Un jeune cuisiniste au top de son talent !
Récit érotique écrit par Castajl1 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-03-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Un jeune cuisiniste au top de son talent !
Depuis deux ou trois ans nous envisagions avec ma femme Corinne de remplacer notre cuisine aménagée par une nouvelle plus moderne et plus fonctionnelle.
En avril dernier, nous nous décidâmes à investir dans cet équipement qui représente une somme rondelette, ainsi nous avons consulté plusieurs installateurs spécialisés dans le domaine, des entreprises renommées au niveau national mais aussi locales.
Finalement notre choix s’est arrêté sur un artisan local qui a déjà équipé les cuisines de deux de nos amis avec un résultat surprenant et surtout bien placé d’un point de vue rapport qualité/prix.
Fin Mai, le patron et son ouvrier sont venus procéder au métré précis de notre cuisine, le patron Eric me présenta Riccardo son unique ouvrier, un beau mec bien taillé d’à peine trente ans, d’origine italienne bien typé mais sans accent particulier, cheveux bouclés bruns, barbe noire bien taillée courte, des yeux noirs, une boucle d’oreille et un teint hâlé… bref un beau jeune homme au type méditerranéen prononcé...
Riccardo travaille pour Eric depuis cinq ans, c’est un excellent professionnel selon son patron en qui il a toute confiance, il est précis et super consciencieux. Effectivement c’est aussi l’écho que nous avions eu par nos amis.
Eric nous confirma que c’est bien Riccardo qui assurera la dépose et la pose complète de nos équipements qui devraient être disponibles à la mi-Juillet.
Une fois Eric et Riccardo partis, Corinne me confia :
« Il est canon son ouvrier, ce n’est pas des cuisines qu’il devrait installer mais il pourrait faire carrière dans le mannequinat le mec ! »
Ma femme, tout comme moi d’ailleurs, avait apprécié la plastique de ce beau jeune homme souriant qui avait un charme fou.
La différence c’est que Corinne ne connaît pas mes tendances d’attirance vers la gent masculine que je suis jusqu’ici arrivé à lui cacher… et ce jeune italien me plait franchement beaucoup, il est hyper sexy, je me verrais bien me le taper sans rechigner, d’autant que j’ai remarqué lorsqu’il s’est accroupit pour prendre des côtes derrière le lave-vaisselle, qu’il avait un tatouage très significatif à la naissance de ses fesses qui attira mon attention… un petit cœur discret aux couleurs LGBT… notre jeune cuisiniste ferait bien partie à priori de la communauté gay… C’est une information qui me semblait très intéressante à connaître pour la suite du chantier.
Je me suis bien gardé d’informer Corinne de ma découverte inopinée, d’autant que ceci aurait dû me faire avouer que mon regard s’était malencontreusement égaré sur les fesses de ce bel ouvrier... Ce n’était pas nécessaire de lui avouer mon attirance pour le cul des mecs.
Début Juillet, Eric nous appelle en nous confirmant la livraison des équipements pour la semaine suivante et confirmant par la même occasion que Riccardo viendrait démonter l’ancienne cuisine dès le mardi suivant.
Compte tenu de l’indisponibilité de sa cuisine durant les travaux, Corinne avait demandé à sa jeune sœur, si un court « hébergement culinaire » chez elle, qui habite à dix minutes de chez nous, était envisageable pour les dîners du soir. L’accord de Mathilde sa sœur fut acté sans aucun soucis.
Ainsi nous prendrions les repas du soir chez eux, puisque le midi Corinne déjeune à son restaurant d’entreprise et que moi, quant à moi, ayant pris une semaine de congés pour la durée des travaux, je mangerai sur le chantier avec Riccardo.
Le mardi matin, comme tous les jours, Corinne était partie au boulot vers 7h30, moi je pris une douche avant de recevoir mon ouvrier, et volontairement… Allez savoir pourquoi ??? Je revêtis uniquement mon peignoir pour dissimuler ma nudité.
Vers 8h30 le carillon retentit, je vois le fourgon garé devant notre pavillon, je vais ouvrir et accueille le bel italien, tout sourire… On se salue et je l’invite à entrer.
« Désolé, je suis un peu en avance, vous étiez sous la douche peut-être ? » me dit-il un peu gêné me découvrant encore en peignoir.
