Un fist inoubliable.
Récit érotique écrit par Phil5974 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-01-2014 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Un fist inoubliable.
Je vis seul en appartement dans le seul but d'assouvir mes passions.. J'aime recevoir chez moi des hommes et me donner à eux. A 47 ans je suis divorcé depuis plusieurs années et je me suis aperçu que j'aimais la sodomie surtout quand elle est donné par des dominateurs plus jeunes que moi.
Je possède dans mes contacts un jeune homme de 25 ans qui vient assez souvent et je dois dire qu'il sait s'y prendre. Il m'utilise comme sa salope et n'hésite pas à me le dire pendant nos rapports. Parfois il passe le soir juste pour ce faire pomper. Il s'assied sur mon canapé pour regarder les infos en buvant une bière. On reste habillé, je le suce amoureusement en me faisant caresser les cheveux. Quand il jouit, il se crispe et m'inonde la bouche de son sperme chaud en abondance. Je m'empresse de tout avaler en continuant d'aspirer pour recueillir les dernières goutes, il est aux anges. Puis c'est à mon tour. J'ouvre ma braguette, je sors mon sexe gonflé de désir et je me masturbe pendant qu'il me regarde en m'encourageant :
"- Vas y ma salope; crache ton jus ! Samedi je passerais pour m'occuper de ton cul et peut-être te fister. Tu aimes quand je te baise avec ma main ?"
Rien que l'idée me fait jouir et je ne peux m'empêcher de lui répondre :
"- Ho oui ! J'adore me faire fister et me faire limer avec une main, ouverte ou fermée !"
Ça ne m'étonne pas qu'il me traite de salope ! Je fais tout pour ! J'ai du sperme sur ma main, je la nettoie avec ma langue en le regardant dans les yeux. Je veux qu'il continu de me voir alors je fais de mon mieux pour l'exciter, il n'est pas contre, mais il se lève pour me quitter. Ça ne m'empêche pas d'aller chercher un gode dans ma chambre et de l'utiliser pour calmer le feu en moi. J'ai ôté mon pantalon et mon slip, je suis assis sur le canapé les jambes en l'air et je m'astique la rondelle comme un fou. Je suis vraiment une salope.
Le samedi suivant dans l'après midi je me prépare. Je sais qu'il va venir, il m'a téléphoné la vielle. Je veux une hygiène irréprochable et j'ai en tête de lui montrer de quoi je suis capable. Je l'acceuille entièrement nu et à peine entré je me jete à genoux devant lui pour le sucer. Il est un peu surprit, mais il se laisse faire. Très vite je me retrouve debout contre la table pour une sodomie assez viril et j'ai juste le temps de me retourner pour qu'il se lâche dans ma bouche. Il est jeune et fougueux, il jouit vite, c'est à moi d'aller puiser dans ses réserves. Je le laisse reprendre ses esprits sur le canapé, j'en profite pour ouvrir le bar et d'en sortir une bouteille de whyski. Je lui offre un verre, puis je commence par lubrifier la bouteille. J'ai capté toute son attention.
"- Tu vas t'assoir la-dessus ?"
Sans lui répondre je pose le goulot par terre et je m'accroupie sur la bouteille. Je suis adepte des dilatatioins extrèmes et j'ai l'habitude de le faire en solitaire, aujourd'hui j'ai envie de partager. Petit à petit elle trouve le chemin en moi et je commence à remonter doucement pour mieux redescendre. Les mouvements sont longs, cest juste le début. Il n'en revient pas.
"- Nooon ! Quelle saloooope !"
Je suis heureux qu'il le remarque avec tout le mal que je me donne. J'accelère les mouvements. La bouteille coulisse sur toute la longueur, ça commence à l'exciter.
"- Putain j'ai jamais vu ça !"
Je coince le goulot entre mes pieds, je suis à genoux, j'ai les mains sur le sol, je creuse mes reins au maximum et je garde la cadence en haletant.
