Un fantôme qui mène à un trio

- Par l'auteur HDS Jasper -
Récit érotique écrit par Jasper [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Un fantôme qui mène à un trio Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-08-2019 dans la catégorie Plus on est
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Un fantôme qui mène à un trio
- Je suis sure que c’est toi qui m’a écrit ces messages
- Mais non, pourquoi veux-tu que je t’écrive ce genre de mail ?
- Parce ce que ça t’excite, ça te plait de me mettre en situation de l’héroïne de fantasmes.
- Pouff, n’importe quoi, j’aime lire tous ces textes érotiques, mais tu me vois, moi, en écrire un, j’en suis incapable tu le sais bien ?
- Oui parfaitement, je te vois, toi, celui qui a obtenu la meilleure note de sa classe à son bac de français.
- Espèce de grosse cochonne, ils t’ont bien excité tous ces mails de ce petit jeune, tu étais prête à t’envoyer en l’air avec un parfait inconnu qui te file un rancard dans un hôtel, tu étais prête à faire cocu ton mari avec ce gamin de vingt an, tu es vraiment…
- Beaucoup moins cochonne que toi puisque sans savoir que c’était toi derrière ces mails je te racontais tout ce qu’il m’écrivait, je ne te cachais rien et j’avais ton accord pour chauffer ce petit jeune ; Mais j’étais à mille lieux de me douter que c’était toi qui te faisais passer pour ce gamin qui a flashé sur moi. Quand j’y pense, j’aurai du m’en douter que c’était toi derrière ce scénario improbable et ces mails érotiques me mettant en scène.
- Improbable …, un scénario improbable mais qui ta fait mouiller H24 pendant plus de 10 jours d’affilés, tu t’es vu, non mais sérieux, y-a pas idée, tu étais prête à te donner, à tout lui donner, à te faire prendre comme bon lui semble, prête à lui donner ton petit trou que tu m’as toujours refusé.
- C’est ça, plaint toi, tu en as bien profité, tu m’as tellement excités avec ces messages que je t’ai enfin donné ce que tu voulais, tu as enfin obtenu mon petit trou temps rêvé !
- Houai ! si je te dis que ce n’est pas moi qui t’écrivais, tu peux me croire. Quand j’y pense, me demander de te sodomiser simplement pour être prête, entrainée et disponible pour ton amant d’une nuit… Faut le vivre !! Tu es vraiment… une très grosse cochonne, tu devrais avoir honte.
- Eh bien, même pas honte. Je me sentais belle, désirable, hummm, c’était excitant.
- Parler de cul, ouvertement comme ça, avec un parfait inconnu, lui envoyer des photos ou tu poses nue, bravo !
- Et alors, ce n’est pas grave puisque c’est toi qui les as reçu ces photos.
- Bon, si je te dis que ce n’était pas moi derrière ces mails érotiques, arrête donc de le croire. Tu as envoyé tes photos à un parfait inconnu.
- Non, désolée, tu peux me raconter tout ce que tu veux, au final je sais que c’est toi qui t’es amusé à m’écrire, et ça t’a bien foutu les boules lorsque tu as vu que j’étais bien décidée à aller au bout pour vivre réellement cette nuit de débauche et de pure folie sexuelle avec ce parfait inconnu, du coup, tu as rompu le charme avec ce dernier mail des plus crade.
- Tu m’as soulé, allez lève ta culotte, tu vas prendre ce que tu mérites.
- Tu vois, d’en reparler, ça t’excite, tu es tout raide, tu bandes comme un âne.
- N’importe quoi, allez viens ici, puisque tu en veux, je vais t’en donner !

