Un jeune Arabe à l'hopital
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Récit érotique écrit par Orientalism [→ Accès à sa fiche auteur]
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Un jeune Arabe à l'hopital
1. Arrivée aux urgences
Le bruit des urgences résonne dans mes oreilles ; autour de moi, comme d’habitude, c’est le chaos. C’est ça, le plaisir d’être infirmier de nuit dans un des services d’urgence les plus fréquentés de la banlieue parisienne. Je dois jongler entre des vieilles qui se plaignent, des gens venus pour des douleurs banales, une journée saturée où plusieurs de mes collègues sont partis en arrêt. Je me retrouve presque seul pour gérer des dizaines de patients. La routine.
Soudain, un fracas de porte qui s'ouvre. Des urgentistes arrivent, plusieurs médecins entourent une silhouette dans un brancard. Je me précipite à leur niveau en même temps que le Dr Andrieu, médecin responsable du service.
— Qu'est-ce qu'on a ? demande le docteur.
— Un jeune homme qui a eu un accident de voiture. Traumatisme crânien, pas d'autres blessures visibles.
— Ok, jeune homme, vous m'entendez ?
— Il était agressif et a tenté de quitter les lieux de l'accident. On suppose qu’il n’a pas tous ses papiers à jour. On a dû le sédater.
— Très bien. Bon, Jobert (c’est mon nom), je ne vois pas de dilatation des pupilles, pas d’urgence vitale. Vous me le préparez pour le scanner.
— Mais les autres patients, je dois...
— Ne discutez pas, je mets Latrez à votre place.
Je prends le brancard en grommelant, aidé par l'infirmier qui le dépose dans un box fermé puis s’éclipse. Mes grommellements s'arrêtent dès que mon regard se pose sur le visage du jeune patient. Je vois devant moi un jeune homme arabe, avec un visage carré, une mâchoire qui exprime à la fois la dureté et la beauté de la jeunesse. Sa barbe est dense, courte, parfaitement entretenue. Ses yeux en amande, d’un noir profond, me scrutent avec une intensité qui me déstabilise un instant. Il est relativement pâle, le soleil étant rare chez nous en ces mois d'hiver. Je l’entends murmurer des propos incohérents, probablement dus à la drogue dans son système.
Préparer le patient pour le scanner signifie le déshabiller entièrement. L’idée de le voir totalement nu, suscite chez moi une excitation immédiate.
Il porte un t-shirt, sans doute celui avec lequel il conduisait, ce qui me simplifie la tâche. Je n'aurai pas à le soulever pour retirer sa veste. Je commence par lui enlever ses chaussures, des Nike, probablement du 43. Ses chaussettes blanches Nike sont légèrement sales. Une odeur subtile de transpiration s’échappe, une odeur de pieds jeunes, qui contraste avec l’odeur de l’hôpital. Elle m’envahit un instant. Ce parfum d’alpha, je le reconnais, celui des hommes jeunes et pleins de force dont les pieds portent toute la journée, du sport au travail en passant par les bars pour trouver une jeune femme dans laquelle ils pourront vider le sperme accumulé.
Ses pieds sont légèrement bronzés comme son visage, des poils recouvrent le dessus et les orteils.
Je passe maintenant au pantalon. Protocole oblige, je dois le découper. Un Levis, son propriétaire ne sera pas content. Le bruit des ciseaux découpant le tissu me plaît. Je passe d'une jambe à l'autre puis fais glisser le tissu.
Mon jeune patient se retrouve en caleçon et t-shirt. Ses mollets et ses cuisses sont recouverts de poils drus, d'une densité égale sur l'ensemble.
Son caleçon est rouge, un Ralph Lauren, avec la trace de son gland qui apparaît. Circoncis, bien évidemment, comme tous les Arabes. Son sexe semble de taille normale, mais je ne juge pas, car l'adrénaline fait que le cœur préserve et ôte le sang des endroits dont l'alimentation est secondaire. Ses bourses, par contre, semblent énormes. Mon patient doit être un vrai étalon avec une telle usine à testostérone entre les cuisses.
Je passe maintenant au t-shirt. Sa poitrine se soulève lentement au rythme de ma découpe. Il est toujours complètement dans les vapes. En quelques secondes, j'ai fini et le torse du jeune homme se dévoile. Un torse mat, puissant, comme celui de nombreux jeunes Arabes virilistes, il fait de la musculation. Ses pectoraux sont extrêmement bien développés et gonflés, ses biceps et triceps également. Leur taille provoque un léger écartement de ses bras qui me permet de distinguer la pilosité dense de ses aisselles. Une odeur de déodorant et de parfum vient me chatouiller les narines, accompagnée d'une effluve masculine propre aux Arabes. Ses deux mamelons sont plutôt petits, la pointe érigée par le froid qui règne dans le bloc. Ses poils semblent dressés. Ils viennent habiller ses pectoraux qu'ils recouvrent de manière éparse, tout en se densifiant entre les deux muscles, puis vont se prolonger jusqu'à ses abdos où ils forment un chemin dru jusqu'à la zone qu'il me tarde de découvrir.
J'en viens maintenant au caleçon, je dois le découper également. Son gros paquet tend ostensiblement le tissu. Sa peau nue frissonne au contact de mes ciseaux, l'intérieur de ses cuisses est recouvert de poils noirs frisés. Je passe d'une jambe à l'autre et bientôt, seul un bout de tissu recouvre son sexe, je laisse durer le suspense pour mieux le découvrir.
Je retire délicatement le tissu, qui vient caresser son pubis, rasé quasiment à blanc où je distingue seulement la repousse de ses poils. Vient ensuite le tour de son pénis, un bâton de chair bruni, bien plus bronzé que le reste de son corps. Le tissu glisse lentement, centimètre par centimètre, la longueur de son pénis, qui semble avoir repris sa taille normale, retardant la découverte de sa verge entière. Déjà, j'aperçois la naissance de ses deux gros testicules bruns également. Ils sont rasés eux aussi. Est-ce là une pratique de sa religion - plusieurs de mes ex Arabes observaient scrupuleusement cette règle - ou la nécessité pour un homme comme lui de se raser pour plaire à ses partenaires sexuels ?
J'arrive maintenant à la partie propre aux garçons de sa race, la cicatrice de sa mutilation, celle qui en dévoilant son gland, partie la plus intime de son corps, a fait de lui un homme musulman. Son gland rose pâle est épais du fait des frottements permanents de son organe mis à nu contre les caleçons au quotidien. Le méat urinaire est serré, comme un œillet fermé.
Le voilà complètement nu, quasiment inconscient sous la lumière de la salle d'opération. Je prends du recul et observe son corps. Sa respiration est lente, la perfusion amenant le sédatif dans son organisme. Il est complètement détendu. Ses lourds testicules pendent et viennent s'arrêter juste devant son anus, d'où déborde une forêt de poils, la température les contracte et je peux observer leur mouvement lent par les muscles crémastériens. Les Arabes étant souvent très pudiques - les expériences de ma salle de sport ou de mes collègues infirmiers maghrébins se changeant en cachant jalousement leurs attributs - je sais la chance de pouvoir contempler ce magnifique spécimen nu. C'est sûrement la première fois qu'un autre garçon peut voir ses organes génitaux depuis qu'il est devenu un homme.
Maintenant que j'ai retiré son caleçon, l'odeur de sexe dans la pièce s'est accentuée, une odeur de testostérone animale, que chaque homme jeune produit, mais qui s'accentue avec des touches différentes chez les maghrébins.
