Un fieffé copain
Récit érotique écrit par PIERRE DAVID [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-10-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Un fieffé copain
Un fieffé copain…
(Cette histoire, inédite sur HDS, est l’une des toutes premières écrites de la saga, et raconte le premier écart probable de Martine dans notre vie de couple.)
Cela fait bien une dizaine d’année que je ne suis pas revenu à Lyon et l’idée de revoir les amis, les endroits fréquentés à l’époque, me remplit de joie.
Jacques, un de mes bons copains, m’a gentiment invité chez lui, en me laissant la clé sous le paillasson, car il ne rentre que le lendemain.
J’ai posé mes affaires et suis sorti manger un bout dans l’un des nombreux restaurants que l’on trouve du côté de la place des terreaux.
Il est prévu qu’au retour de Jacques, nous ferons la tournée des copains, histoire de revoir un peu tout le monde, et retrouver l’ambiance de ces années insouciantes, ou le groupe que nous formions s’amusait sans trop se préoccuper du lendemain.
Une fois rentré, n’ayant pas sommeil et devant l'impressionnante collection de vidéos présente dans le salon, je décide de visionner un bon film.
Je parcoure rapidement les titres, ne sachant que choisir.
Alors que je désespère de trouver la perle rare, une cassette attire mon attention.
Tout en bas des étagères, coincée entre deux mangas, elle porte seulement la mention « Martine xxx » écrite à la main.
Cela m'intrigue, car c'est aussi le prénom de mon épouse, et à ma connaissance la seule que Jacques connait.
J'hésite à m'immiscer dans sa vie privée en son absence, mais la curiosité l'emporte et j'insère la cassette dans le lecteur.
L'image est de qualité très moyenne, un peu rouge, signe de vieillesse sans doute.
On découvre une piscine gonflable sur une grande pelouse, prés d'une maison, ou trois jeunes enfants barbotent gaiement.
La scène me parait familière.
La camera balaye doucement la pelouse et s'arrête sur la silhouette d'une jolie brune qui étend du linge.
Il y a un effet de zoom et le personnage se rapproche, toute souriante.
Je reconnais immédiatement ma femme, Martine !
Le prénom sur la cassette est donc bien le sien, pourtant je ne me rappelle pas avoir vu ce film.
A l'époque elle élevait nos deux jeunes enfants, dont l’un était encore tout bébé et gardait ceux de Jacques de temps en temps, et c'est bien les trois plus grands qui jouent dans la piscine, en riant aux éclats.
Je souris en regardant la scène qui me rappelle de bons souvenirs de cette période à la campagne.
- Oh Jacques, ne me filme pas comme ça, je ne suis pas photogénique !
- Mais si, au contraire, tu passes très bien, je t'assure! Sois juste naturelle, oublie la caméra!
Il balaye à nouveau la cour et je reconnais la maison dans laquelle nous avons vécu quelques années.
Puis il revint sur Martine, qui finit d'étendre la lessive, dans la douceur du soleil couchant.
Jacques tourne autour d'elle, la filmant sur toutes les coutures.
Tout cela remonte à plus de vingt ans, au moins, et je revoie avec nostalgie la jolie brune, enthousiaste et dynamique qu’elle était.
Un visage rond encadré par une chevelure un peu trop sage, de taille moyenne, elle est bien chair, comme on dit, avec de très jolies formes qui attirent souvent les regards.
Elle porte un paréo bleu, simplement noué sous les aisselles, sur un short blanc.
L'image s'est arrêtée, et pendant quelques secondes Jacques fait un plan en contre-jour de mon épouse.
A travers le paréo, l’absence de soutien-gorge se fait flagrante et laisse deviner les courbes alléchantes de son anatomie,
Mon copain est en train de se rincer l'œil, zoomant allègrement sur les deux généreux mamelons qui tendent le tissu.
Quel culot, pensai-je, et Martine semble n'avoir rien remarqué de son manège.
- Tu vas me filmer toute la soirée ? lui demande Martine, avec un grand sourire.
- Non, mais tu ne voudrais pas qu'on fasse quelques prises un peu coquines?
- Comment ça, coquines ? Interroge-t-elle
- Un peu olé, olé quoi, cela te fera un petit souvenir !
- C'est à dire ?
- Je ne sais pas, en jouant avec le paréo, que tu ouvrirais un peu, comme ça, tu vois !
En parlant il doit mimer le mouvement, car la caméra qui filme toujours se met à faire de grands mouvements dans tous les sens, puis revient se caler sur Martine.
Je sens mon épouse hésiter, et m'étonne qu'elle n’ait pas déjà répondu par un non catégorique.
Totalement incrédule, je la vois défaire la boucle qui maintient son paréo noué sur l'épaule.
- Je me demande si je ne vais pas le regretter ! Dit-elle
- Voilà, c'est bien, dit Jacques, tourne sur toi-même…danse!
Tenant dans chaque main une pointe de son vêtement, elle ouvre les bras, les agitant de bas en haut, le regard fixé sur la caméra.
- Voilà, ça te va ?
- Super, tu es parfaite…. Continue comme ça !
Je ne peux m'empêcher d'admirer la magnifique paire de seins qu'elle vient de dévoiler, ronds, gonflés, avec de larges auréoles brunes, et je sens naître en moi une excitation grandissante.
Ce salaud de Jacques n'en perd pas une miette, filmant la danse un peu irréaliste à laquelle ma femme se livre, abusant des gros plans sur les mamelons bronzés et les tétons qui se raidissent.
- Vas-y, cambres-toi, voilà, c'est bien !
Martine multiplie les poses de plus en plus suggestives, reins creusés, poitrine tendue vers l’avant, souriant à la caméra.
Elle me parait à l’aise dans son numéro de danseuse nue, un zeste de provocation dans le regard
C’est très troublant, moi qui l’ai connu plutôt réservée, de la découvrir en train de s’exhiber ainsi, se livrant au regard de notre ami.
Je me demande ce que Jacques a fait après avec cette vidéo et si d’autres personnes, voire nos copains, l’ont visionnée ?
La question m’excite presque.
Tout cela ne semble pas perturber les enfants que j'entends toujours rire en fond sonore.
Je découvre une facette inconnue de la personne que je côtoie depuis plus de vingt ans, car elle a toujours manifesté des réserves à se faire prendre en photo ou filmer.
- Tu ne voudrais pas baisser un peu ton short ?
- Dis donc, tu n’exagères pas un peu ?
- Allez sois sympa, juste un peu ! Ce sera plus sexy ! Insiste-t-il
- C’est ça, c’est ça!....comme ça ?
