Un gros navet !
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-12-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Un gros navet !
"Pascal ! Bouges-toi ! On va rater le début de la séance !".
C'est mon gros défaut, je suis toujours en retard.
Mais l'amour de ma vie sait me secouer quand il faut !
Comme vous l'avez compris, on a décidé de se faire une toile.
Sans avoir de choix de film précis, c'était encore l'époque ou le cinéma était abordable !
C'est ce genre de jour, ou vous vous sentez heureux d'être avec la personne que vous aimez.
Nous descendons les marches de l'immeuble en se donnant la main comme des amoureux.
Tout le trajet en bus est fait de tendres attentions, baisers doux et "Je t'aime" innombrables.
Devant le cinéma, on hésite pour faire un choix, les films proposés ne sont pas engageants, on est un peu déçus.
On essaie d'autres salles, situées aux alentours, mais c'est guère mieux.
On opte pour un film policier américain.
Nos tickets récupérés, on s'installe au milieu de la salle.
On regarde les pubs d'avant séance, un couple quarantenaire s'assoit dans la rangée derrière nous.
Je ne sais pas pourquoi, mais la tenue de la femme me trouble beaucoup, malgré son Age.
Sa poitrine saillante m'excite énormément, mais son mari remarque mon regard.
Il me fixe avec un sourire malicieux.
Vous savez comme c'est, plus vous devez vous empêcher de regarder et plus vous le faites !
Le film commence, très rapidement, au bout de trente minutes environ, je suis pris d'une envie pressante.
Comme le film est un navet sans nom, je ne me retiens pas et préviens ma belle que je dois me rendre aux toilettes.
"Tu vas rater le film !".
"Euh, franchement ! C'est pas grave ! Il est naze !".
"Ouais ! T'as raison ! Je t'attends !".
En me levant, après avoir fait quelques mètres, j'entends un siège se lever.
Je me rend aux WC les plus proches, puis déballe mon sexe pour uriner.
Le mari de la femme, aux seins si excitants, entre alors.
Je suis tétanisé, je crains qu'il aborde le sujet de mes regards incessants, et veuille en arriver aux mains.
Il se place à coté de moi, qui ai terminé de me soulager.
Il libère sa queue.
J'hallucine, il est en érection ! Et il a une bite superbe !
Il me regarde en passant sa langue entre ses lèvres.
J'y crois pas, il est en train de me proposer de le sucer !
"Apparemment, tu me reconnais pas ! Je t'ai baisé un soir, au petit jardin public de la porte d'Italie !".
"Désolé, je ne m'en souviens pas !".
"Normal, il faisait sombre à cette heure là ! Tu veux pas qu'on baise vite fait, dans les chiottes ?".
"Maintenant ? Mais ma femme va se poser des questions ! Et la tienne ?".
"Justement, il faut pas perdre de temps !".
Je résiste un petit instant, mais il m'entraine dans le cabinet, il n'a aucun mal, vu sa carrure de rugbyman !
La porte est fermée, il m'appuie fortement sur les épaules.
J'avoue que devant son objet de plaisir, je ne peux que céder, j'ai envie de le mettre dans ma bouche !
Il conduit mon visage vers sa queue magnifique. Je suis pris par une énorme excitation, causée par la situation.
Son gros gland vient trouver le fond de ma gorge, lui provoquant des gémissements de bonheur pénien.
Je pose ma main sur sa base, afin de lui dévorer la bite consciencieusement.
Je m'applique à lui procurer le plus de plaisir possible avec ma bouche.
"Putain, j'adore comme tu me suces, mais je vais t'enculer maintenant, on va gagner du temps !".
Il m'aide à me relever, et se presse de me dévêtir le cul.
Il me plaque au mur au dessus de la cuvette.
Il crache au bout de ses doigts, puis vise mon anus avec sa salive, pendant qu'il couvre son gland de ce lubrifiant naturel.
"Putain, j'en ai trop envie ! Dès que je t'ai reconnu, j'ai pensé qu'à ton cul de salope ! J'ai adoré t'enculer la dernière fois !".
Et moi qui pensait, qu'il me regardait à cause de ma fixation, sur les nichons de sa femme !
Son sexe pousse fortement contre mon anus.
"Arhhhhh ! Pas si vite, tu me fais mal !".
"Oh, pardon ! Désolé, tu m'excites trop !".
Il recule, puis reviens, mon œillet s'ouvre un peu plus, je le reçoit plus profondément.
Je le retiens en mettant une main derrière moi, sur son bassin, puis mon anus se détend enfin et je pose ma main contre le mur à nouveau.
Il a comprit.
"C'est bon, je peux te défoncer ?".
"Oui ! Vas -y ! Lâches-toi !".
Je n'aurais peut-être pas du, dire ça !
Il se lance dans une baise effrénée de mon cul.
Mon visage est écrasé contre le mur, je prend très rapidement un orgasme puissant, dont il ne se soucie guère.
Ce qu'il veut, c'est jouir le plus vite possible, en m'enculant !
