Un glaçon qui se dégèle...(1)
Récit érotique écrit par Bitrock [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-10-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Un glaçon qui se dégèle...(1)
« Salut c’est Pierre, ça va ? Dis Fred, j’ai une copine qui a besoin d’aide pour un petit boulot, mais je pars en vacances. T’aurais pas le temps, samedi. Ca doit prendre une demi-journée »
« Ouais, c’est quoi comme boulot, pas trop compliqué ? Et elle habite où cette copine ? »
« Tu l’as déjà vue, c’est Christine la petite avec des cheveux noirs qui était à côté de toi à l’annif de ma Sylvie. Voilà son adresse»
Le lendemain, passant dans le coin, je fais un détour jusque chez la Christine, pour voir ce qu’il y a à faire.
Elle m’ouvre, me reconnaît. « Bonjour » elle est vêtue d’un training informe qui cache ses formes, sinon elle a un très joli visage encadré de cheveux noirs mi-longs. De grands yeux bruns.
« Bonjour Christine, Pierre m’a dit que tu avais un petit boulot à faire »
« Ha oui, voilà.. » Elle me montre sa nouvelle cuisine « Les placeurs n’ont pas voulu faire un cache pour la hotte car c’est trop haut de plafond »
« Ok, ok, je vois »…. Mesurage, vérification de ce qu’il faut, explications de ce qu’elle veut….
Une demi-heure plus tard, je suis dehors, elle ne m’a même pas proposé un coup à boire !!! Quelle plaie, cette fille…
« Oui, me confirme Pierre, son ex-mari José, tu le connais aussi m’a dit que si tu lui mets un verre d’eau entre les jambes, elle en fait des glaçons….. »
Samedi matin, j’arrive sur place, elle m’ouvre la porte, elle est encore en peignoir qu’elle s’empresse de refermer un peu plus.
Elle termine de déjeuner pendant que j’amène le matériel. Elle me propose quand même une tasse de café. Je m’installe à table et je peux ainsi constater qu’elle a une sacrée belle paire de jambes bien galbées. Quand elle va chercher sa thermos, je peux admirer un beau petit cul serré dans son peignoir.
« Je te laisse, me dit-elle, je vais m’habiller »
Je décide de lui faire du rentre dedans pour voir sa réaction « Pour moi, tu peux rester comme ça ou mieux te déshabiller…. »
Elle rougit, hausse les épaules, soupire et s’en va presqu’en courant.
Je commence le travail, forage, découpe, vissage….. Le boulot avance bien. Quand elle revient enfin ; elle s’est faite toute belle. Elle porte une chemise dont elle a noué le bas à hauteur de son nombril et une jupe flottante qui lui descend à mi-cuisses.
« Je peux t’aider » demande-t-elle en regardant vers le haut car je suis monté sur une escabelle. Son regard se fixe …..En effet, vu la chaleur, j’ai mis un short assez ample…….sans slip (exprès, bien sur). Mon service « trois pièces » est bien exposé….
« J’ai fini de forer et de salir ; oui tu peux passer l’aspiro » comme elle ne réagit pas de suite « La vue te plait ? » Elle rougit de nouveau et part chercher son aspirateur.
Son émoi déclenche chez moi un début d’érection qui fait tendre mon short, si bien que quand elle revient, elle ne peut rien ignorer de mon état, mais elle feint l’indifférence.
Je sors couper des plaques de plaquo, dehors. Je la frôle en passant, mais elle recule instantanément.
Quand je reviens, elle est penchée sur son plan de travail, absorbée par sa tâche. Sa jupe est remontée et me laisse toute ses cuisses jusqu’à sa petite culotte en dentelle blanche.
Avec le bruit de son aspirateur, elle ne m’entend pas arriver.
Je viens me coller à elle, ma queue en semi érection placée juste entre ses fesses, mes mains empoignent directement ses seins à travers sa chemise.
Ils ne sont pas très gros mais j’en sens bien les tétons.
Elle pousse un cri de surprise, lâche le tuyau d’aspirateur, se cabre pour me repousser, mais elle n’est vraiment pas assez forte pour moi.
Je frotte mon sexe contre son cul et ma queue se raidit petit à petit. Je descends ma main droite vers son bas-ventre, lui remonte la jupe et commence à lui caresser la chatte à travers son slip. Elle se cabre encore mais bien plus mollement et surtout pousse un gémissement qui m’encourage, malgré sa main qui se pose sur mon poignet.