Abasourdi, je la vois rouler lentement son petit short blanc sur ses fesses, s’arrêtant à la limite de sa toison pubienne.
Jacques la filme de haut en bas, tournant autour d’elle, s'attarde sur le sillon qui sépare les fesses rebondies, zoome sur son pubis encore masqué par le short.
Il doit sacrément bander le salaud, pensai-je, agacé et jaloux.
- Cela te plait ? Lui demande-t-elle.
- C’est très bien, bravo…tu es magnifique… !
Et devant mes yeux incrédules l’incroyable se produit.
Avec une extrême lenteur, tournant le dos à la caméra, Martine fait glisser son short sur ses cuisses, jusqu’à ses pieds, dévoilant une magnifique paire de fesses, rondes et bien charnues extrêmement alléchantes.
Aucune culotte sous le short blanc.
- Et comme ça… ? Demande-t-elle. C’est mieux… ?
Malgré la rage qui m’envahit, je sens mon sexe se durcir terriblement.
Ses formes pleines, riches de voluptueuses promesses, envahissent l’écran, et je n’arrive pas à détacher mon regard de son cul superbe sur lequel Jacques zoome comme un fou.
Elle était quand même sacrément bien foutue à l’époque, et je réalise que bon nombre de nos copains ont du fantasmer sur elle sans que je m’en rende compte.
S’étant débarrassé de son short, ma femme, dans le plus simple appareil, se dirige vers un bosquet au fond du jardin, éloigné des enfants.
A l’abri du feuillage elle se retourne, offrant à la caméra une vue imprenable de son sexe recouvert d’une jolie toison noire, soigneusement taillée.
Elle se caresse délicatement d’une main, tandis que de l’autre elle a empoigné un de ses seins, le pressant pour en faire gonfler la pointe.
La bouche desséchée, une excitation folle me gagne.
Ne l’ayant jamais vue se comporter ainsi, même dans l’intimité, je suis abasourdi par le naturel avec lequel elle pose devant la caméra de notre copain.
Fébrilement, je libère mon sexe et me masturbe en contemplant les gros plans de son appétissante vulve, que ses doigts explorent délicieusement.
Martine s’est assise sur un petit muret de pierre, juste derrière elle, les cuisses largement écartées.
Ses doigts glissent sur son sexe, s’insinuant entre les lèvres brunes, les tirent vers le haut, nous révélant son petit bouton nacré, luisant d’humidité.
Je reconnais bien là sa belle chatte, large et accueillante, dans laquelle j’ai si souvent plongé.
Je me branle vigoureusement, ivre de désir pour ma femme qui se masturbe impudiquement devant notre copain.
J’imagine que ce salaud doit avoir une trique du tonnerre.
- Et là, qu’est-ce que tu en dis ?
- Whaouh… ! Martine… ! C’est…c’est top ! bredouille-t-il enfin, zoomant toujours sur le clitoris gorgé de désir qu’elle caresse du bout des doigts.
- Tu me feras voir le film, hein? Demande-t-elle
- Promis ! répond-il
Pendant une longue minute on voit sa chatte en gros plan, visiblement humide, et son index qui la fouille délicatement, dans un mouvement de va et vient carrément hypnotique.
- Bon, la séance est finie, dit-elle en se relevant. Je compte sur toi pour que cela reste entre nous !
- Pas de problème !
L'image se brouille, laissant la place à un écran noir et je stoppe la lecture, encore sous le coup de l’émotion, où la surprise, le désir, l'indignation se mêlent étrangement.
J'en veux à mon copain de s'être rincé l'œil, à ma femme de s'être livrée ainsi à sa caméra, et en même temps j'en éprouve une certaine fierté, car elle est vraiment bandante.
Curieux de savoir ce qu’il y a encore sur la cassette, je reprends la lecture.
Pendant quelques secondes l'écran n'offre que de la neige, puis une image apparait, de meilleure qualité, avec une date insérée: 20 septembre 1995.
Tout cela remonte à plus de 20 ans, Martine avait alors 25 ans.
C’est au bord d'un lac, en fin de journée, à en juger la lumière rasante qui éclaire l'endroit.
Tout est calme, quand la voix de Jacques, un peu déformée par le micro de la caméra mais reconnaissable quand même vient rompre le silence:
- Ou es-tu ? Questionne-il en balayant la rive de sa camera
- Ici, vers les rochers ! Répondit une voix que je connais bien, celle d'Martine
La camera pivote lentement vers la gauche, s'arrêtant sur la silhouette qui se découpe sur le fond rosé du lac.
- Qu'est ce que tu fais ?
- Je regarde le coucher de soleil !
Ma femme est assise sur un gros rocher, au bord de l'eau, les jambes tendues, en appui sur les bras, contemplant l'horizon qui vire à l'orange, presque rouge.
- Et les enfants ? Questionna-t-elle
- ils jouent à la PlayStation dans le camping-car, répondit Jacques, ils sont calmes. Je les ai filmés, ils sont très contents de leur journée au parc d'attraction.
- C'est vrai, ça été une belle journée. Un peu fatigante pour nous, mais bon, c'était bien.
Je me rappelle ce jour où ils sont allés passer la journée dans un parc d'attraction de la région.
Pris par le travail je n'avais pas pu les accompagner, ni l'épouse de Jacques d'ailleurs.
Les souvenirs affluent maintenant, et notamment le retard qu'ils avaient eu, prétextant la fatigue, et un arrêt pour manger et se reposer.
- C’est super beau ce crépuscule, tu sais! J’aimerai te filmer nue !
- Encore, c'est devenu une manie depuis que tu as ce caméscope!
- Allez Martine, sois sympa ! Dit-il d'une voix implorante. Je t’assure, avec le soleil couchant, ça va être génial.
Consterné je comprends qu’il remet ça, encouragé par le résultat obtenu la fois précédente.
La réponse de ma femme ne me surprend même plus.
- Bon, d'accord! Quelle pose veux-tu ?
- Reste comme ça, à regarder l’horizon, c’est bien !
Mon épouse ôte sa robe, quitte slip et soutien-gorge, puis prend une pose un peu alanguie sur le rocher.
Aucun de ses gestes n’échappe à la caméra de Jacques qui a zoomé quand elle a dégrafé son soutien-gorge, filmant en gros plan la libération d’une opulente paire de seins, ronds et gonflés, aux tétons dressés.
A l’époque elle allaitait notre dernier enfant, ce qui avait sensiblement augmenté son volume mammaire, et érigeait ses tétons de manière quasi permanente.