Je ramasse l'étoffe rouge de son ancien caleçon que j'ai posé à côté du corps nu. J'en profite pour jeter un coup d'œil à la fiche d'admission, je ne connais même pas son prénom. Azim, original, je n'avais jamais entendu cela.
Je porte maintenant le morceau de son caleçon à mon nez, l'endroit où reposait son sexe toute la journée, mais m'arrête net. La lumière du plafonnier fait briller des traces sur le tissu, témoignage d'une production de liquide séminal. J'apprendrai plus tard que l'accident venait d'une vitesse trop importante car il était en retard pour rejoindre sa copine. Le jeune Arabe avait dû alterner les phases d'érection toute la journée, sa verge se lubrifiant, prête à pénétrer l'antre chaud de sa partenaire.
C'en est trop pour moi et j'écrase ce morceau de vêtement contre mon nez, l'odeur, tant elle est forte, manque de me faire défaillir. Pas une odeur de non-propreté mais un shot de testostérone, c'est musqué à souhait. L'odeur intime d'Azim est un parfum défendu que jamais je n'aurais imaginé pouvoir découvrir. Seul lui, lorsqu'il gratte sa grosse queue et parfois porte les doigts négligemment à son nez, doit la sentir. Ou bien les femmes à qui il a fait l'honneur de fourrer son sexe dans la bouche. C'est pour moi aussi possible maintenant.
Un grognement me retire de mes pensées. Azim grogne, ses mains tentant de se lever le long de son buste. Son visage est contrasté par une grimace de douleur. Je pense tout d'abord que c'est sa nudité qui le gêne mais le grognement reprend. Toute trace d'excitation disparaît, je me rapproche rapidement pour l'observer, son accident pouvant avoir eu des séquelles non diagnostiquées. Mes yeux, mécaniquement attirés par son sexe, trouvent la raison de son malaise. Sa vessie est extrêmement gonflée, toutes les perfusions ont amenée beaucoup de liquide dans son organisme. C'est une urgence médicale, il faut qu'il se soulage, et pour cela je dois diminuer la dose de narcotique.
Soudain, la porte s'ouvre à la volée, c'est le Dr Andrieu.
— Bon, c'est bientôt fini, Jobert ? Le scanner attend.
— Dr Andrieu, le patient présente un syndrome de rétention urinaire, je dois le réveiller pour qu'il puisse...
— Pas le temps, foutez-lui une sonde, de toute façon, il n'est pas près de se réveiller avec l'opération qu'il va avoir, et magnez-vous... dit-il avant de claquer la porte violemment.
Le courant d'air vient faire frissonner Azim. Je m'empresse de recouvrir son torse d'un drap comme un père soucieux de son enfant. Son visage arbore toujours une grimace causée par les signaux que lui envoie sa vessie.
Je prépare le matériel pour la sonde, un long tube flexible en silicone qui doit venir s'insérer dans l'urètre du patient. Ce n'est pas une partie de plaisir. Heureusement, il est endormi.
J'écarte ses deux cuisses musclées et le place en position du lotus allongé. Son sexe brun contrastant avec sa peau pâle, pend lourdement. Le gland circoncis repose sur ses deux prunes pleines de jus.
La procédure oblige à l'utilisation d'un gant, mais je préfère le contact peau à peau avec Azim. Je prends tout d'abord ses deux grosses boules que je soupèse. Leur poids m'impressionne, il doit vraiment avoir besoin de les vider sans arrêt. Puis je soulève délicatement sa verge que je place à la verticale. Le dos de son gland, où le frein ne laisse plus place qu'à une entaille, m'apparaît. Je masque une grimace de dégoût tant la violence de la procédure subie par le jeune Azim me gêne et m'excite.
De mon autre main, j'attrape la seringue d'anesthésique qui doit être injectée dans la verge afin de rendre indolore une partie de la procédure. L'ouverture du méat par lequel sort l'urine et surtout la semence d'Azim est un vrai plaisir. Je joue quelques secondes à l'ouvrir et la fermer. Je commence doucement à injecter le liquide.
Après quelques secondes à peine, les muscles puissants des cuisses du jeune Arabe se tendent, ses pieds remuent et ses grognements s'intensifient. Il semblerait que l'anesthésiant le gêne. À ma stupeur, il entrouvre les yeux puis les écarquille complètement.
— Qu'est-ce que vous faites ? Je suis où ? Qu'est-ce qu'il se passe ? hurle-t-il.
— Monsieur, vous avez eu un accident, vous êtes à l'hôpital, calmez-vous, Monsieur.
— Non, je... putain, pourquoi je suis à poil ?
Il tente d'arracher la perfusion, je me précipite vers celle-ci et ouvre la perf au maximum de sa capacité. Le sédatif lui est administré sans aucune limite, il me regarde d'un regard plein d'incompréhension et de colère tout en me saisissant mollement le bras, puis il s'affaisse de tout son long sur la table d'examen en murmurant.
— Voilà, rendors-toi, mon grand, je vais bien m'occuper de toi, dis-je en posant ma main délicatement sur son visage, sa barbe venant me piquer les doigts. Je passe mon index sur ses deux grosses lèvres puis sur ses paupières papillotant, luttant contre le sédatif.
J'attends quelques secondes que l'anesthésiant ait fait complètement effet et de voir si son vacarme a fait rameuter du monde, mais les bruits des urgences et l'indisponibilité de mes collègues semblent avoir couvert l'esclandre de mon fougueux patient.
Azim est sur le côté, je fais le tour de la table, ce qui me permet d'avoir une vue sur son postérieur. Deux fesses rondes à souhait recouvertes d'une fine couche de poils bruns, rendant le tout encore plus animal.
Je remets Azim sur le dos, baisse le sédatif, puis vais m'occuper à nouveau de sa vessie. L'anesthésiant ayant eu le temps de bien agir dans son urètre, je vais récupérer la sonde et l'enduis d'une copieuse dose de lubrifiant. Je m'approche à nouveau de sa verge et la saisis d'une main tandis que de l'autre, je positionne le tube sur son urètre. Je pousse doucement et ouvre les parois intimes du jeune homme. La sonde progresse doucement, venant remplir son urètre petit à petit.
Azim gémit. Ses pieds bougent faiblement. Même anesthésié, l'inconfort de la procédure semble l'atteindre, ou peut-être est-ce sa vessie gonflée au maximum. La sonde progresse encore, elle a maintenant passé le cap de sa verge et traverse sa prostate, puis vient buter contre la vessie. Un liquide jaune foncé vient soudain remplir le tube, je sens la chaleur de son urine à travers la sonde dans ma main. Azim émet maintenant un son de contentement, son visage affiche un sourire léger, il est en train de se vider.
Voir un homme comme lui, un jeune musulman macho, qui quelques heures avant était au volant de sa voiture de sport sûr de lui, nu, gémir de contentement de perdre le contrôle sur sa vessie, provoque une érection monstrueuse chez moi. C'est la faiblesse ultime pour un homme aussi musclé et viriliste d'être redevenu quasiment aussi dépendant qu'un nouveau-né.
Le gargouillis du liquide vient bercer mes oreilles, la poche de la sonde se gonfle fortement, Azim avait beaucoup de liquide en lui, ses pieds crispés sont maintenant détendus. Il peut profiter de son shoot de sédatif tout en se vidant tranquillement. Le bruit d'écoulement se fait de plus en plus discret alors que la vessie d'Azim se vide complètement. Je fixe la sonde à sa cuisse puissante, m'assurant qu'elle ne bouge pas, puis je caresse une dernière fois ses deux grosses boules brunes avant que les brancardiers ne viennent le chercher.
