Un homme dominateur 4/6
Récit érotique écrit par Chaud comme la braise [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-07-2019 dans la catégorie Dominants et dominés
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Un homme dominateur 4/6
Nous sommes dans notre quatrième mois de contrat avec Paul. Quatrième mois de soumission à cet homme. Quatre mois ou je prend plaisir à voir ma femme, Sandrine, prendre énormément de plaisir. Quatre mois à la voir se libérer pleinement au niveau sexe. Mais au niveau de mon plaisir, ça s’arrête là. Ça fait quatre mois que Paul m’a emprisonné la bite dans une cage de chasteté. Impossible de bander, de me toucher, de me faire toucher, de jouir. C’est vraiment très compliqué à vivre, car finalement, je ressens tout de même de l’excitation. Je me console en me disant que le plus important, c’est que ma femme s’éclate vraiment.
Il est dix huit heures lorsque l’on reçoit notre colis. A l’intérieur, une jolie petite robe en cuir noir, un collier en cuir noir également. Un collier!!! Qu'est ce qu'il va nous pondre aujourd'hui? Il y a également un beau costume gris foncé, une chemise blanche et une cravate de la même couleur que le costume. Je reçois le message qui suit la livraison. « Pas de sous vêtements, le collier est pour Sandrine et doit être porté. Je viendrais chez vous vers vingt deux heures ce soir. »Lorsque ça sonne, c'est Sandrine qui ouvre la porte. Paul lui dit qu'elle est bandante dans cette tenue et qu'elle va faire sensation. En effet, elle est magnifique. La robe, très courte et très moulante, lui colle à la peau. Jamais ma femme n'aurait portée une robe comme ça avant de connaitre Paul. Je suis très fier d'elle. Il ne prend pas le temps de boire un verre, on est attendu. On monte dans la berline allemande et le chauffeur de monsieur nous conduit je ne sais où. On roule une bonne heure, lorsque la voiture quitte la route pour emprunter un chemin au milieu d’une forêt de pins. Quelques kilomètres sur ce chemin et le chauffeur arrête la voiture, éteint phares et moteur. Dehors, il fait noir complet. On y voit rien du tout. Le chauffeur de monsieur sort de l’auto et y remonte une petite minute plus tard. Qu’est ce qu’on fait ici? Paul attache une laisse au collier que porte Sandrine et l’entraîne avec lui en sortant de la voiture. Je sors à mon tour et les rejoint devant l’auto. En face de nous, à une vingtaine de mètres environ, les phares d’un véhicule s'allume et nous éclaire, nous aveugle presque. Au sol, une couverture est étalé et un coussin est posé dessus. Je comprends maintenant, ce que le chauffeur de monsieur a fait quand il est sortie de l’auto en arrivant. Les phares d’un deuxième puis d’un troisième véhicule nous éclaire. Dans le noir, avec les lumières qui sont braquées sur nous, on ne distingue pas les voitures. On ne voit personnes. On attend, Sandrine au milieu de Paul qui la tient en laisse et moi. Entre temps, deux autres véhicules ont braquées leurs phares sur nous. J’ai le cœur qui bat très fort. Je me demande ce qui se passe dans la tête de ma femme. Puis, des ombres se dessine, s’allongent. Des silhouettes s’approchent. J’en compte cinq. C’est une drôle de sensation d’être dans le noir et de distinguer des personnes éclairées dans le dos, qui viennent vers nous. C’est même flippant. Quand ils arrivent à notre hauteur, il est impossible de voir leurs visages. Le jeu de lumière qui nous arrive dans leurs dos, laisse nos visiteurs dans la pénombre.