Après deux-trois passages de la main, je sens la moiteur de sa chatte à travers son slip. De mon majeur, je titille le haut de sa vulve et je sens durcir son bourgeon. Je refais un passage en enfonçant mon majeur qui suit l’ouverture de sa grotte. Son slip est devenu une éponge, tellement elle mouille. Je passe alors ma main à l’intérieur, écarte les lèvres et enfonce deux doigts dans son vagin trempé. Elle gémit de plus belle et maintenant, elle maintient fermement mon poignet pour que je continue. Mais j’ai très envie de gouter son jus, je ramène ma main à ma bouche pour lécher mes doigts pleins de sa liqueur.
Huummm, un délice ; du coup, je repars à l’assaut de son sexe où je replonge mes doigts et les retire aussitôt pour lui faire gouter sa propre cyprine.
Je recommence à lui masser le clitoris qui est maintenant bien proéminant, elle gémit de plus en plus et écarte d’elle-même un peu les jambes pour me faciliter l’accès.
Ma main gauche lâche le sein, que je pétrissais en même temps ; je déboutonne mon short qui me tombe sur les chevilles. Mon sexe, ainsi libéré, se redresse rapidement.
Je m’attaque alors à sa petite culotte, Christine laisse faire sans résister, elle termine même le travail quand celle-ci lui entrave les pieds. Et en plus, elle en profite pour shooter sur l’interrupteur de l’aspirateur qui tourne inutilement pour le moment !!!!!
Tout en lui caressant le clito de la main droite, j’empoigne ma bite de la gauche pour la diriger vers sa fente humide, j’y frotte doucement mon gland afin de bien l’humidifier avant de plier légèrement les genoux, car elle est plus petite que moi, afin de ma placer bien en face de son vagin. Et là, je la pénètre en remontant doucement….
« Houlà, va doucement, dit-elle, qu’est-ce que tu en as une grosse…. Vas y doucement !!!»
En effet, elle est très étroite, la Christine, j’ai du mal à entrer totalement, heureusement qu’elle mouille abondement. Je me redresse entièrement, je dois pour cela la soulever un peu et me retrouve totalement empalé en elle.
Christine en a le souffle coupé, elle gémit « Et qu’est ce qu’elle est longue….. »
J’entame alors une série de va-et vient pas très rapide pour lui détendre le vagin, avant d’accélérer quand je la sens enfin relâchée. Je lui soulève alors la jambe droite afin de l’ouvrir un peu plus. De ma main gauche, je me remets à lui caresser le clito tout en la ramonant de bon cœur.
Cinq minutes à ce régime et la voilà qui hurle « c’est bon, c’est bon, je jouis ooouuuuiiii »
Je ralentis alors et marque même un temps d’arrêt, ma queue bien à fond de son vagin.
Je la soulève et, toujours enfoncé en elle, je la porte jusqu’à la table de la cuisine. Je sors ma queue, pousse tout ce qui gène et la couche sur le dos, je lui soulève les jambes, replace son vagin à bonne hauteur et la reprend sans ménagement. Christine a les yeux grands ouverts de surprise, ses mains se posent sur ma poitrine et elle me griffe à travers mon t-shirt.
Ses chevilles sur mes épaules, je reprends de longs mouvements de va-et-vient. Sa chatte est maintenant bien ouverte et bien huilée, un vrai bonheur.
Christine pousse des longs gémissements, qui en disent long sur son bonheur. Elle jouit deux fois en quelques minutes.
Je la soulève une nouvelle fois (heureusement qu’elle n’est pas lourde), et m’assieds sur la chaise la plus proche, Christine est ainsi sur moi pour la première fois. Elle se laisse descendre bien à fond et ne bouge plus.
Elle passe alors les bras autour de mon cou et m’attire à elle pour m’embrasser goulûment….
Je place mes mains sous ses fesses pour la faire monter et descendre le long de mon membre, elle y met du sien aussi et entame une chevauchée hystérique. Ses montées sont lentes mais elle se laisse retomber vivement à chaque fois.
« Je sens ta queue à fond comme je n’en avais jamais senti aussi profond, dit-elle, et c’est bon !!! »
« Pourquoi, tu en as déjà senti beaucoup ? »
« Nooonnn, quatre, répond-elle, ooouuhhh, c’est pas vrai, je jouis encore…… tu vas me tuer !!!! »
En effet, elle jouit encore une fois, avant de s’écrouler sur mon épaule.