2. L'hospitalisation
J'apprends le lendemain que l'opération d'Azim s'est bien passée, mais que les dégâts étaient plus importants que prévu. Il a été transféré dans une chambre de soins intensifs où il sera observé de près pendant plusieurs jours. Je me suis arrangé avec un collègue pour être son infirmier référent. Je me rends d'un pas léger à sa chambre, située non loin des urgences. À peine arrivé, je vois une jeune femme d'origine maghrébine sortir de la pièce, les larmes aux yeux. Il s'agit de sa compagne, Samia. Dès que je la vois, je ne peux m'empêcher de ressentir un profond sentiment de jalousie; c'est elle qui doit recevoir le gros sexe et la semence de ce mâle, sentir le sperme dans son vagin en vagues pendant qu'il la serra amoureusement dans ses bras puissants.
La chambre d'Azim est calme, une atmosphère contrastant avec le chaos des urgences. Les bips des moniteurs sont réguliers, signe de stabilité pour Azim qui repose toujours sous l'effet des sédatifs, dans un état de semi-conscience.
Son corps sculpté, sans être trop massif, repose sur des draps blancs sur lesquels sa peau légèrement halée contraste.
Je m'approche du lit, vérifiant d'abord ses signes vitaux avant de me concentrer sur le nettoyage. L'odeur de sa transpiration et son sexe est omniprésente dans la pièce. Il n'a pas été lavé depuis la veille, et un homme de son espèce émet de nombreux phéromones toute la journée. Il est donc crucial de maintenir une hygiène stricte pour éviter toute infection, surtout dans un état de vulnérabilité comme le sien.
Je tente de soulever les draps, mais Azim m'en empêche mollement. J'entends un "non, s'il vous plaît" murmuré faiblement de sa voix rauque. Je passe outre sa pudeur excessive et dévoile son corps entièrement.
Il est encore nu, la sonde toujours fixée à sa cuisse, l'urine sortant par à-coups, le jeune mâle n'ayant plus de contrôle sur ses émissions de liquide. Je commence par ses pieds, utilisant un gant de toilette humide et du savon antiseptique doux. Je nettoie entre chaque orteil où les peluches de ses chaussettes sont présentes, l'odeur de ses pieds de sportif m'excite au plus haut point. Ses pieds sont maintenant propres, la saleté et la sueur de la journée disparaissent sous les mouvements doux du gant.
Je remonte progressivement, nettoyant ses puissants mollets, puis ses larges cuisses, m'attardant sur les parties où les poils sont plus denses pour m'assurer qu'aucune saleté ne reste cachée.
Azim gémit faiblement, la douleur de l'opération semblant supplanter l'effet des sédatifs. J'avais tout prévu. Je me dirige vers son visage aux traits masculins et glisse une sucette de fentanyl entre ses deux grosses lèvres épaisses. Comme le chien de Pavlov, je vais dresser le jeune Arabe à avoir besoin de ma présence.
Je redescends maintenant au niveau de son sexe. C'est là que l'odeur de son corps est la plus forte. Ses deux larges bourses exsudent un parfum musqué, l'odeur de la virilité du jeune beur. Il doit les avoir bien pleines s'il n'a pas pu se vider depuis plusieurs jours. Je passe mon chiffon doucement autour de la sonde, m'assurant que la zone est propre tout en humidifiant son gros gland circoncis. Le lavage est plus une caresse qu'autre chose. Je vois ses bourses se contracter et son sexe prendre du volume. Je l'entends murmurer faiblement "Samia", c'est elle qui chez lui doit lui procurer de telles caresses. Le chariot des aides-soignants me sort de ma rêverie; je dois me dépêcher, pas envie de me faire prendre en train de caresser le beau rebeu. Pas le temps de le retourner, ma lingette va effleurer son trou afin de bien laver cette zone que j'imagine être le premier à toucher.
Je passe maintenant à son torse. Malgré l'immobilisation, ses pectoraux sont bien gonflés, de même que le reste de ses muscles. Son torse est recouvert par des poils que j'avais déjà eu l'occasion d'observer à son arrivée. Je trouve un torse poilu tellement plus viril, c'est là la différence entre les hommes et les femmes que ces poils. Je fais le tour délicatement de ses deux mamelons roses dont la pointe se dresse au passage de mon gant, puis je lui fais soulever les bras. Il est toujours en train de téter sa sucette, les paupières fermées, l'effet de la drogue provoquant des mouvements oculaires rapides. Ses aisselles offrent elles aussi une forte odeur de sueur fraîche, ses poils laissés là aussi au naturel font mon bonheur. J'adore l'été regarder les poils des hommes jeunes et virils à travers le col ou les manches de leurs tshirts.
Vient le tour de son magnifique visage. Je passe d'abord ma main recouverte du gant sur son visage, je la pose un instant amoureusement en le contemplant. Sous l'effet des drogues, ses traits reposés font de son visage dur un visage ayant presque rertrouvé l'innocence de l'enfance. Je sors la petite tondeuse de ma poche et m'emploie à lui tailler la barbe, je sais à quel point elle est source de fierté et de virilité pour les Musulmans, la pousse quotidienne de ce symbole viril étant assurée par les hormones venant de ses grosses bourses brunes.
Mes soins finis, je quitte la chambre à regret avec comme seule pensée l'idée d'y revenir.
Chaque jour, c'est le même rituel : lavage et caresse. Son sexe prenant de plus en plus de volume à chaque fois. Dès qu'il entend la porte s'ouvrir il commence à téter dans le vent, signe qu'il réclame sa dose de fentanyl. Sauf que la sucette vient à la fin; plus vite j'ai terminé, plus vite il a son jouet. Au début, il oppose toujours une résistance lorsque je veux retirer son drap, puis bientôt, la seule chose à laquelle il pense c'est sa sucette. Voir ce jeune rebeu téter sa sucette tout en souillant sa poche est pour moi une vision de bonheur absolu, ce mâle si sûr de lui, réduit à l'état d'un nourrisson dont seuls les besoins primaires existent.
Au 7ème jour, je retire la sonde, Azim emet un gémissement de douleur important, mais la procédure est moins douloureuse que pour l'insertion et sa verge ne s'en portera que mieux.
Au 8ème jour, à peine ai-je ouvert la porte qu'il pousse le drap dans un état de semi-conscience. Sa verge à moitié en érection, ses couilles plus gonflées que jamais. Les poils ont repoussé et malgré mes lavages, l'odeur de queue est de plus en plus forte. Le jeune Musulman a un besoin animal de se vider.
Je ne perds pas de temps à faire sa toilette et me dirige rapidement vers sa verge. Je l'effleure du bout des doigts, la blancheur de ma peau contrastant avec la couleur caramel de son sexe. Je glisse mes doigts sur ses bourses puis le long de sa verge jusqu'à l'anneau rosé de sa circoncision qui détache bien le gland de la colonne de chair. Azim gémit tout en faisant un bruit de succion. Il veut son fentanyl et pour ça, il est prêt à tout me laisser faire. Son sexe a atteint maintenant sa taille maximale, sa verge est assez grande, 18 cm, mais surtout bien large et droite. Samia doit enchaîner les orgasmes avec un tel engin qui la pilonne. Son gland est gonflé à bloc, la corolle dépassant largement du corps de la verge. Il est bien dur contre son ventre. C'est comme cela qu'il doit se réveiller tous les matins; utilise-t-il sa femme ou sa main pour faire redescendre la pression ou attend-il que cela redescende nautrellement ? Tant de questions dont j'aimerais avoir la réponse. Du liquide pré-éjaculatoire coule en goutte translucide le long de son sexe. Une odeur caractéristique en émane. Je la prends du doigt et l'étale tout autour du gros gland du beur. Il gémit et écarte ses cuisses davantage.