C’est vrai qu'elle est belle, nue sur ce rocher, ses formes mises en valeur par la lumière rasante.
Il la filme ainsi quelques minutes, lui faisant prendre des poses souvent équivoques, qui mettent en valeur tous les détails de sa plantureuse anatomie.
Je me demande si elle réalise vraiment ce qui se passe, car elle obéit à toutes ses demandes.
Ce malin de Jacques, sous couvert de souvenirs un peu artistiques, se fait un petit film érotique à bon compte.
Et c'était assez efficace car je me rends compte que j'ai bel et bien une érection en regardant mon épouse, nue et bronzée, se livrer à la caméra.
- Bon cela va aller pour ce soir ! Finit-il par dire, si on se baignait, l'eau me semble bonne, non ! dit-il
- C'est vrai qu'elle bonne, répondit Martine, en s’avançant dans l'eau calme jusqu'aux genoux.
Mon copain dépose la caméra sur un rocher plat, mais le laisse en mode enregistrement, orienté vers la portion de plage ou se trouve Martine.
Elle a maintenant de l'eau jusqu'au ventre, et semble regarder en direction de Jacques que je ne vois pas.
Puis je reconnus sa silhouette dans le champ de l'objectif.
Totalement nu, il avance dans l’eau en direction d'Martine, qui le regarde s'approcher, détaillant à son tour son anatomie.
- Elle est un peu froide !
- Mais non, elle est bonne, viens! Dit-elle en s'enfonçant dans l'eau
- Brrrr,brrrrh! Bonne, c'est vite dit !
- Allez sois courageux !
Un peu désemparé, j'assiste à la baignade, dans le plus simple appareil de ma femme et de mon ami, un soir de septembre 1995.
Ils nagent ainsi quelques minutes, s'éloignant peu à peu de l'objectif, et seule leur tête dépasse.
Ils me paraissaient très proches l'un de l'autre, mais je ne les distingue plus très bien.
J'entends seulement leurs rires et leurs cris qui résonnent.
Puis leurs silhouettes se rapprochent à nouveau, Jacques nageant très prés derrière Martine, qui rit en criant:
- allez, lâche-moi, maintenant !
- D’accord, d’accord !
Ils sortent de l'eau, et malgré la lumière déclinante, je remarque que Jacques a ses mains sur les hanches de mon épouse, mais surtout, arbore une belle érection.
La vision de mon copain, qui bande comme un taureau, me trouble quelque peu, car c’est la première fois que je vois son anatomie.
Cela me laisse sans voix, d'autant que la femme qui l'excite ainsi est mon épouse.
Elle vient d'ailleurs de se saisir de la camera, et la tourne vers Jacques:
- A mon tour de te filmer, monsieur le cinéaste ! Fais nous voir ta musculature!
Plutôt petit, un peu enveloppé, les jambes poilues, Jacques n’est pas un apollon certes, mais je découvre que la nature l'a néanmoins bien doté.
Sans être très long, son pénis, épais et courbé, terminé par un gland effilé, est d’un diamètre conséquent, tout comme ses bourses qui paraissent bien remplies.
Une bite trapue, mais qui parait bien costaude.
- Mais c'est beau tout ça ! s'exclame Martine, en zoomant sur le sexe érigé.
Jacques prend quelques poses façon bodybuilder, tentant de faire ressortir ses muscles, avec pour seul résultat, de grands éclats de rire.
- il faudrait faire un peu de sport, tu ne crois pas, lui dit-elle en filmant le ventre rebondi par la bière.
Jacques s’étend sur sa serviette.
Elle le filme, debout au dessus de lui, puis sur le côté, zoomant sur le membre qui se dresse fièrement entre les cuisses poilues.
L’objectif s’attarde sur le membre de notre ami.
- Dis donc, c'est moi qui t'excite comme ça ?
- Je crois oui ! Répondit-il
L'image du gland lisse et gonflé a envahi l’écran et je me demande ce que ressent Martine, à ce moment là, en contemplant l'organe érigé de notre ami.
- Qu'est-ce qu'il faut faire ? C'est un peu troublant cette situation, non ?
- Tu pourrais poser la camera à coté, et t'occuper de moi ?
- M’occuper de toi ? Et une fois rentrés à la maison, qu'est-ce qui se passe ? Demanda-t-elle
- Rien, il ne passera rien ! Cela sera notre secret à nous !
- Tu crois ?
- Mais oui, cela ne dépend que de nous! On peut se faire un petit plaisir non ?
Quel fumier !
J'étais atterré, abasourdi par les dialogues que j'entendais, mais aussi, curieusement, comme hypnotisé par ce que je voyais.
Mon copain est nu, la bite raide, et c’est ma femme qui filme.
La camera vient d’être posée au sol, je ne vois plus que le sable de la plage et une partie du pied de Jacques.
Pendant quelques secondes je n'entends plus rien, puis peu à peu il me semble distinguer des gémissements:
- Hummm, hummmm... oui, c'est ça…!
Je reconnais la voix de Jacques, mais je ne vois que le sable blanc, et le bout de son pied immobile.
C'est insupportable.
Puis l'image se met à bouger, l'objectif semble tourner, et bientôt je découvre la scène dont j'étais privé.
Jacques, discrètement, a réussi à faire pivoter la camera et à l'orienter vers eux.
Et c’est le choc de ma vie !
Ma femme est agenouillée entre ses jambes, penchée vers l'avant, occupée à une fellation en règle.
Sa bouche monte et descend le long de la tige charnue, serrant le gland entre les lèvres, tirant à Jacques des râles de plaisir.
- Aahhhh, Martine… c’est bon....! Vas-y ! Suce-moi bien!
Il lui caresse les cheveux, accompagnant le mouvement de la tête sur sa queue.
- Tu suces bien, Martine ! C'est bon ! Continue !
Le spectacle me parait incroyable, et pourtant, c'est une réalité.
Martine, que j’ai toujours considéré comme un modèle de femme fidèle, un peu coincée côté sexe, est en train de sucer avec un bel entrain, la queue de Jacques, notre meilleur ami.
Effaré, je n’arrive pas à détourner le regard de sa bouche qui aspire goulûment ce sexe dressé qui n’est pas le mien.
- si tu veux te faire plaisir, c'est le moment, lui dit Jacques.
Je suis bien dur, non ?
- Pour être dur, tu es bien dur, c'est sûr! Répondit-elle en relevant la tête
Le sexe se dresse, tel un pieu magistral, prêt à l’honorer.
Je la sens hésiter, regardant tour à tour Jacques, puis son pénis.
Je pense qu'elle a oublié que la caméra tourne.
