Un grand fantasme
Récit érotique écrit par Récits Interdits [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-04-2022 dans la catégorie Pour la première fois
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Un grand fantasme
Voici ma première histoire érotique que je publie sur ce site.
Si vous avez des suggestions à me faire ou des commentaires dont vous voulez me faire part, n'hésitez pas à me contacter à mon adresse email. Je vais donc vous raconter un de mes plus grand fantasmes. Cela fait plus de 3 ans que je suis avec ma petite amie, que je vais appeler Alice pour conserver son anonymat, nous nous aimons beaucoup tous les deux et la confiance règne. Cependant, côté vie sexuelle, la routine s’est installée depuis quelques temps. Nous avons utilisé un site Internet qui demande à chacun ses fantasmes et ne montre ensuite que les fantasmes qui sont partagés par les deux. Il en est ressorti le fantasme du libertinage dans un spa. Au début cela m’a fait bizarre de savoir que ma copine voulait faire ses choses là avec d’autres mais je me suis rappelé que j’avais envie de la même chose donc que ça allait. Après une longue discussion et quelques recherches sur le net, nous avons trouvé un spa libertin pour couples uniquement. Nous avons donc décidé de nous y rendre le lendemain pour y passer la journée : le site propose un bar avec des snacks, des rafraîchissements et des préservatifs en libre-service dans toutes les pièces. Le lendemain, nous nous y sommes rendus, tout excités. Nous entrons dans le l’immeuble qui a une devanture très discrète, l’intérieur est très sobre, très minimaliste, le réceptionniste nous accueille très gentiment et nous explique comment tout cela marche. Nous passons donc la porte vers « le lieu de tous les possible », selon les termes de ce dernier, et nous nous sommes dirigés vers les vestiaires : ce sont des vestiaires individuels très simples avec des coffres forts comme dans les piscines municipales. Avant les vestiaires, une dame qui devait avoir la cinquantaine bien passée nous donne une clé pour notre coffre-fort. Nous nous changeons finalement dans la même cabine pour commencer à nous chauffer un peu. Je pense qu’il est temps de nous décrire physiquement : je suis un homme d’à peu près un mètre quatre-vingts, 75 kilos, yeux marrons verts, poilu mais pas à outrance c’est-à-dire une pilosité maîtrisée et un pénis d’une quinzaine de centimètres. Ma copine est une femme d’un mètre soixante, brune aux yeux marrons, une peau bronzée et des formes peu marquées mais qui donne un beau rendu, un bonnet C95, des seins en poire avec les têtons qui partent dans des directions opposés, des fesses bien rebondies et un pubis rasé pour l’occasion. Lorsque je me dirige vers la porte pour sortir, j’ai un léger blocage, c’est la première fois que je vais me montrer nu à des inconnus devant ma femme et inversement. Elle a l’air aussi hésitante que moi mais nous y allons quand même. Nous fermons notre coffre et nous ne voyons encore personne. Il y a un rideau occultant rouge qui semble cacher une musique sensuelle. Nous passons le rideau et voyons une espèce de bar à moitié rempli mais où les gens sont entièrement nus. Je regarde ma copine qui a le visage plus rouge qu’une tomate et qui cache ses parties intimes avec sa main gauche et son bras droit en se mettant derrière moi. Je lui chuchote dans l’oreille que tout va bien se passer et elle me dit qu’elle ne sait pas trop comment commencer. Je la prends par la main et je nous emmène vers un couple qui a l’air de bien discuter : « Désolé, c’est la première fois que nous venons ici, nous ne savons pas quoi faire, est ce que vous pouvez nous éclairer ? ». Les deux nous proposèrent d’aller au sauna afin de commencer en douceur. Nous y allons et nous découvrons une salle de quelques mètres carrés avec des hommes aux pénis découverts et mous. Il y en a de toutes les sortes, des petits, des moyens, des imposants, des clairs, des bronzés etc… Nous rentrons et nous nous asseyons en riant de la situation. A peine sommes nous assis qu’un homme se met à côté d’Alice et commence à lui caresser les seins. Elle recommence à devenir rouge, elle me regarde dans les yeux mais je suis absorbé par la vision de ses seins touchés par un autre homme que moi. Cependant je vois que ses têtons commencent à se durcir et à pointer et je lui réponds « c’est le jeu ma pov’ Lucette ». D’autres hommes commencent alors à venir vers elle : un l’embrasse tandis que l’autre lui écarte les jambes : « Alors comme ça on mouille ma coquine ? » En effet, sa chatte était toute humide et le bois un peu trempé. Ce dernier commence à lui enfoncer un doigt et elle ne peut se permettre de pousser un petit gémissement. Je commence à être excité et ma bite