Un été sportif
Récit érotique écrit par Stete79300 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-02-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Un été sportif
Un été sportif Ma future femme Eve avec qui je sors depuis 3 mois et sa sœur Kate de 10 ans son aînée ont une certaine ressemblance physique.
La même taille 1m55 avec de belles fesses rebondies et un bon 110 d (voir plus pour ma belle sœur), les cheveux courts bruns pour l’une blonds pour l’autre. Mon beau frère Serge et moi Stéphane faisons tous les deux le même poids et la même taille 1m75 70kg).
Nous sommes donc deux couples parfaitement assortis et amoureux.
Cet été nous avons fait un périple touristique, les hommes à vélo, les femmes en voiture s’occupant de l'intendance et de monter les tentes (identiques) à chaque ville étape.
La première nuit nous avons dormis tous très vite exténués.
La deuxième nuit j’étais moins fatigué j’ai tenté des caresses à ma femme, elle était déjà en pyjama ce qui clairement disait pas de sexe ce soir. Dommage j’essayais de trouver le sommeil quand des hurlement de plaisir se firent entendre de la tente voisine.
Je fus assez vite émoustillé par les cris de Kate. Eve s’en rendit compte et me fit une remarque taquine comme quoi sa sœur m’excitait.
Elle aussi visiblement en enleva son haut afin de libérer sa magnifique poitrine (mais pas le bas mauvaise période du mois zut). Je caressais ses seins jusqu’à les faire pointer avant de les sucer. Eve elle me branlait doucement.
Ses mains firent place à sa bouche et mes mains plaquées sur sa tête accompagnaient juste la succion de plus en plus profonde, Kate s’est tu je n’entendais que la bouche de ma femme qui entamait une gorge profonde tout en me caressant les couilles. A ce régime je ne fus pas long à remplir sa bouche de sperme.
Son baiser de bonne nuit avait encore le goût de ma semence.
Les nuits suivantes furent plus calmes je ne sais pas si les sœurs se sont parlées ou si Serge était trop fatigué mais plus de gémissements de la tente voisine et je n’attendais qu’une chose la fin des règles de ma femme.
Enfin dernière nuit de notre périple. Nous les cyclistes allons nous couchés assez tôt car rincés. Les sœurs elles vont s'amuser un peu aux animations du camping.
Je m'endormis assez vite. Je fus réveillé par des baisers sur mon torse. J'ouvris les yeux il faisait nuit noire et on ne voyait rien sous la tente. Je voulus dire quelque chose mais j'entendis juste un chut. Ok Eve a peur qu'on réveille sa sœur je me laisse faire en silence.
Les baisers sur mon torse remontèrent sur mon cou puis sur mes lèvres. Je trouvais ce baiser inhabituel bien que délicieux. Sa langue ne faisait pas comme d'habitude. Mes mains caressaient ses épaules avant d'empoigner ses seins . Là aussi surprise ils semblaient plus lourds. Serait_ce le noir complet qui abuse mes sens ? Il est vrai que habituellement il y a un peu de clarté lors de mes ébats.
Elle me branlait doucement pendant que je la pelotais ses baisers étaient de plus en plus passionnés. Quand ses tétons pointèrent et que ma bite se dressait fièrement sa bouche quitta la mienne pour s'occuper de ma queue. Elle ne l'enfourna pas comme d'habitude, sa langue m'explorant des couilles au gland elle examina mon chibre sans en avaler un bout. Là encore pratique inhabituelle mais au combien agréable.
Je lui caressais le clitoris que je trouvais facilement il était plus gros et rebondi que d'habitude et plus de ticket de métro pour le cacher, quelle surprise le minou tout lisse.
Mes stimulations l'ont vite excitée, je la sentis se retourner pour me chevaucher .
Je m’apprêtais à accueillir son sexe quand une résistance inhabituelle se fit ressentir.
Son trou semblait trop petit, elle me présentait son anus ! Nous n'avions jamais pratiqué la sodomie. Enfin un petit cri de douleur m'avertit que j'étais en elle.
Elle s'empala complètement, ma queue n'avait jamais était aussi excitée que dans cet endroit nouveau et exigu. Elle accéléra le rythme j'entendais ses gros seins qui claquaient ainsi que mes couilles sur ses fesses à chaque mouvement. Mes mains elles se baladaient sur ce corps que je ne reconnaissais pas. Des hurlements de plaisir de nous deux se firent entendre avant notre orgasme .
Jamais nous n'avions crié comme ça avec Eve.
Après un long baiser et sans un mot nous nous endormions bien vite.
Les premières lueurs du soleil me réveillèrent et je voulus regarder ma douce compagne.
Et là je vois Kate qui me sourit !
J'appris au petit déjeuner que ma femme et mon beau frère étaient de connivence avec Kate.
J'ai eu du mal à accepter la coutume familiale comme quoi toutes les femmes de la famille formaient une sorte de clan et s’échangeaient à l'envi leurs maris. Cette tradition datent d'arrières grands-mères qui n'arrivaient pas à avoir de fils et qui perdure. Il n'y a toujours pas de naissances de garçons dans la famille.
Mon choix était simple j'épousais Eve et en plus mes belles sœurs et leur mère et leur filles majeures (toutes très belles) coucheraient avec moi ou je n'acceptais pas la règle du jeu et j'abandonnais Eve. Kate ajouta qu'elle avait hâte de faire ça avec de la lumière.