- "Médi... cament", je l'entends murmurer faiblement.
Je sors la sucette et me dirige vers son visage, ses lèvres sont sèches. Je récupère une goutte de son précum et l'étale sur ses deux appendices charnus, il passe la langue sur le gloss improvisée puis la retire, se demandant sûrement d'où vient ce goût salé. J'insère la sucette qu'il tète avec avidité. Un large sourire vient fendre son visage.
Voilà, il ne m'embêtera plus. Je retourne au gros sexe du musulman dont l'érection n'a pas bougé d'un pouce. Jeux de mains terminés, place aux jeux de bouche. J'approche ma langue de ses deux boules et commence à les lécher, Azim pousse un long gémissement, quelque peu étouffé par la sucette, et son sexe émet encore plus de précum. Le goût est divin, son odeur d'homme reste sur mon visage que j'enfouis dans les replis de son intimité tout en continuant de le lécher. Les bourses se rétractent dans leur poche. Il doit tellement avoir envie d'éjaculer qu'une légère stimulation à peine risque de mettre fin à ce moment entre nous.
Je décide de ne pas risquer l'éjaculation prématurée d'autant plus qu'il commence machinalement à bouger les hanches, son sexe pointant vers le haut; l'envie de pénétrer pour se reproduire est bien trop forte pour lui et est inscrite dans ses gènes méditerranéens.
Je lève ses jambes, il continue de se laisser faire, le bruit de succion me confirme qu'il a d'autres préoccupations en ce moment.
Son trou m'apparaît pour la première fois, peut-être suis-je d'ailleurs le premier à l'apercevoir. Il est brun, entouré d'une forêt de poils frisés et noirs. Sans plus attendre, ma langue part à sa rencontre. Azim gémit encore plus fort qu'auparavant. C'est la première fois qu'il découvre ce plaisir interdit. Un homme, un vrai, pour lui n'est que le pénétrant. Cela va bientôt changer. J'enfonce ma langue à l'intérieur de sa rondelle, découvrant le goût musqué de cette partie de son corps. Ses jambes reposent sur mon dos, je les sens se tendre, il a l'air de beaucoup aimer. Ses gémissements ne semblent jamais cesser. Je sens une goutte tomber sur mon nez, en levant les yeux, je vois que son liquide pré-éjaculatoire a coulé jusque sur ses bourses brunes pour venir s'écraser sur mon visage. La lubrification ne doit jamais être un problème pour mon étalon lorsqu'il baise.
Au bout d'un moment, ma langue fatigue et de toute façon, la tournée des médecins risque de bientôt arriver jusqu'à la chambre du jeune Arabe. Je vais chercher un peu du même lubrifiant que j'avais utilisé pour entrer dans son urètre avec ma sonde, puis je l'utiliser pour caresser le contour de son anus. Je regarde son visage, son sourire béat est toujours présent.
Soudain, j'enfonce mon majeur jusqu'au bout, un O de surprise se dessine sur son visage, la sucette tombe.
J'entends un faible "non Samia, pas là, pas..." puis j'écrase mon majeur sur sa prostate. Un autre "O" de surprise plus grand encore qui cette fois-ci s'accompagne d'une longue plainte. Première pénétration, premier plaisir. Je vois ses grosses bourses remonter encore un peu dans leur poche, ni une ni deux, j'enfonce sa grosse queue en bouche, jusqu'à la garde.
Il gémit encore plus et soudain se met à bouger les hanches par à-coups, manquant de m'étouffer. Le goût de sa verge est délicieux, le goût fort d'un mâle en pleine excitation. Il grogne maintenant fortement puis dit d'une voix plus forte que celle à laquelle j'étais habitué, mélangeant français et arabe :
- Samia, ana, ana, je vais,...
D'un coup, dans un hurlement animal (heureusement couvert par l'alarme de la chambre d'à côté) et dans un dernier coup de rein, il commence à vider ses couilles dans ma bouche. Sa crème épaisse me remplit entièrement la gorge, je sens la puissance de ses jets qui ne semblent pas cesser. L'odeur forte et le goût de son sperme oriental m'envahissent. Sa semence, son ADN, la perpétuation de sa lignée Arabe, ce qu'il a de plus précieux, est maintenant en train de se déverser en moi. J'éjacule à mon tour sans me toucher, dans ma blouse. Quand, au bout de plusieurs secondes de délices qui m'ont semblé être une éternité, la verge du beur cesse de cracher sa lave chaude, je retire ma bouche. Le goût incroyablement fort reste dans ma bouche.
Quelques gouttes continuent de couler de son sexe brun et viennent souiller son nombril. J'ai eu ma récompense, il va avoir la sienne. Je sors une seconde sucette de fentanyl, la trempe dans son nombril et l'enduis du liquide visqueux, puis vais l'introduire dans sa bouche. Il grimace au goût, sûrement la première fois qu'il se goûte lui-même. Le sperme étant vu comme une impureté dans l'Islam.
Azim lâche un grand soupir, tout en écartant les bras et les cuisses, s'affaissant complètement sur le lit en étoile de mer, terrassé par le bonheur que lui apporte la drogue. Sa queue pend maintenant lourdement entre ses jambes, ses grosses bourses encore certainement bien pleines ; un homme comme ça doit éjaculer plusieurs fois par jour, c'est certain.
Je remets un peu d'ordre sur le lit lorsqu'un bruit d'eau qui coule me sort de mes pensées. Je vois un filet s'écoulant du lit pour venir s'écraser par terre. Il se pisse dessus de bonheur, ce con, un vrai chien ; j'ai le temps d'attraper un tube et cale son sexe à l'intérieur pour qu'il continue de se vider en soupirant. Il semblerait qu'Azim ait trouvé son paradis. Je nettoie son humiliation puis sors de la chambre, la blouse pleine de mon foutre collant.
Les jours qui suivent, je ne peux plus accéder à la chambre ; l'œdème cérébral d'Azim est revenu et il a dû être opéré à nouveau puis lourdement sédaté. Dans mon malheur, je suis tout de même soulagé car je ne sais pas comment j'aurais fait pour le sevrer de mon petit conditionnement. La sédation s'en chargera.
Quelques semaines plus tard, alors que je sors de la chambre d'un autre patient, quelle n'est pas ma surprise de croiser Azim dans le couloir, sa valise à la main. Il est habillé d'un chino et d'un polo, un look élégant pour celui que j'imaginais n'être qu'un petit voyou.
Il s'approche de moi, ayant perdu en masse musculaire mais remplissant toujours ses vêtements, et me dit avec un grand sourire, ses dents blanches contrastant avec sa peau :
- Merci Monsieur, on m'a dit que c'était vous qui vous étiez occupé de moi au début...
Son regard reconnaissant, candide, sans idée que j'ai profité de son corps, manque de me faire bander comme un cerf à nouveau.
- De rien, jeune homme, c'était un plaisir, prenez soin de vous.
Nous nous serrons la main, puis il se retourne pour partir avec sa copine ; j'en profite pour mater son petit cul d'Africain musclé une dernière fois.
