Un drôle de zob

- Par l'auteur HDS Beam72 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Un drôle de zob Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-04-2012 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

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Un drôle de zob
Je marche dans la rue, perdu dans mes pensées, quand soudain j’ai le regard attiré par un type qui arrive en face de moi.

C’est un maghrébin, 45 ou 50 ans, moustache, cheveux drus poivre et sel. Il porte des courses dans un sac plastique. Son corps est massif et son ventre proéminent. Il marche pieds nus dans des savates de bain en plastique, mais ce qui attire surtout mon regard, c’est qu’il porte un pantalon de jogging blanc qui, au niveau de son sexe forme une bosse si explicite que l’on devine l’anatomie de son pénis presque comme si on le voyait nu !

Je dois avouer qu’il m’arrive souvent de reluquer des mecs dans la rue, et que je m’oblige en général à détourner le regard pour éviter toute embrouille. Mais là, j’en suis incapable, tant cette vision me fascine. Évidemment, il s’en aperçoit et en me croisant, il dit :
– Qu’est-ce qu’il y a ? Qu’est-ce que tu regardes ?

Je réponds de façon confuse :
– Oh, excusez-moi ! Je ne regardais rien de précis, je regardais dans le vague… Je pensais à autre chose…
Il me regarde dans les yeux. Il me semble que je rougis très nettement.

En vérité : j’adore rougir ! Bien sûr, par rapport aux autres, c’est toujours très gênant, c’est un signe de faiblesse, etc. Mais par rapport à moi-même, j’aime beaucoup cette sensation : on sent une chaleur affluer au visage, l’émotion monter, on se sent complètement déshabillé et c’est incontrôlable, c’est comme une érection inattendue !

– C’est ma bite que tu regardais ?

Me demande-t-il ça pour m’engueuler ? Je ne crois pas… J’ai plutôt l’impression qu’il tâte le terrain… Je prends le risque :
– Oui. Je suis vraiment désolé, excusez-moi.
– Tu veux la voir ?
– … oui.
– Suis-moi. Tu restes à 10 mètres derrière moi.

Je le suis sur 500m environ. Il rentre dans un immeuble récent, genre HLM de ville. Dans le hall, il ne prend pas l’escalier ni l’ascenseur, mais se dirige vers une porte au fond : celle du sous-sol. Il l’ouvre à clé et descend l’escalier en ciment. Je le suis. Arrivé en bas, il ouvre une des caves et me fait signe. J’entre. Il referme la porte. Il n’y a pas de lumière dans sa cave, elle n’est éclairée que par la lumière du couloir qui entre par les espaces au-dessus et en dessous de la porte.

Dans ce réduit obscur, encombré d’objets divers, il n’y a pas beaucoup de place. Il s’assoit sur le bord d’un carton, face à moi, les cuisses ouvertes, et attire ma tête vers son entrejambes. Je me mets à genoux et y plonge mon visage. C’est doux, c’est tiède. Je sens l’odeur de lessive de son jogging, mais à mesure que je respire plus fortement je commence à distinguer une légère odeur virile qui me parvient à travers celle du tissu propre.

Je reste longuement le visage collé sur son sexe à respirer les odeurs et à sentir le contact de son pénis à travers le tissu. Par moments, sa bite durcit, de façon assez rapide, puis, elle redevient flaccide.

Au bout de quelques minutes, la minuterie dans le couloir arrive au bout et la lumière s’éteint : nous voilà plongés dans l’obscurité la plus complète. Il ne bouge pas. Je commence à remonter son T-shirt pour coller ma joue sur son ventre et embrasser ses poils autour du nombril. Puis, je saisis son pantalon de jogging par l’élastique pour le baisser. Il soulève légèrement les fesses pour m’aider : je le lui enlève complètement après qu’il a fait tomber ses savates.

Me voilà en contact direct avec son pénis. Je le caresse avec mes joues, le respire, le lèche et finis par le prendre dans ma bouche. Je suis alors surpris de le sentir gonfler et se durcir très rapidement dans ma bouche : en près de 10 secondes, il est en parfaite érection !