Je reçois ses assauts, avec de plus en plus d'amplitude, sa bite se couvre de mon jus anal.
Je retiens mes râles, ses couilles claquent contre les miennes.
Je râle à voix basse:
"Putain, c'est trop bon ! Tu me défonces bien ! Arghhhhhhhhhhhh ! Je joui !".
Le temps passe, je m'inquiète pour nos femmes, il tarde à venir, mais en même temps, c'est tellement bon !
"Putain, dépêches-toi ! C'est bon ! Mais tu prends trop de temps ! Arghhhhhhhhhhhhhhhh !".
"Oh, c'est bon ! Ca va pas tarder ! Putain, j'aime trop te casser le cul ! Jeune !".
Un long laps de temps, plus tard, il râle plus fort et se déverse dans mon anus, en me collant contre le mur crépi.
Je protège mon visage de mes mains, pendant qu'il grogne, en éjaculant son foutre en moi.
Sa grosse bite est prise de nombreux spasmes éjaculatoires.
J'adore ce phénomène ! Il est signe d'insémination évidente.
Comment ai-je pu oublier ce mec ? il vient de me baiser comme un dieu !
Il retire sa queue, puis attrape du papier hygiénique, pour l'essuyer.
De mon coté, j'ai serré les fesses et nettoyé mon anus.
Je remonte mon slip et mon jeans.
Dès qu'il me donne le feu vert, je le suis pour retourner à ma place.
La femme de mon baiseur demande:
"T'étais bien long !".
"Excuses-moi ! Y avait du monde !".
Corinne me dit:
"T'en as mis du temps ! Y avait tant de monde que ça ?".
J'en profite pour faire un jeu de mots, en sachant que l'homme m'entend:
"Oui ! Je sais ! J'en avais plein le cul ! Mais il a bien fallu que ça se vide ! Ca prend du temps".
Il me lance un sourire malicieux, je sais qu'il est soulagé d'une grosse envie de m'enculer.
Quand à moi, j'ai du mal a chasser ce que je viens de vivre, malgré le film et la main de Corinne dans la mienne.
Nos regards se sont souvent trouvés ensuite, mais j'en connaissait la raison, à présent.
Le sperme de mon inconnu me gênera un moment, jusqu'à la fin du film, ou je retournerai aux toilettes !
Au retour, après un repas en extérieur, Corinne et moi, nous faisons l'amour avec passion.
Elle s'étonnera de ma forte jouissance, bien plus expressive qu'à l'accoutumée, lors de mon explosion sur ses seins.
Elle ne sait pas que ma prostate sensibilisée, a décuplé mon plaisir !
C'est mon gros défaut, je suis toujours en retard.
Mais l'amour de ma vie sait me secouer quand il faut !
Comme vous l'avez compris, on a décidé de se faire une toile.
Sans avoir de choix de film précis, c'était encore l'époque ou le cinéma était abordable !
C'est ce genre de jour, ou vous vous sentez heureux d'être avec la personne que vous aimez.
Nous descendons les marches de l'immeuble en se donnant la main comme des amoureux.
Tout le trajet en bus est fait de tendres attentions, baisers doux et "Je t'aime" innombrables.
Devant le cinéma, on hésite pour faire un choix, les films proposés ne sont pas engageants, on est un peu déçus.
On essaie d'autres salles, situées aux alentours, mais c'est guère mieux.
On opte pour un film policier américain.
Nos tickets récupérés, on s'installe au milieu de la salle.
On regarde les pubs d'avant séance, un couple quarantenaire s'assoit dans la rangée derrière nous.
Je ne sais pas pourquoi, mais la tenue de la femme me trouble beaucoup, malgré son Age.
Sa poitrine saillante m'excite énormément, mais son mari remarque mon regard.
Il me fixe avec un sourire malicieux.
Vous savez comme c'est, plus vous devez vous empêcher de regarder et plus vous le faites !
Le film commence, très rapidement, au bout de trente minutes environ, je suis pris d'une envie pressante.
Comme le film est un navet sans nom, je ne me retiens pas et préviens ma belle que je dois me rendre aux toilettes.
"Tu vas rater le film !".
"Euh, franchement ! C'est pas grave ! Il est naze !".
"Ouais ! T'as raison ! Je t'attends !".
En me levant, après avoir fait quelques mètres, j'entends un siège se lever.
Je me rend aux WC les plus proches, puis déballe mon sexe pour uriner.
Le mari de la femme, aux seins si excitants, entre alors.
Je suis tétanisé, je crains qu'il aborde le sujet de mes regards incessants, et veuille en arriver aux mains.
Il se place à coté de moi, qui ai terminé de me soulager.
Il libère sa queue.
J'hallucine, il est en érection ! Et il a une bite superbe !
Il me regarde en passant sa langue entre ses lèvres.
J'y crois pas, il est en train de me proposer de le sucer !
"Apparemment, tu me reconnais pas ! Je t'ai baisé un soir, au petit jardin public de la porte d'Italie !".
"Désolé, je ne m'en souviens pas !".