Je défais le nœud de sa chemise et la lui enlève, puis je dégrafe sa jupe et lui fait passer dessus la tête. Elle est maintenant entièrement nue, toujours empalée sur mon sexe qui ne faiblit pas. Je la laisse souffler tout en massant ses petits seins dont les tétons ne tardent pas à durcir et à pointer fièrement. Je les prends successivement en bouche, ce qu’elle a l’air d’apprécier.
Je me dis qu’il est tant pour moi de terminer car j’ai encore du travail !!!!!
Je la re-soulève, ressors ma queue, la fais tourner face à la table ; elle a compris, elle se penche en avant, la chatte juste à la bonne hauteur. C’est maintenant un jeu d’enfant de la pénétrer, j’y vais alors à grands coups. Mes mouvements réguliers et puissants font avancer la table jusqu’au mur qui était bien à 1m50 de la table.
Dix minutes plus tard, Christine n’en peut plus de jouissance, elle a encore jouit deux fois en criant, quand je sens monter dans ma queue une poussée libératrice.
Les mains tenant fermement les hanches de Christine, la queue fichée au fond de sa grotte, je jouis comme rarement. Christine, sentant ma puissante décharge, jouit une fois de plus, ces cris accompagnent les miens.
Après trois grosses giclées, je reprends un lent va-et-vient qui me tire encore quatre ou cinq contractions bienfaitrices.
J’ai rarement éjaculé autant, mon sperme reflue vers l’extérieur et commence déjà à couler le long les poils de Christine avant d’atteindre ses cuisses.
Je sors ma queue gluante de sa chatte qui reste entrouverte dégoulinante de sperme.
« Nom de dieu, que c’était bon, dis-je, en reculant pour admirer le tableau, et dire qu’on m’avait dis que tu étais un glaçon…. »
Christine se redresse doucement, elle contracte son vagin afin d’arrêter le flot de sperme qui s’en écoule. Elle attrape un essuie afin de stopper l’hémorragie.
« Et qui t’a dit ça, mon ex-mari peut-être ou alors ce con de Pierre ??? Ces deux petites bites qui n’ont jamais su me baiser convenablement !!!! » Sur ce, elle ramasse sa chemise et sa jupe et part vers la salle de bain.
Moi, je me saisis de ma queue, recueille un maximum du jus qui la macule, porte mes doigts à ma bouche pour bien gouter ce délicieux mélange de saveurs puis je la nettoie l’évier, remets mon short et reprends le travail.
Mais la journée n’est pas finie……….
« Ouais, c’est quoi comme boulot, pas trop compliqué ? Et elle habite où cette copine ? »
« Tu l’as déjà vue, c’est Christine la petite avec des cheveux noirs qui était à côté de toi à l’annif de ma Sylvie. Voilà son adresse»
Le lendemain, passant dans le coin, je fais un détour jusque chez la Christine, pour voir ce qu’il y a à faire.
Elle m’ouvre, me reconnaît. « Bonjour » elle est vêtue d’un training informe qui cache ses formes, sinon elle a un très joli visage encadré de cheveux noirs mi-longs. De grands yeux bruns.
« Bonjour Christine, Pierre m’a dit que tu avais un petit boulot à faire »
« Ha oui, voilà.. » Elle me montre sa nouvelle cuisine « Les placeurs n’ont pas voulu faire un cache pour la hotte car c’est trop haut de plafond »
« Ok, ok, je vois »…. Mesurage, vérification de ce qu’il faut, explications de ce qu’elle veut….
Une demi-heure plus tard, je suis dehors, elle ne m’a même pas proposé un coup à boire !!! Quelle plaie, cette fille…
« Oui, me confirme Pierre, son ex-mari José, tu le connais aussi m’a dit que si tu lui mets un verre d’eau entre les jambes, elle en fait des glaçons….. »
Samedi matin, j’arrive sur place, elle m’ouvre la porte, elle est encore en peignoir qu’elle s’empresse de refermer un peu plus.
Elle termine de déjeuner pendant que j’amène le matériel. Elle me propose quand même une tasse de café. Je m’installe à table et je peux ainsi constater qu’elle a une sacrée belle paire de jambes bien galbées. Quand elle va chercher sa thermos, je peux admirer un beau petit cul serré dans son peignoir.
« Je te laisse, me dit-elle, je vais m’habiller »
Je décide de lui faire du rentre dedans pour voir sa réaction « Pour moi, tu peux rester comme ça ou mieux te déshabiller…. »
Elle rougit, hausse les épaules, soupire et s’en va presqu’en courant.