Elle semble avoir de l'intérêt pour le membre érigé qu'elle branle doucement, car je dois l’avouer, c’est une belle pièce, épaisse, visiblement vigoureuse.
- Tu oublies que je suis mariée, je pense que cela ne lui plaira pas !
- Il n'en saura rien! Je suis sûr que tu en as envie, non ?
- T'es vraiment excité, toi! Je vais te calmer, dit -elle, en se penchant à nouveau sur lui.
Je la vois reprendre la verge dans sa bouche, la branlant d'une main, tandis que de l'autre elle lui malaxe les couilles.
Sa main monte et descend à un rythme soutenu tandis que les lèvres et la langue s'occupent du gland, gonflé et cramoisi.
- Oohhh....Martine, c'est trop bon !
Jacques a relevé son bassin pour mieux s'enfoncer dans la bouche qui le déguste avidement.
Il réussit à glisser une main par en dessous et s’emploie à lui pétrir les seins tour à tour, enfonçant ses doigts épais dans la chair tendre et souple.
- Oohhh... je vais venir Martine ! ahhh....Martine….Ouiiii!
Hébété, je regarde la verge de mon ami disparaître presque complètement dans la bouche affamée qui l'aspire avec un délice évident.
De temps en temps elle s’interrompt pour juger du résultat, et le moins que l’on puise dire c’est que cette bite la fait saliver.
De longs filets de bave relient sa bouche au sexe de Jacques.
Mon épouse a soudain comme une sorte de hoquet, et cesse ses va-et-vient, tandis que Jacques se contracte sous elle.
Je comprends que ce salaud vient de lui jouir dans la gorge.
Après quelques secondes, elle se redresse, le regardant en souriant, les lèvres et le menton dégoulinant de sperme.
Manifestement elle a avalé la plus grande partie de la semence éjaculée.
Je n'en reviens pas.
Elle a toujours refusé de boire mon sperme lors de nos ébats, et là, avec Jacques, elle l'a fait spontanément.
- Alors on se sent mieux ?
- Putain, Martine, c'était trop bon ! Tu m'as fait du bien ! Cela fait longtemps que je n'avais pas joui comme ça!
- Je veux bien le croire ! répondit-elle. Tu en as lâché une sacré dose !
Elle se baisse et lèche à nouveau le membre trempé, suçant le gland avec gourmandise, tandis qu'il lui caresse doucement la tête.
L’érection de notre ami ne semble pas diminuer, son sexe se dresse toujours aussi fièrement, volumineux, avec des veines fortement gonflées par l’afflux du sang.
- Suce-le encore un peu, s’il te plait ! Demande Jacques. C’était si bon !
Complaisante, Martine referme ses lèvres serrées sur la tige de chair, et la pompe à nouveau, arrivant à l’engloutir totalement ce qui ne se lasse pas de m’épater.
- Whaooo….Martine…. ! C’est booon ça… !
Putain, elle remet ça, elle y a pris goût, ce n’est pas possible.
Je fulmine en regardant la vidéo, témoin impuissant de mon épouse qui se délecte du sexe de Jacques.
Parce que c’est bien de ça qu’il s’agit, les images ne trompent pas.
Martine prend plaisir avec cette fellation, déployant une aisance qui me trouble beaucoup, sa langue et ses lèvres faisant un travail admirable sur le gland congestionné de plaisir.
- Oooh… Le vais venir…. Maaartine… ! Ouuugh…. Ou….oui…ouiii… !
Martine a à peine le temps de le libérer, que Jacques éjacule une nouvelle fois en beuglant sa jouissance
Son sperme jaillit tel un geyser, et atterrit sur le visage de mon épouse, se répandant en gouttes épaisses et blanchâtre sur son front, ses yeux, ses joues.
-Eh… tu avais de la réserve, dis donc… ! Sourit-elle en se léchant les babines de la semence qui ruisselle lentement vers sa bouche.
Mon Dieu, elle en a partout, une vraie douche de foutre.
- C’est toi qui m’as excité comme ça… J’ai adoré ta bouche… !
- Tout ça reste entre nous, je compte sur toi…. Ce sera notre petit secret !
- D’accord Martine… ! Ne t’inquiète pas… je ne veux pas me fâcher avec Pierre.
-J'aime bien ton sexe finalement, il a bon goût ! Dit-elle en le nettoyant consciencieusement avec sa langue.
Puis l'image se coupa, et la neige envahit à nouveau l'écran.
Bien que déstabilisé par ce que je viens de découvrir, je rembobine un peu en arrière, car malgré tout cela m’a aussi beaucoup excité, et je me suis masturbé.
Je reviens aux images de la fellation, ou l'on distingue très nettement la bouche de mon épouse serrée autour de la verge de Jacques, l'aspirant goulûment.
Elle lui lèche le gland presque amoureusement, dégustant la protubérance de chair rose et lisse que sa salive rend brillante.
C’est absolument incroyable !
Elle n’est absolument pas forcée, c’est volontairement et avec beaucoup d’envie qu’elle avale le sexe épais de notre ami, lequel, ravi de l’aubaine, en profite pour lui peloter les seins, deux gros melons gorgés de lait maternel, qui pendent lourdement.
Le fieffé coquin !
J’avais déjà remarqué certains regards intéressés de sa part en direction de la poitrine de Martine, mais je ne pensais qu’il franchirait le pas.
A vingt-cinq ans, ses seins ronds et généreux se tenaient fièrement malgré leur taille, même sans soutien-gorge, et cela se remarquait.
Et bien, voilà, c’est fait, il est en train de les pétrir allègrement, appréciant sans aucun doute leur fermeté et leur poids accru par l’allaitement.
Dire que pendant ce temps j’étais à la maison, m’inquiétant de leur retard.
La vision de son gland qui disparaît entre les lèvres de ma femme me fait jouir et j'éjacule une large rasade de sperme sur le tapis de son salon.
Salaud de Jacques!
La neige a envahi l'écran, le film s’est terminé sur le visage de Martine maculé de sperme.
Les pensées tourbillonnent dans ma tête, avec des sentiments mêlés de colère et d’envie, de jalousie et de désir.
Je ne sais pas si j'en veux plus à mon épouse qui ne m'a pas vraiment trompé, ou à mon copain qui l'a incité sans trop abuser.
Jacques a-t-il fait visionner son film à d’autres ?
Je pense au nombre de gars qui se sont peut-être branlé en la regardant, certains sont peut-être de nos amis.
Oserai-je lui demander des comptes, après toutes ces années ?
En tous cas je connaissais désormais la vraie cause de leur retard ce jour-là.