« Non pas du tout, j’allais m’habiller » lui répondis-je… un peu menteur.
Riccardo commence à apporter son outillage et je lui propose un café avant de commencer, il accepta avec plaisir.
Je sors les tasses, lance la machine à café… Je l’invite à s’asseoir et m’assois à côté de lui pour discuter en attendant que nos cafés soient disponibles.
On discute de son boulot, à priori les commandes ne manquent pas, il aime son métier, il a une formation de menuisier et une habilitation électrique pour assurer tous les branchements et il assure aussi les travaux de plomberie… Il me confia être célibataire, il habite à une vingtaine de Km d’ici en campagne dans une maison qu’il a restauré.
Je me lève pour prendre le café et me rassois en écartant les jambes… mon peignoir peu serré s’ouvre, laissant pleine vue sur mon service trois pièces, je le sers… Il matte mon anatomie de façon insistante et moi je fais mine de ne pas avoir remarqué l’ouverture béante de mon peignoir… ni de son coup d’œil indiscret… Je reste quelques minutes ainsi, puis soudain :
« Oh, je suis désolé, je n’avais pas remarqué… » lui dis-je malhonnêtement en refermant et ceinturant mon peignoir à double nœud.
Lui me répond avec un beau sourire : « Ce n’est rien, je vous en prie… ça peut arriver… Et puis, on est entre hommes ! »
Nous prenons alors notre café, puis Riccardo retourna décharger son fourgon.
Son regard coquin vers ma queue me confirma qu’il avait apprécié cette furtive cession de voyeurisme… son orientation sexuelle semblait se confirmer.
Je le laisse seul et pars me changer dans la chambre.
Je reviens vêtu d’un tee-shirt, d’un short rouge écarlate et mes tennis. Je mets rarement de sous-vêtement quand il fait beau, ma femme a toujours eu du mal à comprendre cette curieuse habitude, mais elle a fini par ne plus me faire de réflexions à ce sujet.
Riccardo lui, était en jean’s bien ajusté, débardeur bleu ciel et chaussures de sécurité… Son débardeur mettait les attributs de son corps en valeur, ses pectoraux et ses abdos étaient magnifiquement sculptés, ses biceps musclés sans excès, je discernais ses aisselles velues de poils bien noirs, il était assez large d’épaules… bref un très beau corps.
En le matant discrètement, je l’imaginais nu, ça devait être un bel Apollon au pubis frisé bien brun et une queue en harmonie avec ce beau corps.
Je le laissais travailler seul en lui disant que j’étais au jardin s’il avait besoin d’un coup de main.
En fin de journée les éléments de notre ancienne cuisine avaient été démontés et je l’avais aidé à les charger pour la destruction. Riccardo dégoulinait de sueur, je lui offris un rafraichissement et lui proposa de prendre une douche.
« Oh, non, c’est gentil, je ne veux pas abuser » me dit-il.
« Si je vous l’offre, profitez-en, vous êtes tout trempé de sueur… Ça doit coller non ? » lui dis-je en souhaitant qu’il accepte ma proposition.
Il me répond : « Oh oui, ça colle bien, ils étaient vraiment bien fixés vos éléments ! Ok je ne vous dis pas non pour la douche, je vais dans le fourgon, j’ai des vêtements de rechange »
Je vais lui préparer gants, serviette de bain, shampooing…
Il revient avec un bermuda, un slip Calvin Klein et une chemisette chamarrée sous le bras :
« Voyez, je suis prévoyant » me dit-il en rigolant… « C’est sympa de votre part pour la douche, elle va me faire un bien fou ! »
Il entre sans la salle d’eau, je lui montre la douche puis je repousse la porte sans la fermer totalement, rapidement j’entends l’eau de la douche couler, je le laisse quelques secondes seul, puis je rentre avec un flacon de gel douche :
« Je vous prie de m’excuser… je ne vous ai pas sorti le gel douche » lui dis-je en m’approchant de notre douche à l’italienne… où je découvris ce corps nu magnifique, sa peau dorée dégoulinante sous une légère vapeur d’eau chaude… il ne se tournait pas pour autant pour dissimuler son anatomie… bien au contraire… Et là, récompense suprême, je vis sa belle bite d’une quinzaine de centimètres avec un beau prépuce, ses couilles bien pleines et bien rondes, puis son pubis comme je l’avais imaginé bien fourni de poils frisés aussi noirs que sa chevelure.