Je commence le travail, forage, découpe, vissage….. Le boulot avance bien. Quand elle revient enfin ; elle s’est faite toute belle. Elle porte une chemise dont elle a noué le bas à hauteur de son nombril et une jupe flottante qui lui descend à mi-cuisses.
« Je peux t’aider » demande-t-elle en regardant vers le haut car je suis monté sur une escabelle. Son regard se fixe …..En effet, vu la chaleur, j’ai mis un short assez ample…….sans slip (exprès, bien sur). Mon service « trois pièces » est bien exposé….
« J’ai fini de forer et de salir ; oui tu peux passer l’aspiro » comme elle ne réagit pas de suite « La vue te plait ? » Elle rougit de nouveau et part chercher son aspirateur.
Son émoi déclenche chez moi un début d’érection qui fait tendre mon short, si bien que quand elle revient, elle ne peut rien ignorer de mon état, mais elle feint l’indifférence.
Je sors couper des plaques de plaquo, dehors. Je la frôle en passant, mais elle recule instantanément.
Quand je reviens, elle est penchée sur son plan de travail, absorbée par sa tâche. Sa jupe est remontée et me laisse toute ses cuisses jusqu’à sa petite culotte en dentelle blanche.
Avec le bruit de son aspirateur, elle ne m’entend pas arriver.
Je viens me coller à elle, ma queue en semi érection placée juste entre ses fesses, mes mains empoignent directement ses seins à travers sa chemise.
Ils ne sont pas très gros mais j’en sens bien les tétons.
Elle pousse un cri de surprise, lâche le tuyau d’aspirateur, se cabre pour me repousser, mais elle n’est vraiment pas assez forte pour moi.
Je frotte mon sexe contre son cul et ma queue se raidit petit à petit. Je descends ma main droite vers son bas-ventre, lui remonte la jupe et commence à lui caresser la chatte à travers son slip. Elle se cabre encore mais bien plus mollement et surtout pousse un gémissement qui m’encourage, malgré sa main qui se pose sur mon poignet.
Après deux-trois passages de la main, je sens la moiteur de sa chatte à travers son slip. De mon majeur, je titille le haut de sa vulve et je sens durcir son bourgeon. Je refais un passage en enfonçant mon majeur qui suit l’ouverture de sa grotte. Son slip est devenu une éponge, tellement elle mouille. Je passe alors ma main à l’intérieur, écarte les lèvres et enfonce deux doigts dans son vagin trempé. Elle gémit de plus belle et maintenant, elle maintient fermement mon poignet pour que je continue. Mais j’ai très envie de gouter son jus, je ramène ma main à ma bouche pour lécher mes doigts pleins de sa liqueur.
Huummm, un délice ; du coup, je repars à l’assaut de son sexe où je replonge mes doigts et les retire aussitôt pour lui faire gouter sa propre cyprine.
Je recommence à lui masser le clitoris qui est maintenant bien proéminant, elle gémit de plus en plus et écarte d’elle-même un peu les jambes pour me faciliter l’accès.
Ma main gauche lâche le sein, que je pétrissais en même temps ; je déboutonne mon short qui me tombe sur les chevilles. Mon sexe, ainsi libéré, se redresse rapidement.
Je m’attaque alors à sa petite culotte, Christine laisse faire sans résister, elle termine même le travail quand celle-ci lui entrave les pieds. Et en plus, elle en profite pour shooter sur l’interrupteur de l’aspirateur qui tourne inutilement pour le moment !!!!!
Tout en lui caressant le clito de la main droite, j’empoigne ma bite de la gauche pour la diriger vers sa fente humide, j’y frotte doucement mon gland afin de bien l’humidifier avant de plier légèrement les genoux, car elle est plus petite que moi, afin de ma placer bien en face de son vagin. Et là, je la pénètre en remontant doucement….
« Houlà, va doucement, dit-elle, qu’est-ce que tu en as une grosse…. Vas y doucement !!!»
En effet, elle est très étroite, la Christine, j’ai du mal à entrer totalement, heureusement qu’elle mouille abondement. Je me redresse entièrement, je dois pour cela la soulever un peu et me retrouve totalement empalé en elle.
Christine en a le souffle coupé, elle gémit « Et qu’est ce qu’elle est longue….. »
J’entame alors une série de va-et vient pas très rapide pour lui détendre le vagin, avant d’accélérer quand je la sens enfin relâchée. Je lui soulève alors la jambe droite afin de l’ouvrir un peu plus. De ma main gauche, je me remets à lui caresser le clito tout en la ramonant de bon cœur.
