole derrière moi et je sens tout d’un coup mes bras se resserrer encore plus.
- Eh, arrête ça me fait mal.
Mais rien à faire, elle écrase mes coudes l’un contre l’autre, mes épaules sont tendues en arrière ma poitrine bombée en avant… comme un militaire devrait être au garde à vous.
Mes poignets n’étant plus croisés mais bien alignés l’un conter l’autre, elle utilise son « pistolet » pour serrer convenablement ceux-ci ensemble.
- Tu vois comme ça il n’y en a plus beaucoup qui auraient encore envie de faire les malins.
- Et de te balancer un coup de pied dans le ventre ?
Elle prévient le danger en s’écartant de quelques pas, je lance mon pied dans sa direction mais sans la toucher puis elle se met à courir comme pour m’inviter à la poursuivre. J’ai envie de lui montrer que malgré les bras attachés comme cela je ne suis pas encore complètement handicapé… je cours de tout mon élan derrière elle, l’écart diminue… je la rattrape presque quand d’un coup, elle stoppe en faisant un bond de coté et laisse trainer une jambe devant mes pieds qui se prennent dedans : un beau croque enjambe.
Je me retrouve à plat ventre sur la pelouse… elle pose victorieusement son pied sur mes fesses qu’elle pétrit de ses chaussures de chantier avant de s’assoir sur mes jambes.
- Pour les petits malins comme toi, je peux encore faire quelque chose.
Elle passe un serre câbles légèrement serré à chacune de mes chevilles et m’entrave les chevilles avec un troisième serre câbles… un peu comme la chaine entre des menottes.
- Allez, relève-toi, il va bientôt pleuvoir.
Nous nous étions rapprochés du village et de la bassecour du voisin ou toute une population de poules, coqs, canards, et autres animaux de tous genres se pressaient de rentrer se mettre à l’abri de l’orage prochain. Nous les regardons se presser dans leurs abris respectifs comme s’ils étaient dressés. Malgré la précipitation le coq se presse près d’une poule et lui monte dessus, faisant son travail de géniteur.
- Le salop, il ne peut même pas laisser les poules en paix.
- Il ne fait que son devoir conjugal… tu ne vas quand même pas le lui reprocher.
Nous rentrons à la maison, je la suis à pas très petits.
- Est-ce que tu veux que je te foute dehors sous la pluie ou bien veux-tu passer la nuit ici et repartir demain matin.
- Si cela ne te dérange pas, j’userais volontiers de ton hospitalité mais de préférence détaché.
- Pourquoi ? regarde comme tu bombes le torse, on dirait le coq du voisin… montre moi ton torse.
Sans attendre ma réponse elle s’active à ouvrir les boutons de ma chemise qu’elle baisse sur mes bras jusqu’aux coudes
- Tu as de jolis tétons qui bandent.
En effet le fait d’être attaché et de la voir s’activer sur les boutons de ma chemise à fait se durcir mes tétons mais de là a dire que je bande… c’est un peu tiré par les cheveux. Ses doigts effleurent mes tétons avant de les triturer entre ses pouces et index ce qui me fait pousser un petit cri… de douleur ou de plaisir je n’oserai le lui dire.
- Dit-moi, tu dois certainement savoir cela : c’est vrai qu’un coq peut à lui tout seul baiser une vingtaine de poules plusieurs fois dans une journée ?
- Je n’en sais rien, ça ne m’intéresse pas ce truc là… pourquoi tu me demandes cela.
- Comme ça, figure toi que tu me plais comme ça, le torse bombé comme le coq du voisin, j’ai envie d’être baisée ce soir après avoir bien travaillée et je me suis demandée combien de fois tu pourrais me baiser.
- Eh, ça ne va pas… sûrement comme ça… attaché… si tu me détache je pourrai certainement te baiser plus que si je suis attaché.
- Non, j’ai envie de toi comme ça, tu m’excites, je suis déjà toute mouillée, je vais prendre une douche et après je te promets de passer une bonne soirée… attaché.