commence à durcir. Alice commence à s’allonger sur le dos et à laisser ses jambes écartées et un homme la pénètre sans même la regarder. Je vois qu’elle prend du plaisir, que ses yeux et ça tête bouge de manière incontrôlable. Elle ne s’arrête pas de gémir mais elle se tait lorsqu’un homme commence à lui mettre son engin dans sa bouche. Ses seins deviennent de plus en plus rouges et elle n’arrête pas d’avoir des spasmes. A travers un râle viril, je comprends que l’homme qui était en elle, qui la pénétrait, avait joui. Il m’a regardé et m’a mis sa bite devant ma bouche. Je l’ai d’abord laissé juste sur le bout de mes lèvres puis j’ai ouvert la bouche et il l’a enfoncé. Elle avait le goût d’Alice et de son sperme encore frais. Alors que je commence à éprouver du plaisir à cette gymnastique buccale. Son pénis est long, dur et droit comme un laser. C’est la première fois que je touche un gland et que j’en ai un dans la bouche : c’est tout doux et très agréable contre le palet. Son sperme est amer et salé. Je vois que les hommes se partagent ma copine devant moi et éjaculent dans son vagin chacun à leur tour. Je ne sais pas combien de temps dure cela mais j’ai l’impression que le temps s’est arrêté rien que pour nous. Ma femme ne regarde rien et ferme les yeux en criant de plaisir. Je ne l’avais jamais entendu faire ça avant. Elle joui et redemande à sucer des pénis aux hommes qui sont rentrés en elle. Elle dit à tout le monde qu’elle a eu le plus bel orgasme de la vie. Une fois que chacun eut finit ses petites affaires, Alice et moi sommes partis de ce sauna qui nous faisait étouffer. Nous avions remarqué la présence de douches « chaud-froid », douche qui sont aléatoirement froides et chaudes dans le temps. Elle me plaque contre le mur, active l’eau, prend ma main et la met sur ses petites lèvres : elles sont encore toutes chaudes et je sens le sperme des précédents participants couler petit à petit sur mon doigt. Au bout d’un certain temps, elle retire ma main et voyant mes doigts recouverts, m’ordonne de tout avaler. Je ne l’avais jamais vu aussi excité qu’aujourd’hui donc j’ai obéi à son ordre. A ce moment-là, une femme d’une trentaine d’années arrive. Elle est grande, un peu plus grande que moi, assez fine avec des courbes très marqués et des seins parfaits, des yeux bleux et des cheveux blonds et frisés, un pubis touffu mais sans être une véritable savane et un regard de déesse. Elle commence à se mettre à genoux devant moi. Elle prend la main d’Alice et lui dit : « allez fais comme moi, tu verras, tu vas trouver ça sympa. » Impressionné par cette scène, mon pénis qui s’était ramolli est devenu dur comme un pilier en une fraction de seconde, de manière tellement intense que j’ai senti mon gland toucher les lèvres de l’inconnue et cogner son nez. « Tu vois, même à lui ça lui plait regardes », elle baisse la tête et se met à genoux. Au même moment, l’inconnue commence à me lécher la verge et a s’agripper à mes fesses. Alice commence alors à tout avaler et fait des allers-retours comme jamais elle n’en avait fait auparavant. Quand Alice s’arrête, l’inconnue fait très attention à mon gland avec des légers baisers et des petits coups de langue très appréciables. Je ferme les yeux et profite des sensations inédites que cela procure, mais je suis rapidement revenu sur terre lorsque je sens un doigt s’insérer dans mon anus. Je le reconnais : ce n’est pas le doigt de ma petite amie, c’est celui de l’autre femme. Elle l’enfonce assez profondément et commence à me sentir gêné mais elle touche un point que je n’avais encore jamais connu (j’appris plus tard l’existence d’un certain point P) et je sentis monter tout mon sperme d’un coup et tout sortir avec une puissance étonnante. Alice, qui avait encore mon pénis en bouche, s’est vu submergée de ma semence : elle en avait avalé une partie mais l’autre dégoulinait de ses lèvres et coulait de son menton jusqu’à la partie entre les seins. L’inconnue se déplaça et embrassa langoureusement ma copine devant moi sans un mot. Sans même leur parler, je sentais dans leur mouvement qu’elles y prenaient du plaisir. J’ai juste regardé sans rien dire. Puis au bout d’un moment, l’inconnue est partie aussi vite qu’elle est arrivée et nous nous retrouvions une nouvelle fois tous les deux, seuls sous la douche, nus, exposés à tous le monde, complètement excités. Nous sommes allés dans la piscine du spa et nous avons discuté quelques heures des sensations éprouvés durant cette journée. Au bout d’une heure de discussion, de bain à bulle, de cocktail et de voyeurisme discret, nous sommes partis. Il faisait noir dehors et nous n’avions pas spécialement fin. Une fois rentrés, Alice m’avoua qu’elle avait vraiment apprécié l’idée et qu’elle recommencerait bien.