Il faut dire que j’y suis allé de bon cœur avec ce scénario du petit jeune hyper timide qui croise ma femme par hasard, qui tombe sous son charme au premier regard sans qu’elle n’ait porté attention à lui et qui décide ensuite que lui faire des avances en lui envoyant des mails coquins après avoir obtenu ses coordonnées informatique. Comment as-t-il pu obtenir son adresse mail me direz-vous, et bien c’est très simple, il a récupéré son mail à partir de publicités qu’elle publie pour son activité. Associé au premier mail qu’il envoie, pour donner envie de lui à sa belle, il joint une photo d’un jeune mannequin en petite tenu sexy qui ferait tomber n’importe laquelle d’entre vous mes dames et le tour est jouée.
Après ce premier mail que Karine reçoit, il est évident qu’elle veut en savoir davantage, et même si sa première réponse à ce gamin ne va pas dans la direction attendue, le fait d’avoir simplement répondu à ce premier message démontre bien qu’elle souhaite en savoir plus. Elle a consciemment accepté d’entamer le dialogue avec ce magnifique jeune homme qui en pince pour elle.
Au fil des échanges de mails, le jeune homme lui explique qu’elle ne peut le voir par webcam ou l’entendre au téléphone, il donne à Karine des explications qui sont encore plus improbables que ses propres messages envoyés, il lui explique que seuls les échanges par mails pourront être utilisés pour communiquer, mais ça y est, elle est envoutée, ensorcelée par ses belles phrases d’amour et d’érotisme, elle ne voit pas la supercherie et elle semble croire chaque paroles de ce fantôme avec qui elle échange déjà plusieurs messages.
Rapidement, le jeune homme décrit tous les fantasmes qu’il souhaite réaliser avec sa conquête, avec cette femme mure qui lui répond en lui envoyant sans hésiter des photos d’elle ou elle pose nue exactement comme il lui demande. Coté sexualité, cette femme semble avoir encore des choses à apprendre malgré ses quarante ans. Elle va même jusqu’à avouer à son futur amant que ses messages l’excite tellement qu’elle s’est masturber pour la première fois de sa vie. Elle avoue aussi qu’elle ne pratique pas l’anal, mais que ses derniers jours, elle mouille en permanence sa petite culotte lorsqu’elle lit et relit la façon dont son correspondant va s’y prendre pour déflorer son petit trou. Elle est très excitée à l’idée de passer une nuit entière de débauche que lui propose son futur amant. Le rendez-vous est pris, ils se rencontreront dans quelques jours dans une chambre d’hôtel pour mettre en applications toutes les pratiques proposées par ce fantôme qui ne manque pas d’imagination pour satisfaire une femme et prendre lui-même beaucoup de plaisir.
Mais Karine est-elle totalement prête pour cette fameuse nuit ou elle va devoir montrer qu’elle est une grande fille ?
Elle voit bien que ce jeune homme insiste souvent dans ses messages sur le fait qu’il adore par-dessus tout pratiquer la sodomie, alors que elle, elle n’a jamais accepté de se faire élargir la rondelle. Il est hors de question de décevoir cet amant. Prête, de toute évidence elle ne l’est pas et elle le sait. Mais elle a bien l’intention de l’être malgré le peu de temps qui lui reste avant cette rencontre.
Son mari ne s’attendait pas à une telle montée en puissance et à un tel déchainement sexuel de la part sa femme en mettant cette supercherie en place, à tel point qu’il avait du mal à suivre le rythme sexuel imposé par sa belle. Karine n’avait plus qu’une seule idée en tête : perdre son pucelage anal au plus vite, ce qui fut qu’une simple formalité, mais mieux encore, une fois son petit trou dépucelé, il fallait l’exercer, car quoi de mieux qu’un bon entrainement pour être au top de la performance le jour J.
En seulement quelques jours, de par ses échanges de mails quotidiens avec ce futur amant, la sexualité de Karine a pris une nouvelle dimension : Pratique de la sodomie, découverte de la masturbation, découverte du fist vaginal, et jouissance à répétitions avec un mari qui pensait déjà à se fournir en petites pilules bleu pour pouvoir suivre la cadence imposée.
Mais cela ne pouvait durer ainsi, certes, avoir dans son lit une épouse qui n’est jamais rassasiée et déchainée comme jamais est très appréciable, mais la voir perdre la raison n’était pas concevable. Et le seul qui pouvait lui faire retrouver la raison n’était autre que cet amant fantôme. Un dernier mail aux évocations les plus inattendus de son ensorceleur lui a fait reprendre pied instantanément dans le monde réel.
Les mois passent et le mari n’avoue jamais être l’auteur de cette supercherie malgré les certitudes de sa femme qui ne doute plus qu’il est bien l’auteur de ce petit jeu.