Le bruit des urgences résonne dans mes oreilles ; autour de moi, comme d’habitude, c’est le chaos. C’est ça, le plaisir d’être infirmier de nuit dans un des services d’urgence les plus fréquentés de la banlieue parisienne. Je dois jongler entre des vieilles qui se plaignent, des gens venus pour des douleurs banales, une journée saturée où plusieurs de mes collègues sont partis en arrêt. Je me retrouve presque seul pour gérer des dizaines de patients. La routine.
Soudain, un fracas de porte qui s'ouvre. Des urgentistes arrivent, plusieurs médecins entourent une silhouette dans un brancard. Je me précipite à leur niveau en même temps que le Dr Andrieu, médecin responsable du service.
— Qu'est-ce qu'on a ? demande le docteur.
— Un jeune homme qui a eu un accident de voiture. Traumatisme crânien, pas d'autres blessures visibles.
— Ok, jeune homme, vous m'entendez ?
— Il était agressif et a tenté de quitter les lieux de l'accident. On suppose qu’il n’a pas tous ses papiers à jour. On a dû le sédater.
— Très bien. Bon, Jobert (c’est mon nom), je ne vois pas de dilatation des pupilles, pas d’urgence vitale. Vous me le préparez pour le scanner.
— Mais les autres patients, je dois...
— Ne discutez pas, je mets Latrez à votre place.
Je prends le brancard en grommelant, aidé par l'infirmier qui le dépose dans un box fermé puis s’éclipse. Mes grommellements s'arrêtent dès que mon regard se pose sur le visage du jeune patient. Je vois devant moi un jeune homme arabe, avec un visage carré, une mâchoire qui exprime à la fois la dureté et la beauté de la jeunesse. Sa barbe est dense, courte, parfaitement entretenue. Ses yeux en amande, d’un noir profond, me scrutent avec une intensité qui me déstabilise un instant. Il est relativement pâle, le soleil étant rare chez nous en ces mois d'hiver. Je l’entends murmurer des propos incohérents, probablement dus à la drogue dans son système.
Préparer le patient pour le scanner signifie le déshabiller entièrement. L’idée de le voir totalement nu, suscite chez moi une excitation immédiate.
Il porte un t-shirt, sans doute celui avec lequel il conduisait, ce qui me simplifie la tâche. Je n'aurai pas à le soulever pour retirer sa veste. Je commence par lui enlever ses chaussures, des Nike, probablement du 43. Ses chaussettes blanches Nike sont légèrement sales. Une odeur subtile de transpiration s’échappe, une odeur de pieds jeunes, qui contraste avec l’odeur de l’hôpital. Elle m’envahit un instant. Ce parfum d’alpha, je le reconnais, celui des hommes jeunes et pleins de force dont les pieds portent toute la journée, du sport au travail en passant par les bars pour trouver une jeune femme dans laquelle ils pourront vider le sperme accumulé.
Ses pieds sont légèrement bronzés comme son visage, des poils recouvrent le dessus et les orteils.
Je passe maintenant au pantalon. Protocole oblige, je dois le découper. Un Levis, son propriétaire ne sera pas content. Le bruit des ciseaux découpant le tissu me plaît. Je passe d'une jambe à l'autre puis fais glisser le tissu.
Mon jeune patient se retrouve en caleçon et t-shirt. Ses mollets et ses cuisses sont recouverts de poils drus, d'une densité égale sur l'ensemble.
Son caleçon est rouge, un Ralph Lauren, avec la trace de son gland qui apparaît. Circoncis, bien évidemment, comme tous les Arabes. Son sexe semble de taille normale, mais je ne juge pas, car l'adrénaline fait que le cœur préserve et ôte le sang des endroits dont l'alimentation est secondaire. Ses bourses, par contre, semblent énormes. Mon patient doit être un vrai étalon avec une telle usine à testostérone entre les cuisses.
Je passe maintenant au t-shirt. Sa poitrine se soulève lentement au rythme de ma découpe. Il est toujours complètement dans les vapes. En quelques secondes, j'ai fini et le torse du jeune homme se dévoile. Un torse mat, puissant, comme celui de nombreux jeunes Arabes virilistes, il fait de la musculation. Ses pectoraux sont extrêmement bien développés et gonflés, ses biceps et triceps également. Leur taille provoque un léger écartement de ses bras qui me permet de distinguer la pilosité dense de ses aisselles. Une odeur de déodorant et de parfum vient me chatouiller les narines, accompagnée d'une effluve masculine propre aux Arabes. Ses deux mamelons sont plutôt petits, la pointe érigée par le froid qui règne dans le bloc. Ses poils semblent dressés. Ils viennent habiller ses pectoraux qu'ils recouvrent de manière éparse, tout en se densifiant entre les deux muscles, puis vont se prolonger jusqu'à ses abdos où ils forment un chemin dru jusqu'à la zone qu'il me tarde de découvrir.
J'en viens maintenant au caleçon, je dois le découper également. Son gros paquet tend ostensiblement le tissu. Sa peau nue frissonne au contact de mes ciseaux, l'intérieur de ses cuisses est recouvert de poils noirs frisés. Je passe d'une jambe à l'autre et bientôt, seul un bout de tissu recouvre son sexe, je laisse durer le suspense pour mieux le découvrir.
Je retire délicatement le tissu, qui vient caresser son pubis, rasé quasiment à blanc où je distingue seulement la repousse de ses poils. Vient ensuite le tour de son pénis, un bâton de chair bruni, bien plus bronzé que le reste de son corps. Le tissu glisse lentement, centimètre par centimètre, la longueur de son pénis, qui semble avoir repris sa taille normale, retardant la découverte de sa verge entière. Déjà, j'aperçois la naissance de ses deux gros testicules bruns également. Ils sont rasés eux aussi. Est-ce là une pratique de sa religion - plusieurs de mes ex Arabes observaient scrupuleusement cette règle - ou la nécessité pour un homme comme lui de se raser pour plaire à ses partenaires sexuels ?
J'arrive maintenant à la partie propre aux garçons de sa race, la cicatrice de sa mutilation, celle qui en dévoilant son gland, partie la plus intime de son corps, a fait de lui un homme musulman. Son gland rose pâle est épais du fait des frottements permanents de son organe mis à nu contre les caleçons au quotidien. Le méat urinaire est serré, comme un œillet fermé.
Le voilà complètement nu, quasiment inconscient sous la lumière de la salle d'opération. Je prends du recul et observe son corps. Sa respiration est lente, la perfusion amenant le sédatif dans son organisme. Il est complètement détendu. Ses lourds testicules pendent et viennent s'arrêter juste devant son anus, d'où déborde une forêt de poils, la température les contracte et je peux observer leur mouvement lent par les muscles crémastériens. Les Arabes étant souvent très pudiques - les expériences de ma salle de sport ou de mes collègues infirmiers maghrébins se changeant en cachant jalousement leurs attributs - je sais la chance de pouvoir contempler ce magnifique spécimen nu. C'est sûrement la première fois qu'un autre garçon peut voir ses organes génitaux depuis qu'il est devenu un homme.
Maintenant que j'ai retiré son caleçon, l'odeur de sexe dans la pièce s'est accentuée, une odeur de testostérone animale, que chaque homme jeune produit, mais qui s'accentue avec des touches différentes chez les maghrébins.
Je ramasse l'étoffe rouge de son ancien caleçon que j'ai posé à côté du corps nu. J'en profite pour jeter un coup d'œil à la fiche d'admission, je ne connais même pas son prénom. Azim, original, je n'avais jamais entendu cela.
