Un homme dominateur 2/6
Récit érotique écrit par Chaud comme la braise [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 32 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 7.6 • Cote moyenne attribuée par HDS : 7.7
- • L'ensemble des récits érotiques de Chaud comme la braise ont reçu un total de 268 984 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-06-2019 dans la catégorie Dominants et dominés
Cette histoire de sexe a été affichée 9 821 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Un homme dominateur 2/6
Un homme dominateur 2ème parties. Sandrine, ma femme et moi, Frédéric venons de passer un mois et demi assez spécial. Un mois et demi que je n’ai pas fait l’amour avec elle. Et pour cause, j’ai le sexe enfermé dans une cage de chasteté. Nous avons accepté d’être pendant six mois, les soumis de Paul, un homme puissant et très riche. Et la première chose qu’il a fait, c’est de me mettre hors jeu en m’emprisonnant la bite. Il passe à la maison presque tous les jours, pour ce faire sucer ou pour baiser ma femme. Les seuls jours ou il n’est pas passé, c’est quand on est sortie avec lui. Et ces sorties ce sont terminées en plan à trois entre lui, Sandrine et une autre jeune femme. J’adore voir Sandrine avec cet homme, la voir prendre du plaisir, c’est très excitant. Mais j’aimerais pouvoir calmer mon excitation en me vidant les couilles.
Le rituel est pratiquement toujours le même. S’en est presque triste d’être à ce point routinier. Dix huit heures, tous les jours, il nous fait livrer des vêtements ou des sous vêtements. Vingt heures, il passe à la maison, ce fait servir un whisky, demande à ma femme de s’approcher, la fait mettre à genoux, sort sa grosse queue et ce fait sucer. Il la critique car elle ne lui fait toujours pas de gorge profonde, malgré qu’elle s’entraîne avec un gode qu’il nous a fait livrer. Il fini par lui éjaculer sur le visage, une grosse quantité de sperme épais. Ou bien, il la prend en levrette pour jouir dans sa chatte.
Lorsque l’on sort, part contre, on passe de bonnes soirées. C’est jamais la même chose. Sauf au niveau sexe. Un plan à trois ou ma femme et une autre le suce, avant qu’il ne les baise à tour de rôle. Voilà en gros comment c’est passé nos huit première semaine.
Et ce soir, rebelote. Dix huit heures, le coursier nous livre un colis. A l’intérieur, un ensemble de sous vêtements rouge pour Sandrine. Rien pour moi. Je reçoit un message, comme d’habitude. « Veuillez me recevoir dans ces tenues » Ma tenue, c’est nu comme un ver avec ma cage de chasteté. Vingt heures, il sonne, Sandrine lui ouvre. Je lui sert son whisky, ma femme se place devant lui. Elle s’agenouille, il sort sa queue et la fourre dans la bouche qui ce présente à lui. Ma femme s’applique à le sucer, le pompe. Il l’attrape part les cheveux et essai d’enfoncer entièrement son dard dans la bouche. A ma grande surprise, Sandrine englouti la bite jusqu’aux couilles. Il ressort son sexe, ce laisse pomper le gland, avant de s’enfoncer de nouveau au fond de la bouche. Il reste quelques secondes, ancré dans la gorge, puis ressort. Il a l’air de vraiment apprécié. Il renouvelle l’opération trois, quatre fois puis commence une baise buccale. Jamais je n’aurais pensé voir un jour, une queue aller et venir, du gland jusqu’aux couilles, dans la bouche de Sandrine. C’est très excitant à voir et je suis impatient de lui faire la même chose. Après quelques minutes de cette baise intense, il se cale bien au fond de la bouche et râle de plaisir. Un râle synonyme de jouissance. Il est en train de déverser son sperme, directement dans la gorge de ma femme le salop, ne lui laissant pas d’autre choix que d’avaler. Après avoir reçu quelques petits coups de langue sur le gland pour finir, il se rhabille, boit son whisky et annonce à Sandrine : -« Maintenant que tu suce correctement une bite, nous allons enfin pouvoir passer aux choses sérieuses. » Et sans attendre de réponse, il est parti.