Il me remercia en tendant sa main pour récupérer le flacon… un peu hésitant, je fis semblant d’être gêné face à sa nudité… puis ressorti aussitôt en fermant cette fois-ci la porte correctement.
J’étais tout émoustillé d’avoir volé son intimité, d’avoir osé l’approcher dans cette douche, je me demandai soudain si mon audace n’allait pas gâcher notre relation des prochains jours ???
Un quart d’heure après, Riccardo sorti de la salle d’eau, tout frais, tout beau, les cheveux mouillés et en bataille, son bermuda bien ajusté et sa chemise ouverte offrant un torse légèrement poilu et des seins bien dessinés. Il repartit avec ses vêtements de travail et son slip turquoise sous le bras.
Je lui redis (malhonnêtement) ma gêne d’être entré dans la salle d’eau :
« Encore désolé ! »
Riccardo me répond en rigolant :
« Oh, ne vous inquiétez pas, je ne suis pas offusqué, être nu pour moi c’est un vrai bonheur et le partager est presque une forme d’amitié »
Un peu surpris par cette réponse je lui réplique sur le ton de l’humour :
« Ah bon, ben vous me rassurez… Alors j’en déduis que je fais presque partie de vos amis ! »
En plaisantant il me répond :
« Oui, on peut dire ça, et puis maintenant que vous m’avez vu à poil, on peut se tutoyer, je préfère ça d’ailleurs ! »
Après cette petite mise au point, on se salua :
« A demain, et encore merci pour la douche, j’ai super apprécié » me dit-il en montant dans son fourgon en me faisant un clin d’œil complice.
Et moi donc… Comment j’avais apprécié cette incursion furtive et cette vision d’un beau mâle italien dans ma propre douche… Une petite tâche sur mon short rouge trahissait mon excitation… Oui, je mouillais de bonheur !
Le lendemain matin, Riccardo arriva à 8h35, sous le soleil matinal je le vis arriver portant un bermuda en jean’s et un débardeur jaune vif, son bronzage naturel en ressortait encore plus intensément… quel beau mâle ! Je ne comprenais pas qu’il vienne chez un client en bermuda et l’interrogea :
« Bonjour Riccardo, c’est ta tenue estivale de travail ? »… Puisque je pouvais maintenant le tutoyer.
Il me répondit :
« Non pas du tout, je vais mettre mon jean’s de travail, mais je me suis levé à 07h00 ce matin et il faisait tellement beau que j’ai déjeuné sur la terrasse et du coup j’ai voulu en profiter un peu en tenue relax »
Moi :
« Mais ça ne me gêne absolument pas tu sais ! »
Lui :
« Non, non je me doute bien, mais je vais mettre mon jean’s de travail »
Et il joint l’acte à sa parole, le voilà au milieu du chantier de la cuisine faisant tomber son bermuda, puis en boxer court gris souris d’un tissus hyper léger et fin, moulant à la perfection ses fesses fermes et rebondies dont je devinais aisément la raie, ainsi que son anatomie bien mise en valeur… le coquin prit son temps devant moi… à moitié en forme d’exhib, il se palpa le paquet sans retenue, ajusta les deux jambes en tirant sur son boxer, puis pris son jean’s et l’enfila avec une sensualité provocante, il rentra son paquet protubérant, il remonta sa braguette en me fixant dans les yeux et termina par boutonner sa ceinture :
« Et voilà, le petit oiseau est à l’abri » me dit-il avec son air coquin.
Je restai quelques instants, interloqué mais aussi satisfait d’avoir vu mon jeune ouvrier en petite tenue.
Cette fois, moi, j’étais habillé pour le recevoir, mon short large rouge (que j’avais un peu mouillé la veille) sans slip, boxer ou jock dessous et un tee-shirt jaune comme lui.
« On a l’impression de faire partie de la même équipe… nous avons la même couleur de maillot » lui dis-je.