(Cette histoire, inédite sur HDS, est l’une des toutes premières écrites de la saga, et raconte le premier écart probable de Martine dans notre vie de couple.)
Cela fait bien une dizaine d’année que je ne suis pas revenu à Lyon et l’idée de revoir les amis, les endroits fréquentés à l’époque, me remplit de joie.
Jacques, un de mes bons copains, m’a gentiment invité chez lui, en me laissant la clé sous le paillasson, car il ne rentre que le lendemain.
J’ai posé mes affaires et suis sorti manger un bout dans l’un des nombreux restaurants que l’on trouve du côté de la place des terreaux.
Il est prévu qu’au retour de Jacques, nous ferons la tournée des copains, histoire de revoir un peu tout le monde, et retrouver l’ambiance de ces années insouciantes, ou le groupe que nous formions s’amusait sans trop se préoccuper du lendemain.
Une fois rentré, n’ayant pas sommeil et devant l'impressionnante collection de vidéos présente dans le salon, je décide de visionner un bon film.
Je parcoure rapidement les titres, ne sachant que choisir.
Alors que je désespère de trouver la perle rare, une cassette attire mon attention.
Tout en bas des étagères, coincée entre deux mangas, elle porte seulement la mention « Martine xxx » écrite à la main.
Cela m'intrigue, car c'est aussi le prénom de mon épouse, et à ma connaissance la seule que Jacques connait.
J'hésite à m'immiscer dans sa vie privée en son absence, mais la curiosité l'emporte et j'insère la cassette dans le lecteur.
L'image est de qualité très moyenne, un peu rouge, signe de vieillesse sans doute.
On découvre une piscine gonflable sur une grande pelouse, prés d'une maison, ou trois jeunes enfants barbotent gaiement.
La scène me parait familière.
La camera balaye doucement la pelouse et s'arrête sur la silhouette d'une jolie brune qui étend du linge.
Il y a un effet de zoom et le personnage se rapproche, toute souriante.
Je reconnais immédiatement ma femme, Martine !
Le prénom sur la cassette est donc bien le sien, pourtant je ne me rappelle pas avoir vu ce film.
A l'époque elle élevait nos deux jeunes enfants, dont l’un était encore tout bébé et gardait ceux de Jacques de temps en temps, et c'est bien les trois plus grands qui jouent dans la piscine, en riant aux éclats.
Je souris en regardant la scène qui me rappelle de bons souvenirs de cette période à la campagne.
- Oh Jacques, ne me filme pas comme ça, je ne suis pas photogénique !
- Mais si, au contraire, tu passes très bien, je t'assure! Sois juste naturelle, oublie la caméra!
Il balaye à nouveau la cour et je reconnais la maison dans laquelle nous avons vécu quelques années.
Puis il revint sur Martine, qui finit d'étendre la lessive, dans la douceur du soleil couchant.
Jacques tourne autour d'elle, la filmant sur toutes les coutures.
Tout cela remonte à plus de vingt ans, au moins, et je revoie avec nostalgie la jolie brune, enthousiaste et dynamique qu’elle était.
Un visage rond encadré par une chevelure un peu trop sage, de taille moyenne, elle est bien chair, comme on dit, avec de très jolies formes qui attirent souvent les regards.
Elle porte un paréo bleu, simplement noué sous les aisselles, sur un short blanc.
L'image s'est arrêtée, et pendant quelques secondes Jacques fait un plan en contre-jour de mon épouse.
A travers le paréo, l’absence de soutien-gorge se fait flagrante et laisse deviner les courbes alléchantes de son anatomie,
Mon copain est en train de se rincer l'œil, zoomant allègrement sur les deux généreux mamelons qui tendent le tissu.
Quel culot, pensai-je, et Martine semble n'avoir rien remarqué de son manège.
- Tu vas me filmer toute la soirée ? lui demande Martine, avec un grand sourire.
- Non, mais tu ne voudrais pas qu'on fasse quelques prises un peu coquines?
- Comment ça, coquines ? Interroge-t-elle
- Un peu olé, olé quoi, cela te fera un petit souvenir !
- C'est à dire ?
- Je ne sais pas, en jouant avec le paréo, que tu ouvrirais un peu, comme ça, tu vois !
En parlant il doit mimer le mouvement, car la caméra qui filme toujours se met à faire de grands mouvements dans tous les sens, puis revient se caler sur Martine.
Je sens mon épouse hésiter, et m'étonne qu'elle n’ait pas déjà répondu par un non catégorique.
Totalement incrédule, je la vois défaire la boucle qui maintient son paréo noué sur l'épaule.
- Je me demande si je ne vais pas le regretter ! Dit-elle
- Voilà, c'est bien, dit Jacques, tourne sur toi-même…danse!
Tenant dans chaque main une pointe de son vêtement, elle ouvre les bras, les agitant de bas en haut, le regard fixé sur la caméra.
- Voilà, ça te va ?
- Super, tu es parfaite…. Continue comme ça !
Je ne peux m'empêcher d'admirer la magnifique paire de seins qu'elle vient de dévoiler, ronds, gonflés, avec de larges auréoles brunes, et je sens naître en moi une excitation grandissante.
Ce salaud de Jacques n'en perd pas une miette, filmant la danse un peu irréaliste à laquelle ma femme se livre, abusant des gros plans sur les mamelons bronzés et les tétons qui se raidissent.
- Vas-y, cambres-toi, voilà, c'est bien !
Martine multiplie les poses de plus en plus suggestives, reins creusés, poitrine tendue vers l’avant, souriant à la caméra.
Elle me parait à l’aise dans son numéro de danseuse nue, un zeste de provocation dans le regard
C’est très troublant, moi qui l’ai connu plutôt réservée, de la découvrir en train de s’exhiber ainsi, se livrant au regard de notre ami.
Je me demande ce que Jacques a fait après avec cette vidéo et si d’autres personnes, voire nos copains, l’ont visionnée ?
La question m’excite presque.
Tout cela ne semble pas perturber les enfants que j'entends toujours rire en fond sonore.
Je découvre une facette inconnue de la personne que je côtoie depuis plus de vingt ans, car elle a toujours manifesté des réserves à se faire prendre en photo ou filmer.
- Tu ne voudrais pas baisser un peu ton short ?
- Dis donc, tu n’exagères pas un peu ?
- Allez sois sympa, juste un peu ! Ce sera plus sexy ! Insiste-t-il
- C’est ça, c’est ça!....comme ça ?
Abasourdi, je la vois rouler lentement son petit short blanc sur ses fesses, s’arrêtant à la limite de sa toison pubienne.
