Un hôte de marque
Récit érotique écrit par Trixie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-03-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Un hôte de marque
« Trixie, cet après midi j'ai rencontré, mon ami Birahim, tu sais le gynéco noir chez qui je t'avais emmenée... J'ai d'ailleurs vu que, sous le titre « Le Gynéco », tu avais édité cette histoire sur l'excellent site d'histoires érotiques « Histoires-de-sexe.net », et près de 15 000 personnes se sont apparemment délectées à la lire !! Je l'ai invité à venir manger à la maison demain soir. Victor, j'espère que vous nous gâterez pour le dîner! »
Le lendemain matin, la mine catastrophée, Alfred me pria de l'excuser, il venait de consulter son agenda et le soir, il avait un colloque auquel il ne pouvait pas se soustraire, cela lui était complètement sorti de l'esprit.
« Je ne peux décemment pas annuler mon invitation.... Si cela ne te fais rien, ne pourrais-tu pas jouer les maîtresses de maison et le recevoir, Victor te secondera habilement...
- Oui, je veux bien, mais je n'ai pas de souvenir de jeunesse à partager avec lui, dis-je en souriant... Et puis je m'habille comment pour le recevoir ? »
Je me remémorais les péripéties de la visite que le gynéco noir m'avait faite dans son cabinet et surtout sa bite démesurée !!
« Oh, c'est un ami... Tu fais comme tu veux, mais tu peux garder ta tenue de '' parfaite secrétaire '', car comme je te l'ai déjà dit : lorsqu'on a une œuvre d'art on l'expose ! Et puis il t'a ausculté sous toutes les coutures !!
- Oh oui !!! Et même un peu plus tu ne crois pas !! Je crois que de tous les hommes que j'ai connu, c'est lui qui a le plus gros et plus long sexe, Victor qui n'est pas mal... est battu... je peux en parler en connaissance de cause !!
- Eh, mais la dernière fois... j'étais avec toi, me dit-il avec une pointe de jalousie dans la voix. Ce soir...
- Mais non Alfred... Et puis Victor me surveillera, lui répondis-je en souriant !
- Oh oui... sûrement !!»
J'avais écouté Alfred et pour la venue de son copain le gynéco, j'avais mis un ''soutien gorge blanc'' qui ne comportait pas de bonnet. Seule, une étroite bande de tissu passait sous chaque sein, les laissant entièrement libres de toute entrave. Mais ils étaient assez fermes pour se passer de support.
Un porte-jarretelle blanc à la ceinture assez large assorti à la dentelle du haut de mes bas blancs.
Les lanières des attaches encadraient ma chatte épilée, avec juste un petit triangle de poils blonds et ras au dessus de ma fente. Aucun string ne venait la soustraire aux regards. Je passais une nuisette, avec de fines bretelles. Elle était fermée sous ma poitrine par un ruban que je nouais savamment, elle s’évasait sur mes hanches laissant mon bas ventre et mon sexe à découvert.. J'écartais au maximum les fentes sur mes seins, on aurait dit que mes aréoles brunes aux mamelons proéminents, n'attendaient qu'une chose être sucés par une bouche gourmande.
La dessus je passais un léger déshabillé blanc, qui par transparence laissait devenir cette lingerie hyper sexy. Mais il était presque 20 heures, Birahim allait arriver. Je descendis rejoindre Victor qui s'activait dans le living-room.
« Fais voir, ouvre ton déshabillé... »
J'obtempérais.
« Putain, tu es comme toujours, vraiment parfaite !! Si j'ai bien compris... lorsque j'ai lu ton histoire, le copain d'Alfred... c'est un noir avec une bite énorme ! Et d'après ce que je t'ai entendu dire à Alfred, il est mieux monté que moi !! ''On'' va se régaler ce soir !! »
La sonnette retenti, Victor partit ouvrir, et fit entrer notre invité. Birahim était un petit homme noir, de l'âge d'Alfred un peu plus de 70 ans, bedonnant, le dessus du crâne chauve, des cheveux blancs crépus autour des tempes, un nez épaté et depuis notre dernière rencontre un petit bouc pointu de poils blanc ornait son menton. Je faisais presque une tête de plus que lui. Il était vêtu d'un élégant costume trois pièces, d'une chemise bleue pâle.
Il s'avança vers moi, avec un grand sourire. Me serrant contre lui, il m'embrassa sur les deux joues, et me prenant une main il me fit tournoyer lentement sur moi-même.
« Toujours, aussi parfaite !! Et, waoouuhhhh ! ces vêtements vous mettent vraiment en valeur !!
- Oui, c'est Alfred qui désire que je reste ainsi... Il appelle ça ''Ma tenue de parfaite secrétaire''... il voulait vous en faire profiter...
- Il en a de la chance ce vieux grigou, de vous avoir vêtue ainsi, en permanence sous les yeux... »
Avec un sourire malicieux, Victor s'approcha.
« Si Mademoiselle veut bien me permettre, Monsieur aura un meilleur aperçu... »
Passant derrière moi, il dénoua lentement la ceinture mon déshabillé, ouvrit doucement les pans et les rabattit sur mes bras. Le déshabillé grand ouvert, je m'appuyais d'une main sur le dossier d'un fauteuil face à Birahim pour bien le laisser admirer mon corps. Victor toujours derrière moi, passa ses mains sous mes seins, il malaxa mes globes fermes et les présenta en offrande au petit gynéco.
« Au cours de vos examens, avez-vous vu des seins aussi parfaits ? »
Il fit rouler mes tétons entre ses pouces et ses index, les pinçant avec ses ongles, il se gorgèrent de sang et doublèrent de longueur.
« Et des tétons aussi érectiles que ça... ? Oui, nous en avons de la chance avec Monsieur Alfred !! »
Il fit glisser mon déshabillé qui chu sur le sol et ses deux mains fripées descendirent le long de mes flancs, s'attardèrent sur la ceinture de mon porte-jarretelles, en suivirent les lanières jusqu'aux attaches sur les bas, puis remontèrent lentement à l'intérieur de mes cuisses, il écarta les lèvres de ma chatte dévoilant au noir, surpris par le manège du vieux domestique, l'intérieur rose de ma chatte ou perlait maintenant de petites gouttes. Et avec une pique de jalousie dans la voix Victor lâcha.
« J'ai su que vous aviez pris énormément de plaisir, à mettre votre grosse queue noire dans cette jolie chatte de petite blanche !
- Oui, effectivement, dit Birahim un peu gêné... mais Alfred n'est pas là ?
- Hélas non, il vous prie de l'excuser, répondis-je, il a du s'absenter, un colloque important, mais il nous a dit vous recevoir comme si c'était lui, et de répondre à tous vos désirs. D'ailleurs, Victor nous a préparé un succulent repas.... »
Vu le comportement du majordome, ce diable d'Alfred avait du lui donner des consignes, surtout pour les désirs sexuels !