Je porte maintenant le morceau de son caleçon à mon nez, l'endroit où reposait son sexe toute la journée, mais m'arrête net. La lumière du plafonnier fait briller des traces sur le tissu, témoignage d'une production de liquide séminal. J'apprendrai plus tard que l'accident venait d'une vitesse trop importante car il était en retard pour rejoindre sa copine. Le jeune Arabe avait dû alterner les phases d'érection toute la journée, sa verge se lubrifiant, prête à pénétrer l'antre chaud de sa partenaire.
C'en est trop pour moi et j'écrase ce morceau de vêtement contre mon nez, l'odeur, tant elle est forte, manque de me faire défaillir. Pas une odeur de non-propreté mais un shot de testostérone, c'est musqué à souhait. L'odeur intime d'Azim est un parfum défendu que jamais je n'aurais imaginé pouvoir découvrir. Seul lui, lorsqu'il gratte sa grosse queue et parfois porte les doigts négligemment à son nez, doit la sentir. Ou bien les femmes à qui il a fait l'honneur de fourrer son sexe dans la bouche. C'est pour moi aussi possible maintenant.
Un grognement me retire de mes pensées. Azim grogne, ses mains tentant de se lever le long de son buste. Son visage est contrasté par une grimace de douleur. Je pense tout d'abord que c'est sa nudité qui le gêne mais le grognement reprend. Toute trace d'excitation disparaît, je me rapproche rapidement pour l'observer, son accident pouvant avoir eu des séquelles non diagnostiquées. Mes yeux, mécaniquement attirés par son sexe, trouvent la raison de son malaise. Sa vessie est extrêmement gonflée, toutes les perfusions ont amenée beaucoup de liquide dans son organisme. C'est une urgence médicale, il faut qu'il se soulage, et pour cela je dois diminuer la dose de narcotique.
Soudain, la porte s'ouvre à la volée, c'est le Dr Andrieu.
— Bon, c'est bientôt fini, Jobert ? Le scanner attend.
— Dr Andrieu, le patient présente un syndrome de rétention urinaire, je dois le réveiller pour qu'il puisse...
— Pas le temps, foutez-lui une sonde, de toute façon, il n'est pas près de se réveiller avec l'opération qu'il va avoir, et magnez-vous... dit-il avant de claquer la porte violemment.
Le courant d'air vient faire frissonner Azim. Je m'empresse de recouvrir son torse d'un drap comme un père soucieux de son enfant. Son visage arbore toujours une grimace causée par les signaux que lui envoie sa vessie.
Je prépare le matériel pour la sonde, un long tube flexible en silicone qui doit venir s'insérer dans l'urètre du patient. Ce n'est pas une partie de plaisir. Heureusement, il est endormi.
J'écarte ses deux cuisses musclées et le place en position du lotus allongé. Son sexe brun contrastant avec sa peau pâle, pend lourdement. Le gland circoncis repose sur ses deux prunes pleines de jus.
La procédure oblige à l'utilisation d'un gant, mais je préfère le contact peau à peau avec Azim. Je prends tout d'abord ses deux grosses boules que je soupèse. Leur poids m'impressionne, il doit vraiment avoir besoin de les vider sans arrêt. Puis je soulève délicatement sa verge que je place à la verticale. Le dos de son gland, où le frein ne laisse plus place qu'à une entaille, m'apparaît. Je masque une grimace de dégoût tant la violence de la procédure subie par le jeune Azim me gêne et m'excite.
De mon autre main, j'attrape la seringue d'anesthésique qui doit être injectée dans la verge afin de rendre indolore une partie de la procédure. L'ouverture du méat par lequel sort l'urine et surtout la semence d'Azim est un vrai plaisir. Je joue quelques secondes à l'ouvrir et la fermer. Je commence doucement à injecter le liquide.
Après quelques secondes à peine, les muscles puissants des cuisses du jeune Arabe se tendent, ses pieds remuent et ses grognements s'intensifient. Il semblerait que l'anesthésiant le gêne. À ma stupeur, il entrouvre les yeux puis les écarquille complètement.
— Qu'est-ce que vous faites ? Je suis où ? Qu'est-ce qu'il se passe ? hurle-t-il.
— Monsieur, vous avez eu un accident, vous êtes à l'hôpital, calmez-vous, Monsieur.
— Non, je... putain, pourquoi je suis à poil ?
Il tente d'arracher la perfusion, je me précipite vers celle-ci et ouvre la perf au maximum de sa capacité. Le sédatif lui est administré sans aucune limite, il me regarde d'un regard plein d'incompréhension et de colère tout en me saisissant mollement le bras, puis il s'affaisse de tout son long sur la table d'examen en murmurant.
— Voilà, rendors-toi, mon grand, je vais bien m'occuper de toi, dis-je en posant ma main délicatement sur son visage, sa barbe venant me piquer les doigts. Je passe mon index sur ses deux grosses lèvres puis sur ses paupières papillotant, luttant contre le sédatif.
J'attends quelques secondes que l'anesthésiant ait fait complètement effet et de voir si son vacarme a fait rameuter du monde, mais les bruits des urgences et l'indisponibilité de mes collègues semblent avoir couvert l'esclandre de mon fougueux patient.
Azim est sur le côté, je fais le tour de la table, ce qui me permet d'avoir une vue sur son postérieur. Deux fesses rondes à souhait recouvertes d'une fine couche de poils bruns, rendant le tout encore plus animal.
Je remets Azim sur le dos, baisse le sédatif, puis vais m'occuper à nouveau de sa vessie. L'anesthésiant ayant eu le temps de bien agir dans son urètre, je vais récupérer la sonde et l'enduis d'une copieuse dose de lubrifiant. Je m'approche à nouveau de sa verge et la saisis d'une main tandis que de l'autre, je positionne le tube sur son urètre. Je pousse doucement et ouvre les parois intimes du jeune homme. La sonde progresse doucement, venant remplir son urètre petit à petit.
Azim gémit. Ses pieds bougent faiblement. Même anesthésié, l'inconfort de la procédure semble l'atteindre, ou peut-être est-ce sa vessie gonflée au maximum. La sonde progresse encore, elle a maintenant passé le cap de sa verge et traverse sa prostate, puis vient buter contre la vessie. Un liquide jaune foncé vient soudain remplir le tube, je sens la chaleur de son urine à travers la sonde dans ma main. Azim émet maintenant un son de contentement, son visage affiche un sourire léger, il est en train de se vider.
Voir un homme comme lui, un jeune musulman macho, qui quelques heures avant était au volant de sa voiture de sport sûr de lui, nu, gémir de contentement de perdre le contrôle sur sa vessie, provoque une érection monstrueuse chez moi. C'est la faiblesse ultime pour un homme aussi musclé et viriliste d'être redevenu quasiment aussi dépendant qu'un nouveau-né.
Le gargouillis du liquide vient bercer mes oreilles, la poche de la sonde se gonfle fortement, Azim avait beaucoup de liquide en lui, ses pieds crispés sont maintenant détendus. Il peut profiter de son shoot de sédatif tout en se vidant tranquillement. Le bruit d'écoulement se fait de plus en plus discret alors que la vessie d'Azim se vide complètement. Je fixe la sonde à sa cuisse puissante, m'assurant qu'elle ne bouge pas, puis je caresse une dernière fois ses deux grosses boules brunes avant que les brancardiers ne viennent le chercher.