Son pénis n’est pas très long, mais assez épais. Il occupe bien l’espace de ma bouche : je suis obligé d’ouvrir grand les mâchoires, mais je parviens à l’engloutir en entier sans difficulté. Je vais le sucer longuement et avec plaisir, mais je commence par le ressortir de ma bouche pour aller titiller et embrasser un peu ses couilles velues.

Alors que je commence à les lécher, je sens quelque chose de tiède et de doux se poser sur ma joue : je réalise que c’est sa bite, qui a débandé ! Elle est redevenue molle aussi vite qu’elle avait durci ! Très surpris, j’approche ma main pour la caresser : c’est incroyable, elle réagit presque aussitôt, en reprenant de la vigueur ! On dirait qu’elle est vivante : constamment, elle se met en érection à la moindre stimulation, et retombe presque dès qu’on la lâche.

Je m’amuse à la prendre dans la bouche, puis la délaisser pour aller embrasser les cuisses, les couilles, etc. Elle se retrouve ainsi à augmenter et diminuer en permanence ! J’avais jamais vu ça !

Je finis par avoir pitié de sa gymnastique et la prends bien au chaud dans ma bouche où elle retrouve une fermeté immédiate. Et je commence à la faire coulisser entre mes lèvres, tout en moulant bien son gland avec ma langue. Le type se met aussitôt à pousser des halètements répétés et je sens un petit jet de sperme gicler contre mon palais. Déjà sa bite devient moins dure. Il pousse un long soupir de satisfaction, je retire doucement ma bouche et laisse pendre sa bite tout en continuant de déposer des petits bisous affectueux sur ses cuisses. Je les bisouille longuement, un peu déçu quand même par ce dénouement trop rapide. Puis, je vais pour me relever mais il pose sa main sur mes épaules pour m’inviter à rester entre ses jambes.

Surpris, je recommence à lui embrasser le ventre, les cuisses, et quand j’approche ma joue des son sexe, je le sens de nouveau réactif, de nouveau je le sens se gonfler à la moindre caresse ! Je reprends son gland dans la bouche, et voilà sa bite qui se re-durcit dans ma bouche en moins de 10 secondes, comme la première fois ! Je me remets à sucer. Il me dit :
– Hhhhmmm. Ça faisait très longtemps que je n’avais pas vu de femme… C’est bon… Tu le fais bien…
Il met un peu plus longtemps à éjaculer. La 2e giclette n’est guère plus abondante que la première, mais il soupire d’aise et de volupté tout pareil. Cette fois, je ne me relève pas et continue à suçoter. Au bout de deux minutes, sa bite redevient de nouveau réactive et je la reprends en bouche pour la troisième fois !

Lui qui m’avait paru rude et autoritaire dans la rue, il me dit maintenant des mots doux pendant que je le suce. Il me parle comme à une épouse soumise, me dit que je suis une femme très gentille, très douce, etc. Il m’appelle « ma chérie », « ma jolie » et me dit même des mots d’amour. Je pense que dans le noir, il fantasme que je suis vraiment une femme ! Ça m’excite de me mettre dans ce rôle. Je continue de sucer amoureusement son pénis, avec application et dévouement.

Or, j’y prends réellement beaucoup de plaisir, car si pendant mon ouvrage, il ne me caresse pas du tout, ne me touche même pas la tête, reste parfaitement statique, en revanche, sa bite réagit dans ma bouche à chaque caresse de ma langue ou de mes lèvres. Elle flanche un peu quand je ralentis, se redresse soudain quand je lui titille le frein avec la langue, a des petits soubresauts quand je parcours l’ourlet de son gland avec la langue. Parfois, son gland vient taper contre mon palais sous l’effet d’un spasme inattendu… J’ai presque l’impression qu’elle est animée, comme un petit animal qui s’agite !

Et je continue de recueillir docilement dans ma bouche ses petites éjaculations successives.

Finalement, j’ai goûté son sperme cinq fois en tout ! C’est quand j’en étais aux préliminaires de la 6e fois que sa bite se mit à ne plus vraiment réagir. Il me dit alors :
– C’est bien. Pars, maintenant : tu es une bonne chérie. Tu sais vraiment très bien faire l’amour.

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