Mes yeux s'étaient portés sur son entrejambe, pour voir si comme auparavant je lui faisais de l'effet. Je ne fus pas déçue, une bosse énorme se dessinait le long de sa cuisse descendant jusqu'à son genou. Victor amena l'apéritif, il lui servit deux whiskies bien tassés. On se mit à table, je n'avais pas remis mon déshabillé. Le repas fut délicieux et bien arrosé pour Birahim. Les yeux fixés sur mes seins qui jaillissaient par les fentes de mon déshabillé, il me complimentait sans arrêt sur la beauté de mon corps. La conversation roula sur les faits d'actualité, puis sur la littérature surtout érotique. Je trouvais que l'alcool aidant, qu'il était de plus en plus enjoué, il devenait intarissable. Et au plus il regardait mon corps mit en valeur par ma lingerie sexy, au plus je lisais du désir dans ses yeux. Ses regards appuyés, me troublaient, et maintenant je ne pensais plus qu'a son immense queue exorbitante, glissant dans mon sexe sur la table d'examen de son cabinet, et cela commençait à exacerber mes sens.
Le repas fini, il s'installa sur un fauteuil près de la cheminée. En face de lui, assise sur le tabouret devant le piano, je réajustais jambes ouvertes, les attaches de mon porte-jarretelles sur mes bas. Je posais ensuite un talon sur le siège. Je le surveillais du coin de l’œil, mais malgré la vue sur ma chatte béante offerte, sa mine s'était attristée. Il se leva, déboutonna sa braguette et laissa tomber son pantalon sur ses chevilles. Son énorme bite noire démesurée pendait flasque entre ses jambes. Victor faisait semblant de faire du rangement et surveillait nos faits et gestes, ses yeux s'écarquillèrent au vu du rouleau de chair noire, et des bourses velues suspendues en dessous.
« Trixie, vous savez, je suis extrêmement malheureux ! Regardez ma queue, mais vous la connaissez... On pourrait penser que c'est un avantage de posséder un tel appendice, mais en réalité c'est une malédiction !! Aucune femme ne veut de moi, je n'ai pas pu me marier... Les filles acceptent tout juste de me faire une fellation, parfois elles m'autorisent à entrer la moitié de mon membre en elles, mais c'est exceptionnel...Les occasions sont rares maintenant que je n'exerce plus mon métier... Il n'y a que vous, avec qui j'ai pu enfoncer entièrement mon énorme mandrin et depuis plus rien... Heureusement Alfred m'avait fait des copies des dvd ou vous faites l'amour avec divers partenaires... cela m'a permis de me masturber !!
Mais rendez-vous compte cela fait presque maintenant un an, depuis votre dernière visite, que je n'ai pas touché une fille... »
Je crus, qu'il allait pleurer... Mais oui une larme perlait sur sa joue ! Je me levais à mon tour, et avec un air contrit me dirigeais vers lui, je lui déposais un baiser sur la joue...
« Je vois Birahim, mais que puis-je faire, pour vous ? Comment puis-je vous aider ?
- Eh bien, pour commencer en me laissant enlever votre nuisette... »
Avant que j'ai pu esquiver un geste, il tira sur le cordon, le fin vêtement de dentelle blanche s'ouvrit. Je me tournais comme si j'étais choquée...
« Noonnnn, Birahim, minaudais-je, ce n'est pas de ça que je parlais. Et puis, Alfred n'est pas là... Il m'aime beaucoup... je ne sais pas s'il permettrait que je vous aide de cette façon !!
- Oh oui, je sais ! Alfred vous chéri corps et âme, mais s'il vous a permis de me recevoir dans cette tenue, c'est que peut-être, il voulait que je puisse moi aussi chérir votre corps ! »
Il attrapa les bretelles de la nuisette et les fit tomber de mes épaules, dégageant délicatement mes seins des fentes, et la laissa choir sur le sol, et me remis face à lui. Ses grandes mains noires se posèrent sur mes seins blancs. Mes mamelons dépassaient de deux centimètres entre ses majeurs et ses annulaires.
« Nooonnnnn, Alfred ne m'a rien dit ! Je n'ai pas sa permission, nonnnn... Je ne veux pas... !!
- Alors pouvez-vous me dire pourquoi vos seins sont si fermes, et vos mamelons si durs et je suis sûr que vous mouillez... »
Il plaqua une main sur mon sexe, et insinua son majeur dans ma fente palpitante, il le retira luisant de liquide séminal et le porta à ses narines, puis suça son doigt.
« Bon sang Trixie, c'est le paradis. L'odeur et le goût de votre chatte sont divins. J'adore votre petit sexe de blanche Trixie ! Et vous voyez, c'est votre bouche qui dit non, ma petite chérie, mais votre chatte raconte une histoire différente, elle est trempée. Je sais que vous le voulez Trixie, vous voulez mon énorme bite noire. Allez dites-le !!
- Oui.... mais Alf...
- Alfred n'est pas là et je vais profiter de votre jolie petite chatte blanche et profonde, il y a si longtemps que j'attends ce moment ! »
Victor, la mine déconfite, avec la télécommande avait déjà transformé le divan en lit.
Avec fermeté, le petit gynéco noir me poussa vers la couche. J'y tombais à genoux, le visage collé contre le matelas. Il se pencha, il embrassa mes épaules et je sentis glisser sa langue dans mon dos.
Elle passa la cambrure de mes reins, s'attarda sur le pourtour de mon porte-jarretelles, serpenta entre mes deux globes fermes, qu'il écarta de ses deux mains. Son appendice buccal, tourna lentement autour de mon orifice anal, le faisant se contracter, puis il y enfonça plusieurs fois légèrement le bout rose à l'intérieur, je gémissais, tendant les fesses en arrière.
Elle reprit sa lente progression vers mon méat vaginal. S'insinuant entre mes lèvres. Je saisis et serrais le plaid du canapé, laissant sortir un lent soupir plaisir, lorsque je sentis la langue de l'homme noir lécher mon clitoris, sa bave chaude coulait le long de ma chatte et sur mes jambes.
Mon corps s'est tendu, il est devenu rigide. Birahim tel un animal sauvage assoiffé, lapait toute la longueur de mon sexe, léchant, suçant, aspirant l'excroissance rose de mon clitoris, buvant la douce crème gluante qui suintait de mon vagin.
Ses massages buccaux étaient incroyables, son visage noir était enfoui dans les profondeurs de mon intimité. Mes cuisses se sont ouvertes en grand, pour lui permettre d'avoir une plus grande facilité de manœuvre. Sa langue plongeait profondément dans mon orifice vaginal grand ouvert, il la rentrait et la sortait à tout allure, puis suçait et léchait le fluide qu'il avait tiré et fait couler de ma jeune chatte humide, puis elle titillait mon petit bouton rose qu'il mordillait ensuite du bout des dents.
Ses caresses me faisaient haleter, je commençais à gémir bruyamment sans discontinuer, mes hanches commencèrent à trembler, je sentais un orgasme puissant poindre dans mon bas ventre, mais il cessa d'un coup ses palpations et je réussi à contenir mon désir.
Birahim s'éloigna de mon corps pendant un petit moment, comme pour vérifier les résultats de ses caresses. Ensuite il se mit à genoux derrière moi, et brandissant sa bite démesurée et ferme d'une main, se précipita sur moi, à la recherche de ma chatte.