2. L'hospitalisation
J'apprends le lendemain que l'opération d'Azim s'est bien passée, mais que les dégâts étaient plus importants que prévu. Il a été transféré dans une chambre de soins intensifs où il sera observé de près pendant plusieurs jours. Je me suis arrangé avec un collègue pour être son infirmier référent. Je me rends d'un pas léger à sa chambre, située non loin des urgences. À peine arrivé, je vois une jeune femme d'origine maghrébine sortir de la pièce, les larmes aux yeux. Il s'agit de sa compagne, Samia. Dès que je la vois, je ne peux m'empêcher de ressentir un profond sentiment de jalousie; c'est elle qui doit recevoir le gros sexe et la semence de ce mâle, sentir le sperme dans son vagin en vagues pendant qu'il la serra amoureusement dans ses bras puissants.
La chambre d'Azim est calme, une atmosphère contrastant avec le chaos des urgences. Les bips des moniteurs sont réguliers, signe de stabilité pour Azim qui repose toujours sous l'effet des sédatifs, dans un état de semi-conscience.
Son corps sculpté, sans être trop massif, repose sur des draps blancs sur lesquels sa peau légèrement halée contraste.
Je m'approche du lit, vérifiant d'abord ses signes vitaux avant de me concentrer sur le nettoyage. L'odeur de sa transpiration et son sexe est omniprésente dans la pièce. Il n'a pas été lavé depuis la veille, et un homme de son espèce émet de nombreux phéromones toute la journée. Il est donc crucial de maintenir une hygiène stricte pour éviter toute infection, surtout dans un état de vulnérabilité comme le sien.
Je tente de soulever les draps, mais Azim m'en empêche mollement. J'entends un "non, s'il vous plaît" murmuré faiblement de sa voix rauque. Je passe outre sa pudeur excessive et dévoile son corps entièrement.
Il est encore nu, la sonde toujours fixée à sa cuisse, l'urine sortant par à-coups, le jeune mâle n'ayant plus de contrôle sur ses émissions de liquide. Je commence par ses pieds, utilisant un gant de toilette humide et du savon antiseptique doux. Je nettoie entre chaque orteil où les peluches de ses chaussettes sont présentes, l'odeur de ses pieds de sportif m'excite au plus haut point. Ses pieds sont maintenant propres, la saleté et la sueur de la journée disparaissent sous les mouvements doux du gant.
Je remonte progressivement, nettoyant ses puissants mollets, puis ses larges cuisses, m'attardant sur les parties où les poils sont plus denses pour m'assurer qu'aucune saleté ne reste cachée.
Azim gémit faiblement, la douleur de l'opération semblant supplanter l'effet des sédatifs. J'avais tout prévu. Je me dirige vers son visage aux traits masculins et glisse une sucette de fentanyl entre ses deux grosses lèvres épaisses. Comme le chien de Pavlov, je vais dresser le jeune Arabe à avoir besoin de ma présence.
Je redescends maintenant au niveau de son sexe. C'est là que l'odeur de son corps est la plus forte. Ses deux larges bourses exsudent un parfum musqué, l'odeur de la virilité du jeune beur. Il doit les avoir bien pleines s'il n'a pas pu se vider depuis plusieurs jours. Je passe mon chiffon doucement autour de la sonde, m'assurant que la zone est propre tout en humidifiant son gros gland circoncis. Le lavage est plus une caresse qu'autre chose. Je vois ses bourses se contracter et son sexe prendre du volume. Je l'entends murmurer faiblement "Samia", c'est elle qui chez lui doit lui procurer de telles caresses. Le chariot des aides-soignants me sort de ma rêverie; je dois me dépêcher, pas envie de me faire prendre en train de caresser le beau rebeu. Pas le temps de le retourner, ma lingette va effleurer son trou afin de bien laver cette zone que j'imagine être le premier à toucher.
Je passe maintenant à son torse. Malgré l'immobilisation, ses pectoraux sont bien gonflés, de même que le reste de ses muscles. Son torse est recouvert par des poils que j'avais déjà eu l'occasion d'observer à son arrivée. Je trouve un torse poilu tellement plus viril, c'est là la différence entre les hommes et les femmes que ces poils. Je fais le tour délicatement de ses deux mamelons roses dont la pointe se dresse au passage de mon gant, puis je lui fais soulever les bras. Il est toujours en train de téter sa sucette, les paupières fermées, l'effet de la drogue provoquant des mouvements oculaires rapides. Ses aisselles offrent elles aussi une forte odeur de sueur fraîche, ses poils laissés là aussi au naturel font mon bonheur. J'adore l'été regarder les poils des hommes jeunes et virils à travers le col ou les manches de leurs tshirts.
Vient le tour de son magnifique visage. Je passe d'abord ma main recouverte du gant sur son visage, je la pose un instant amoureusement en le contemplant. Sous l'effet des drogues, ses traits reposés font de son visage dur un visage ayant presque rertrouvé l'innocence de l'enfance. Je sors la petite tondeuse de ma poche et m'emploie à lui tailler la barbe, je sais à quel point elle est source de fierté et de virilité pour les Musulmans, la pousse quotidienne de ce symbole viril étant assurée par les hormones venant de ses grosses bourses brunes.
Mes soins finis, je quitte la chambre à regret avec comme seule pensée l'idée d'y revenir.
Chaque jour, c'est le même rituel : lavage et caresse. Son sexe prenant de plus en plus de volume à chaque fois. Dès qu'il entend la porte s'ouvrir il commence à téter dans le vent, signe qu'il réclame sa dose de fentanyl. Sauf que la sucette vient à la fin; plus vite j'ai terminé, plus vite il a son jouet. Au début, il oppose toujours une résistance lorsque je veux retirer son drap, puis bientôt, la seule chose à laquelle il pense c'est sa sucette. Voir ce jeune rebeu téter sa sucette tout en souillant sa poche est pour moi une vision de bonheur absolu, ce mâle si sûr de lui, réduit à l'état d'un nourrisson dont seuls les besoins primaires existent.
Au 7ème jour, je retire la sonde, Azim emet un gémissement de douleur important, mais la procédure est moins douloureuse que pour l'insertion et sa verge ne s'en portera que mieux.
Au 8ème jour, à peine ai-je ouvert la porte qu'il pousse le drap dans un état de semi-conscience. Sa verge à moitié en érection, ses couilles plus gonflées que jamais. Les poils ont repoussé et malgré mes lavages, l'odeur de queue est de plus en plus forte. Le jeune Musulman a un besoin animal de se vider.
Je ne perds pas de temps à faire sa toilette et me dirige rapidement vers sa verge. Je l'effleure du bout des doigts, la blancheur de ma peau contrastant avec la couleur caramel de son sexe. Je glisse mes doigts sur ses bourses puis le long de sa verge jusqu'à l'anneau rosé de sa circoncision qui détache bien le gland de la colonne de chair. Azim gémit tout en faisant un bruit de succion. Il veut son fentanyl et pour ça, il est prêt à tout me laisser faire. Son sexe a atteint maintenant sa taille maximale, sa verge est assez grande, 18 cm, mais surtout bien large et droite. Samia doit enchaîner les orgasmes avec un tel engin qui la pilonne. Son gland est gonflé à bloc, la corolle dépassant largement du corps de la verge. Il est bien dur contre son ventre. C'est comme cela qu'il doit se réveiller tous les matins; utilise-t-il sa femme ou sa main pour faire redescendre la pression ou attend-il que cela redescende nautrellement ? Tant de questions dont j'aimerais avoir la réponse. Du liquide pré-éjaculatoire coule en goutte translucide le long de son sexe. Une odeur caractéristique en émane. Je la prends du doigt et l'étale tout autour du gros gland du beur. Il gémit et écarte ses cuisses davantage.