Si vous avez des suggestions à me faire ou des commentaires dont vous voulez me faire part, n'hésitez pas à me contacter à mon adresse email. Je vais donc vous raconter un de mes plus grand fantasmes. Cela fait plus de 3 ans que je suis avec ma petite amie, que je vais appeler Alice pour conserver son anonymat, nous nous aimons beaucoup tous les deux et la confiance règne. Cependant, côté vie sexuelle, la routine s’est installée depuis quelques temps. Nous avons utilisé un site Internet qui demande à chacun ses fantasmes et ne montre ensuite que les fantasmes qui sont partagés par les deux. Il en est ressorti le fantasme du libertinage dans un spa. Au début cela m’a fait bizarre de savoir que ma copine voulait faire ses choses là avec d’autres mais je me suis rappelé que j’avais envie de la même chose donc que ça allait. Après une longue discussion et quelques recherches sur le net, nous avons trouvé un spa libertin pour couples uniquement. Nous avons donc décidé de nous y rendre le lendemain pour y passer la journée : le site propose un bar avec des snacks, des rafraîchissements et des préservatifs en libre-service dans toutes les pièces. Le lendemain, nous nous y sommes rendus, tout excités. Nous entrons dans le l’immeuble qui a une devanture très discrète, l’intérieur est très sobre, très minimaliste, le réceptionniste nous accueille très gentiment et nous explique comment tout cela marche. Nous passons donc la porte vers « le lieu de tous les possible », selon les termes de ce dernier, et nous nous sommes dirigés vers les vestiaires : ce sont des vestiaires individuels très simples avec des coffres forts comme dans les piscines municipales. Avant les vestiaires, une dame qui devait avoir la cinquantaine bien passée nous donne une clé pour notre coffre-fort. Nous nous changeons finalement dans la même cabine pour commencer à nous chauffer un peu. Je pense qu’il est temps de nous décrire physiquement : je suis un homme d’à peu près un mètre quatre-vingts, 75 kilos, yeux marrons verts, poilu mais pas à outrance c’est-à-dire une pilosité maîtrisée et un pénis d’une quinzaine de centimètres. Ma copine est une femme d’un mètre soixante, brune aux yeux marrons, une peau bronzée et des formes peu marquées mais qui donne un beau rendu, un bonnet C95, des seins en poire avec les têtons qui partent dans des directions opposés, des fesses bien rebondies et un pubis rasé pour l’occasion. Lorsque je me dirige vers la porte pour sortir, j’ai un léger blocage, c’est la première fois que je vais me montrer nu à des inconnus devant ma femme et inversement. Elle a l’air aussi hésitante que moi mais nous y allons quand même. Nous fermons notre coffre et nous ne voyons encore personne. Il y a un rideau occultant rouge qui semble cacher une musique sensuelle. Nous passons le rideau et voyons une espèce de bar à moitié rempli mais où les gens sont entièrement nus. Je regarde ma copine qui a le visage plus rouge qu’une tomate et qui cache ses parties intimes avec sa main gauche et son bras droit en se mettant derrière moi. Je lui chuchote dans l’oreille que tout va bien se passer et elle me dit qu’elle ne sait pas trop comment commencer. Je la prends par la main et je nous emmène vers un couple qui a l’air de bien discuter : « Désolé, c’est la première fois que nous venons ici, nous ne savons pas quoi faire, est ce que vous pouvez nous éclairer ? ». Les deux nous proposèrent d’aller au sauna afin de commencer en douceur. Nous y allons et nous découvrons une salle de quelques mètres carrés avec des hommes aux pénis découverts et mous. Il y en a de toutes les sortes, des petits, des moyens, des imposants, des clairs, des bronzés etc… Nous rentrons et nous nous asseyons en riant de la situation. A peine sommes nous assis qu’un homme se met à côté d’Alice et commence à lui caresser les seins. Elle recommence à devenir rouge, elle me regarde dans les yeux mais je suis absorbé par la vision de ses seins touchés par un autre homme que moi. Cependant je vois que ses têtons commencent à se durcir et à pointer et je lui réponds « c’est le jeu ma pov’ Lucette ». D’autres hommes commencent alors à venir vers elle : un l’embrasse tandis que l’autre lui écarte les jambes : « Alors comme ça on mouille ma coquine ? » En effet, sa chatte était toute humide et le bois un peu trempé. Ce dernier commence à lui enfoncer un doigt et elle ne peut se permettre de pousser un petit gémissement. Je commence à être excité et ma bite commence à durcir. Alice commence à s’allonger sur le dos et à laisser ses jambes écartées et un homme la pénètre sans même la regarder. Je vois qu’elle prend du plaisir, que