Je redressais mes fesses, aplatissant mon buste sur le lit. Birahim sa bite monstrueuse en main, bandante et gonflée comme celle d'un âne, posa rapidement son gland cramoisi virant sur le noir à l'entrée de ma chatte trempée et il commença à l'enfoncer entre mes lèvres avec une longue et profonde poussée.
Il m'avait déjà défoncé la chatte avec son plus que gigantesque engin noir, mais il m'avait bien préparée avant avec plusieurs godemichés... Là, bien que je mouillais comme une petite folle, une certaine appréhension me fit une boule dans le ventre.
J'essayais d'avancer sournoisement mes hanches, pour retarder la pénétration, mais je commençais à respirer bruyamment, sentant ma chatte s'agrandir et être de plus plus humide. Je sentais cet énorme tronc noir frictionner l'entrée de mon orifice vaginal, frotter autour de mon clitoris.
Birahim grogna, frustré, plaqua ses grandes mains noires autour de ma taille, sur mon porte-jarretelles et commença à frotter énergiquement le long de ma fente ruisselante, sa queue de mammouth dure comme du fer.
Il poussait sa large et monstrueuse bite noire dans les plis de ma chatte, il forçait assez durement pour l'écarter et pouvoir enfoncer sa virilité inhumaine à l'intérieur de mon vagin. Pendant plusieurs minutes, je sentis que la bite noire du gynéco entrait en moi, d'abord deux centimètres, puis trois... puis quatre... mais c'était seulement le gland qui venait d'entrer dans ma chatte. Je serrais fortement le plaid du lit, un cri muet sortit de ma bouche, lorsque je sentis la tête de l'énorme bite noire commencer à me pénétrer plus avant. Par petits coups de reins il continuait à enfouir son pieu dans mes entrailles, il le ressortait à moitié, pour mieux l'enfoncer à nouveau gagnant chaque fois quelques centimètres. Il respirait fort, parfois un grognement sourd sortait de sa gorge, lorsque je contractais autour de son énorme phallus mes muscles vaginaux. Il s'appliquait à faire entrer la totalité de son membre démesuré.
J'étais haletante, pantelante, je nageais dans un brouillard de félicité et je sentis l'énorme bite noire venir buter jusque sur le col de mon utérus profondément dans mes entrailles. Je trouvais cette bite monstrueuse particulièrement chaude. Elle était rugueuse et épaisse et remplissait entièrement ma féminité. Mes parois vaginales palpitaient autour du membre titanesque. Il marqua un temps d'arrêt bien calé au fond de mon vagin.
« Vous voyez Trixie, c'est comme si votre chatte avait été conçue pour ma grosse bite noire, et je pense que vous l'aimez ma grosse queue, et a vous entendre gémir de plaisir, vous vous éclatez ! N'est ce pas petite Salope ! Je suis aux anges, elle est toute entrée...Vous avez bien enveloppé mon énorme bite noire, vous l'avez serrée agréablement, je n'aurais jamais cru que vous y arriveriez sans préparation... Je n'avez jamais ressenti cela, vous me rendez fou de bonheur... Allez dites moi que vous aussi vous perdez la tête... »
Je du convenir qu'il avait raison, Je n'aurais jamais cru que cela serait si puissant ... Je n'avais encore jamais ressenti ça quand je faisais l'amour avec un autre homme. C'était vraiment plus qu'intense, mon corps devenait de plus en plus alangui, cet homme noir me rendait folle avec sa bite monstrueuse.
Oh putain ! Ma chatte se sentait si bien ! Je ne me souvenais pas d'avoir un jour ressenti cela ! C’était si fort ! Je ne voulais pas permettre à Birahim de me contrôler entièrement, mais mon corps n'avait jamais connu quelque chose comme ça auparavant, et ...
Avant que je puisse aller plus loin dans mes réflexions, il me retourna sur le dos, il retira la totalité de son membre gluant. Mon cœur battait à tout rompre, mon corps était engourdi, ma chatte se sentait vide, mon ventre réclamait à nouveau la monstrueuse intrusion de cette énorme bite noire. Je la voulais par dessus tout, je voulais encore la sentir en moi à tout prix... Je voulais cette queue monstrueuse noire profondément dans ma chatte. Oui, je suis une fille terriblement salope, nymphomane, voulant que des hommes avec de grosses bites s'enfoncent profondément en moi.
Il exauça mes désirs, son énorme mandrin noir glissa cette fois sans heurt au plus profond de mon vagin, il m'embrassa fougueusement sa langue se nouant à la mienne, je lui rendais son baiser avec passion. Il m'empalait avec de puissants allers et retours. A travers un brouillard érotique je vis Victor s'approcher du divan. Il me sembla qu'il était nu, sa queue blanche, presque aussi grande que celle du noir qui me martelait, en érection.
Bien lubrifiée, pleine de cyprine qui faisait un anneau blanc à la base du cylindre noir monstrueux, la queue de Birahim entrait et sortait à toute vitesse de ma jolie chatte de petite blanche. Mon sexe était en feu, une boule de lave se déplaçait dans mes entrailles, cherchant à traverser mon corps pour aller déverser sa jouissance dans mon cerveau, enfin l'éruption eu lieu, mon corps se cambra soulevant le petit gynéco, et comme des bombes volcaniques des cris de jouissance fusèrent de mon gosier...
«Bien bien ça... vous avez joui... votre orgasme a été puissant... Mais moi, je ne suis pas encore prêt, je n'ai pas encore éjaculé chérie… Je veux profiter de votre chatte Trixie, Elle est la meilleure chatte que je n'ai jamais baisée, la seule ou je peux enfiler entièrement ma queue !! Je fais durer le plaisir !! »
Son dard démesuré continua au moins pendant dix minutes à transpercer ma chatte, je sentais ses couilles rebondir sur mes fesses, il me tirait toujours des gémissements de ravissement.
« Birahim, je... je vais m'évanouir... je... je ne peux plus supporter le plaisir que vous me donnez... !!
- Tixie, je vais jouir !! Voulez-vous que j'éjacule mon sperme à l'intérieur de votre chatte ?
- Oui, oui faites gicler votre semence profondément dans ma chatte, je la veux à l'intérieur de mon vagin... répondis-je en transe..... AAAAAHHHH, OOOHHHH.... je joui à nouveau … avec vous !! Je sens votre sperme chaud couler dans mon ventre ! Oh putain... c'est une sensation merveilleuse. J'aime que les Noirs éjaculent dans ma chatte !!
- AAAAAAHHHHHHH... Putain que c'est bon... cela faisait un an que j'attendais de pouvoir à nouveau éjaculer mon sperme dans votre chatte, mais j'en ai tellement en réserve... regardez mes couilles sont pleines, caressez les moi. Mais je vois que Victor voudrait nous dire quelque chose »
J'obtempérais, lui caressais les testicules et regardais Victor en souriant, je savais que le vieux domestique d'Alfred était jaloux lorsque je me faisais baiser devant lui par un autre homme. Il s'était déshabillé lors de nos ébats, il bandait énormément.
« Oui... Mademoiselle ne va pas me laisser dans cet état...