- "Médi... cament", je l'entends murmurer faiblement.
Je sors la sucette et me dirige vers son visage, ses lèvres sont sèches. Je récupère une goutte de son précum et l'étale sur ses deux appendices charnus, il passe la langue sur le gloss improvisée puis la retire, se demandant sûrement d'où vient ce goût salé. J'insère la sucette qu'il tète avec avidité. Un large sourire vient fendre son visage.
Voilà, il ne m'embêtera plus. Je retourne au gros sexe du musulman dont l'érection n'a pas bougé d'un pouce. Jeux de mains terminés, place aux jeux de bouche. J'approche ma langue de ses deux boules et commence à les lécher, Azim pousse un long gémissement, quelque peu étouffé par la sucette, et son sexe émet encore plus de précum. Le goût est divin, son odeur d'homme reste sur mon visage que j'enfouis dans les replis de son intimité tout en continuant de le lécher. Les bourses se rétractent dans leur poche. Il doit tellement avoir envie d'éjaculer qu'une légère stimulation à peine risque de mettre fin à ce moment entre nous.
Je décide de ne pas risquer l'éjaculation prématurée d'autant plus qu'il commence machinalement à bouger les hanches, son sexe pointant vers le haut; l'envie de pénétrer pour se reproduire est bien trop forte pour lui et est inscrite dans ses gènes méditerranéens.
Je lève ses jambes, il continue de se laisser faire, le bruit de succion me confirme qu'il a d'autres préoccupations en ce moment.
Son trou m'apparaît pour la première fois, peut-être suis-je d'ailleurs le premier à l'apercevoir. Il est brun, entouré d'une forêt de poils frisés et noirs. Sans plus attendre, ma langue part à sa rencontre. Azim gémit encore plus fort qu'auparavant. C'est la première fois qu'il découvre ce plaisir interdit. Un homme, un vrai, pour lui n'est que le pénétrant. Cela va bientôt changer. J'enfonce ma langue à l'intérieur de sa rondelle, découvrant le goût musqué de cette partie de son corps. Ses jambes reposent sur mon dos, je les sens se tendre, il a l'air de beaucoup aimer. Ses gémissements ne semblent jamais cesser. Je sens une goutte tomber sur mon nez, en levant les yeux, je vois que son liquide pré-éjaculatoire a coulé jusque sur ses bourses brunes pour venir s'écraser sur mon visage. La lubrification ne doit jamais être un problème pour mon étalon lorsqu'il baise.
Au bout d'un moment, ma langue fatigue et de toute façon, la tournée des médecins risque de bientôt arriver jusqu'à la chambre du jeune Arabe. Je vais chercher un peu du même lubrifiant que j'avais utilisé pour entrer dans son urètre avec ma sonde, puis je l'utiliser pour caresser le contour de son anus. Je regarde son visage, son sourire béat est toujours présent.
Soudain, j'enfonce mon majeur jusqu'au bout, un O de surprise se dessine sur son visage, la sucette tombe.
J'entends un faible "non Samia, pas là, pas..." puis j'écrase mon majeur sur sa prostate. Un autre "O" de surprise plus grand encore qui cette fois-ci s'accompagne d'une longue plainte. Première pénétration, premier plaisir. Je vois ses grosses bourses remonter encore un peu dans leur poche, ni une ni deux, j'enfonce sa grosse queue en bouche, jusqu'à la garde.
Il gémit encore plus et soudain se met à bouger les hanches par à-coups, manquant de m'étouffer. Le goût de sa verge est délicieux, le goût fort d'un mâle en pleine excitation. Il grogne maintenant fortement puis dit d'une voix plus forte que celle à laquelle j'étais habitué, mélangeant français et arabe :
- Samia, ana, ana, je vais,...
D'un coup, dans un hurlement animal (heureusement couvert par l'alarme de la chambre d'à côté) et dans un dernier coup de rein, il commence à vider ses couilles dans ma bouche. Sa crème épaisse me remplit entièrement la gorge, je sens la puissance de ses jets qui ne semblent pas cesser. L'odeur forte et le goût de son sperme oriental m'envahissent. Sa semence, son ADN, la perpétuation de sa lignée Arabe, ce qu'il a de plus précieux, est maintenant en train de se déverser en moi. J'éjacule à mon tour sans me toucher, dans ma blouse. Quand, au bout de plusieurs secondes de délices qui m'ont semblé être une éternité, la verge du beur cesse de cracher sa lave chaude, je retire ma bouche. Le goût incroyablement fort reste dans ma bouche.
Quelques gouttes continuent de couler de son sexe brun et viennent souiller son nombril. J'ai eu ma récompense, il va avoir la sienne. Je sors une seconde sucette de fentanyl, la trempe dans son nombril et l'enduis du liquide visqueux, puis vais l'introduire dans sa bouche. Il grimace au goût, sûrement la première fois qu'il se goûte lui-même. Le sperme étant vu comme une impureté dans l'Islam.
Azim lâche un grand soupir, tout en écartant les bras et les cuisses, s'affaissant complètement sur le lit en étoile de mer, terrassé par le bonheur que lui apporte la drogue. Sa queue pend maintenant lourdement entre ses jambes, ses grosses bourses encore certainement bien pleines ; un homme comme ça doit éjaculer plusieurs fois par jour, c'est certain.
Je remets un peu d'ordre sur le lit lorsqu'un bruit d'eau qui coule me sort de mes pensées. Je vois un filet s'écoulant du lit pour venir s'écraser par terre. Il se pisse dessus de bonheur, ce con, un vrai chien ; j'ai le temps d'attraper un tube et cale son sexe à l'intérieur pour qu'il continue de se vider en soupirant. Il semblerait qu'Azim ait trouvé son paradis. Je nettoie son humiliation puis sors de la chambre, la blouse pleine de mon foutre collant.
Les jours qui suivent, je ne peux plus accéder à la chambre ; l'œdème cérébral d'Azim est revenu et il a dû être opéré à nouveau puis lourdement sédaté. Dans mon malheur, je suis tout de même soulagé car je ne sais pas comment j'aurais fait pour le sevrer de mon petit conditionnement. La sédation s'en chargera.
Quelques semaines plus tard, alors que je sors de la chambre d'un autre patient, quelle n'est pas ma surprise de croiser Azim dans le couloir, sa valise à la main. Il est habillé d'un chino et d'un polo, un look élégant pour celui que j'imaginais n'être qu'un petit voyou.
Il s'approche de moi, ayant perdu en masse musculaire mais remplissant toujours ses vêtements, et me dit avec un grand sourire, ses dents blanches contrastant avec sa peau :
- Merci Monsieur, on m'a dit que c'était vous qui vous étiez occupé de moi au début...
Son regard reconnaissant, candide, sans idée que j'ai profité de son corps, manque de me faire bander comme un cerf à nouveau.
- De rien, jeune homme, c'était un plaisir, prenez soin de vous.
Nous nous serrons la main, puis il se retourne pour partir avec sa copine ; j'en profite pour mater son petit cul d'Africain musclé une dernière fois.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Tres bonne histoire il en faut beaucoup beaucoup + svpp!!
Histoire formidable ça change de ce qu'on peut lire ici d'habitude merci
Très bandante cette histoire, ça change des textes trop lisses. Pour une fois c'est un beur qui se fait dominer et non l'inverse. Merci on en espère d'autres.
Bonjour, j’adore vos histoire, mais vous n’en sortez pas beaucoup, franchement il faut en sortir + hihi
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