Paul abaisse son bras qui tient la laisse, obligeant Sandrine à se mettre à genoux sur le coussin devant elle. Nos visiteurs se rapproche plus et commence à caresser le visage de ma femme. L’un d’entre eux déboutonne son pantalon et en sort sa queue. Il la dirige vers le visage de Sandrine. On ne voit pas grand-chose, la lumière étant dans le dos des cinq hommes, mais on distingue quand même une bite de belle taille disparaître dans la bouche de ma femme. Elle la suce sur toute la longueur. Les autres ont sortie leur queue du pantalon et se sont rapprochés pour pouvoir profiter, eux aussi, de la gâterie. L’un d’eu, prend la tête de Sandrine et la tourne vers lui pour qu’elle le prennes en bouche. Elle attrape dans chacune de ses mains, une bite pour les masturber. A tour de rôle, elle suce et branle les cinq hommes debout devant elle. Ça fait vraiment bizarre de voir la femme que l’on aime, s’appliquer à donner du plaisir à autant d’inconnus. J’ai une grosse pointe de jalousie, une boule dans le ventre, mais je sais aussi qu’elle aime cette situation, alors je la laisse profiter. Ce que je trouve étrange, c’est que Paul ne participe pas. Il reste à côté de ma femme, à la regarder sucer les hommes devant nous. C’est la première fois depuis que l’on à accepter le contrat, que monsieur ne baise pas Sandrine. En tous les cas, elle se régale de ces cinq queues. Elle les pompe, les lèche, les suce, les masturbe. Elle s’applique vraiment à la tâche. Et les cinq hommes donnent vraiment l’impression de se régaler de la fellation qu’ils reçoivent. Ils soufflent bruyamment, respirent fort. Certains se masturbent dans la bouche de Sandrine, quand elle les suce, d’autres se laissent faire. Quand l’un d’eux annonce qu’il va jouir, Paul appuis derrière la tête de Sandrine pour qu’elle ne rejette pas le sexe. L’inconnu s’introduit jusqu’aux couilles dans la bouche et dans un râle de pur plaisir, se déverse dans la gorge de ma femme. Elle lui lèche le gland, le suce, le pompe avant de le laisser et de passer sur les autres queues. Après quelques minutes à les sucer, l’un d’eux annonce qu’il va jouir et ce masturbe à ras du visage de Sandrine. Paul a juste le temps de dire, pas de faciale s’il vous plaît, que l’homme introduit sa bite dans la bouche de ma femme pour y déverser sa semence. Elle avale le sperme, nettoie le gland et abandonne ce partenaire pour se consacrer aux trois autres. Elle continue les fellations jusqu’à les faire jouir, à tour de rôle dans sa bouche. Paul tire légèrement sur la laisse pour obliger ma femme a se remettre debout et la ramène dans la voiture. Je les rejoint, tandis que les cinq inconnus regagnent leurs véhicules et quittent les lieu. Avant de partir, le chauffeur de monsieur récupère la couverture et le coussin. Sur la route du retour, j’ose demander à Paul si je pourrais participer de temps en temps, car je suis un peu frustré de ne rien faire. Il me répond que ça ne lui pose aucun problème. Au fond de moi, je suis content car il va enfin me libérer de ma cage de chasteté et je pourrais de nouveau, faire l’amour à ma femme.