- Pour l'instant, je suis crevée... on verra !! Mais si tu nous préparais un bon thé pour nous retaper »
Il partit en grommelant, nu comme un ver, en cuisine, préparer les boissons. Nous avions remis le canapé en place, et assis l'un tout près de l'autre, Birahim me complimentait à nouveau, j'étais une femme exceptionnelle... il continua ainsi pendant un quart d'heure, usant de tout un tas de superlatifs, ponctuant ses dires par de petits baisers, palpant mes seins, s'amusant avec mon porte-jarretelles. Je continuais à malaxer ses couilles velues, déposant parfois de petits baisers sur son gland bistre que je décalottais.
Victor revint avec la théière, et nous servit les boissons revigorantes auxquelles il avait ajouté nous dit-il une larme de cognac. Le tout conjugué dut faire effet, la main noire de Birahim se glissa sous la lanière de mon porte jarretelle, et remonta en direction de ma chatte. Je l'embrassais...
Un peu brutalement Victor, toujours nu et bandant comme un taureau, vint s'asseoir à côté de moi. Il Il se pencha sur moi pour m'embrasser passionnément, j'acceptais sa langue sauvage et ses lèvres tremblantes de désir, puis sa langue pleine de salive descendit sur mon cou le le lécha tandis qu'une de ses mains malaxait mon sein droit. Le petit gynéco, avec la télécommande, remit le divan en position lit, ce qui obligea Victor a se mettre debout.
Le noir profitant de cette aubaine, craignant que Victor ne m'accapare, me renversa sur lui. J'avais encore le sexe et l'anus trempés par son sperme et par le foutre qui suintait à nouveau de mon vagin. Rapidement, il enfonça légèrement son énorme gland dans mon conduit anal. J'étais jambes largement écartées, il se mit à triturer mon clitoris, faisant profiter de mon intimité grande ouverte et trempée à Victor. Celui-ci ne put résister, se mettant à genoux entre mes cuisses, il passa ses mains sous les lanières de mon porte-jarretelles et enfonça sans ménagement sa grosse bite dans ma chatte dégoulinante. Je frissonnais en la sentant me pénétrer. Je sentais chaque centimètre de sa vieille bite tendue pénétrer ma vulve et butter l'entrée de mon utérus à chaque pénétration.
Birahim lui aussi enfonçait petit à petit sa bite cyclopéenne dans mon anus. J'étais complètement coincée entre les corps blanc et noir. Mon cul et ma chatte étaient pilonnées par deux pistons géants, dont les évolutions devenaient plus dures, plus rapides, plus profondes.
La jalousie du vieux majordome était exacerbée. Il me baisait comme un fou, il s'était allongé sur moi, suçant et mordillant fortement mes mamelons. Puis il se laissa tomber sur le côté, réussi à se coucher sur le dos m'entraînant avec lui, pour ne pas sortir sa bite de mon anus Birahim fut obligé de suivre le mouvement, et se retrouva au dessus de nous.
J'étais à nouveau dans un nirvana de jouissance, chaque pénétration de l'un ou de l'autre me tirait des gémissements de plaisir. Mon corps, mon esprit étaient devenus un seul sexe dans lequel le plaisir s'engouffrait.
Victor attrapa mes fesses, se mit à les pétrir. Birahim avait une vue splendide sur ma chatte baveuse emplie par l'énorme sexe blanc. Mais la bite de Victor empêchait l'énorme mandrin du petit noir bedonnant de me sodomiser facilement. Il grogna de mécontentement, c'est lui maintenant qui était jaloux du vieux domestique ! Il sortit sa queue...
« Faites moi une petite place Victor, je viens vous rejoindre...
- Nooonn, nooonnn... vous n'allez pas mettre vos deux bites éléphantesques dans ma chatte, nooonnn !!
- Mais pourquoi pas, Mademoiselle, ce ne serait pas la première fois que....
- Oui, oui Victor mais jamais deux monstres de cette taille !! Elles ne rentreront jamais et vont me déchirer !!
- Mais non, Trixie, je suis gynéco... le vagin féminin peut se dilater jusqu'à plus de dix centimètres, alors en forçant un peu nos deux bites vont trouver leur place... détendez-vous... »
Je sentis son gland se poser à l'entrée de ma chatte, sous mon clitoris, au dessus de celle de Victor, qui ne bougeait plus, sa bite bien enfoncée en moi. Puis il força, enfonçant son phallus noir dans ma chatte bien lubrifiée, lentement centimètre par centimètre. Je haletais bruyamment, gémissait doucement en sentant ma chatte s'étirer autour de deux grosses bites dures comme du fer.
J'eus un hoquet lorsque je sentis le bout de la bite de Birahim toucher mon utérus.
« Détendez-vous, Trixie, nous avons entré nos deux bites, vous êtes vraiment super... »
Ils commencèrent à me baiser de plus en plus vite, me pénétrant avec leurs bites palpitantes, sans les faire sortir ma chatte surchargée...
Victor me massait les fesses, chuchotant dans mon oreille.
« Allez, tu aimes nos deux bites... petite Salope... tu vas jouir... je le sens... »
En effet, bien que je luttais pour le repousser, je commençais à ressentir qu'un orgasme, un des plus puissants que j'ai connu se formait à l'intérieur de mon ventre. Mes fesses rebondissaient, mes seins se balançaient, tout mon corps me brûlait, j'attendais qu'ils éjaculent profondément leur sperme dans ma chatte. Leurs énormes bites dures et gonflées étaient depuis un moment dans mon vagin, en entendant mes cris d'extase, les deux hommes redoublèrent la cadence de pénétration.
J'explosais, chacun des muscles de mes parois vaginales se serrèrent avec une force inouïe, puis se relâchèrent, une vague de foutre humide et crémeux déferla comme une cascade le long de mon vagin, trempant les bites monstrueuses des deux hommes, leurs couilles et les jambes de Victor. Ils sentaient les spasmes de ma chatte, ils la sentaient se serrer autour de leurs énormes queues, et ils les enfoncèrent plus profondément dans ma chatte blanche et humide, chaque bite luttant pour faire son chemin entre mes parois vaginales distenduesPuis deux geysers simultanés éclatèrent de leurs queues avec force dans mon ventre, il me sembla que ma chatte s'étirait encore plus, de façon à accueillir leur profusion de sperme chaud et gluant giclant avec force dans la profondeur de mon intimité.
Pendant plusieurs longues minutes, l'énorme bite du petit noir resta bloquée dans ma chatte, il jouissait énormément, son éjaculation était intense et semblait ne vouloir jamais s'arrêter.
J'ai accepté le baiser que Victor me prodiguait et je l'embrassais passionnément ravie que le vieux majordome ait pu me faire jouir, comme jamais il ne l'avait fait auparavant.
Tandis que Victor me délivrait son baiser, Birahim m' embrassa dans le cou et il devenait vraiment jaloux, que Victor puisse être si intime avec moi. Il le repoussa en arrière. Leurs deux bites s'échappèrent en même temps de ma chatte, leur sperme se mit à couler de mon orifice béant. Coulant sur mes cuisses jusque sur mes bas.
« C'est quoi ça ?? Alfred ne vous a-t-il pas dit de vous occuper de moi ? Allez dégagez Victor... reprenez votre place de domestique... »
Il avait dit cela assez méchamment, je cru que Victor allait riposter, mais Alfred pénétra dans la pièce. Il s'approcha en souriant.