ses yeux et ça tête bouge de manière incontrôlable. Elle ne s’arrête pas de gémir mais elle se tait lorsqu’un homme commence à lui mettre son engin dans sa bouche. Ses seins deviennent de plus en plus rouges et elle n’arrête pas d’avoir des spasmes. A travers un râle viril, je comprends que l’homme qui était en elle, qui la pénétrait, avait joui. Il m’a regardé et m’a mis sa bite devant ma bouche. Je l’ai d’abord laissé juste sur le bout de mes lèvres puis j’ai ouvert la bouche et il l’a enfoncé. Elle avait le goût d’Alice et de son sperme encore frais. Alors que je commence à éprouver du plaisir à cette gymnastique buccale. Son pénis est long, dur et droit comme un laser. C’est la première fois que je touche un gland et que j’en ai un dans la bouche : c’est tout doux et très agréable contre le palet. Son sperme est amer et salé. Je vois que les hommes se partagent ma copine devant moi et éjaculent dans son vagin chacun à leur tour. Je ne sais pas combien de temps dure cela mais j’ai l’impression que le temps s’est arrêté rien que pour nous. Ma femme ne regarde rien et ferme les yeux en criant de plaisir. Je ne l’avais jamais entendu faire ça avant. Elle joui et redemande à sucer des pénis aux hommes qui sont rentrés en elle. Elle dit à tout le monde qu’elle a eu le plus bel orgasme de la vie. Une fois que chacun eut finit ses petites affaires, Alice et moi sommes partis de ce sauna qui nous faisait étouffer. Nous avions remarqué la présence de douches « chaud-froid », douche qui sont aléatoirement froides et chaudes dans le temps. Elle me plaque contre le mur, active l’eau, prend ma main et la met sur ses petites lèvres : elles sont encore toutes chaudes et je sens le sperme des précédents participants couler petit à petit sur mon doigt. Au bout d’un certain temps, elle retire ma main et voyant mes doigts recouverts, m’ordonne de tout avaler. Je ne l’avais jamais vu aussi excité qu’aujourd’hui donc j’ai obéi à son ordre. A ce moment-là, une femme d’une trentaine d’années arrive. Elle est grande, un peu plus grande que moi, assez fine avec des courbes très marqués et des seins parfaits, des yeux bleux et des cheveux blonds et frisés, un pubis touffu mais sans être une véritable savane et un regard de déesse. Elle commence à se mettre à genoux devant moi. Elle prend la main d’Alice et lui dit : « allez fais comme moi, tu verras, tu vas trouver ça sympa. » Impressionné par cette scène, mon pénis qui s’était ramolli est devenu dur comme un pilier en une fraction de seconde, de manière tellement intense que j’ai senti mon gland toucher les lèvres de l’inconnue et cogner son nez. « Tu vois, même à lui ça lui plait regardes », elle baisse la tête et se met à genoux. Au même moment, l’inconnue commence à me lécher la verge et a s’agripper à mes fesses. Alice commence alors à tout avaler et fait des allers-retours comme jamais elle n’en avait fait auparavant. Quand Alice s’arrête, l’inconnue fait très attention à mon gland avec des légers baisers et des petits coups de langue très appréciables. Je ferme les yeux et profite des sensations inédites que cela procure, mais je suis rapidement revenu sur terre lorsque je sens un doigt s’insérer dans mon anus. Je le reconnais : ce n’est pas le doigt de ma petite amie, c’est celui de l’autre femme. Elle l’enfonce assez profondément et commence à me sentir gêné mais elle touche un point que je n’avais encore jamais connu (j’appris plus tard l’existence d’un certain point P) et je sentis monter tout mon sperme d’un coup et tout sortir avec une puissance étonnante. Alice, qui avait encore mon pénis en bouche, s’est vu submergée de ma semence : elle en avait avalé une partie mais l’autre dégoulinait de ses lèvres et coulait de son menton jusqu’à la partie entre les seins. L’inconnue se déplaça et embrassa langoureusement ma copine devant moi sans un mot. Sans même leur parler, je sentais dans leur mouvement qu’elles y prenaient du plaisir. J’ai juste regardé sans rien dire. Puis au bout d’un moment, l’inconnue est partie aussi vite qu’elle est arrivée et nous nous retrouvions une nouvelle fois tous les deux, seuls sous la douche, nus, exposés à tous le monde, complètement excités. Nous sommes allés dans la piscine du spa et nous avons discuté quelques heures des sensations éprouvés durant cette journée. Au bout d’une heure de discussion, de bain à bulle, de cocktail et de voyeurisme discret, nous sommes partis. Il faisait noir dehors et nous n’avions pas spécialement fin. Une fois rentrés, Alice m’avoua qu’elle avait vraiment apprécié l’idée et qu’elle recommencerait bien.
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