Le chauffeur nous ramène à l’hôtel, et on va directement dans notre suite habituelle. Paul me demande de servir trois coupes de champagne. Une fois servi et la première gorgée avalée, il me demande de me déshabiller et de m’allonger sur le canapé. Il s’approche de Sandrine, lui prend sa flûte de champagne et la pose sur la table voisine, avant de sortir sa grosse queue et d’ordonner à ma femme de le sucer. Elle s’agenouille, attrape la bite dans sa main, donne quelques petits coups de langue avant de la prendre dans sa bouche. Elle le pompe, l’avale entièrement jusqu’aux couilles, pour le plus grand plaisir de son amant. Il commence un va-et-vient assez rigoureux entre les lèvres de Sandrine, ce qui m’excite énormément. Je les regarde faire, j’ai trop hâte qu’il me retire ma cage de chasteté. Après plusieurs minutes de cette baise buccale, il demande à ma femme de se placer sur moi en position soixante neuf. Une fois installé sur moi, j’ai une vue imprenable sous la jupe et sa chatte complètement trempée. Il m’ordonne de la lécher, ce que je fais avec un grand plaisir. C’est délicieux. Sandrine pose une main sur mon sexe emprisonné, mais je ne ressens pas grand-chose à cause de cette foutu cage. Je suis impatient qu’il me la retire. Mais ce n’est pas pour maintenant, car il vient se placer entre les cuisses de Sandrine, soulève la jupe et pointe son gland sur sa chatte. Oh la, j’ai un mouvement de recul, j’ai sa bite un peu trop prêt de mon visage. Il pénètre ma femme à fond et ses couilles, très pendantes, viennent se poser sur mon visage. Je n’avais pas prévu ça. Il entame ses vas et vient assez lent et du coup, ses couilles se promènent sur mon visage. Ce n’est pas que ça me dérange, mais c’est bizarre comme situation. C’est la première fois que je suis si prêt, que dis-je, que je suis en contact avec l’anatomie d’un homme. Et le pire dans tout ça, c’est que ça me plaît bien. J’entend Paul qui m’ordonne de continuer à lécher ma femme alors, je n’hésite pas, malgré la présence de cette queue. Je plonge ma langue sur le clitoris et sur les grandes lèvres. La cyprine coule dans ma bouche, Sandrine mouille comme jamais elle a mouillée. J’adore. J’ai même envie de poser ma langue sur cette bite qui besogne ma femme. Mais je n’ose pas. Alors, je me régale du sexe de Sandrine et apprécie les caresses des couilles sur mon visage. Il accélère la cadence, j'ai une vue d'ensemble impressionnante. La bite de Paul parait encore plus grosse de si prêt. Ma femme finit par jouir puissamment de cette double sollicitation, mais il continue de la baiser fougueusement et je continue de lui lécher la chatte qui dégouline de plaisir. Après plusieurs minutes de cette baise intense, Paul se cale au fond du vagin et joui à son tour, dans un cri de pur plaisir. Lorsqu'il ce retire de la chatte béante, des gouttes de sperme me tombe sur le front. Paul demande à Sandrine de venir me nettoyer avec sa bouche. Elle se redresse et vient passer sa langue sur mon visage, pour recueillir la semence. Elle avale les deux, trois gouttes de sperme qui avaient coulé avant que Paul ne vienne ce faire de nouveaux sucer pour un nettoyage de sa bite. Comme à son habitude, une fois le sexe propre, il se rhabille et nous abandonne. Je suis dégouté, j'ai toujours mon sexe prisonnier de cette cage.
A suivre…
Il est dix huit heures lorsque l’on reçoit notre colis. A l’intérieur, une jolie petite robe en cuir noir, un collier en cuir noir également. Un collier!!! Qu'est ce qu'il va nous pondre aujourd'hui? Il y a également un beau costume gris foncé, une chemise blanche et une cravate de la même couleur que le costume. Je reçois le message qui suit la livraison. « Pas de sous vêtements, le collier est pour Sandrine et doit être porté. Je viendrais chez vous vers vingt deux heures ce soir. »Lorsque ça sonne, c'est Sandrine qui ouvre la porte. Paul lui dit qu'elle est bandante dans cette tenue et qu'elle va faire sensation. En effet, elle est magnifique. La robe, très courte et très moulante, lui colle à la peau. Jamais ma femme n'aurait portée une robe comme ça avant de connaitre Paul. Je suis très fier d'elle. Il ne prend pas le temps de boire un verre, on est attendu. On monte dans la berline allemande et le chauffeur de monsieur nous conduit je ne sais où. On roule une bonne heure, lorsque la voiture quitte la route pour emprunter un chemin au milieu d’une forêt de pins. Quelques kilomètres sur ce chemin et le chauffeur arrête la voiture, éteint phares et moteur. Dehors, il fait noir complet. On y voit rien du tout. Le chauffeur de monsieur sort de l’auto et y remonte une petite minute plus tard. Qu’est ce qu’on fait ici? Paul attache une laisse au collier que porte Sandrine et l’entraîne avec lui en sortant de la voiture. Je sors à mon tour et les rejoint devant l’auto. En face de nous, à une vingtaine de mètres environ, les phares d’un véhicule s'allume et nous éclaire, nous aveugle presque. Au sol, une couverture est étalé et un coussin est posé dessus. Je comprends maintenant, ce que le chauffeur de monsieur a fait quand il est sortie de l’auto en arrivant. Les phares d’un deuxième puis d’un troisième véhicule nous éclaire. Dans le noir, avec les lumières qui sont braquées sur nous, on ne distingue pas les voitures. On ne voit personnes. On attend, Sandrine au milieu de Paul qui la tient en laisse et moi. Entre temps, deux autres véhicules ont braquées leurs phares sur nous. J’ai le cœur qui bat très fort. Je me demande ce qui se passe dans la tête de ma femme. Puis, des ombres se dessine, s’allongent. Des silhouettes s’approchent. J’en compte cinq. C’est une drôle de sensation d’être dans le noir et de distinguer des personnes éclairées dans le dos, qui viennent vers nous. C’est même flippant. Quand ils arrivent à notre hauteur, il est impossible de voir leurs visages. Le jeu de lumière qui nous arrive dans leurs dos, laisse nos visiteurs dans la pénombre.