Le lendemain, nous avons reçu notre colis à l'heure habituelle. Il contenait une mini jupe noir et un chemisier blanc pour Sandrine ainsi qu'un pantalon bleu et une chemise blanche pour moi. Le message est arrivé juste après le colis, « ne mettez pas de sous vêtements avec ces tenues. » À vingt heures, Paul sonne à la porte et nous annonce que l'on sort. Le chauffeur de monsieur nous conduit dans un restaurant. On nous installe à une table avec quatre couverts de dressés. Quatre ? Pourquoi quatre ? Nous sommes que trois. Mais dix minutes après, un homme de trente, trente cinq ans, nous rejoint. Grand et large d'épaules, il impose le respect. Paul fait les présentation : -« Christophe, je te présente mes soumis, Sandrine et Frédéric. » Au moins, ça c'est fait. Aucune hésitation à nous présenter comme ses soumis. Les deux hommes discutent de choses et d'autres, puis leur conversation tourne rapidement sur le sexe et s'oriente sur Sandrine et moi. Paul rentre dans les détails de ce qu'il fait avec nous. Ma cage de chasteté, les gorges profondes, les plans à trois, tout y passe. Ma femme est toute rouge. Moi, j'ai un peu honte. Puis Paul précise à Christophe, qu'il s'en rendra mieux compte tout à l'heure. Voila, c'est bien ce que je pensais. Le plan à trois sera avec lui aujourd'hui.
Lorsque l'on quitte le restaurant, le chauffeur de Paul nous conduit au même hôtel que d'habitude. La suite luxueuse du derniers étage nous attend. Elle est vraiment magnifique. Je m'apprête à aller servir le champagne lorsque Paul me demande de me mettre à poils car Christophe veut voir ma cage. J’hésite un peu, mais Paul insiste. Je me déshabille, me retrouvant vite nu. Christophe n'en revient pas que l'on puisses porter ce genre de prison, que ça doit être impossible de tenir sans baiser aussi longtemps. J'ai envie de lui répondre que je n'ai pas le choix, puisque je n'ai pas la clé. Mais je préfère ne rien dire. Paul me demande d'aller servir le champagne, ce que je fais volontiers, pour échapper aux moqueries de Christophe. Lorsque je reviens avec les flûtes, ma femme est nue, les quatre mains masculines caressant son corps. Ils la font vite ce mettre à genoux. Bientôt, les deux hommes ont sortie leur bite du pantalon. Paul, comme à son habitude, ne bande pas encore contrairement à Christophe, qui a la queue au garde à vous. C'est Paul le premier à présenter la sienne pour se faire sucer. Sandrine commence par lui lécher le gland, avant de le prendre dans la bouche. Elle le pompe, puis englouti la queue entièrement jusqu’aux couilles. Elle suce son amant comme il aime, des vas et vient sur toute la longueur de la tige de chair. La bite durcie très vite pour atteindre sa taille de croisière. Je ne peux m’empêcher de faire une comparaison entre les deux sexes qui se présente à ma femme. Paul est beaucoup plus gâté par la nature que Christophe. Une bite plus longue et plus grosse, les couilles paraissant plus lourde, en tout cas, beaucoup plus pendantes entre les cuisses de son propriétaire. Pourtant, Christophe n'a pas à rougir de son anatomie, les femmes doivent bien la sentir passer quand il les baise. Christophe attrape la tête de Sandrine pour la tourner vers lui et lui colle sa queue dans la bouche. Comme elle sait le faire maintenant, elle avale le sexe jusqu'aux couilles. J'adore voir ce spectacle. Ce que je préfère regarder dans les films porno, c'est les scène de fellations. Et là, c'est réel. Voir ma femme sucer ces deux bites, m'excite énormément. Alors oui, je ne peux pas bander, je ne peux pas jouir non plus, mais ça m'excite quand