"- Ça te plait ? Moi ça m'excite de faire ça devant toi. Regarde."
Je m'allonge par terre, je lève les jambes en les écartant, j'attrape le goulot et je continue les vas et viens avec des allures de vitesses différentes.
"- Tu vois ? C'est ça que j'aime ! Me faire exploser le cul. Viens me la mettre profond, éclate-moi !"
Il ne se fait pas prier, maintenat c'est lui qui m'impose sa cadence. Je change de position, c'est à quatre pattes qu'il me défonce. J'halète, ma respiration devient aussi rapide que ses mouvements, je pose mes avants bras sur le sol, mon front aussi, ma croupe bien en l'air il vient se poser à califourchon au-dessus de moi, une main se pose sur ma fesse, l'autre s'active avec frénésie. Je l'encourage avec vigueur :
"- Vas y, n'hésite pas, casse-moi le cul c'est trop bon. Vas y, défonce ta salope ! J'en veux !"
Il m'en donne sans ménagements, je crie de plaisir tellement c'est intense. Je ne pensais pas qu'il aurait mit autant d'ardeur. Je n'y tiens plus et je lui demande qu'il me fiste. Je reste dans ma position sans bouger, je le vois enduire sa main de gel, et il m'honore. Sa main entre entièrement, je la sens. Il pousse le plus loin possible et la ferme. C'est avec son poing fermé qu'il me fouille. Je suis en extase :
"- Encore, ha oui, démonte-moi le cul, tape au fond, j'en veux encore, vas y !"
Sous l'action il me soulève avec la seule force de son avant bras, je n'aurais jamais changé ma place avec qui que ce soit. Après un long traitement il s'arrête. Nous sommes épuisés. Il s'assied de nouveau sur le canapé pour reprendre ses esprits, j'en profite pour le remercier à ma manière. C'est à dire que je m'agenouille entre ses jambes et je le gratifie d'une bonne pipe comme j'en ai le secret tout en me masturbant. J'avais raison, il jouit une deuxième fois, juste avant moi. Dehors il fait déjà noir, pas vu le temps passer. Il me laisse en me promettant de recommencer. J'espère bien !
Je possède dans mes contacts un jeune homme de 25 ans qui vient assez souvent et je dois dire qu'il sait s'y prendre. Il m'utilise comme sa salope et n'hésite pas à me le dire pendant nos rapports. Parfois il passe le soir juste pour ce faire pomper. Il s'assied sur mon canapé pour regarder les infos en buvant une bière. On reste habillé, je le suce amoureusement en me faisant caresser les cheveux. Quand il jouit, il se crispe et m'inonde la bouche de son sperme chaud en abondance. Je m'empresse de tout avaler en continuant d'aspirer pour recueillir les dernières goutes, il est aux anges. Puis c'est à mon tour. J'ouvre ma braguette, je sors mon sexe gonflé de désir et je me masturbe pendant qu'il me regarde en m'encourageant :
"- Vas y ma salope; crache ton jus ! Samedi je passerais pour m'occuper de ton cul et peut-être te fister. Tu aimes quand je te baise avec ma main ?"
Rien que l'idée me fait jouir et je ne peux m'empêcher de lui répondre :
"- Ho oui ! J'adore me faire fister et me faire limer avec une main, ouverte ou fermée !"
Ça ne m'étonne pas qu'il me traite de salope ! Je fais tout pour ! J'ai du sperme sur ma main, je la nettoie avec ma langue en le regardant dans les yeux. Je veux qu'il continu de me voir alors je fais de mon mieux pour l'exciter, il n'est pas contre, mais il se lève pour me quitter. Ça ne m'empêche pas d'aller chercher un gode dans ma chambre et de l'utiliser pour calmer le feu en moi. J'ai ôté mon pantalon et mon slip, je suis assis sur le canapé les jambes en l'air et je m'astique la rondelle comme un fou. Je suis vraiment une salope.