Paul abaisse son bras qui tient la laisse, obligeant Sandrine à se mettre à genoux sur le coussin devant elle. Nos visiteurs se rapproche plus et commence à caresser le visage de ma femme. L’un d’entre eux déboutonne son pantalon et en sort sa queue. Il la dirige vers le visage de Sandrine. On ne voit pas grand-chose, la lumière étant dans le dos des cinq hommes, mais on distingue quand même une bite de belle taille disparaître dans la bouche de ma femme. Elle la suce sur toute la longueur. Les autres ont sortie leur queue du pantalon et se sont rapprochés pour pouvoir profiter, eux aussi, de la gâterie. L’un d’eu, prend la tête de Sandrine et la tourne vers lui pour qu’elle le prennes en bouche. Elle attrape dans chacune de ses mains, une bite pour les masturber. A tour de rôle, elle suce et branle les cinq hommes debout devant elle. Ça fait vraiment bizarre de voir la femme que l’on aime, s’appliquer à donner du plaisir à autant d’inconnus. J’ai une grosse pointe de jalousie, une boule dans le ventre, mais je sais aussi qu’elle aime cette situation, alors je la laisse profiter. Ce que je trouve étrange, c’est que Paul ne participe pas. Il reste à côté de ma femme, à la regarder sucer les hommes devant nous. C’est la première fois depuis que l’on à accepter le contrat, que monsieur ne baise pas Sandrine. En tous les cas, elle se régale de ces cinq queues. Elle les pompe, les lèche, les suce, les masturbe. Elle s’applique vraiment à la tâche. Et les cinq hommes donnent vraiment l’impression de se régaler de la fellation qu’ils reçoivent. Ils soufflent bruyamment, respirent fort. Certains se masturbent dans la bouche de Sandrine, quand elle les suce, d’autres se laissent faire. Quand l’un d’eux annonce qu’il va jouir, Paul appuis derrière la tête de Sandrine pour qu’elle ne rejette pas le sexe. L’inconnu s’introduit jusqu’aux couilles dans la bouche et dans un râle de pur plaisir, se déverse dans la gorge de ma femme. Elle lui lèche le gland, le suce, le pompe avant de le laisser et de passer sur les autres queues. Après quelques minutes à les sucer, l’un d’eux annonce qu’il va jouir et ce masturbe à ras du visage de Sandrine. Paul a juste le temps de dire, pas de faciale s’il vous plaît, que l’homme introduit sa bite dans la bouche de ma femme pour y déverser sa semence. Elle avale le sperme, nettoie le gland et abandonne ce partenaire pour se consacrer aux trois autres. Elle continue les fellations jusqu’à les faire jouir, à tour de rôle dans sa bouche. Paul tire légèrement sur la laisse pour obliger ma femme a se remettre debout et la ramène dans la voiture. Je les rejoint, tandis que les cinq inconnus regagnent leurs véhicules et quittent les lieu. Avant de partir, le chauffeur de monsieur récupère la couverture et le coussin. Sur la route du retour, j’ose demander à Paul si je pourrais participer de temps en temps, car je suis un peu frustré de ne rien faire. Il me répond que ça ne lui pose aucun problème. Au fond de moi, je suis content car il va enfin me libérer de ma cage de chasteté et je pourrais de nouveau, faire l’amour à ma femme.