"Normal, il faisait sombre à cette heure là ! Tu veux pas qu'on baise vite fait, dans les chiottes ?".
"Maintenant ? Mais ma femme va se poser des questions ! Et la tienne ?".
"Justement, il faut pas perdre de temps !".
Je résiste un petit instant, mais il m'entraine dans le cabinet, il n'a aucun mal, vu sa carrure de rugbyman !
La porte est fermée, il m'appuie fortement sur les épaules.
J'avoue que devant son objet de plaisir, je ne peux que céder, j'ai envie de le mettre dans ma bouche !
Il conduit mon visage vers sa queue magnifique. Je suis pris par une énorme excitation, causée par la situation.
Son gros gland vient trouver le fond de ma gorge, lui provoquant des gémissements de bonheur pénien.
Je pose ma main sur sa base, afin de lui dévorer la bite consciencieusement.
Je m'applique à lui procurer le plus de plaisir possible avec ma bouche.
"Putain, j'adore comme tu me suces, mais je vais t'enculer maintenant, on va gagner du temps !".
Il m'aide à me relever, et se presse de me dévêtir le cul.
Il me plaque au mur au dessus de la cuvette.
Il crache au bout de ses doigts, puis vise mon anus avec sa salive, pendant qu'il couvre son gland de ce lubrifiant naturel.
"Putain, j'en ai trop envie ! Dès que je t'ai reconnu, j'ai pensé qu'à ton cul de salope ! J'ai adoré t'enculer la dernière fois !".
Et moi qui pensait, qu'il me regardait à cause de ma fixation, sur les nichons de sa femme !
Son sexe pousse fortement contre mon anus.
"Arhhhhh ! Pas si vite, tu me fais mal !".
"Oh, pardon ! Désolé, tu m'excites trop !".
Il recule, puis reviens, mon œillet s'ouvre un peu plus, je le reçoit plus profondément.
Je le retiens en mettant une main derrière moi, sur son bassin, puis mon anus se détend enfin et je pose ma main contre le mur à nouveau.
Il a comprit.
"C'est bon, je peux te défoncer ?".
"Oui ! Vas -y ! Lâches-toi !".
Je n'aurais peut-être pas du, dire ça !
Il se lance dans une baise effrénée de mon cul.
Mon visage est écrasé contre le mur, je prend très rapidement un orgasme puissant, dont il ne se soucie guère.
Ce qu'il veut, c'est jouir le plus vite possible, en m'enculant !
Je reçois ses assauts, avec de plus en plus d'amplitude, sa bite se couvre de mon jus anal.
Je retiens mes râles, ses couilles claquent contre les miennes.
Je râle à voix basse:
"Putain, c'est trop bon ! Tu me défonces bien ! Arghhhhhhhhhhhh ! Je joui !".
Le temps passe, je m'inquiète pour nos femmes, il tarde à venir, mais en même temps, c'est tellement bon !
"Putain, dépêches-toi ! C'est bon ! Mais tu prends trop de temps ! Arghhhhhhhhhhhhhhhh !".
"Oh, c'est bon ! Ca va pas tarder ! Putain, j'aime trop te casser le cul ! Jeune !".
Un long laps de temps, plus tard, il râle plus fort et se déverse dans mon anus, en me collant contre le mur crépi.
Je protège mon visage de mes mains, pendant qu'il grogne, en éjaculant son foutre en moi.
Sa grosse bite est prise de nombreux spasmes éjaculatoires.
J'adore ce phénomène ! Il est signe d'insémination évidente.
Comment ai-je pu oublier ce mec ? il vient de me baiser comme un dieu !
Il retire sa queue, puis attrape du papier hygiénique, pour l'essuyer.
De mon coté, j'ai serré les fesses et nettoyé mon anus.
Je remonte mon slip et mon jeans.
Dès qu'il me donne le feu vert, je le suis pour retourner à ma place.
La femme de mon baiseur demande:
"T'étais bien long !".
"Excuses-moi ! Y avait du monde !".
Corinne me dit:
"T'en as mis du temps ! Y avait tant de monde que ça ?".
J'en profite pour faire un jeu de mots, en sachant que l'homme m'entend:
"Oui ! Je sais ! J'en avais plein le cul ! Mais il a bien fallu que ça se vide ! Ca prend du temps".
Il me lance un sourire malicieux, je sais qu'il est soulagé d'une grosse envie de m'enculer.
Quand à moi, j'ai du mal a chasser ce que je viens de vivre, malgré le film et la main de Corinne dans la mienne.
Nos regards se sont souvent trouvés ensuite, mais j'en connaissait la raison, à présent.
Le sperme de mon inconnu me gênera un moment, jusqu'à la fin du film, ou je retournerai aux toilettes !
Au retour, après un repas en extérieur, Corinne et moi, nous faisons l'amour avec passion.
Elle s'étonnera de ma forte jouissance, bien plus expressive qu'à l'accoutumée, lors de mon explosion sur ses seins.
Elle ne sait pas que ma prostate sensibilisée, a décuplé mon plaisir !
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Une baise rapide mais torride.