- T’es une salope !
- Et demain qu’est ce que tu me diras ? Merci ?
Elle se baisse près de mes chevilles les attachent bien serrées avec un autre serre câbles
- Je n’ai pas envie que tu t’envoles mon petit coq, à tout à l’heure.
Et elle disparait dans sa salle de bain.
Comment imaginez- vous la suite ?
Attache-moi@hotmail.com
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Je marche le long de cette route en attendant la prochaine voiture. Ce n’est pas que j’ai envie d’arriver plus vite à destination, il me reste encore 150 km à faire, mais c’est surtout parce que je suis en plein soleil et qu’il fait très chaud… au loin j’aperçois une forêt… c’est là que je souhaite me rendre le plus vite.
J’entends une voiture au loin… je prends la pose du parfait auto-stoppeur et j’attends… une vieille au volant avec son vieux qui doit être bourré… pas de chance… il ne me prête même pas attention, je ne sais même pas s’ils m’ont vus.
La forêt se rapproche maintenant, il ne me reste plus que quelques centaines de mètres à parcourir et je serai à l’ombre.
Voilà, c’est fait, je suis à l’ombre… qu’il fait bon ici… je marche plus lentement, je n’ai plus ce soleil de plomb qui me tape sur la figure.
Ah, une voiture se dessine au loin… une camionnette d’un quelconque entrepreneur qui a terminé sa journée et qui rentre à la maison... s’il va s’arrêter pour moi ? Et peut-être m’offrir le logis car j’aperçois au loin des nuages d’un noir pas très prometteur… il y a de l’orage dans l’air.
La camionnette est toute proche, une entreprise d’électricité… je fais de l’auto-stop et oh miracle la camionnette s’immobilise une dizaine de mètres plus loin.
Je presse le pas, me rend à hauteur de la portière passager, la vitre est ouverte et une femme d’environ 25 à 30 ans me sourit et me demande ou je vais…
- Je peux te prendre un bout de chemin mais tu ne seras pas encore à destination.
- Ça ne fait rien, j’espère tout au plus trouver de quoi me loger car je crois qu’un gros orage arrive…
En effet, des éclairs menaçants zébrais le ciel qui s’était obscurcit et le tonnerre roulais au loin.
Je monte dans la voiture et lui demande en plaisantant.
- C’est toi l’électricienne ?
- Ça ne se voit pas ?
- Ce n’est pas une profession où il y a beaucoup de femmes.
- Il est temps que cela commence.
Je réalise seulement qu’elle porte une salopette-short ainsi qu’un teeshirt à bretelle fine qui montre qu’elle ne porte rien dessous. Ses bras sont parfaitement bronzés et la partie short de sa salopette montre des cuisses également parfaitement bronzées comme si elle passait plus de temps au soleil qu’à travailler.
- Tu as beaucoup de travail ?
- En ce moment énormément, je viens de m’installer et je n’ai aucune envie de me faire piquer ma clientèle par un collègue… ce qui fait que je fais de grosses journées… aujourd’hui est la première fois depuis longtemps que je rentre aussitôt, tu as de la chance.
- Nous voici arrivés.
Elle emprunte un petit chemin gravillonné qui conduit à une ferme rénovée à une centaine de mètres de la route à l’entrée du village que j’aperçois au loin.
- C’est ici que tu habites ?
- Oui, c’est également ici que je stock mon matériel… je dois juste faire le plein pour être prête pour demain. C’est plus facile pour moi de combiner domicile et lieu de travail surtout qu’il ne me faut que mon stock et un petit bureau pour la comptabilité.
Elle gare sa camionnette auprès de la grange et descend.
- Tu viens m’aider ou bien tu veux continuer ta route tout de suite ?
Et de me montrer le ciel qui est noir comme de la suie avec de temps en temps un éclair qui l’illumine, je la suis donc et elle me donne des rouleaux de tubes et de fils à porter dans sa camionnette.