Il me répond avec un air complice et plein de sous-entendu :
« Oui, la même équipe… ça se pourrait bien ! »
Nous prenons notre café avant qu’il attaque son chantier et que je vaque de mon côté à mes occupations dans le garage.
Il avait descendu une multitude de cartons de son fourgon… Un vrai puzzle ! Je lui proposai de lui apporter mon aide en cas de besoin.
Vers 10h30 il m’appela car il avait une fixation à faire sur un meuble haut… Je lui apportai mon aide sans rechigner, bien au contraire… Monté sur le second escabeau je devais maintenir des équerres de fixation pour qu’il repère et perce le mur.
Je m’étais positionné une jambe sur une marche plus haute afin de bien prendre appui, ce qui fit que l’ouverture de mon short extra large était largement ouverte au regard furtif de mon ouvrier qui se trouvait ponctuellement en bas.
Ma tentative volontairement provocante fut couronnée de succès… Je vis le regard de Riccardo se diriger directement sur mon entrejambe dépourvu de sous-vêtement, il avait une vue directe sur ma bite et ma paire de couilles rasées de près, cette situation excitante me déclencha un début d’érection au point que mon short se tendit rapidement… Riccardo à la fois déstabilisé et attiré par cette situation inattendue me glissa sans trop hésiter sa main droite sous le short et me caressa les fesses en bégayant à moitié :
« Excusez-moi, je n’aurai pas dû, mais c’est plus fort que moi… vous êtes nu sous votre short… je n’ai pas pu résister en voyant vos attributs à portée de main… »
Je lui réponds dans la même logique :
« Mais tu n’as pas à t’excuser Riccardo, au contraire ta main est salvatrice, je dois t’avouer que j’ai un peu provoqué ta réaction… et je ne le regrette pas ! »
« Ah, bon… Comment ça ? » me questionna-t-il avec étonnement fein.
Moi :
« L’autre jour pour la prise de côtes, lorsque tu étais accroupi au niveau du lave-vaisselle et que tu avais la raie des fesses bien découverte, j’ai aperçu ton tatouage aux couleurs arc-en-ciel LGBT juste au-dessus de ta raie, j’en ai déduit que tu étais gay »
Il me répond surpris :
« Ah ok, tu es observateur et surtout voyeur, oui je te confirme, je suis homo… mais en quoi çà t’excite ? Tu es bien marié ? »
« Et alors ? » lui répondis-je… « On peut être marié et avoir des sentiments et des attirances pour les gens du même sexe ! »
Riccardo était un peu perturbé par ma réponse mais sans plus, il finit par m’avouer que je l’avais étonné la veille de l’avoir reçu en peignoir entrouvert et nu dessous… puis ensuite mon incursion sans retenue dans la salle d’eau alors qu’il était à poil sous la douche.
Je lui avouai alors que je le trouvais, beau, super sexy et sensuel.
Sur ces révélations coquines et sincères, je lui pris la tête et l’embrassa sur ses lèvres puis aussitôt sans lui laisser le moindre répit j’engouffrai ma langue dans sa bouche et lui roulai une pelle impatiente et passionnée… Mon ouvrier un peu décontenancé me faisais bander comme une bête, mon short ne dissimulait pas mon érection… Et je vis que la braguette de son jean’s était gonflée rapidement elle aussi.
Soudain, j’entendis une voiture arriver, c’était Corinne qui rentrait à l’improviste, pourquoi arrivait-elle dans la matinée ???
Nous, nous remîmes tous les deux au boulot dans la précipitation.
« Bonjour messieurs, je viens juste chercher mon dossier médical, ce matin j’ai une visite avec la médecine du travail au boulot et ils m’avaient demandé de leur fournir mon dossier et j’ai totalement oublié de le prendre avant de partir ce matin ! Alors ça avance le chantier » nous demanda-t-elle.
Riccardo s’empressa de lui confirmer que ça se déroulait correctement, en rajoutant qu’il m’avait employé ponctuellement pour un coup de main.
Corinne, rassurée, pris son dossier, elle nous souhaita bon courage pour la suite et reparti aussitôt.
« Ouf, on l’a échappé belle, elle aurait pu nous surprendre nous embrassant ! » Dis-je rassuré.