Cinq minutes à ce régime et la voilà qui hurle « c’est bon, c’est bon, je jouis ooouuuuiiii »
Je ralentis alors et marque même un temps d’arrêt, ma queue bien à fond de son vagin.
Je la soulève et, toujours enfoncé en elle, je la porte jusqu’à la table de la cuisine. Je sors ma queue, pousse tout ce qui gène et la couche sur le dos, je lui soulève les jambes, replace son vagin à bonne hauteur et la reprend sans ménagement. Christine a les yeux grands ouverts de surprise, ses mains se posent sur ma poitrine et elle me griffe à travers mon t-shirt.
Ses chevilles sur mes épaules, je reprends de longs mouvements de va-et-vient. Sa chatte est maintenant bien ouverte et bien huilée, un vrai bonheur.
Christine pousse des longs gémissements, qui en disent long sur son bonheur. Elle jouit deux fois en quelques minutes.
Je la soulève une nouvelle fois (heureusement qu’elle n’est pas lourde), et m’assieds sur la chaise la plus proche, Christine est ainsi sur moi pour la première fois. Elle se laisse descendre bien à fond et ne bouge plus.
Elle passe alors les bras autour de mon cou et m’attire à elle pour m’embrasser goulûment….
Je place mes mains sous ses fesses pour la faire monter et descendre le long de mon membre, elle y met du sien aussi et entame une chevauchée hystérique. Ses montées sont lentes mais elle se laisse retomber vivement à chaque fois.
« Je sens ta queue à fond comme je n’en avais jamais senti aussi profond, dit-elle, et c’est bon !!! »
« Pourquoi, tu en as déjà senti beaucoup ? »
« Nooonnn, quatre, répond-elle, ooouuhhh, c’est pas vrai, je jouis encore…… tu vas me tuer !!!! »
En effet, elle jouit encore une fois, avant de s’écrouler sur mon épaule.
Je défais le nœud de sa chemise et la lui enlève, puis je dégrafe sa jupe et lui fait passer dessus la tête. Elle est maintenant entièrement nue, toujours empalée sur mon sexe qui ne faiblit pas. Je la laisse souffler tout en massant ses petits seins dont les tétons ne tardent pas à durcir et à pointer fièrement. Je les prends successivement en bouche, ce qu’elle a l’air d’apprécier.
Je me dis qu’il est tant pour moi de terminer car j’ai encore du travail !!!!!
Je la re-soulève, ressors ma queue, la fais tourner face à la table ; elle a compris, elle se penche en avant, la chatte juste à la bonne hauteur. C’est maintenant un jeu d’enfant de la pénétrer, j’y vais alors à grands coups. Mes mouvements réguliers et puissants font avancer la table jusqu’au mur qui était bien à 1m50 de la table.
Dix minutes plus tard, Christine n’en peut plus de jouissance, elle a encore jouit deux fois en criant, quand je sens monter dans ma queue une poussée libératrice.
Les mains tenant fermement les hanches de Christine, la queue fichée au fond de sa grotte, je jouis comme rarement. Christine, sentant ma puissante décharge, jouit une fois de plus, ces cris accompagnent les miens.
Après trois grosses giclées, je reprends un lent va-et-vient qui me tire encore quatre ou cinq contractions bienfaitrices.
J’ai rarement éjaculé autant, mon sperme reflue vers l’extérieur et commence déjà à couler le long les poils de Christine avant d’atteindre ses cuisses.
Je sors ma queue gluante de sa chatte qui reste entrouverte dégoulinante de sperme.
« Nom de dieu, que c’était bon, dis-je, en reculant pour admirer le tableau, et dire qu’on m’avait dis que tu étais un glaçon…. »
Christine se redresse doucement, elle contracte son vagin afin d’arrêter le flot de sperme qui s’en écoule. Elle attrape un essuie afin de stopper l’hémorragie.
« Et qui t’a dit ça, mon ex-mari peut-être ou alors ce con de Pierre ??? Ces deux petites bites qui n’ont jamais su me baiser convenablement !!!! » Sur ce, elle ramasse sa chemise et sa jupe et part vers la salle de bain.
Moi, je me saisis de ma queue, recueille un maximum du jus qui la macule, porte mes doigts à ma bouche pour bien gouter ce délicieux mélange de saveurs puis je la nettoie l’évier, remets mon short et reprends le travail.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Maintenant faut sodomiser le glacon!
Ca sera un exploit dont on parlera longtemps dans les livres d'histoire...
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