Cependant, au travers de cet épisode, il est né une évidence : Karine se laissera allez sans aucun doute à une relation échangiste et elle en appréciera pleinement les actes lorsque son mari la mettra devant le fait accompli. Et c’est un an et demi plus tard que ce dernier a pris soin de sélectionner minutieusement un jeune Escort boy en guise de cadeau d’anniversaire. Oui, un Escort car Il est hors de question de prendre le premier venu rencontré sur le net, il faut pour Karine un homme qui soit pleinement dédié à lui procurer du plaisir, un homme sexuellement très attirant et irrésistible.

C’est ainsi qu’après avoir rencontré plusieurs professionnels du plaisir pour ces dames contre quelques billets que j’ai sélectionné Kanda, un jeune homme de 29 ans. Il mesure un peu plus d' 1m80 et est très svelte. Sportif, il pèse un peu plus de 75kg. Il attire énormément les regards, même celui des hommes. Il est vrai que de loin, ses cheveux et ses trais fins peuvent porter à confusion car Kanda a de longs cheveux noirs, lisses et doux comme du satin avec des reflets bleus. Kanda a la peau blanche, très pâle, encadré par deux mèches et une frange aussi noire que les ténèbres tranchant avec la pâleur. Il a des yeux en amande couleur ambre, héritage de son pays, froids mais profonds, de longs cils très fins et une bouche fine semblable à celle d'une jeune fille.
Kanda est très musclé et svelte, il possède un tatouage représentant l'ohm sur la poitrine, au niveau du cœur. Ce tatouage est bien particulier car il n'apparaît que dans certaines conditions.

Kanda se rend disponible ce samedi soir, jour de l’anniversaire de ma belle, pour nous faire l’honneur de sa présence une bonne partie de la nuit. Karine peut enfin vivre son fantasme d’une relation sexuelle avec deux hommes rien que pour elle. Ma belle qui me soupçonnait d’une telle entreprise n’est qu’à moitié surprise lorsque notre hôte toque à notre porte. Une fois les présentations faites, elle se laisse emporter par ses désirs :

Il l’a caresse tout en l'embrassant langoureusement. Leurs souffles se croisent et les mains courent sur leurs corps souples et chauds de leurs ardeurs dénudées. On voit un sein qui se fait peloter, un téton turgescent qui se fait délicatement sucer et une main qui se dirige vers l'antre du plaisir. La main glisse sous la culotte. Des doigts fébriles caressent doucement en surface des lèvres déjà mouillées. Des soupirs se pâment. Des regards se perdent. Puis, les doigts glissent allègrement entre les deux lèvres ; ils ne pénètrent pas mais remontent jusqu'au clitoris. Un geste de va et vient se crée, et lubrifie de mouille le clito qui se gonfle et se durcit. Sous l'action rythmée des doigts de son partenaire, Karine se perd en soupirs sonores. Maintenant, les doigts branlent parfaitement ; ils glissent efficacement mais, stop ! Pas trop vite ! Il ne veut pas la faire jouir tout de suite. Il la fait s'allonger sur le dos. Son corps est maintenant entièrement nu et pleinement offert à son partenaire. Il l'observe, tout comme un tigre se léchant les babines à l'idée du festin. Il lui écarte les jambes. De sa langue gourmande, il descend le long de sa cuisse en la léchant jusqu'à l'orée de sa chatte. La belle allongée, en proie à ce prédateur à la langue experte, frissonne. Puis, de ses deux mains, il écarte un peu plus ses cuisses et voit apparaitre le rose vif de sa chatte entrouverte. Sa chatte, si appétissante, brille de mille feux par la mouille étoilée. Quel bijou ! Alors, par petites touches, du bout de la langue, il lèche avec application son clito. Des gémissements se font entendre. La langue se fait plus pressante, elle martèle avec sa salive ce clito qui semble se déployer à l'infini. La belle écartelée tremble de tout son corps. L'amant d’un soir voit monter sa partenaire. Non, pas tout de suite. Il arrête de la lécher et enchaîne en lui enfonçant l'index et le majeur dans le vagin. Les doigts, si bien accueillis par cette chatte gourmande, se mettent à branler activement en profondeur tout en exerçant une pression vers le haut. Stimulation du point G. Sous l'effet mécanique de la main, la belle, pleinement offerte, ne peut retenir ses cris. Kanda la branle tant et si bien que sa chatte explose et gicle puissamment en inondant tout autour d'elle. Tout est trempé. Mais elle n'a toujours pas jouit du clito, et son amant le sais bien. Alors, la langue gourmande reprend son ouvrage. Cette fois-ci, c'est la bouche qui suce, tout en branlant doucement de la main. Le clito gonfle de plus belle ; il est rouge et brûlant, prêt à exploser en jouissance. La bouche, comme une sangsue, se colle et se gorge avidement de la mouille salée, qui coule comme les eaux cristallines d'un ruisseau. Les doigts branlent savamment et stimulent efficacement la montée orgasmique. La belle monte sous le regard émerveillé de son amant. Elle monte et se perd dans des cris. Par palier, elle s'achemine progressivement vers un orgasme pharaonique. Sa chatte est inondée de mouille. Tout trempe, tout glisse et coule en une source miraculeuse. Soudain, un cri puissant sort de sa bouche. Elle jouit en giclant par saccades. Son clito, comme un cœur palpitant, se contracte en secousses. Son anus, que l'on entrevoit sous la mousse vulvaire, s'ouvre et se ferme. C'est alors que son amant, tout excité, y enfonce un doigt. Il sent les convulsions s'enchaîner dans un rythme effréné. Puis, comme une mort programmée, le cœur palpitant finit par s'arrêter. La belle allongée, repose maintenant dans une torpeur extatique, sous le regard émerveillé de son amant et de son mari attendri.