Jacques la filme de haut en bas, tournant autour d’elle, s'attarde sur le sillon qui sépare les fesses rebondies, zoome sur son pubis encore masqué par le short.
Il doit sacrément bander le salaud, pensai-je, agacé et jaloux.
- Cela te plait ? Lui demande-t-elle.
- C’est très bien, bravo…tu es magnifique… !
Et devant mes yeux incrédules l’incroyable se produit.
Avec une extrême lenteur, tournant le dos à la caméra, Martine fait glisser son short sur ses cuisses, jusqu’à ses pieds, dévoilant une magnifique paire de fesses, rondes et bien charnues extrêmement alléchantes.
Aucune culotte sous le short blanc.
- Et comme ça… ? Demande-t-elle. C’est mieux… ?
Malgré la rage qui m’envahit, je sens mon sexe se durcir terriblement.
Ses formes pleines, riches de voluptueuses promesses, envahissent l’écran, et je n’arrive pas à détacher mon regard de son cul superbe sur lequel Jacques zoome comme un fou.
Elle était quand même sacrément bien foutue à l’époque, et je réalise que bon nombre de nos copains ont du fantasmer sur elle sans que je m’en rende compte.
S’étant débarrassé de son short, ma femme, dans le plus simple appareil, se dirige vers un bosquet au fond du jardin, éloigné des enfants.
A l’abri du feuillage elle se retourne, offrant à la caméra une vue imprenable de son sexe recouvert d’une jolie toison noire, soigneusement taillée.
Elle se caresse délicatement d’une main, tandis que de l’autre elle a empoigné un de ses seins, le pressant pour en faire gonfler la pointe.
La bouche desséchée, une excitation folle me gagne.
Ne l’ayant jamais vue se comporter ainsi, même dans l’intimité, je suis abasourdi par le naturel avec lequel elle pose devant la caméra de notre copain.
Fébrilement, je libère mon sexe et me masturbe en contemplant les gros plans de son appétissante vulve, que ses doigts explorent délicieusement.
Martine s’est assise sur un petit muret de pierre, juste derrière elle, les cuisses largement écartées.
Ses doigts glissent sur son sexe, s’insinuant entre les lèvres brunes, les tirent vers le haut, nous révélant son petit bouton nacré, luisant d’humidité.
Je reconnais bien là sa belle chatte, large et accueillante, dans laquelle j’ai si souvent plongé.
Je me branle vigoureusement, ivre de désir pour ma femme qui se masturbe impudiquement devant notre copain.
J’imagine que ce salaud doit avoir une trique du tonnerre.
- Et là, qu’est-ce que tu en dis ?
- Whaouh… ! Martine… ! C’est…c’est top ! bredouille-t-il enfin, zoomant toujours sur le clitoris gorgé de désir qu’elle caresse du bout des doigts.
- Tu me feras voir le film, hein? Demande-t-elle
- Promis ! répond-il
Pendant une longue minute on voit sa chatte en gros plan, visiblement humide, et son index qui la fouille délicatement, dans un mouvement de va et vient carrément hypnotique.
- Bon, la séance est finie, dit-elle en se relevant. Je compte sur toi pour que cela reste entre nous !
- Pas de problème !
L'image se brouille, laissant la place à un écran noir et je stoppe la lecture, encore sous le coup de l’émotion, où la surprise, le désir, l'indignation se mêlent étrangement.
J'en veux à mon copain de s'être rincé l'œil, à ma femme de s'être livrée ainsi à sa caméra, et en même temps j'en éprouve une certaine fierté, car elle est vraiment bandante.
Curieux de savoir ce qu’il y a encore sur la cassette, je reprends la lecture.
Pendant quelques secondes l'écran n'offre que de la neige, puis une image apparait, de meilleure qualité, avec une date insérée: 20 septembre 1995.
Tout cela remonte à plus de 20 ans, Martine avait alors 25 ans.
C’est au bord d'un lac, en fin de journée, à en juger la lumière rasante qui éclaire l'endroit.
Tout est calme, quand la voix de Jacques, un peu déformée par le micro de la caméra mais reconnaissable quand même vient rompre le silence:
- Ou es-tu ? Questionne-il en balayant la rive de sa camera
- Ici, vers les rochers ! Répondit une voix que je connais bien, celle d'Martine
La camera pivote lentement vers la gauche, s'arrêtant sur la silhouette qui se découpe sur le fond rosé du lac.
- Qu'est ce que tu fais ?
- Je regarde le coucher de soleil !
Ma femme est assise sur un gros rocher, au bord de l'eau, les jambes tendues, en appui sur les bras, contemplant l'horizon qui vire à l'orange, presque rouge.
- Et les enfants ? Questionna-t-elle
- ils jouent à la PlayStation dans le camping-car, répondit Jacques, ils sont calmes. Je les ai filmés, ils sont très contents de leur journée au parc d'attraction.
- C'est vrai, ça été une belle journée. Un peu fatigante pour nous, mais bon, c'était bien.
Je me rappelle ce jour où ils sont allés passer la journée dans un parc d'attraction de la région.
Pris par le travail je n'avais pas pu les accompagner, ni l'épouse de Jacques d'ailleurs.
Les souvenirs affluent maintenant, et notamment le retard qu'ils avaient eu, prétextant la fatigue, et un arrêt pour manger et se reposer.
- C’est super beau ce crépuscule, tu sais! J’aimerai te filmer nue !
- Encore, c'est devenu une manie depuis que tu as ce caméscope!
- Allez Martine, sois sympa ! Dit-il d'une voix implorante. Je t’assure, avec le soleil couchant, ça va être génial.
Consterné je comprends qu’il remet ça, encouragé par le résultat obtenu la fois précédente.
La réponse de ma femme ne me surprend même plus.
- Bon, d'accord! Quelle pose veux-tu ?
- Reste comme ça, à regarder l’horizon, c’est bien !
Mon épouse ôte sa robe, quitte slip et soutien-gorge, puis prend une pose un peu alanguie sur le rocher.
Aucun de ses gestes n’échappe à la caméra de Jacques qui a zoomé quand elle a dégrafé son soutien-gorge, filmant en gros plan la libération d’une opulente paire de seins, ronds et gonflés, aux tétons dressés.
A l’époque elle allaitait notre dernier enfant, ce qui avait sensiblement augmenté son volume mammaire, et érigeait ses tétons de manière quasi permanente.
C’est vrai qu'elle est belle, nue sur ce rocher, ses formes mises en valeur par la lumière rasante.