Elle est vraiment ravissante dans sa salopette-short… le short est coupé très court et découvre la base de ses fesses lorsqu’elle se penche en avant.
- Dis-moi, en tant que femme, tu n’es pas importunée sur les chantiers où tu travaille ?
- Pourquoi veux-tu que l’on m’emmerde sur les chantiers ?
- Oh, je dis cela comme ça… tu es une jolie fille et ta tenue n’est exactement celle que l’on attend d’un électricien ?
- Eh bien tu vois, c’est une différence, je suis une électricienne et j’ai aussi envie de le montrer.
- Et si part hasard un collègue ou un autre ouvrier sur le chantier venait à te faire des avances précises… est-ce que cela ne te dérange pas ?
- Tant que ce ne sont que des avances, cela ne me gène absolument pas.
- Et si cela devenait plus sérieux... car je dois te l’avouer, avec ta tenue d’électricienne je serais tenter de faire un pas de plus histoire de…
- Rassure-toi, je n’aime pas les messieurs aux mains baladeuses et gare à ceux qui s’y risqueraient.
- Il y a de costauds gaillards sur les chantiers…
- Ne t’inquiète pas pour moi, j’ai ce qu’il faut pour les calmer.
Et de me montrer un spray paralysant.
- Tu vois avec cela, je peux calmer les avances les plus audacieuses.
- Et si malgré cela ça ne suffisait pas ?
- J’ai de quoi calmer les plus aventureux…
- Comment cela ?
Et elle de sortir de la poche de poitrine de sa salopette un morceau de nylon blanc.
- Tu vois cela ?
- Qu’est ce que c’est ce truc là ?
- Un serre câbles, j’en utilise toute la journée pour assembler des câbles entre eux en faisceaux.
- Et qu’est ce que tu peux faire avec cela ?
- Attends un moment je vais te faire une démonstration.
Elle ferme la porte du la grange, ferme la camionnette à clé, puis elle s’approche de moi avec un serre câbles dans la main.
Nous passons derrière la maison, là ou il y a un joli coin de pelouse et un jardin bien entretenu.
- Mets tes mains dans le dos…
Je m’exécute mais avant que j’aie eu le temps de réagir, j’entends un cliquetis dans mon dos et quelque chose qui se serre autour de mes poignets.
- Voila… comme ça, finit les mains baladeuses.
- Tu parles, avec ce petit morceau de nylon, il suffit de tirer un peu fort dessus et il casse…
- Essaye donc, tu vas être surpris de voir comme il est solide.
Je tire d’abord doucement puis plus fort et enfin très fort, rien à faire, il résiste.
- Alors, tu vois, ça tient bon hein ?
- En effet, je ne l’aurais pas cru.
- Et pour ceux qui ne veulent pas encore se calmer, je peux forcer la dose.
Elle s’approche de moi avec deux serre câbles d’environ cinquante centimètres de long, elle les enfile l’un dans l’autre comme un 69 ce qui forme un cercle… elle passe mes mains dans le cercle et le remontre jusqu'au dessus de mes coudes et là elle referme le cercle en tirant sur les serre câbles : mes coudes se resserrent l’un contre l’autre, je dois l’empêcher de serrer trop fort… je gonfle mes muscles pour garder un peu de liberté mais elle s’en aperçoit.
- Ce n’est pas la peine de gonfler tes muscles comme ça, même les plus costaux ne me résistent pas.
De la poche de sa salopette elle sort ce qui ressemble à un pistolet.
- C’est un outil à serrer les serre câbles, avec ça je peux serrer sans me fatiguer.
Elle bricole derrière moi et je sens tout d’un coup mes bras se resserrer encore plus.
- Eh, arrête ça me fait mal.
Mais rien à faire, elle écrase mes coudes l’un contre l’autre, mes épaules sont tendues en arrière ma poitrine bombée en avant… comme un militaire devrait être au garde à vous.