Kanda s’est allongé près d’elle. Elle regarde la bosse qui se prononce au niveau de l’entrecuisse de son amant. Il bande comme un salaud ! Elle touche légèrement de sa main cette bosse. Hum... comme c'est dur ! Mon Dieu ! Comme cette bandaison est prometteuse ! Alors, là, elle n'hésite pas. Elle pelote copieusement de toute sa main, de sa paume et de ses cinq doigts. Sa bite, sous l'étoffe de son pantalon, est dure comme de la pierre. Elle la caresse de plus en plus avec instance. Elle est toute excitée ; et lui aussi, bien sûr. Il est maintenant dans tous ses états. Chaud comme de la braise. Il est en surchauffe. On dirait qu'il va exploser. Il faut faire quelque chose ! Alors, tout doucement, elle baisse la fermeture éclair de son pantalon. Sa main taquine, vient s'immiscer dans cette fente ouverte qui donne libre accès à la douceur du tissu de son boxer. Elle sent sous sa main les formes avantageuses de cette queue prometteuse et bien gonflée. Il faut la libérer ! Elle défait la ceinture et puis le bouton du pantalon. Elle baisse le tout. Et puis, d'un geste, Elle libère sa queue. Comme un diable sortant de sa boîte, elle lui saute à la figure. Quelle queue ! Enorme ! Son gland est turgescent et quelques gouttes nacrées s'en échappent. Quelle merveille ! Elle n'y résiste pas. Maintenant, Karine la goûte par petites touches de sa langue gourmande. Hum... comme c'est bon ! C'est salé ! C'est du miel chaud qui coule dans sa bouche. Sa queue est nourrissante. Elle l'excite à outrance. Elle sent tout son corps s'embraser. Elle est chaude comme une chatte avide de son p'tit lait, et elle le lape goulûment avec délectation. Passons aux choses sérieuses. Karine engouffre sa queue en s'écartelant la bouche. Elle est si grosse ! Quelle érection ! Elle n'en avale que la moitié. Alors, du plat de sa langue, elle le surprend en lui titillant les boules ; ça le fait gémir doucement. Ces couilles frétillent sous la pression de sa langue. Ben mon coquin ! Il aime ça l’Escort boy. Puis, elle lui prend la queue d'une main, et de l'autre, elle lui caresse doucement le gland du bout de ses doigts, après l'avoir bien humecté de sa salive. Petit jeu de bave, de mouille et de glisse. Elle sent sous ses doigts la douceur sublime de cette queue gonflée à l'extrême qui s'offre à elle. La vision de ce gland brillant et la chaleur de sa bite dans sa main, attisent tous ses sens. Elle mouille. Elle trempe. Karine a envie de se toucher la chatte mais, elle est toute à cette queue. Alors, elle se met à le branler doucement. Il coule encore. Elle le lèche avec application. Sa mouille est bonne ; elle est onctueuse et salée. Karine aimerait qu'il lui gicle dans la bouche. Comme ça ! Tout prendre de lui. Cette idée la submerge et déchaîne sa passion. Alors, elle me met à le pomper en cadence. Elle s'enfonce cette grosse queue le plus profondément possible dans le gosier. Elle en bave ; et plus bas, elle en mouille de plus belle. Sa petite chatte est toute mouillée. Elle sent sa queue, maintenant, qui glisse parfaitement dans sa bouche. Jeu de coulisse. Elle l'enfonce jusqu'à l'étouffement. Elle l'excite ; ça la rend folle. Elle pompe. Elle pompe. Il gémit mais ne jouit toujours pas, il est très résistant, il est bien entrainé. Il faut qu’elle le branle activement pour le faire gicler dans sa bouche. C'est ça qu’elle veut. Alors, elle prend ses deux mains ; l'une branlant sur toute la longueur de la bite, l'autre par mouvements circulaires sur le gland. Et pour recueillir son sperme, elle le suce activement sur toute la surface du gland en le recouvrant complètement de ses lèvres suceuses. Elle le veut dans sa bouche. Elle veut tout prendre de lui. Elle ne veut rien perdre de son foutre. Elle s’active avec détermination et application. Elle branle. Elle suce. Elle branle. Elle suce. Il monte. Il souffle. Il gémit. Il ne peut plus résister. Il lâche un long cri sonore et décharge dans sa bouche. Une giclée d'une pression inouïe inonde l'arrière gorge de Karine. Elle tousse. Elle pleure ; mais de joie. Animé de spasmes, il n'en finit pas d'inonder par saccades son gosier. Sa bouche est pleine de ce liquide blanchâtre et visqueux. Il la brûle et l'enflamme. Il faut qu’elle avale tout de lui. C'est son cadeau et elle ne veut pas en perdre une miette. Il la regarde stupéfait par la vision de ce spectacle et voit disparaitre peu à peu la mousse blanche de la bouche de Karine. De sa langue, elle lèche le contour de ses lèvres, sans rien laisser perdre de son sperme. Il est bon. Il est chaud. Il est en elle. Il la brûle. Hum... comme il est bon ce cadeau d’anniversaire !