« Eh bien Messieurs !! Je vois que vos bites sont flasques, vos testicules doivent être vides... la chatte et les cuisses de Trixie sont pleines de vos spermes !! Vous avez du vous éclater ce soir, non ?? Alors pourquoi s’énerver !! »
A suivre...
Le lendemain matin, la mine catastrophée, Alfred me pria de l'excuser, il venait de consulter son agenda et le soir, il avait un colloque auquel il ne pouvait pas se soustraire, cela lui était complètement sorti de l'esprit.
« Je ne peux décemment pas annuler mon invitation.... Si cela ne te fais rien, ne pourrais-tu pas jouer les maîtresses de maison et le recevoir, Victor te secondera habilement...
- Oui, je veux bien, mais je n'ai pas de souvenir de jeunesse à partager avec lui, dis-je en souriant... Et puis je m'habille comment pour le recevoir ? »
Je me remémorais les péripéties de la visite que le gynéco noir m'avait faite dans son cabinet et surtout sa bite démesurée !!
« Oh, c'est un ami... Tu fais comme tu veux, mais tu peux garder ta tenue de '' parfaite secrétaire '', car comme je te l'ai déjà dit : lorsqu'on a une œuvre d'art on l'expose ! Et puis il t'a ausculté sous toutes les coutures !!
- Oh oui !!! Et même un peu plus tu ne crois pas !! Je crois que de tous les hommes que j'ai connu, c'est lui qui a le plus gros et plus long sexe, Victor qui n'est pas mal... est battu... je peux en parler en connaissance de cause !!
- Eh, mais la dernière fois... j'étais avec toi, me dit-il avec une pointe de jalousie dans la voix. Ce soir...
- Mais non Alfred... Et puis Victor me surveillera, lui répondis-je en souriant !
- Oh oui... sûrement !!»
J'avais écouté Alfred et pour la venue de son copain le gynéco, j'avais mis un ''soutien gorge blanc'' qui ne comportait pas de bonnet. Seule, une étroite bande de tissu passait sous chaque sein, les laissant entièrement libres de toute entrave. Mais ils étaient assez fermes pour se passer de support.
Un porte-jarretelle blanc à la ceinture assez large assorti à la dentelle du haut de mes bas blancs.
Les lanières des attaches encadraient ma chatte épilée, avec juste un petit triangle de poils blonds et ras au dessus de ma fente. Aucun string ne venait la soustraire aux regards. Je passais une nuisette, avec de fines bretelles. Elle était fermée sous ma poitrine par un ruban que je nouais savamment, elle s’évasait sur mes hanches laissant mon bas ventre et mon sexe à découvert.. J'écartais au maximum les fentes sur mes seins, on aurait dit que mes aréoles brunes aux mamelons proéminents, n'attendaient qu'une chose être sucés par une bouche gourmande.
La dessus je passais un léger déshabillé blanc, qui par transparence laissait devenir cette lingerie hyper sexy. Mais il était presque 20 heures, Birahim allait arriver. Je descendis rejoindre Victor qui s'activait dans le living-room.
« Fais voir, ouvre ton déshabillé... »
J'obtempérais.
« Putain, tu es comme toujours, vraiment parfaite !! Si j'ai bien compris... lorsque j'ai lu ton histoire, le copain d'Alfred... c'est un noir avec une bite énorme ! Et d'après ce que je t'ai entendu dire à Alfred, il est mieux monté que moi !! ''On'' va se régaler ce soir !! »
La sonnette retenti, Victor partit ouvrir, et fit entrer notre invité. Birahim était un petit homme noir, de l'âge d'Alfred un peu plus de 70 ans, bedonnant, le dessus du crâne chauve, des cheveux blancs crépus autour des tempes, un nez épaté et depuis notre dernière rencontre un petit bouc pointu de poils blanc ornait son menton. Je faisais presque une tête de plus que lui. Il était vêtu d'un élégant costume trois pièces, d'une chemise bleue pâle.
Il s'avança vers moi, avec un grand sourire. Me serrant contre lui, il m'embrassa sur les deux joues, et me prenant une main il me fit tournoyer lentement sur moi-même.
« Toujours, aussi parfaite !! Et, waoouuhhhh ! ces vêtements vous mettent vraiment en valeur !!
- Oui, c'est Alfred qui désire que je reste ainsi... Il appelle ça ''Ma tenue de parfaite secrétaire''... il voulait vous en faire profiter...
- Il en a de la chance ce vieux grigou, de vous avoir vêtue ainsi, en permanence sous les yeux... »
Avec un sourire malicieux, Victor s'approcha.
« Si Mademoiselle veut bien me permettre, Monsieur aura un meilleur aperçu... »
Passant derrière moi, il dénoua lentement la ceinture mon déshabillé, ouvrit doucement les pans et les rabattit sur mes bras. Le déshabillé grand ouvert, je m'appuyais d'une main sur le dossier d'un fauteuil face à Birahim pour bien le laisser admirer mon corps. Victor toujours derrière moi, passa ses mains sous mes seins, il malaxa mes globes fermes et les présenta en offrande au petit gynéco.
« Au cours de vos examens, avez-vous vu des seins aussi parfaits ? »
Il fit rouler mes tétons entre ses pouces et ses index, les pinçant avec ses ongles, il se gorgèrent de sang et doublèrent de longueur.
« Et des tétons aussi érectiles que ça... ? Oui, nous en avons de la chance avec Monsieur Alfred !! »
Il fit glisser mon déshabillé qui chu sur le sol et ses deux mains fripées descendirent le long de mes flancs, s'attardèrent sur la ceinture de mon porte-jarretelles, en suivirent les lanières jusqu'aux attaches sur les bas, puis remontèrent lentement à l'intérieur de mes cuisses, il écarta les lèvres de ma chatte dévoilant au noir, surpris par le manège du vieux domestique, l'intérieur rose de ma chatte ou perlait maintenant de petites gouttes. Et avec une pique de jalousie dans la voix Victor lâcha.
« J'ai su que vous aviez pris énormément de plaisir, à mettre votre grosse queue noire dans cette jolie chatte de petite blanche !
- Oui, effectivement, dit Birahim un peu gêné... mais Alfred n'est pas là ?
- Hélas non, il vous prie de l'excuser, répondis-je, il a du s'absenter, un colloque important, mais il nous a dit vous recevoir comme si c'était lui, et de répondre à tous vos désirs. D'ailleurs, Victor nous a préparé un succulent repas.... »
Vu le comportement du majordome, ce diable d'Alfred avait du lui donner des consignes, surtout pour les désirs sexuels !
Mes yeux s'étaient portés sur son entrejambe, pour voir si comme auparavant je lui faisais de l'effet. Je ne fus pas déçue, une bosse énorme se dessinait le long de sa cuisse descendant jusqu'à son genou. Victor amena l'apéritif, il lui servit deux whiskies bien tassés. On se mit à table, je n'avais pas remis mon déshabillé. Le repas fut délicieux et bien arrosé pour Birahim. Les yeux fixés sur mes seins qui jaillissaient par les fentes de mon déshabillé, il me complimentait sans arrêt sur la beauté de mon corps. La conversation roula sur les faits d'actualité, puis sur la littérature surtout érotique. Je trouvais que l'alcool aidant, qu'il était de plus en plus enjoué, il devenait intarissable. Et au plus il regardait mon corps mit en valeur par ma lingerie sexy, au plus je lisais du désir dans ses yeux. Ses regards appuyés, me troublaient, et maintenant je ne pensais plus qu'a son immense queue exorbitante, glissant dans mon sexe sur la table d'examen de son cabinet, et cela commençait à exacerber mes sens.