Mes poignets n’étant plus croisés mais bien alignés l’un conter l’autre, elle utilise son « pistolet » pour serrer convenablement ceux-ci ensemble.
- Tu vois comme ça il n’y en a plus beaucoup qui auraient encore envie de faire les malins.
- Et de te balancer un coup de pied dans le ventre ?
Elle prévient le danger en s’écartant de quelques pas, je lance mon pied dans sa direction mais sans la toucher puis elle se met à courir comme pour m’inviter à la poursuivre. J’ai envie de lui montrer que malgré les bras attachés comme cela je ne suis pas encore complètement handicapé… je cours de tout mon élan derrière elle, l’écart diminue… je la rattrape presque quand d’un coup, elle stoppe en faisant un bond de coté et laisse trainer une jambe devant mes pieds qui se prennent dedans : un beau croque enjambe.
Je me retrouve à plat ventre sur la pelouse… elle pose victorieusement son pied sur mes fesses qu’elle pétrit de ses chaussures de chantier avant de s’assoir sur mes jambes.
- Pour les petits malins comme toi, je peux encore faire quelque chose.
Elle passe un serre câbles légèrement serré à chacune de mes chevilles et m’entrave les chevilles avec un troisième serre câbles… un peu comme la chaine entre des menottes.
- Allez, relève-toi, il va bientôt pleuvoir.
Nous nous étions rapprochés du village et de la bassecour du voisin ou toute une population de poules, coqs, canards, et autres animaux de tous genres se pressaient de rentrer se mettre à l’abri de l’orage prochain. Nous les regardons se presser dans leurs abris respectifs comme s’ils étaient dressés. Malgré la précipitation le coq se presse près d’une poule et lui monte dessus, faisant son travail de géniteur.
- Le salop, il ne peut même pas laisser les poules en paix.
- Il ne fait que son devoir conjugal… tu ne vas quand même pas le lui reprocher.
Nous rentrons à la maison, je la suis à pas très petits.
- Est-ce que tu veux que je te foute dehors sous la pluie ou bien veux-tu passer la nuit ici et repartir demain matin.
- Si cela ne te dérange pas, j’userais volontiers de ton hospitalité mais de préférence détaché.
- Pourquoi ? regarde comme tu bombes le torse, on dirait le coq du voisin… montre moi ton torse.
Sans attendre ma réponse elle s’active à ouvrir les boutons de ma chemise qu’elle baisse sur mes bras jusqu’aux coudes
- Tu as de jolis tétons qui bandent.
En effet le fait d’être attaché et de la voir s’activer sur les boutons de ma chemise à fait se durcir mes tétons mais de là a dire que je bande… c’est un peu tiré par les cheveux. Ses doigts effleurent mes tétons avant de les triturer entre ses pouces et index ce qui me fait pousser un petit cri… de douleur ou de plaisir je n’oserai le lui dire.
- Dit-moi, tu dois certainement savoir cela : c’est vrai qu’un coq peut à lui tout seul baiser une vingtaine de poules plusieurs fois dans une journée ?
- Je n’en sais rien, ça ne m’intéresse pas ce truc là… pourquoi tu me demandes cela.
- Comme ça, figure toi que tu me plais comme ça, le torse bombé comme le coq du voisin, j’ai envie d’être baisée ce soir après avoir bien travaillée et je me suis demandée combien de fois tu pourrais me baiser.
- Eh, ça ne va pas… sûrement comme ça… attaché… si tu me détache je pourrai certainement te baiser plus que si je suis attaché.
- Non, j’ai envie de toi comme ça, tu m’excites, je suis déjà toute mouillée, je vais prendre une douche et après je te promets de passer une bonne soirée… attaché.
- T’es une salope !
- Et demain qu’est ce que tu me diras ? Merci ?
Elle se baisse près de mes chevilles les attachent bien serrées avec un autre serre câbles
- Je n’ai pas envie que tu t’envoles mon petit coq, à tout à l’heure.
Et elle disparait dans sa salle de bain.
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