J’aime regarder ma femme se faire prendre par cet homme ; c'est là mon fantasme. Ce spectacle bandant me procure un véritable plaisir qui m'enchante tel un opéra fantastique. Ainsi, avec tous mes sens en éveil, je vois toute la puissance sexuelle de ma femme, s'exprimer. L’homme peut librement baiser Madame, sans retenue. Elle est à lui, elle est à nous ; je l’offre. Je m’interdis de me branler. J’aime sentir ma queue dure et parfois douloureuse d'être prisonnière dans mon pantalon. J’ai sélectionné ce bel étalon pour nous accompagner et baiser Madame. Ce dernier est fort bien bâtis, et pourvu d'une queue imposante comme la mienne. Avec ce bel outil, nous allons bien nous occuper de Madame. En un tour de main, je me retrouve à mon tour dévêtu. Karine admire avec appétit ces deux belles queues qui ont pour mission de prendre leur pied à la baiser pleinement, elle le sait, évidemment, elle devra prendre ces deux belles queues par tous ses trous. A mon tour je flanque ma grosse bite dans la bouche de Madame sans ménagement en lui maintenant la tête. Tandis que l'autre lui administre de bonnes claques sur le cul. Madame, prise en sandwich sous le feu de ces deux queues fougueuses, émet des grognements étouffés. Cela me réjouit. Alors, celui de derrière, se décide à enfourner Madame, pendant que devant je lime âprement sa bouche. Le spectacle est saisissant. Elle en prend plein à l'arrière, et plein à l'avant ; de ses yeux coulent de grosses larmes, et de sa bouche s'échappe de la bave. Sous les coups de butoir, Karine émet des sons étouffés qui me réjouissent. Lorsque ma queue se dégage enfin de sa bouche, elle se met à crier à gorge déployée. Les coups de reins puissants de l'arrière, la propulse au septième ciel. Il est temps de changer. Notre compagnon passe à l'avant et moi de l'avant à l'arrière. Après m'être bien fait sucer, j’apprécie l'onctuosité de cette chatte chaude et bien mouillée. Kanda profite à nouveau de sa bouche qui est bien petite pour sa queue, mais très accueillante. Je me réjouis de voir cette bite énorme face au visage de ma femme. Madame est aux anges et est déjà bien comblée. Elle sent à chaque coup de reins, mon pubis heurter ses fesses ; ainsi, elle se sent doublement baisée par la chatte et par la bouche. La queue qui se trouve dans sa bouche ne lui laisse aucun répit. Elle se sent totalement prisonnière de ces deux hommes ; c'est cela qui l'excite. Madame prend son pied, en femme soumise, devant son mari. Ce mari qui le sait bien et qui prend son pied à voir sa femme se faire baiser ainsi. Et c'est si bon ! On s'en donne à cœur joie, et nous sommes loin d'en avoir fini avec Madame. Cela n'était qu'un avant-goût de ce qui l'attend. On marque une pause. On constate que sous l’excitation son anus commence à être dilaté. Il pourra accueillir aisément nos deux grosses bites à tour de rôle. . Il est vrai qu’une telle entreprise peut paraître périlleuse. Le petit trou, sauvage et rebelle, offre toujours de la résistance. Il faut savoir le vaincre pour franchir le Rubicon. Introduire quoi que ce soit dans cet antre délicat, est une prouesse ; mais il faut l’avouer, c’est cela qui nous excite Pendant que je maintiens fermement le cul de Madame, Kanda se met à battre énergiquement, de sa main, ce cul bien offert. Il faut qu’il prenne de la couleur. Il y met tout son cœur. Aïe ! Karine crie à chaque claque. Oh le cul est bien rouge ! Comme c’est excitant ! Nous sommes prêts à nous