Le samedi suivant dans l'après midi je me prépare. Je sais qu'il va venir, il m'a téléphoné la vielle. Je veux une hygiène irréprochable et j'ai en tête de lui montrer de quoi je suis capable. Je l'acceuille entièrement nu et à peine entré je me jete à genoux devant lui pour le sucer. Il est un peu surprit, mais il se laisse faire. Très vite je me retrouve debout contre la table pour une sodomie assez viril et j'ai juste le temps de me retourner pour qu'il se lâche dans ma bouche. Il est jeune et fougueux, il jouit vite, c'est à moi d'aller puiser dans ses réserves. Je le laisse reprendre ses esprits sur le canapé, j'en profite pour ouvrir le bar et d'en sortir une bouteille de whyski. Je lui offre un verre, puis je commence par lubrifier la bouteille. J'ai capté toute son attention.
"- Tu vas t'assoir la-dessus ?"
Sans lui répondre je pose le goulot par terre et je m'accroupie sur la bouteille. Je suis adepte des dilatatioins extrèmes et j'ai l'habitude de le faire en solitaire, aujourd'hui j'ai envie de partager. Petit à petit elle trouve le chemin en moi et je commence à remonter doucement pour mieux redescendre. Les mouvements sont longs, cest juste le début. Il n'en revient pas.
"- Nooon ! Quelle saloooope !"
Je suis heureux qu'il le remarque avec tout le mal que je me donne. J'accelère les mouvements. La bouteille coulisse sur toute la longueur, ça commence à l'exciter.
"- Putain j'ai jamais vu ça !"
Je coince le goulot entre mes pieds, je suis à genoux, j'ai les mains sur le sol, je creuse mes reins au maximum et je garde la cadence en haletant.
"- Ça te plait ? Moi ça m'excite de faire ça devant toi. Regarde."
Je m'allonge par terre, je lève les jambes en les écartant, j'attrape le goulot et je continue les vas et viens avec des allures de vitesses différentes.
"- Tu vois ? C'est ça que j'aime ! Me faire exploser le cul. Viens me la mettre profond, éclate-moi !"
Il ne se fait pas prier, maintenat c'est lui qui m'impose sa cadence. Je change de position, c'est à quatre pattes qu'il me défonce. J'halète, ma respiration devient aussi rapide que ses mouvements, je pose mes avants bras sur le sol, mon front aussi, ma croupe bien en l'air il vient se poser à califourchon au-dessus de moi, une main se pose sur ma fesse, l'autre s'active avec frénésie. Je l'encourage avec vigueur :
"- Vas y, n'hésite pas, casse-moi le cul c'est trop bon. Vas y, défonce ta salope ! J'en veux !"
Il m'en donne sans ménagements, je crie de plaisir tellement c'est intense. Je ne pensais pas qu'il aurait mit autant d'ardeur. Je n'y tiens plus et je lui demande qu'il me fiste. Je reste dans ma position sans bouger, je le vois enduire sa main de gel, et il m'honore. Sa main entre entièrement, je la sens. Il pousse le plus loin possible et la ferme. C'est avec son poing fermé qu'il me fouille. Je suis en extase :
"- Encore, ha oui, démonte-moi le cul, tape au fond, j'en veux encore, vas y !"
Sous l'action il me soulève avec la seule force de son avant bras, je n'aurais jamais changé ma place avec qui que ce soit. Après un long traitement il s'arrête. Nous sommes épuisés. Il s'assied de nouveau sur le canapé pour reprendre ses esprits, j'en profite pour le remercier à ma manière. C'est à dire que je m'agenouille entre ses jambes et je le gratifie d'une bonne pipe comme j'en ai le secret tout en me masturbant. J'avais raison, il jouit une deuxième fois, juste avant moi. Dehors il fait déjà noir, pas vu le temps passer. Il me laisse en me promettant de recommencer. J'espère bien !
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Ou habites tu? J'ai 25 ans et suis dominateur ...
Julien
Julien
oui,pas plus que cela.