même. Sandrine, à genoux devant ces hommes, à les sucer chacun leur tour, c'est magnifique. Puis Christophe vient ce placer derrière elle et glisse ses doigts sur sa vulve. Il me dit : -« Frédéric, vient constater comment on excite ta chienne de femme. » Je m'approche et passe mes doigts sur la chatte. Elle est complètement trempée, ça glisse tout seul. -« Aller, pousse toi maintenant, que je puisse la satisfaire comme il faut. » Je me décale. Il prend place entre les cuisses féminine, pointe son gland et d'une poussée, pénètre la chatte entièrement. Il l'attrape par les hanches et la baise fougueusement, sans oublier de lui coller des fessées régulièrement. Les gémissements de Sandrine, sont étouffés par la queue qu'elle a dans la bouche. Christophe ne baisse pas de rythme, il n'hésite pas à insulter ma femme de chienne, de salope, il lui claque les fesses de plus en plus fort. Et bizarrement, ça à l'air d'exciter encore plus Sandrine. Jamais je n'ai osé faire ça. Les mots crus, les fessées, jamais je n'aurais pensé qu'elle aimerait ça. Au bout d'un long moment, les deux homme échange leur place. Paul amène Sandrine sur le canapé. Il l'allonge sur le dos, lui relève les jambes et la pénètre profondément. Elle hurle son plaisir au passage de la queue, mais très vite étouffé par la bite de Christophe, qui prend place dans sa bouche. Et c'est reparti pour une double baise. Car Christophe à entamé des vas et vient assez vigoureux dans la bouche de Sandrine, pratiquant ainsi, une baise buccale. Après plusieurs minutes de ce traitement, c'est Christophe le premier à lâcher prise. Il se retire de la bouche, se masturbe au dessus de ma femme, puis inonde le visage de celle-ci, de plusieurs jets de sperme bien épais. Il passe son gland sur la figure et dirige sa semence vers la bouche de Sandrine pour qu'elle s'en délecte. Paul continue de la baiser quelques minutes après que Christophe est joui. Mais il finit par se retirer de la chatte pour venir se placer dans la bouche. Il entame à son tour, une baise buccale avant de se caler comme la veille, au fond de la gorge et de se vider les couilles, obligeant ma femme à avaler son sperme.
Les deux hommes se rhabille, Paul nous dit, comme d'habitude, que son chauffeur nous ramènera le lendemain chez nous. Ils prennent leur flûte de champagne et file s'enfermer dans le bureau de la suite. Après s'être douchée, ma femme c'est mise au lit, complètement fatiguée. C'est la première fois qu'elle se fait baiser par deux hommes. Moi, je ne suis pas du tout fatigué. Au contraire, je suis dans un état de forte excitation, mais je ne vois pas comment faire pour me calmer. Je vais me coucher moi aussi pour essayer de dormir. Essayer…A suivre…
Le rituel est pratiquement toujours le même. S’en est presque triste d’être à ce point routinier. Dix huit heures, tous les jours, il nous fait livrer des vêtements ou des sous vêtements. Vingt heures, il passe à la maison, ce fait servir un whisky, demande à ma femme de s’approcher, la fait mettre à genoux, sort sa grosse queue et ce fait sucer. Il la critique car elle ne lui fait toujours pas de gorge profonde, malgré qu’elle s’entraîne avec un gode qu’il nous a fait livrer. Il fini par lui éjaculer sur le visage, une grosse quantité de sperme épais. Ou bien, il la prend en levrette pour jouir dans sa chatte.
Lorsque l’on sort, part contre, on passe de bonnes soirées. C’est jamais la même chose. Sauf au niveau sexe. Un plan à trois ou ma femme et une autre le suce, avant qu’il ne les baise à tour de rôle. Voilà en gros comment c’est passé nos huit première semaine.