Le chauffeur nous ramène à l’hôtel, et on va directement dans notre suite habituelle. Paul me demande de servir trois coupes de champagne. Une fois servi et la première gorgée avalée, il me demande de me déshabiller et de m’allonger sur le canapé. Il s’approche de Sandrine, lui prend sa flûte de champagne et la pose sur la table voisine, avant de sortir sa grosse queue et d’ordonner à ma femme de le sucer. Elle s’agenouille, attrape la bite dans sa main, donne quelques petits coups de langue avant de la prendre dans sa bouche. Elle le pompe, l’avale entièrement jusqu’aux couilles, pour le plus grand plaisir de son amant. Il commence un va-et-vient assez rigoureux entre les lèvres de Sandrine, ce qui m’excite énormément. Je les regarde faire, j’ai trop hâte qu’il me retire ma cage de chasteté. Après plusieurs minutes de cette baise buccale, il demande à ma femme de se placer sur moi en position soixante neuf. Une fois installé sur moi, j’ai une vue imprenable sous la jupe et sa chatte complètement trempée. Il m’ordonne de la lécher, ce que je fais avec un grand plaisir. C’est délicieux. Sandrine pose une main sur mon sexe emprisonné, mais je ne ressens pas grand-chose à cause de cette foutu cage. Je suis impatient qu’il me la retire. Mais ce n’est pas pour maintenant, car il vient se placer entre les cuisses de Sandrine, soulève la jupe et pointe son gland sur sa chatte. Oh la, j’ai un mouvement de recul, j’ai sa bite un peu trop prêt de mon visage. Il pénètre ma femme à fond et ses couilles, très pendantes, viennent se poser sur mon visage. Je n’avais pas prévu ça. Il entame ses vas et vient assez lent et du coup, ses couilles se promènent sur mon visage. Ce n’est pas que ça me dérange, mais c’est bizarre comme situation. C’est la première fois que je suis si prêt, que dis-je, que je suis en contact avec l’anatomie d’un homme. Et le pire dans tout ça, c’est que ça me plaît bien. J’entend Paul qui m’ordonne de continuer à lécher ma femme alors, je n’hésite pas, malgré la présence de cette queue. Je plonge ma langue sur le clitoris et sur les grandes lèvres. La cyprine coule dans ma bouche, Sandrine mouille comme jamais elle a mouillée. J’adore. J’ai même envie de poser ma langue sur cette bite qui besogne ma femme. Mais je n’ose pas. Alors, je me régale du sexe de Sandrine et apprécie les caresses des couilles sur mon visage. Il accélère la cadence, j'ai une vue d'ensemble impressionnante. La bite de Paul parait encore plus grosse de si prêt. Ma femme finit par jouir puissamment de cette double sollicitation, mais il continue de la baiser fougueusement et je continue de lui lécher la chatte qui dégouline de plaisir. Après plusieurs minutes de cette baise intense, Paul se cale au fond du vagin et joui à son tour, dans un cri de pur plaisir. Lorsqu'il ce retire de la chatte béante, des gouttes de sperme me tombe sur le front. Paul demande à Sandrine de venir me nettoyer avec sa bouche. Elle se redresse et vient passer sa langue sur mon visage, pour recueillir la semence. Elle avale les deux, trois gouttes de sperme qui avaient coulé avant que Paul ne vienne ce faire de nouveaux sucer pour un nettoyage de sa bite. Comme à son habitude, une fois le sexe propre, il se rhabille et nous abandonne. Je suis dégouté, j'ai toujours mon sexe prisonnier de cette cage.
A suivre…
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