Et Riccardo de renchérir en rigolant comme un bienheureux :
« Heureusement que tu n’étais pas en train de me sucer ! »
Cette remarque m’a surpris mais aussi m’a encouragé à lui dire :
« Pourquoi tu aimerais ? »
« Ben, je crois que nous avons franchi une étape tous les deux… Nous n’allons pas en rester là j’espère bien… En fin de journée… au moment de la douche par exemple, ça pourrait être sympa non ? » Me dit-il interrogatif et enjoué.
Moi excité comme une puce par cette proposition inattendue :
« Oh… mais oui alors !... Sucer un bel italien, jeune, viril et pédé… Ça me convient parfaitement ! »
Et sur cette conclusion enthousiaste et plus qu’osée, nous nous embrassâmes langoureusement au milieu du chantier, en nous palpant nos anatomies plutôt bien éveillées et nous promettons d’attendre la fin de journée pour passer aux choses sérieuses tous les deux.
Cependant avant de reprendre son chantier, après avoir pris ensemble notre repas de midi sur le pouce, Riccardo m’avoua qu’il adorait bosser ou même faire son jogging du dimanche matin avec un plug anal en métal dans le cul… Sa confession me fit sourire, car je lui avouai que j’avais le même vice que lui et que j’en portai souvent un, à l’insu de Corinne… parfois même lorsque je l’accompagnais faire les courses ou lorsque nous allions au restaurant ou au cinéma tous les deux !
Riccardo me demanda alors :
« Je l’ai dans ma trousse dans le camion, je peux aller le chercher et le mettre durant mes travaux ? »
« Mais évidemment tu peux… je peux mettre te l’introduire dans ton beau petit cul mon cher Riccardo… Va vite le chercher ! »
Il revint deux minutes après, emballé dans un petit étui de tissus noir satiné, il le sorti et me le présenta, un plug anal diamant métal d’environ 14/15 cm avec des boules successives la plus grosse devait être d’environ 35mm de diamètre, il était tout brillant et bien lisse… J‘imaginais de suite que cet objet sexuel était à l’origine de nombreux orgasmes solitaires de mon cuisiniste… Le coquin !
Je lui dis, un peu empressé :
« Alors t’es OK, c’est moi qui te le mets ? »
« Oh, oui, la majorité du temps c’est moi qui me l’enfile tout seul… c’est moins drôle » me répond-il en me jetant un clin d’œil de plus en plus complice.
Il déboutonna son jean’s, descendit le zip de sa braguette et le fit glisser au sol, puis c’est moi qui lui fis glisser son boxer tout fin… j’en profitai pour lui caresser son fessier ferme et bien galbé, je lui dis :
« Allez mon bonhomme écarte un peu les fesses et montre-moi ton petit trou de pédé »
Riccardo sans rechigner le moins du monde écarta ses cuisses, je regardai vicieusement cette raie trop tentante puis il écarta son anus avec les doigts de chaque main en ayant pris soin de se mouiller le majeur avec la bouche qu’il avait préalablement enfoncé dans son trou déjà béant, de mon côté je suçai le plug afin de l’humecter de tout son long… puis doucement je l’introduisis dans le fondement de mon rital, il rentra sans difficulté en lui :
« Dis donc mon cochon, on voit que tu es habitué à recevoir des corps étrangers dans ton petit cul… tu es une bonne petite chienne j’ai l’impression ! »
Il me répondit sans gêne :
« Ah oui, je l’avoue sans problème, j’aime jouer la salope avec mes potes… me faire enculer a toujours été pour moi une activité de plaisir intense, je suis principalement passif et fier de l’être ! »
Après cette introduction fort sympathique et un plaisir partagé, j’admirai ce diamant couleur améthyste orner ce beau petit cul de pédé, puis mon cuisiniste se reculotta, tortilla du postérieur pour assurer le bon positionnement de ce corps étranger dans ses entrailles et me déposa un baiser sur la bouche en guise de remerciements.
« Allez, ce n’est pas le tout, mais l’installation n’est pas terminée, il faut que j’accélère le mouvement » me dit-il.
La journée fut bien occupée pour le chantier de mon jeune professionnel gay… qui du coup fut franchement gai toute la journée ! Et moi en alternance je bossai ou dans mon atelier ou dans le jardin avec un objectif clair : Pomper sans retenue la queue de ce bel ouvrier en fin d’après-midi.