Il la filme ainsi quelques minutes, lui faisant prendre des poses souvent équivoques, qui mettent en valeur tous les détails de sa plantureuse anatomie.
Je me demande si elle réalise vraiment ce qui se passe, car elle obéit à toutes ses demandes.
Ce malin de Jacques, sous couvert de souvenirs un peu artistiques, se fait un petit film érotique à bon compte.
Et c'était assez efficace car je me rends compte que j'ai bel et bien une érection en regardant mon épouse, nue et bronzée, se livrer à la caméra.
- Bon cela va aller pour ce soir ! Finit-il par dire, si on se baignait, l'eau me semble bonne, non ! dit-il
- C'est vrai qu'elle bonne, répondit Martine, en s’avançant dans l'eau calme jusqu'aux genoux.
Mon copain dépose la caméra sur un rocher plat, mais le laisse en mode enregistrement, orienté vers la portion de plage ou se trouve Martine.
Elle a maintenant de l'eau jusqu'au ventre, et semble regarder en direction de Jacques que je ne vois pas.
Puis je reconnus sa silhouette dans le champ de l'objectif.
Totalement nu, il avance dans l’eau en direction d'Martine, qui le regarde s'approcher, détaillant à son tour son anatomie.
- Elle est un peu froide !
- Mais non, elle est bonne, viens! Dit-elle en s'enfonçant dans l'eau
- Brrrr,brrrrh! Bonne, c'est vite dit !
- Allez sois courageux !
Un peu désemparé, j'assiste à la baignade, dans le plus simple appareil de ma femme et de mon ami, un soir de septembre 1995.
Ils nagent ainsi quelques minutes, s'éloignant peu à peu de l'objectif, et seule leur tête dépasse.
Ils me paraissaient très proches l'un de l'autre, mais je ne les distingue plus très bien.
J'entends seulement leurs rires et leurs cris qui résonnent.
Puis leurs silhouettes se rapprochent à nouveau, Jacques nageant très prés derrière Martine, qui rit en criant:
- allez, lâche-moi, maintenant !
- D’accord, d’accord !
Ils sortent de l'eau, et malgré la lumière déclinante, je remarque que Jacques a ses mains sur les hanches de mon épouse, mais surtout, arbore une belle érection.
La vision de mon copain, qui bande comme un taureau, me trouble quelque peu, car c’est la première fois que je vois son anatomie.
Cela me laisse sans voix, d'autant que la femme qui l'excite ainsi est mon épouse.
Elle vient d'ailleurs de se saisir de la camera, et la tourne vers Jacques:
- A mon tour de te filmer, monsieur le cinéaste ! Fais nous voir ta musculature!
Plutôt petit, un peu enveloppé, les jambes poilues, Jacques n’est pas un apollon certes, mais je découvre que la nature l'a néanmoins bien doté.
Sans être très long, son pénis, épais et courbé, terminé par un gland effilé, est d’un diamètre conséquent, tout comme ses bourses qui paraissent bien remplies.
Une bite trapue, mais qui parait bien costaude.
- Mais c'est beau tout ça ! s'exclame Martine, en zoomant sur le sexe érigé.
Jacques prend quelques poses façon bodybuilder, tentant de faire ressortir ses muscles, avec pour seul résultat, de grands éclats de rire.
- il faudrait faire un peu de sport, tu ne crois pas, lui dit-elle en filmant le ventre rebondi par la bière.
Jacques s’étend sur sa serviette.
Elle le filme, debout au dessus de lui, puis sur le côté, zoomant sur le membre qui se dresse fièrement entre les cuisses poilues.
L’objectif s’attarde sur le membre de notre ami.
- Dis donc, c'est moi qui t'excite comme ça ?
- Je crois oui ! Répondit-il
L'image du gland lisse et gonflé a envahi l’écran et je me demande ce que ressent Martine, à ce moment là, en contemplant l'organe érigé de notre ami.
- Qu'est-ce qu'il faut faire ? C'est un peu troublant cette situation, non ?
- Tu pourrais poser la camera à coté, et t'occuper de moi ?
- M’occuper de toi ? Et une fois rentrés à la maison, qu'est-ce qui se passe ? Demanda-t-elle
- Rien, il ne passera rien ! Cela sera notre secret à nous !
- Tu crois ?
- Mais oui, cela ne dépend que de nous! On peut se faire un petit plaisir non ?
Quel fumier !
J'étais atterré, abasourdi par les dialogues que j'entendais, mais aussi, curieusement, comme hypnotisé par ce que je voyais.
Mon copain est nu, la bite raide, et c’est ma femme qui filme.
La camera vient d’être posée au sol, je ne vois plus que le sable de la plage et une partie du pied de Jacques.
Pendant quelques secondes je n'entends plus rien, puis peu à peu il me semble distinguer des gémissements:
- Hummm, hummmm... oui, c'est ça…!
Je reconnais la voix de Jacques, mais je ne vois que le sable blanc, et le bout de son pied immobile.
C'est insupportable.
Puis l'image se met à bouger, l'objectif semble tourner, et bientôt je découvre la scène dont j'étais privé.
Jacques, discrètement, a réussi à faire pivoter la camera et à l'orienter vers eux.
Et c’est le choc de ma vie !
Ma femme est agenouillée entre ses jambes, penchée vers l'avant, occupée à une fellation en règle.
Sa bouche monte et descend le long de la tige charnue, serrant le gland entre les lèvres, tirant à Jacques des râles de plaisir.
- Aahhhh, Martine… c’est bon....! Vas-y ! Suce-moi bien!
Il lui caresse les cheveux, accompagnant le mouvement de la tête sur sa queue.
- Tu suces bien, Martine ! C'est bon ! Continue !
Le spectacle me parait incroyable, et pourtant, c'est une réalité.
Martine, que j’ai toujours considéré comme un modèle de femme fidèle, un peu coincée côté sexe, est en train de sucer avec un bel entrain, la queue de Jacques, notre meilleur ami.
Effaré, je n’arrive pas à détourner le regard de sa bouche qui aspire goulûment ce sexe dressé qui n’est pas le mien.
- si tu veux te faire plaisir, c'est le moment, lui dit Jacques.
Je suis bien dur, non ?
- Pour être dur, tu es bien dur, c'est sûr! Répondit-elle en relevant la tête
Le sexe se dresse, tel un pieu magistral, prêt à l’honorer.
Je la sens hésiter, regardant tour à tour Jacques, puis son pénis.
Je pense qu'elle a oublié que la caméra tourne.
Elle semble avoir de l'intérêt pour le membre érigé qu'elle branle doucement, car je dois l’avouer, c’est une belle pièce, épaisse, visiblement vigoureuse.