Le repas fini, il s'installa sur un fauteuil près de la cheminée. En face de lui, assise sur le tabouret devant le piano, je réajustais jambes ouvertes, les attaches de mon porte-jarretelles sur mes bas. Je posais ensuite un talon sur le siège. Je le surveillais du coin de l’œil, mais malgré la vue sur ma chatte béante offerte, sa mine s'était attristée. Il se leva, déboutonna sa braguette et laissa tomber son pantalon sur ses chevilles. Son énorme bite noire démesurée pendait flasque entre ses jambes. Victor faisait semblant de faire du rangement et surveillait nos faits et gestes, ses yeux s'écarquillèrent au vu du rouleau de chair noire, et des bourses velues suspendues en dessous.
« Trixie, vous savez, je suis extrêmement malheureux ! Regardez ma queue, mais vous la connaissez... On pourrait penser que c'est un avantage de posséder un tel appendice, mais en réalité c'est une malédiction !! Aucune femme ne veut de moi, je n'ai pas pu me marier... Les filles acceptent tout juste de me faire une fellation, parfois elles m'autorisent à entrer la moitié de mon membre en elles, mais c'est exceptionnel...Les occasions sont rares maintenant que je n'exerce plus mon métier... Il n'y a que vous, avec qui j'ai pu enfoncer entièrement mon énorme mandrin et depuis plus rien... Heureusement Alfred m'avait fait des copies des dvd ou vous faites l'amour avec divers partenaires... cela m'a permis de me masturber !!
Mais rendez-vous compte cela fait presque maintenant un an, depuis votre dernière visite, que je n'ai pas touché une fille... »
Je crus, qu'il allait pleurer... Mais oui une larme perlait sur sa joue ! Je me levais à mon tour, et avec un air contrit me dirigeais vers lui, je lui déposais un baiser sur la joue...
« Je vois Birahim, mais que puis-je faire, pour vous ? Comment puis-je vous aider ?
- Eh bien, pour commencer en me laissant enlever votre nuisette... »
Avant que j'ai pu esquiver un geste, il tira sur le cordon, le fin vêtement de dentelle blanche s'ouvrit. Je me tournais comme si j'étais choquée...
« Noonnnn, Birahim, minaudais-je, ce n'est pas de ça que je parlais. Et puis, Alfred n'est pas là... Il m'aime beaucoup... je ne sais pas s'il permettrait que je vous aide de cette façon !!
- Oh oui, je sais ! Alfred vous chéri corps et âme, mais s'il vous a permis de me recevoir dans cette tenue, c'est que peut-être, il voulait que je puisse moi aussi chérir votre corps ! »
Il attrapa les bretelles de la nuisette et les fit tomber de mes épaules, dégageant délicatement mes seins des fentes, et la laissa choir sur le sol, et me remis face à lui. Ses grandes mains noires se posèrent sur mes seins blancs. Mes mamelons dépassaient de deux centimètres entre ses majeurs et ses annulaires.
« Nooonnnnn, Alfred ne m'a rien dit ! Je n'ai pas sa permission, nonnnn... Je ne veux pas... !!
- Alors pouvez-vous me dire pourquoi vos seins sont si fermes, et vos mamelons si durs et je suis sûr que vous mouillez... »
Il plaqua une main sur mon sexe, et insinua son majeur dans ma fente palpitante, il le retira luisant de liquide séminal et le porta à ses narines, puis suça son doigt.
« Bon sang Trixie, c'est le paradis. L'odeur et le goût de votre chatte sont divins. J'adore votre petit sexe de blanche Trixie ! Et vous voyez, c'est votre bouche qui dit non, ma petite chérie, mais votre chatte raconte une histoire différente, elle est trempée. Je sais que vous le voulez Trixie, vous voulez mon énorme bite noire. Allez dites-le !!
- Oui.... mais Alf...
- Alfred n'est pas là et je vais profiter de votre jolie petite chatte blanche et profonde, il y a si longtemps que j'attends ce moment ! »
Victor, la mine déconfite, avec la télécommande avait déjà transformé le divan en lit.
Avec fermeté, le petit gynéco noir me poussa vers la couche. J'y tombais à genoux, le visage collé contre le matelas. Il se pencha, il embrassa mes épaules et je sentis glisser sa langue dans mon dos.
Elle passa la cambrure de mes reins, s'attarda sur le pourtour de mon porte-jarretelles, serpenta entre mes deux globes fermes, qu'il écarta de ses deux mains. Son appendice buccal, tourna lentement autour de mon orifice anal, le faisant se contracter, puis il y enfonça plusieurs fois légèrement le bout rose à l'intérieur, je gémissais, tendant les fesses en arrière.
Elle reprit sa lente progression vers mon méat vaginal. S'insinuant entre mes lèvres. Je saisis et serrais le plaid du canapé, laissant sortir un lent soupir plaisir, lorsque je sentis la langue de l'homme noir lécher mon clitoris, sa bave chaude coulait le long de ma chatte et sur mes jambes.
Mon corps s'est tendu, il est devenu rigide. Birahim tel un animal sauvage assoiffé, lapait toute la longueur de mon sexe, léchant, suçant, aspirant l'excroissance rose de mon clitoris, buvant la douce crème gluante qui suintait de mon vagin.
Ses massages buccaux étaient incroyables, son visage noir était enfoui dans les profondeurs de mon intimité. Mes cuisses se sont ouvertes en grand, pour lui permettre d'avoir une plus grande facilité de manœuvre. Sa langue plongeait profondément dans mon orifice vaginal grand ouvert, il la rentrait et la sortait à tout allure, puis suçait et léchait le fluide qu'il avait tiré et fait couler de ma jeune chatte humide, puis elle titillait mon petit bouton rose qu'il mordillait ensuite du bout des dents.
Ses caresses me faisaient haleter, je commençais à gémir bruyamment sans discontinuer, mes hanches commencèrent à trembler, je sentais un orgasme puissant poindre dans mon bas ventre, mais il cessa d'un coup ses palpations et je réussi à contenir mon désir.
Birahim s'éloigna de mon corps pendant un petit moment, comme pour vérifier les résultats de ses caresses. Ensuite il se mit à genoux derrière moi, et brandissant sa bite démesurée et ferme d'une main, se précipita sur moi, à la recherche de ma chatte.
Je redressais mes fesses, aplatissant mon buste sur le lit. Birahim sa bite monstrueuse en main, bandante et gonflée comme celle d'un âne, posa rapidement son gland cramoisi virant sur le noir à l'entrée de ma chatte trempée et il commença à l'enfoncer entre mes lèvres avec une longue et profonde poussée.