Vers 18h00 Riccardo m’annonça qu’il allait arrêter pour aujourd’hui, l’installation était vraiment bien avancée, notre cuisine prenait déjà une belle allure :
« Encore deux jours et ce sera terminé » me dit-il.
Moi, content mais cependant un peu déçu de voir la fin de chantier arriver trop vite :
« C’est con, j’aurai bien souhaité que tu restes plus longtemps ici, on s’entend bien tous les deux » lui dis-je avec un sourire en coin.
« Oui, mais mon patron risquerait bien de se poser des questions, d’autant qu’il sait depuis longtemps que je ne m’éclate qu’avec des hommes » me répond-t-il.
Après avoir rangé son chantier et ses outils, il part récupérer dans son fourgon ses vêtements de rechange… et on se retrouve tous les deux dans la salle d’eau… en trente secondes nous étions tous les deux à poil et déjà en semi érection… Riccardo retira doucement son plug de son petit cul de pédé, le rinça méticuleusement au robinet, puis direction la douche ensemble, le jet d’eau chaude, le tube de gel douche… et un savonnage mutuel consenti et très intime…
Rapidement je m’agenouillai sous la vapeur du jet chaud pour engouffrer sa queue à demi bandée dont le gland commençait à se décalotter, c’est moi qui tirai sensuellement sur son membre pour le décalotter dans sa totalité… puis j’entrepris un pompage énergique de sa belle bite gonflée qui se durcissait au fur et à mesure de mes va et vient en bouche, ce petit salaud gémissait comme une bête en rut alors que je lui enfonçais mon majeur droit dans le cul pour lui titiller la rosette avec subtilité durant ma fellation.
Cette salope se laissait sucer avec délectation, il râlait lorsque je prenais ses couilles en bouche et lui mettais maintenant deux, puis trois doigts dans le fion, une vraie chienne en chaleur, puis me relevant je lui roulai une galoche goulue et baveuse, on se branlait mutuellement en accouplant nos deux bites collées l’une à l’autre, nos glands violacés donnaient l’impression de vouloir s’embrasser… Puis Riccardo me supplia avec précipitation et excitation tout en se branlant et s’agenouillant à mes pieds :
« Bruno, fais-moi une faciale… je veux que tu me craches ton jus dans les cheveux, dans ma barbe, dans ma bouche, sur le visage… j’aime être soumis et humilié »
J’accélérai ma masturbation, mon excitation montait en flèche, tout en se branlant il me pris les couilles en main et me les serra comme une supplication… Moi je n’ai pas eu le temps de lui répondre que je lui éjaculais par jets puissants mon sperme en pleine figure, j’accélérai mon paluchage et ma purée venait par saccades lui arroser le nez, la bouche, les joues, les cheveux… Il mit fin à mes jets visqueux en engouffrant mon membre dans sa bouche pour finir les dernières gouttes de mon nectar qu’il semblait adorer en jouant avec sa langue de lope experte.
Après quelques minutes, Riccardo s’était mis le visage sous la pomme de douche pour faire disparaître l’agression juteuse dont il venait d’être l’heureuse victime, nous reprenions nos esprits, nos queues avaient perdu de leur vitalité, le savonnage mutuel a bien duré encore dix minutes, puis sortis de la douche à l’italienne, nous nous séchâmes en nous essuyant mutuellement nos corps ruisselants.
Nous prîmes un petit whisky avec glaçons ensemble dans le salon tout en nous galochant encore un peu sur le canapé, puis mon bel italien pris le chemin de retour vers l’atelier.
Le soir je rentrai dîner en famille chez ma belle-sœur en expliquant à tous que Riccardo était vraiment un type minutieux et appliqué.
Qui aurait pu imaginer que le remplacement de notre cuisine aménagée m’apporterait un tel bonheur ?... Sûrement pas Corinne !
Nous avions décidemment bien choisi l’entreprise et son unique employé qui m’avait été vanté par son patron Eric, en me confirmant que c’était un excellent professionnel en qui il avait toute confiance, qu’il était précis et super consciencieux !
