un entretien d'embauche très chaud - histoire érotique

Gregory, 35 ans, chef du recrutement d’une boîte assez importante, doit recevoir ce matin une jeune femme pour le poste de standardiste. Elle s’appelle Frédérique, elle a 22 ans, les compétences et pour l’instant c’est tout ce qu’il sait. Mais un autre détail sera important, et c’est pour ça qu’il lui a donner un rendez-vous : est-elle belle ? Gregory veut pouvoir se rincer l’œil tous les matins, hors de question de prendre un boudin, si professionnelle soit-elle. En tout cas en voyant arriver Frédérique dans son bureau il ne fut pas déçu, très loin de là. Grande, blonde, yeux verts aux courbes parfaites… D’ailleurs elle avait l’air de bien vouloir les mettre en valeur… En effet, elle était légèrement vêtue : une robe chemise blanche très serrée qui laisser deviner ses tétons, donc pas de soutien-gorge, une jupe stretch noire très courte et très moulante aussi. Perchée sur ses hauts talons aiguilles elle était plus qu’excitante. Elle avait l’air gentille voir trop gentille… Un sourire se dessina aux coins des lèvres de Greg : il pensa en lui-même « Si je me la fais ce matin, elle a le poste ». Oui c’est un salaud, et fier de lui en plus. Greg lui proposa donc de s’asseoir, elle acquiesa d’un joli sourire. Il lui posa les quelques questions d’usages : motivation, compétences, expériences… Mais il ne l’écoutait pas, il matait à fond ses seins et ses jambes. Il avait envie de la prendre cette salope, tout de suite. Elle, elle n’avait pas l’air de remarquer qu’il ne l’écoutait pas. Greg cherchait un moyen de l’approcher et de la toucher pour prendre la « température »… D’un coup une idée lui vint… « Oh oui, parfait »se dit-il.
« - Après m’avoir raconter tout ça, vous devez avoir soif, voulez-vous un verre d’eau ?
- Oh euh, oui, pourquoi pas » répondit-elle un peu surprise.
Il alla vers le distributeur d’eau, rempli un verre à ras bord, et retourna vers elle. Il se pencha sur sa proie et renversa « malencontreusement » le verre sur sa poitrine et sa cuisse… Son sourire s’élargit, le résultat était magnifique : au contact de l’eau fraîche le chemisier blanc devint transparent et le téton pointa comme jamais. Elle s’était levée d’un bond, mais le mal était fait. « oh, je suis vraiment très maladroit ! je vais vous arranger ça… » bredouilla-t-il d’un air faussement désolé. Frédérique se contenta de constater les dégâts avec un peu de gêne mais sans plus. Greg sortit son mouchoir en tissu de la poche de son costard et fit mine d’éponger son chemisier mais il lui pelotait sans gêne son sein. Elle le regardait avec surprise mais sans pouvoir réagir. Puis il descendit sa main sur sa cuisse pour essuyer le reste d’eau. Il remonta le long de sa cuisse et laissa tomber le mouchoir. Ses doigts parcourait sa peau si douce, il atteignit rapidement son sexe : « hum, vous êtes encore toute mouillée là, mais je doute que ce soit à cause de l’eau… », elle poussa un soupir et murmura « mais qu’est-ce que vous faîtes ». Apparemment elle n’était pas très rebelle… Il passa ses doigts sous le bout de tissu et les glissa sur son clito tout mouillé « je vais te baiser ma petite salope » lui murmura-t-il. Elle gémissait au contact de ses doigts, les mains appuyées sur le bureau, la tête rejetée en arrière, « arrêtez, vous n’avez pas le droit… » répondit-elle pas vraiment farouche… en réponse à cette « plainte » il enfonça deux doigts dans son vagin. Ensuite il dégrafa violemment sa chemise et pris ses seins dans ses mains en les malaxant, il mordilla ses tétons, les suça, les lécha et il dit « sache que je baise qui j’ai envie, quand j’ai envie, où j’ai envie, et il se trouve que là j’ai envie de te baiser là, maintenant alors je vais le faire ma salope ! ». Frédérique le regarda droit dans des les yeux, s’assit sur le bureau et écarta en grand ses longues jambes : « alors vient mettre ta grosse queue dans ma chatte ! ». Ni une, ni deux, Greg ne se fit pas prier : il baissa son pantalon et son caleçon d’où jailli sa magnifique queue aussi dure et droite qu’un pieu en bois, il remonta sa jupe et arracha son string pour découvrir un sexe tout épilé et dégoulinant d’excitation. Il contempla Frédérique, complètement à sa merci « ça t’excite hein, petite pute », « baise-moi comme une chienne ! » Alors il lui planta sa queue d’un coup, violemment et commença à la limer de plus en plus fort et profond. Elle s’était allongée complètement sur le bureau, le laissant complètement maîtriser le mouvement. Elle adorait être à la merci d’un mec. Ses coups de bite lui arrachait des cris et bientôt toute la boîte saurait qu’elle était une salope. Il lui remontait les jambes et les tenait fermement pour la défoncer encore plus vite et profond. Il allait la faire jouir à hurler tellement il y allait fort. Ses seins remuaient au rythme des va et viens dans sa chatte, elle avait arquer son corps pour mieux le sentir. Elle jouissait à n’en plus finir, puis il lui donna un dernier coup encore plus violent et elle sentit qu’il se vider en elle. Une fois fini, il se retira, se rhabilla, retourna derrière son bureau et déclara « vous êtes embauchée ».