Un fantasme assouvi...
Récit érotique écrit par Laurent [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-07-2005 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Un fantasme assouvi...
Un soir, après notre entraînement hebdomadaire de rugby, mon meilleur ami, Fabien, ainsi que d’autres co-équipiers avons décidé d’aller boire une bonne bière dans une bar afin de rigoler un bon coup tous ensemble.
Au bout de quelques verres, j’ai eu besoin de me soulager, tout comme Fabien qui m’accompagna aux toilettes. Fabien est très beau gosse, et j’ai souvent beaucoup de plaisir à le regarder sous la douche après les matchs, et il faut d’ailleurs que je me concentre énormément pour ne pas que cela se remarque… Ce soir là, Fabien était complètement bourré, et au lieu de se soulager la vessie, il alla directement vomir dans la cuvette des toilettes. Je compris alors qu’il ne pourrait rentrer seul en voiture et décidait de le raccompagner.
Sur le chemin du retour, il s’endormit sur le siège passager. J’en profitais pour aller caresser ses cuisses, et m’aventurais à frôler la bosse de son jean. Je commençais à bander sérieux. Au bout d’un certain temps, mes caresses finirent par lui faire grossir sa queue, dont je pouvais apprécier la grosseur à travers son jean. Mais cela le réveilla et j’ôtais aussitôt ma main.
Arrivés devant chez lui, je me rendis compte qu’il bandait comme un taureau, et comme il avait compris que c’était grâce à mes caresses, il m’invita à aller boire un dernier verre. J’acceptais avec plaisir. Une fois chez lui, il referma la porte derrière moi et m’embrassa fougueusement, en m’avouant que lui aussi avait depuis très longtemps envie de moi, mais était persuadé que j’étais hétéro uniquement, étant donné que je vivais avec ma copine depuis 2ans et demi. Cela me fit bander encore davantage…
Il commença à me caresser l’entre jambe, puis il déboutonna ma chemise lentement pour faire durer le plaisir, tout en m’embrassant mon torse poilu, et en me suçant les tétons. Je gémissait de plaisir. Puis il dégrafa la boutonnière de mon jean et fit descendre mon caleçon sur les chevilles. Il me fit alors la meilleure pipe de ma vie. Il engloba mon gland gonflé de plaisir d’un seul trait tout en me caressant les couilles, et en me doigtant l’anus. Je ne put me retenir très longtemps et tout en poussant un râle puissant, j’ai giclé dans sa gorge en de nombreux et puissants jets.
J’eus à peine le temps de reprendre mes esprits qu’il me fit m’agenouiller devant lui, et me fourra son énorme bite dans la bouche. Elle paraissait déjà grande au repos sous la douche, mais là, c’était au delà de mes espérances. Je léchais son gland ses couilles avec frénésie, et il finit au bout de quelques va et vient au fond de ma gorge par me gicler sur le visage. Je m’appliquais à tout avaler de son miel sucré et âpre.
Je lui dis alors : « Fabien, je veux ton cul ». Il m’observait, le sourire au coin des lèvres comme s’il avait obtenu ce qu’il cherchait de moi. Il alla chercher une boîte de capotes, et un tube de lubrifiants. Je me mis à lui lécher la raie tout en lui enfilant un, puis deux doigts dans le cul, ce qui lui fit pousser de petits gémissements. Puis, une fois son cul bien propre et gland ouvert, j’enfilais une capote et plantais ma queue entre ses reins. Son cul était souple et chaud, un vrai délice. Pendant que je lui défonçais l’anus, je m’appliquais à le masturber tout en lui caressant les couilles. Lui, de son côté, avait passé une main entre ses jambes et me malaxait les bourses. Nous finîmes par jouir tous les deux en même temps. Nous restâmes longtemps comme ça. J’étais le plus heureux des hommes, et j’avais enfin réalisé mon fantasme.
Ce n’était pourtant que le début d’une longue nuit de sexe….
Au bout de quelques verres, j’ai eu besoin de me soulager, tout comme Fabien qui m’accompagna aux toilettes. Fabien est très beau gosse, et j’ai souvent beaucoup de plaisir à le regarder sous la douche après les matchs, et il faut d’ailleurs que je me concentre énormément pour ne pas que cela se remarque… Ce soir là, Fabien était complètement bourré, et au lieu de se soulager la vessie, il alla directement vomir dans la cuvette des toilettes. Je compris alors qu’il ne pourrait rentrer seul en voiture et décidait de le raccompagner.
Sur le chemin du retour, il s’endormit sur le siège passager. J’en profitais pour aller caresser ses cuisses, et m’aventurais à frôler la bosse de son jean. Je commençais à bander sérieux. Au bout d’un certain temps, mes caresses finirent par lui faire grossir sa queue, dont je pouvais apprécier la grosseur à travers son jean. Mais cela le réveilla et j’ôtais aussitôt ma main.
Arrivés devant chez lui, je me rendis compte qu’il bandait comme un taureau, et comme il avait compris que c’était grâce à mes caresses, il m’invita à aller boire un dernier verre. J’acceptais avec plaisir. Une fois chez lui, il referma la porte derrière moi et m’embrassa fougueusement, en m’avouant que lui aussi avait depuis très longtemps envie de moi, mais était persuadé que j’étais hétéro uniquement, étant donné que je vivais avec ma copine depuis 2ans et demi. Cela me fit bander encore davantage…
Il commença à me caresser l’entre jambe, puis il déboutonna ma chemise lentement pour faire durer le plaisir, tout en m’embrassant mon torse poilu, et en me suçant les tétons. Je gémissait de plaisir. Puis il dégrafa la boutonnière de mon jean et fit descendre mon caleçon sur les chevilles. Il me fit alors la meilleure pipe de ma vie. Il engloba mon gland gonflé de plaisir d’un seul trait tout en me caressant les couilles, et en me doigtant l’anus. Je ne put me retenir très longtemps et tout en poussant un râle puissant, j’ai giclé dans sa gorge en de nombreux et puissants jets.
J’eus à peine le temps de reprendre mes esprits qu’il me fit m’agenouiller devant lui, et me fourra son énorme bite dans la bouche. Elle paraissait déjà grande au repos sous la douche, mais là, c’était au delà de mes espérances. Je léchais son gland ses couilles avec frénésie, et il finit au bout de quelques va et vient au fond de ma gorge par me gicler sur le visage. Je m’appliquais à tout avaler de son miel sucré et âpre.
Je lui dis alors : « Fabien, je veux ton cul ». Il m’observait, le sourire au coin des lèvres comme s’il avait obtenu ce qu’il cherchait de moi. Il alla chercher une boîte de capotes, et un tube de lubrifiants. Je me mis à lui lécher la raie tout en lui enfilant un, puis deux doigts dans le cul, ce qui lui fit pousser de petits gémissements. Puis, une fois son cul bien propre et gland ouvert, j’enfilais une capote et plantais ma queue entre ses reins. Son cul était souple et chaud, un vrai délice. Pendant que je lui défonçais l’anus, je m’appliquais à le masturber tout en lui caressant les couilles. Lui, de son côté, avait passé une main entre ses jambes et me malaxait les bourses. Nous finîmes par jouir tous les deux en même temps. Nous restâmes longtemps comme ça. J’étais le plus heureux des hommes, et j’avais enfin réalisé mon fantasme.
Ce n’était pourtant que le début d’une longue nuit de sexe….
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