- Tu oublies que je suis mariée, je pense que cela ne lui plaira pas !
- Il n'en saura rien! Je suis sûr que tu en as envie, non ?
- T'es vraiment excité, toi! Je vais te calmer, dit -elle, en se penchant à nouveau sur lui.
Je la vois reprendre la verge dans sa bouche, la branlant d'une main, tandis que de l'autre elle lui malaxe les couilles.
Sa main monte et descend à un rythme soutenu tandis que les lèvres et la langue s'occupent du gland, gonflé et cramoisi.
- Oohhh....Martine, c'est trop bon !
Jacques a relevé son bassin pour mieux s'enfoncer dans la bouche qui le déguste avidement.
Il réussit à glisser une main par en dessous et s’emploie à lui pétrir les seins tour à tour, enfonçant ses doigts épais dans la chair tendre et souple.
- Oohhh... je vais venir Martine ! ahhh....Martine….Ouiiii!
Hébété, je regarde la verge de mon ami disparaître presque complètement dans la bouche affamée qui l'aspire avec un délice évident.
De temps en temps elle s’interrompt pour juger du résultat, et le moins que l’on puise dire c’est que cette bite la fait saliver.
De longs filets de bave relient sa bouche au sexe de Jacques.
Mon épouse a soudain comme une sorte de hoquet, et cesse ses va-et-vient, tandis que Jacques se contracte sous elle.
Je comprends que ce salaud vient de lui jouir dans la gorge.
Après quelques secondes, elle se redresse, le regardant en souriant, les lèvres et le menton dégoulinant de sperme.
Manifestement elle a avalé la plus grande partie de la semence éjaculée.
Je n'en reviens pas.
Elle a toujours refusé de boire mon sperme lors de nos ébats, et là, avec Jacques, elle l'a fait spontanément.
- Alors on se sent mieux ?
- Putain, Martine, c'était trop bon ! Tu m'as fait du bien ! Cela fait longtemps que je n'avais pas joui comme ça!
- Je veux bien le croire ! répondit-elle. Tu en as lâché une sacré dose !
Elle se baisse et lèche à nouveau le membre trempé, suçant le gland avec gourmandise, tandis qu'il lui caresse doucement la tête.
L’érection de notre ami ne semble pas diminuer, son sexe se dresse toujours aussi fièrement, volumineux, avec des veines fortement gonflées par l’afflux du sang.
- Suce-le encore un peu, s’il te plait ! Demande Jacques. C’était si bon !
Complaisante, Martine referme ses lèvres serrées sur la tige de chair, et la pompe à nouveau, arrivant à l’engloutir totalement ce qui ne se lasse pas de m’épater.
- Whaooo….Martine…. ! C’est booon ça… !
Putain, elle remet ça, elle y a pris goût, ce n’est pas possible.
Je fulmine en regardant la vidéo, témoin impuissant de mon épouse qui se délecte du sexe de Jacques.
Parce que c’est bien de ça qu’il s’agit, les images ne trompent pas.
Martine prend plaisir avec cette fellation, déployant une aisance qui me trouble beaucoup, sa langue et ses lèvres faisant un travail admirable sur le gland congestionné de plaisir.
- Oooh… Le vais venir…. Maaartine… ! Ouuugh…. Ou….oui…ouiii… !
Martine a à peine le temps de le libérer, que Jacques éjacule une nouvelle fois en beuglant sa jouissance
Son sperme jaillit tel un geyser, et atterrit sur le visage de mon épouse, se répandant en gouttes épaisses et blanchâtre sur son front, ses yeux, ses joues.
-Eh… tu avais de la réserve, dis donc… ! Sourit-elle en se léchant les babines de la semence qui ruisselle lentement vers sa bouche.
Mon Dieu, elle en a partout, une vraie douche de foutre.
- C’est toi qui m’as excité comme ça… J’ai adoré ta bouche… !
- Tout ça reste entre nous, je compte sur toi…. Ce sera notre petit secret !
- D’accord Martine… ! Ne t’inquiète pas… je ne veux pas me fâcher avec Pierre.
-J'aime bien ton sexe finalement, il a bon goût ! Dit-elle en le nettoyant consciencieusement avec sa langue.
Puis l'image se coupa, et la neige envahit à nouveau l'écran.
Bien que déstabilisé par ce que je viens de découvrir, je rembobine un peu en arrière, car malgré tout cela m’a aussi beaucoup excité, et je me suis masturbé.
Je reviens aux images de la fellation, ou l'on distingue très nettement la bouche de mon épouse serrée autour de la verge de Jacques, l'aspirant goulûment.
Elle lui lèche le gland presque amoureusement, dégustant la protubérance de chair rose et lisse que sa salive rend brillante.
C’est absolument incroyable !
Elle n’est absolument pas forcée, c’est volontairement et avec beaucoup d’envie qu’elle avale le sexe épais de notre ami, lequel, ravi de l’aubaine, en profite pour lui peloter les seins, deux gros melons gorgés de lait maternel, qui pendent lourdement.
Le fieffé coquin !
J’avais déjà remarqué certains regards intéressés de sa part en direction de la poitrine de Martine, mais je ne pensais qu’il franchirait le pas.
A vingt-cinq ans, ses seins ronds et généreux se tenaient fièrement malgré leur taille, même sans soutien-gorge, et cela se remarquait.
Et bien, voilà, c’est fait, il est en train de les pétrir allègrement, appréciant sans aucun doute leur fermeté et leur poids accru par l’allaitement.
Dire que pendant ce temps j’étais à la maison, m’inquiétant de leur retard.
La vision de son gland qui disparaît entre les lèvres de ma femme me fait jouir et j'éjacule une large rasade de sperme sur le tapis de son salon.
Salaud de Jacques!
La neige a envahi l'écran, le film s’est terminé sur le visage de Martine maculé de sperme.
Les pensées tourbillonnent dans ma tête, avec des sentiments mêlés de colère et d’envie, de jalousie et de désir.
Je ne sais pas si j'en veux plus à mon épouse qui ne m'a pas vraiment trompé, ou à mon copain qui l'a incité sans trop abuser.
Jacques a-t-il fait visionner son film à d’autres ?
Je pense au nombre de gars qui se sont peut-être branlé en la regardant, certains sont peut-être de nos amis.
Oserai-je lui demander des comptes, après toutes ces années ?
En tous cas je connaissais désormais la vraie cause de leur retard ce jour-là.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Vraiment super pierre un mélange de nostalgie et de sexe continue comme ça
Très bon texte qui se veut une histoire vraie. Bravo