Il m'avait déjà défoncé la chatte avec son plus que gigantesque engin noir, mais il m'avait bien préparée avant avec plusieurs godemichés... Là, bien que je mouillais comme une petite folle, une certaine appréhension me fit une boule dans le ventre.
J'essayais d'avancer sournoisement mes hanches, pour retarder la pénétration, mais je commençais à respirer bruyamment, sentant ma chatte s'agrandir et être de plus plus humide. Je sentais cet énorme tronc noir frictionner l'entrée de mon orifice vaginal, frotter autour de mon clitoris.
Birahim grogna, frustré, plaqua ses grandes mains noires autour de ma taille, sur mon porte-jarretelles et commença à frotter énergiquement le long de ma fente ruisselante, sa queue de mammouth dure comme du fer.
Il poussait sa large et monstrueuse bite noire dans les plis de ma chatte, il forçait assez durement pour l'écarter et pouvoir enfoncer sa virilité inhumaine à l'intérieur de mon vagin. Pendant plusieurs minutes, je sentis que la bite noire du gynéco entrait en moi, d'abord deux centimètres, puis trois... puis quatre... mais c'était seulement le gland qui venait d'entrer dans ma chatte. Je serrais fortement le plaid du lit, un cri muet sortit de ma bouche, lorsque je sentis la tête de l'énorme bite noire commencer à me pénétrer plus avant. Par petits coups de reins il continuait à enfouir son pieu dans mes entrailles, il le ressortait à moitié, pour mieux l'enfoncer à nouveau gagnant chaque fois quelques centimètres. Il respirait fort, parfois un grognement sourd sortait de sa gorge, lorsque je contractais autour de son énorme phallus mes muscles vaginaux. Il s'appliquait à faire entrer la totalité de son membre démesuré.
J'étais haletante, pantelante, je nageais dans un brouillard de félicité et je sentis l'énorme bite noire venir buter jusque sur le col de mon utérus profondément dans mes entrailles. Je trouvais cette bite monstrueuse particulièrement chaude. Elle était rugueuse et épaisse et remplissait entièrement ma féminité. Mes parois vaginales palpitaient autour du membre titanesque. Il marqua un temps d'arrêt bien calé au fond de mon vagin.
« Vous voyez Trixie, c'est comme si votre chatte avait été conçue pour ma grosse bite noire, et je pense que vous l'aimez ma grosse queue, et a vous entendre gémir de plaisir, vous vous éclatez ! N'est ce pas petite Salope ! Je suis aux anges, elle est toute entrée...Vous avez bien enveloppé mon énorme bite noire, vous l'avez serrée agréablement, je n'aurais jamais cru que vous y arriveriez sans préparation... Je n'avez jamais ressenti cela, vous me rendez fou de bonheur... Allez dites moi que vous aussi vous perdez la tête... »
Je du convenir qu'il avait raison, Je n'aurais jamais cru que cela serait si puissant ... Je n'avais encore jamais ressenti ça quand je faisais l'amour avec un autre homme. C'était vraiment plus qu'intense, mon corps devenait de plus en plus alangui, cet homme noir me rendait folle avec sa bite monstrueuse.
Oh putain ! Ma chatte se sentait si bien ! Je ne me souvenais pas d'avoir un jour ressenti cela ! C’était si fort ! Je ne voulais pas permettre à Birahim de me contrôler entièrement, mais mon corps n'avait jamais connu quelque chose comme ça auparavant, et ...
Avant que je puisse aller plus loin dans mes réflexions, il me retourna sur le dos, il retira la totalité de son membre gluant. Mon cœur battait à tout rompre, mon corps était engourdi, ma chatte se sentait vide, mon ventre réclamait à nouveau la monstrueuse intrusion de cette énorme bite noire. Je la voulais par dessus tout, je voulais encore la sentir en moi à tout prix... Je voulais cette queue monstrueuse noire profondément dans ma chatte. Oui, je suis une fille terriblement salope, nymphomane, voulant que des hommes avec de grosses bites s'enfoncent profondément en moi.
Il exauça mes désirs, son énorme mandrin noir glissa cette fois sans heurt au plus profond de mon vagin, il m'embrassa fougueusement sa langue se nouant à la mienne, je lui rendais son baiser avec passion. Il m'empalait avec de puissants allers et retours. A travers un brouillard érotique je vis Victor s'approcher du divan. Il me sembla qu'il était nu, sa queue blanche, presque aussi grande que celle du noir qui me martelait, en érection.
Bien lubrifiée, pleine de cyprine qui faisait un anneau blanc à la base du cylindre noir monstrueux, la queue de Birahim entrait et sortait à toute vitesse de ma jolie chatte de petite blanche. Mon sexe était en feu, une boule de lave se déplaçait dans mes entrailles, cherchant à traverser mon corps pour aller déverser sa jouissance dans mon cerveau, enfin l'éruption eu lieu, mon corps se cambra soulevant le petit gynéco, et comme des bombes volcaniques des cris de jouissance fusèrent de mon gosier...
«Bien bien ça... vous avez joui... votre orgasme a été puissant... Mais moi, je ne suis pas encore prêt, je n'ai pas encore éjaculé chérie… Je veux profiter de votre chatte Trixie, Elle est la meilleure chatte que je n'ai jamais baisée, la seule ou je peux enfiler entièrement ma queue !! Je fais durer le plaisir !! »
Son dard démesuré continua au moins pendant dix minutes à transpercer ma chatte, je sentais ses couilles rebondir sur mes fesses, il me tirait toujours des gémissements de ravissement.
« Birahim, je... je vais m'évanouir... je... je ne peux plus supporter le plaisir que vous me donnez... !!
- Tixie, je vais jouir !! Voulez-vous que j'éjacule mon sperme à l'intérieur de votre chatte ?
- Oui, oui faites gicler votre semence profondément dans ma chatte, je la veux à l'intérieur de mon vagin... répondis-je en transe..... AAAAAHHHH, OOOHHHH.... je joui à nouveau … avec vous !! Je sens votre sperme chaud couler dans mon ventre ! Oh putain... c'est une sensation merveilleuse. J'aime que les Noirs éjaculent dans ma chatte !!
- AAAAAAHHHHHHH... Putain que c'est bon... cela faisait un an que j'attendais de pouvoir à nouveau éjaculer mon sperme dans votre chatte, mais j'en ai tellement en réserve... regardez mes couilles sont pleines, caressez les moi. Mais je vois que Victor voudrait nous dire quelque chose »
J'obtempérais, lui caressais les testicules et regardais Victor en souriant, je savais que le vieux domestique d'Alfred était jaloux lorsque je me faisais baiser devant lui par un autre homme. Il s'était déshabillé lors de nos ébats, il bandait énormément.
« Oui... Mademoiselle ne va pas me laisser dans cet état...
- Pour l'instant, je suis crevée... on verra !! Mais si tu nous préparais un bon thé pour nous retaper »
Il partit en grommelant, nu comme un ver, en cuisine, préparer les boissons. Nous avions remis le canapé en place, et assis l'un tout près de l'autre, Birahim me complimentait à nouveau, j'étais une femme exceptionnelle... il continua ainsi pendant un quart d'heure, usant de tout un tas de superlatifs, ponctuant ses dires par de petits baisers, palpant mes seins, s'amusant avec mon porte-jarretelles. Je continuais à malaxer ses couilles velues, déposant parfois de petits baisers sur son gland bistre que je décalottais.