payer une belle enculade. Fin de la fessée. On peut voir les traces de mains qui se dessinent sur ce beau cul devenu vanille fraise. Hum… Il ne reste plus qu’à lubrifier et détendre ce petit trou. Notre compagnon d’un soir tartine de gel cet anus qui se défend, à chaque pénétration de son doigt. Pourtant, il faudra bien que ce cul s’ouvre. Il devra céder sans encombre au passage d’une queue bien déterminée à lui en faire voir de toutes les couleurs. Il enfonce maintenant plusieurs doigts. Le trou se détend progressivement. Ma chérie commence à ressentir les effets de cet agréable massage. Elle n’a pas mal, bien au contraire, ça devient bon. Elle commence même à soupirer. Hum… Nos queues gonflées à bloc, commencent à s’impatienter sérieusement. Maintenant, passons aux choses sérieuses. Je maintiens toujours fermement ses fesses et notre hôte présente son gland. Oh ! Le cul se ferme. Il est bien farouche ! Il faut que cette croupe s’offre totalement. Il ordonne : Cambre-toi ! Pour elle et Ecarte son cul ! Pour moi. Je m’exécute. C’est alors que le gland amorce une lente pénétration, centimètre par centimètre. La rondelle n’a pas d’autre choix que de céder. Karine serre les dents sans broncher. Et même si elle en a encore peur malgré les quelques essais précédents avec son mari, elle a très envie de goûter à nouveau à ce plaisir. Ouf ! La queue est enfin maintenant arrivée au fond de son cul. Alors, Kanda amorce un lent va-et -vient. Le cul s’ouvre un peu plus, à chaque coup de queue. L'homme sent maintenant son gland frotter aisément. Hum… c’est si bon ! La queue coulisse de plus en plus vite. Karine s’ouvre à la jouissance. La queue s’enfonce inexorablement. L’action conjuguée des claques et du calibre qui progresse au fond du cul, commence à faire son effet. Le cul finit par céder totalement. Maintenant, la queue peut agir librement. La queue se met à pilonner sérieusement. Ma chérie passe des soupirs aux cris. Elle ressent au plus profond d'elle-même, une jouissance explosive. Mais, au goût de notre hôte, elle fait beaucoup trop de bruit. Il faut la faire taire ! En plus d’une bite dans le cul, il lui faut une bite dans la bouche. Oh merveille ! Elle est superbement bien baisée comme cela ; avec une bite qui s’active dans le cul et une autre dans le gosier. Pendant qu’à l’arrière elle se fait défoncer sérieusement l’ognon, à l’avant, elle en bave. En effet, je lui fourre gaillardement le fond du gosier, de ma bite vigoureuse. Les cris de jouissance qui sortaient de sa bouche se sont changés en glougloutement de l’arrière gorge. Quant au Maître-Queux de l’arrière, il ne manque pas de redoubler d’ardeur en lui défonçant vaillamment l’arrière-train. Hum… c’est si bon elle s'étouffe dans ses cris entravés par ma bite. Je m'en amuse, car je sais bien que Karine est ô combien bruyante dans l'orgasme, quand elle peut crier librement. On change. Impatient de pénétrer ce joli cul de Madame, je passe à l'arrière et je l'enfile à mon tour prestement. Le relais des deux queues qui viennent tour à tour baiser son cul, s'enchaîne dans un rythme soutenu. L'alternance fait que ces deux bites restent toujours vaillantes, pour le plus grand bonheur de Madame. Ainsi, ce duo alterné, lui défonce admirablement le cul. Madame n'en peut déjà plus. J’admire avec délectation ce ballet magnifique ; J’attends le tableau suivant. En effet, nous cessons notre manège et positionnons Madame pour la double pénétration. Elle