Vous avez deviné mon choix , vous auriez fait pareil.
La même taille 1m55 avec de belles fesses rebondies et un bon 110 d (voir plus pour ma belle sœur), les cheveux courts bruns pour l’une blonds pour l’autre. Mon beau frère Serge et moi Stéphane faisons tous les deux le même poids et la même taille 1m75 70kg).
Nous sommes donc deux couples parfaitement assortis et amoureux.
Cet été nous avons fait un périple touristique, les hommes à vélo, les femmes en voiture s’occupant de l'intendance et de monter les tentes (identiques) à chaque ville étape.
La première nuit nous avons dormis tous très vite exténués.
La deuxième nuit j’étais moins fatigué j’ai tenté des caresses à ma femme, elle était déjà en pyjama ce qui clairement disait pas de sexe ce soir. Dommage j’essayais de trouver le sommeil quand des hurlement de plaisir se firent entendre de la tente voisine.
Je fus assez vite émoustillé par les cris de Kate. Eve s’en rendit compte et me fit une remarque taquine comme quoi sa sœur m’excitait.
Elle aussi visiblement en enleva son haut afin de libérer sa magnifique poitrine (mais pas le bas mauvaise période du mois zut). Je caressais ses seins jusqu’à les faire pointer avant de les sucer. Eve elle me branlait doucement.
Ses mains firent place à sa bouche et mes mains plaquées sur sa tête accompagnaient juste la succion de plus en plus profonde, Kate s’est tu je n’entendais que la bouche de ma femme qui entamait une gorge profonde tout en me caressant les couilles. A ce régime je ne fus pas long à remplir sa bouche de sperme.
Son baiser de bonne nuit avait encore le goût de ma semence.
Les nuits suivantes furent plus calmes je ne sais pas si les sœurs se sont parlées ou si Serge était trop fatigué mais plus de gémissements de la tente voisine et je n’attendais qu’une chose la fin des règles de ma femme.
Enfin dernière nuit de notre périple. Nous les cyclistes allons nous couchés assez tôt car rincés. Les sœurs elles vont s'amuser un peu aux animations du camping.
Je m'endormis assez vite. Je fus réveillé par des baisers sur mon torse. J'ouvris les yeux il faisait nuit noire et on ne voyait rien sous la tente. Je voulus dire quelque chose mais j'entendis juste un chut. Ok Eve a peur qu'on réveille sa sœur je me laisse faire en silence.
Les baisers sur mon torse remontèrent sur mon cou puis sur mes lèvres. Je trouvais ce baiser inhabituel bien que délicieux. Sa langue ne faisait pas comme d'habitude. Mes mains caressaient ses épaules avant d'empoigner ses seins . Là aussi surprise ils semblaient plus lourds. Serait_ce le noir complet qui abuse mes sens ? Il est vrai que habituellement il y a un peu de clarté lors de mes ébats.
Elle me branlait doucement pendant que je la pelotais ses baisers étaient de plus en plus passionnés. Quand ses tétons pointèrent et que ma bite se dressait fièrement sa bouche quitta la mienne pour s'occuper de ma queue. Elle ne l'enfourna pas comme d'habitude, sa langue m'explorant des couilles au gland elle examina mon chibre sans en avaler un bout. Là encore pratique inhabituelle mais au combien agréable.
Je lui caressais le clitoris que je trouvais facilement il était plus gros et rebondi que d'habitude et plus de ticket de métro pour le cacher, quelle surprise le minou tout lisse.
Mes stimulations l'ont vite excitée, je la sentis se retourner pour me chevaucher .
Je m’apprêtais à accueillir son sexe quand une résistance inhabituelle se fit ressentir.
Son trou semblait trop petit, elle me présentait son anus ! Nous n'avions jamais pratiqué la sodomie. Enfin un petit cri de douleur m'avertit que j'étais en elle.
Elle s'empala complètement, ma queue n'avait jamais était aussi excitée que dans cet endroit nouveau et exigu. Elle accéléra le rythme j'entendais ses gros seins qui claquaient ainsi que mes couilles sur ses fesses à chaque mouvement. Mes mains elles se baladaient sur ce corps que je ne reconnaissais pas. Des hurlements de plaisir de nous deux se firent entendre avant notre orgasme .
Jamais nous n'avions crié comme ça avec Eve.
Après un long baiser et sans un mot nous nous endormions bien vite.
Les premières lueurs du soleil me réveillèrent et je voulus regarder ma douce compagne.
Et là je vois Kate qui me sourit !
J'appris au petit déjeuner que ma femme et mon beau frère étaient de connivence avec Kate.
J'ai eu du mal à accepter la coutume familiale comme quoi toutes les femmes de la famille formaient une sorte de clan et s’échangeaient à l'envi leurs maris. Cette tradition datent d'arrières grands-mères qui n'arrivaient pas à avoir de fils et qui perdure. Il n'y a toujours pas de naissances de garçons dans la famille.
Mon choix était simple j'épousais Eve et en plus mes belles sœurs et leur mère et leur filles majeures (toutes très belles) coucheraient avec moi ou je n'acceptais pas la règle du jeu et j'abandonnais Eve. Kate ajouta qu'elle avait hâte de faire ça avec de la lumière.
Vous avez deviné mon choix , vous auriez fait pareil.
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