Je ne me souvenais pas par contre qu’il m’ait annoncé qu’il taillait des pipes à la demande et embrassait comme un dieu ???... C’était certainement le bonus que je me devais de découvrir !
8h30, le lendemain j’attendais mon ouvrier spécialisé en orgasme masculin… Pardon en installation de cuisines, cette fois-ci j’avais revêtu un jock noir à mailles larges qui laissait voir ma queue et mes couilles en semi transparence… et bien sûr les fesses à l’air et un tee-shirt blanc.
Il descendit du camion… Je commençais à avoir le cœur battant… Je vois cette petite pute arriver en short satiné rose hyper court et ajusté, son matos était moulé de façon provocante, en guise de haut il portait un crop-top maillé noir… je croyais rêver, on se serait cru à la gay pride, je le fis rentrer rapidement en regardant s’il n’y avait pas des voisins dehors…
Décidemment nous étions tous deux en train de nous lâcher…
Il me tomba dans les bras et nous nous sommes roulés pelles sur pelles en nous palpant vigoureusement nos entrejambes… Il y a deux jours, on se serait serrés la main… Aujourd’hui on se palpait nos bites et nos couilles en guise de bienvenue !!!
Il me caressait les fesses en me doigtant l’anus pendant que moi je glissais avec difficulté ma main pour caresser son sexe en érection qui manquait cruellement de place dans ce short trop ajusté, je fis glisser son short au sol pour retrouver son pieu dressé et sa paire de boules bien pleines et son pubis velu.
Nos ébats érotiques durèrent vingt bonnes minutes, on prit rapidement le café qui avait déjà refroidi dans nos tasses, Riccardo est allé rapidement se mettre en tenue de travailleur et moi j’enfilai un short et une chemisette.
« Ce n’est pas comme ça que le chantier va avancer cher client ! » Me dit-il sur un ton ironique.
Et moi de lui répondre :
« Je paierai le supplément s’il le faut… Mais n’oubliez pas cher ami que le client est roi !!! »
La matinée fut très active pour mon ouvrier, je l’entendais chanter, il était heureux, vers midi pratiquement tous les éléments étaient en place.
Il me prévint qu’il voulait reprendre très vite après le repas… ce qui signifiait… Pas de batifolages… Juste ce qu’il fallait de baisers langoureux et de palpations coquines histoire de mouiller nos sous-vêt mais pas plus.
« J’ai apporté des capotes et du gel… ce soir je veux que tu me baises ! » m’annonça-t-il sans détour.
« Alors on ne perd pas de temps, on mange, je bosse et tu m’encules… c’est clair ? »
Ça ne pouvait pas être plus limpide effectivement !
« OK pour moi » lui dis-je, en rajoutant :
« Je vais te mettre mes 17cm dans le fion petite pute, j’espère te faire gémir ».
Il me répond en se marrant :
« Parfois ce sont les clients qui se font baiser… Il faut bien inverser les rôles de temps en temps »
Après cette remarque non dénuée d’intérêts, Riccardo repris le boulot de bon pied et moi je repartais au jardin.
Un peu avant 18h, je vis mon cuisiniste arriver dans le jardin et me dit :
« C’est bon pour moi, j’arrête… je file sous la douche… et je serai prêt ! »
Moi aussitôt :
« OK, je file me doucher aussi, j’arrive »
Nous prenons la douche ensemble, je lui savonne avec délicatesse et sensualité les fesses, la queue, les baloches bien pleines, puis le dos, les pectoraux… mon bel italien en fit de même avec mon corps collé au sien sous les jets d’eau presque trop chauds… prémices de nos ébats imminents.