se retrouve hissée sur son amant d’un soir, qui s'allonge sous elle. Empalée sur lui par la chatte, je la prends par derrière. Ainsi, elle sent en elle, ces deux queues coulisser simultanément ; l'une dans sa chatte, l'autre dans son cul. Ces deux queues impitoyables, la font hurler de plaisir. Pour épargner nos tympans il ne lui manquerait plus qu’une bite dans sa bouche. J’admire la beauté sauvage de ma femme, qui se révèle sous l'action soutenue de ces deux hommes déchainés. Puis, ne manquant pas d'imagination, nous choisissons une nouvelle pose. Ainsi, Madame se retrouve sur le dos, jambes en l'air. On peut voir ses deux orifices béants et boursouflés, tout rougissant d'être trop baisés par ces deux incroyables bites. Cette vision est saisissante. Pour cette nouvelle position, j’arrive à me glisser sous Karine et la pénètre par le cul. L'autre, par-dessus, parvient à pénétrer sa queue dans la chatte de Madame. Je remarque les tremblements qui agitent le corps de Karine. A force de crier, sa voix s'est cassée. Elle semble chercher son oxygène comme un poisson hors de l'eau. Je suis ému mais ne fait rien pour stopper cette baise sauvage. Je sais qu'elle aime trop cela. Enfin éreintés, nous cessons notre manège. Nous ressentons à notre tour, la douleur de notre queue tuméfiée par tant de baise. Il est temps pour nous de parvenir à la jouissance. Madame se retrouve ainsi à genoux, face à nous. Elle suce, l'une après l'autre, ces deux bites brûlantes et enflées qui s'offrent à elle. Elles ont bien travaillé et méritent la douceur de sa langue. Elle devra prendre tout leur sperme dans sa bouche (son mari y tient ! ). Alors, elle se met à branler avec délicatesse, les deux queues qu'elle tient dans chacune de ses mains. Elle ne manque pas de lubrifier, tour à tour, chacune de ses bites en crachant généreusement dessus. L'effet conjugué de sa langue qui se balade d'une queue à l'autre et de ses deux mains qui ne cessent de branler, ne manque pas d'être efficace. En effet, notre compagnon se met à soupirer. Alors, elle s'y attarde. Elle le branle avec application tout en le titillant du bout de la langue. Tout à coup, l'homme est secoué de spasmes. Il gicle en hurlant, sur la langue de Madame. Aussitôt elle se retourne et me regarde, bouche ouverte, et droit dans les yeux. Je peux voir la langue blanchie de ma femme, toute recouverte de sperme. Alors, elle ferme la bouche et avale dans une grimace, tout le sperme. Alors, elle s'occupe de moi. Elle me branle efficacement de sa main légère et rapide. J’éjacule bruyamment en arrosant copieusement de mon sperme, le visage de ma chérie. Aussi, soigneusement, elle récolte de ses doigts délicats, le précieux foutre et le porte à sa bouche pour tout avaler.

Madame est rassasiée et me remercie pour ce somptueux cadeau d’anniversaire.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Bonjour Jasper puisque apparemment Jasper il y a. Quelques fautes d'orthographes ou de frappes, mais pour un

premier texte, sans être un coup de maître, vous n'en êtes pas loin ! Vos personnages : le mari, la femme et

l'amant semblent fort bien s'entendre et ne peuvent que nous exciter, nous (moi bien-sur) candaulistes dans

l'âme, dans le cœur et même dans notre sexe que votre récit fait se dresser en pensant à notre femme dans

une telle situation ! Merci et à bientôt de lire des suites aussi "bandantes" !!! Didier



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