Et ce soir, rebelote. Dix huit heures, le coursier nous livre un colis. A l’intérieur, un ensemble de sous vêtements rouge pour Sandrine. Rien pour moi. Je reçoit un message, comme d’habitude. « Veuillez me recevoir dans ces tenues » Ma tenue, c’est nu comme un ver avec ma cage de chasteté. Vingt heures, il sonne, Sandrine lui ouvre. Je lui sert son whisky, ma femme se place devant lui. Elle s’agenouille, il sort sa queue et la fourre dans la bouche qui ce présente à lui. Ma femme s’applique à le sucer, le pompe. Il l’attrape part les cheveux et essai d’enfoncer entièrement son dard dans la bouche. A ma grande surprise, Sandrine englouti la bite jusqu’aux couilles. Il ressort son sexe, ce laisse pomper le gland, avant de s’enfoncer de nouveau au fond de la bouche. Il reste quelques secondes, ancré dans la gorge, puis ressort. Il a l’air de vraiment apprécié. Il renouvelle l’opération trois, quatre fois puis commence une baise buccale. Jamais je n’aurais pensé voir un jour, une queue aller et venir, du gland jusqu’aux couilles, dans la bouche de Sandrine. C’est très excitant à voir et je suis impatient de lui faire la même chose. Après quelques minutes de cette baise intense, il se cale bien au fond de la bouche et râle de plaisir. Un râle synonyme de jouissance. Il est en train de déverser son sperme, directement dans la gorge de ma femme le salop, ne lui laissant pas d’autre choix que d’avaler. Après avoir reçu quelques petits coups de langue sur le gland pour finir, il se rhabille, boit son whisky et annonce à Sandrine : -« Maintenant que tu suce correctement une bite, nous allons enfin pouvoir passer aux choses sérieuses. » Et sans attendre de réponse, il est parti.
Le lendemain, nous avons reçu notre colis à l'heure habituelle. Il contenait une mini jupe noir et un chemisier blanc pour Sandrine ainsi qu'un pantalon bleu et une chemise blanche pour moi. Le message est arrivé juste après le colis, « ne mettez pas de sous vêtements avec ces tenues. » À vingt heures, Paul sonne à la porte et nous annonce que l'on sort. Le chauffeur de monsieur nous conduit dans un restaurant. On nous installe à une table avec quatre couverts de dressés. Quatre ? Pourquoi quatre ? Nous sommes que trois. Mais dix minutes après, un homme de trente, trente cinq ans, nous rejoint. Grand et large d'épaules, il impose le respect. Paul fait les présentation : -« Christophe, je te présente mes soumis, Sandrine et Frédéric. » Au moins, ça c'est fait. Aucune hésitation à nous présenter comme ses soumis. Les deux hommes discutent de choses et d'autres, puis leur conversation tourne rapidement sur le sexe et s'oriente sur Sandrine et moi. Paul rentre dans les détails de ce qu'il fait avec nous. Ma cage de chasteté, les gorges profondes, les plans à trois, tout y passe. Ma femme est toute rouge. Moi, j'ai un peu honte. Puis Paul précise à Christophe, qu'il s'en rendra mieux compte tout à l'heure. Voila, c'est bien ce que je pensais. Le plan à trois sera avec lui aujourd'hui.
Lorsque l'on quitte le restaurant, le chauffeur de Paul nous conduit au même hôtel que d'habitude. La suite luxueuse du derniers étage nous attend. Elle est vraiment magnifique. Je m'apprête à aller servir le champagne lorsque Paul me demande de me mettre à poils car Christophe veut voir ma cage. J’hésite un peu, mais Paul insiste. Je me déshabille, me retrouvant vite nu. Christophe n'en revient pas que l'on puisses porter ce genre de prison, que ça doit être impossible de tenir sans baiser aussi longtemps. J'ai envie de lui répondre que je n'ai pas le choix, puisque je n'ai pas la clé. Mais je préfère ne rien dire. Paul me demande d'aller servir le champagne, ce que je fais volontiers, pour échapper aux moqueries de Christophe. Lorsque je reviens avec les flûtes, ma femme est nue, les quatre mains masculines caressant son corps. Ils la font vite ce mettre à genoux. Bientôt, les deux hommes ont sortie leur bite du pantalon. Paul, comme à son habitude, ne bande pas encore contrairement à Christophe, qui a la queue au garde à vous. C'est Paul le premier