Victor revint avec la théière, et nous servit les boissons revigorantes auxquelles il avait ajouté nous dit-il une larme de cognac. Le tout conjugué dut faire effet, la main noire de Birahim se glissa sous la lanière de mon porte jarretelle, et remonta en direction de ma chatte. Je l'embrassais...
Un peu brutalement Victor, toujours nu et bandant comme un taureau, vint s'asseoir à côté de moi. Il Il se pencha sur moi pour m'embrasser passionnément, j'acceptais sa langue sauvage et ses lèvres tremblantes de désir, puis sa langue pleine de salive descendit sur mon cou le le lécha tandis qu'une de ses mains malaxait mon sein droit. Le petit gynéco, avec la télécommande, remit le divan en position lit, ce qui obligea Victor a se mettre debout.
Le noir profitant de cette aubaine, craignant que Victor ne m'accapare, me renversa sur lui. J'avais encore le sexe et l'anus trempés par son sperme et par le foutre qui suintait à nouveau de mon vagin. Rapidement, il enfonça légèrement son énorme gland dans mon conduit anal. J'étais jambes largement écartées, il se mit à triturer mon clitoris, faisant profiter de mon intimité grande ouverte et trempée à Victor. Celui-ci ne put résister, se mettant à genoux entre mes cuisses, il passa ses mains sous les lanières de mon porte-jarretelles et enfonça sans ménagement sa grosse bite dans ma chatte dégoulinante. Je frissonnais en la sentant me pénétrer. Je sentais chaque centimètre de sa vieille bite tendue pénétrer ma vulve et butter l'entrée de mon utérus à chaque pénétration.
Birahim lui aussi enfonçait petit à petit sa bite cyclopéenne dans mon anus. J'étais complètement coincée entre les corps blanc et noir. Mon cul et ma chatte étaient pilonnées par deux pistons géants, dont les évolutions devenaient plus dures, plus rapides, plus profondes.
La jalousie du vieux majordome était exacerbée. Il me baisait comme un fou, il s'était allongé sur moi, suçant et mordillant fortement mes mamelons. Puis il se laissa tomber sur le côté, réussi à se coucher sur le dos m'entraînant avec lui, pour ne pas sortir sa bite de mon anus Birahim fut obligé de suivre le mouvement, et se retrouva au dessus de nous.
J'étais à nouveau dans un nirvana de jouissance, chaque pénétration de l'un ou de l'autre me tirait des gémissements de plaisir. Mon corps, mon esprit étaient devenus un seul sexe dans lequel le plaisir s'engouffrait.
Victor attrapa mes fesses, se mit à les pétrir. Birahim avait une vue splendide sur ma chatte baveuse emplie par l'énorme sexe blanc. Mais la bite de Victor empêchait l'énorme mandrin du petit noir bedonnant de me sodomiser facilement. Il grogna de mécontentement, c'est lui maintenant qui était jaloux du vieux domestique ! Il sortit sa queue...
« Faites moi une petite place Victor, je viens vous rejoindre...
- Nooonn, nooonnn... vous n'allez pas mettre vos deux bites éléphantesques dans ma chatte, nooonnn !!
- Mais pourquoi pas, Mademoiselle, ce ne serait pas la première fois que....
- Oui, oui Victor mais jamais deux monstres de cette taille !! Elles ne rentreront jamais et vont me déchirer !!
- Mais non, Trixie, je suis gynéco... le vagin féminin peut se dilater jusqu'à plus de dix centimètres, alors en forçant un peu nos deux bites vont trouver leur place... détendez-vous... »
Je sentis son gland se poser à l'entrée de ma chatte, sous mon clitoris, au dessus de celle de Victor, qui ne bougeait plus, sa bite bien enfoncée en moi. Puis il força, enfonçant son phallus noir dans ma chatte bien lubrifiée, lentement centimètre par centimètre. Je haletais bruyamment, gémissait doucement en sentant ma chatte s'étirer autour de deux grosses bites dures comme du fer.
J'eus un hoquet lorsque je sentis le bout de la bite de Birahim toucher mon utérus.
« Détendez-vous, Trixie, nous avons entré nos deux bites, vous êtes vraiment super... »
Ils commencèrent à me baiser de plus en plus vite, me pénétrant avec leurs bites palpitantes, sans les faire sortir ma chatte surchargée...
Victor me massait les fesses, chuchotant dans mon oreille.
« Allez, tu aimes nos deux bites... petite Salope... tu vas jouir... je le sens... »
En effet, bien que je luttais pour le repousser, je commençais à ressentir qu'un orgasme, un des plus puissants que j'ai connu se formait à l'intérieur de mon ventre. Mes fesses rebondissaient, mes seins se balançaient, tout mon corps me brûlait, j'attendais qu'ils éjaculent profondément leur sperme dans ma chatte. Leurs énormes bites dures et gonflées étaient depuis un moment dans mon vagin, en entendant mes cris d'extase, les deux hommes redoublèrent la cadence de pénétration.
J'explosais, chacun des muscles de mes parois vaginales se serrèrent avec une force inouïe, puis se relâchèrent, une vague de foutre humide et crémeux déferla comme une cascade le long de mon vagin, trempant les bites monstrueuses des deux hommes, leurs couilles et les jambes de Victor. Ils sentaient les spasmes de ma chatte, ils la sentaient se serrer autour de leurs énormes queues, et ils les enfoncèrent plus profondément dans ma chatte blanche et humide, chaque bite luttant pour faire son chemin entre mes parois vaginales distenduesPuis deux geysers simultanés éclatèrent de leurs queues avec force dans mon ventre, il me sembla que ma chatte s'étirait encore plus, de façon à accueillir leur profusion de sperme chaud et gluant giclant avec force dans la profondeur de mon intimité.
Pendant plusieurs longues minutes, l'énorme bite du petit noir resta bloquée dans ma chatte, il jouissait énormément, son éjaculation était intense et semblait ne vouloir jamais s'arrêter.
J'ai accepté le baiser que Victor me prodiguait et je l'embrassais passionnément ravie que le vieux majordome ait pu me faire jouir, comme jamais il ne l'avait fait auparavant.
Tandis que Victor me délivrait son baiser, Birahim m' embrassa dans le cou et il devenait vraiment jaloux, que Victor puisse être si intime avec moi. Il le repoussa en arrière. Leurs deux bites s'échappèrent en même temps de ma chatte, leur sperme se mit à couler de mon orifice béant. Coulant sur mes cuisses jusque sur mes bas.
« C'est quoi ça ?? Alfred ne vous a-t-il pas dit de vous occuper de moi ? Allez dégagez Victor... reprenez votre place de domestique... »
Il avait dit cela assez méchamment, je cru que Victor allait riposter, mais Alfred pénétra dans la pièce. Il s'approcha en souriant.
« Eh bien Messieurs !! Je vois que vos bites sont flasques, vos testicules doivent être vides... la chatte et les cuisses de Trixie sont pleines de vos spermes !! Vous avez du vous éclater ce soir, non ?? Alors pourquoi s’énerver !! »
A suivre...
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