à présenter la sienne pour se faire sucer. Sandrine commence par lui lécher le gland, avant de le prendre dans la bouche. Elle le pompe, puis englouti la queue entièrement jusqu’aux couilles. Elle suce son amant comme il aime, des vas et vient sur toute la longueur de la tige de chair. La bite durcie très vite pour atteindre sa taille de croisière. Je ne peux m’empêcher de faire une comparaison entre les deux sexes qui se présente à ma femme. Paul est beaucoup plus gâté par la nature que Christophe. Une bite plus longue et plus grosse, les couilles paraissant plus lourde, en tout cas, beaucoup plus pendantes entre les cuisses de son propriétaire. Pourtant, Christophe n'a pas à rougir de son anatomie, les femmes doivent bien la sentir passer quand il les baise. Christophe attrape la tête de Sandrine pour la tourner vers lui et lui colle sa queue dans la bouche. Comme elle sait le faire maintenant, elle avale le sexe jusqu'aux couilles. J'adore voir ce spectacle. Ce que je préfère regarder dans les films porno, c'est les scène de fellations. Et là, c'est réel. Voir ma femme sucer ces deux bites, m'excite énormément. Alors oui, je ne peux pas bander, je ne peux pas jouir non plus, mais ça m'excite quand même. Sandrine, à genoux devant ces hommes, à les sucer chacun leur tour, c'est magnifique. Puis Christophe vient ce placer derrière elle et glisse ses doigts sur sa vulve. Il me dit : -« Frédéric, vient constater comment on excite ta chienne de femme. » Je m'approche et passe mes doigts sur la chatte. Elle est complètement trempée, ça glisse tout seul. -« Aller, pousse toi maintenant, que je puisse la satisfaire comme il faut. » Je me décale. Il prend place entre les cuisses féminine, pointe son gland et d'une poussée, pénètre la chatte entièrement. Il l'attrape par les hanches et la baise fougueusement, sans oublier de lui coller des fessées régulièrement. Les gémissements de Sandrine, sont étouffés par la queue qu'elle a dans la bouche. Christophe ne baisse pas de rythme, il n'hésite pas à insulter ma femme de chienne, de salope, il lui claque les fesses de plus en plus fort. Et bizarrement, ça à l'air d'exciter encore plus Sandrine. Jamais je n'ai osé faire ça. Les mots crus, les fessées, jamais je n'aurais pensé qu'elle aimerait ça. Au bout d'un long moment, les deux homme échange leur place. Paul amène Sandrine sur le canapé. Il l'allonge sur le dos, lui relève les jambes et la pénètre profondément. Elle hurle son plaisir au passage de la queue, mais très vite étouffé par la bite de Christophe, qui prend place dans sa bouche. Et c'est reparti pour une double baise. Car Christophe à entamé des vas et vient assez vigoureux dans la bouche de Sandrine, pratiquant ainsi, une baise buccale. Après plusieurs minutes de ce traitement, c'est Christophe le premier à lâcher prise. Il se retire de la bouche, se masturbe au dessus de ma femme, puis inonde le visage de celle-ci, de plusieurs jets de sperme bien épais. Il passe son gland sur la figure et dirige sa semence vers la bouche de Sandrine pour qu'elle s'en délecte. Paul continue de la baiser quelques minutes après que Christophe est joui. Mais il finit par se retirer de la chatte pour venir se placer dans la bouche. Il entame à son tour, une baise buccale avant de se caler comme la veille, au fond de la gorge et de se vider les couilles, obligeant ma femme à avaler son sperme.
Les deux hommes se rhabille, Paul nous dit, comme d'habitude, que son chauffeur nous ramènera le lendemain chez nous. Ils prennent leur flûte de champagne et file s'enfermer dans le bureau de la suite. Après s'être douchée, ma femme c'est mise au lit, complètement fatiguée. C'est la première fois qu'elle se fait baiser par deux hommes. Moi, je ne suis pas du tout fatigué. Au contraire, je suis dans un état de forte excitation, mais je ne vois pas comment faire pour me calmer. Je vais me coucher moi aussi pour essayer de dormir. Essayer…A suivre…
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Chaud comme la braise
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...