Nous sortons de la cabine, nous nous essuyons mutuellement… Tout en m’essuyant les couilles avec délectation il me dit :
« J’attends avec impatience que tu te les vide en moi »
Le prenant au mot je lui réponds :
« Je suis peut-être hétéro… mais le cul d’un mec ne m’a jamais rebuté… Bien au contraire ! »
Je vais donner un tour de clé à la porte d’entrée… par sécurité, puis je dirige mon cuisiniste professionnel et consciencieux vers notre chambre d’amis… Dans l’après-midi j’avais préparé le lit, le couvrant d’un drap, approvisionné des kleenex, du gel…
« Oh mais tout est prêt ! » constata-t-il avec enthousiasme, il me balança sa boite de capotes… « Tu vas pouvoir emballer ton zob mon Bruno ! »
Nous nous jetâmes sur le pieu et nous enlaçâmes nus et déjà bien excités, nous nous léchâmes mutuellement sur toutes les parties du corps, de la tête aux pieds en passant par les seins, les pectoraux, les abdos, le cul, les couilles, nos queues bandées… j’introduisis mon majeur droit dans son anus de pédé, son trou était déjà bien ouvert et demandeur d’un membre bien raide, il se mit en position de levrette me tendant son cul telle une chienne en chaleur, la vue de ce postérieur bien sculpté, les fesses fermes, la raie écartée, les couilles semi pendantes et son trou criant famine… je n’en pouvais plus, je me mis à lui lécher la raie, enfoncer ma langue dans son anus, il mouillait déjà ce cochon… je pris le tube de gel et lui tartinais la rosette puis enfonçais un doigt, puis deux pour enduire le plus profond possible son anus… je sorti une capote de son emballage que j’ouvris nerveusement avec les dents puis enfila le préservatif de tout son long sur mon pieu en furie.
Bien positionné et ma petite pute impatiente me cria en tortillant son cul :
« Vas-y, encule-moi, je te veux… fourre-moi ta belle queue bien raide et fais-moi jouir, je n’en peux plus ! »
Je l’introduisis par étapes histoire de ne pas brusquer cette sodomie attendue et consentie, et me voici totalement introduis en lui, et je commençai mes mouvements de va et vient, mes couilles venant taper sa raie exagérément écartée… mon amant se tortillait dans tous les sens pour amplifier et profiter de mon membre en lui, il gémissait et râlait de plaisir… J’avais la preuve au bout de ma bite que ce jeune rital était un vrai pédé passif gourmand et vicelard… J’adorai ça !
Après l’avoir limé comme une bête au moins vingt minutes en levrette et en le cramponnant par les hanches, Riccardo voulu changer de position en me réclama la position de « l'аndrоmаquе » qu’il affectionne beaucoup apparemment, je connais bien cette position et la mets souvent en pratique avec Corinne qui adore se faire tringler ainsi. Je m’allongeai donc sur le dos les jambes légèrement éсаrtéеs… mon pieu toujours bandé au maximum, Riccardo vint sе роsіtіоnnеr аgеnоuіllé, son bustе bien drоіt аu-dеssus de mon sехе еt il dеsсеndit tоut еn dоuсеur sur mon dard qui l’empalla facilement puisque ses entrailles étaient trempées et le gel toujours actif, ce petit salaud se mit à se mouvoir de bas en haut avec une facilité déconcertante… je pu constater que c’était un habitué de l’enculade, Il prenait son pied le mec !... A tel point qu’il obtint un orgasme maximum en criant de bonheur :
« Oh, putain c’est trop bon, quel baiseur tu es mon Bruno ! » et tout en assurant ses va et vient verticaux… Je sentis ma jouissance à son comble et largua par grosses quantités mon sperme chaud, j’aurai préféré lui éjaculer sans capote dans ses entrailles mais mon jus se trouvait emprisonné dans ce préservatif devenu trop serré… Je sorti de son cul en vitesse, vira la capote qui atterri sur la table de nuit et continua de larguer mon jus blanc et visqueux à l’entrée de son trou, sur ses fesses et sur mon bas ventre… Quel pied, quelle baise, quel bonheur… Quelle salope !
Pendant ce temps, mon jeune sodomisé se branlait à un rythme soutenu jusqu’à éjaculer par jets fournis, il largua sa purée sur le drap, puis une grande giclée sur la lampe de chevet puis les autres sur mes joues.
Après nos largages de jus blanc et épais et ces étreintes endiablées, je constatai que le drap était maculé de sperme et de mouille un peu partout… Riccardo avait l’anus endolori et me remerciait en me roulant une pelle qui dura bien cinq minutes :
« Merci Bruno, tu m’as baisé comme un dieu ! »
Il se mis à me sucer le gland à grands coups de langues pour le nettoyer parfaitement… Je lui dis :
« Tu m’as procuré un plaisir comme jamais, tu n’es pas le premier mec que j’encule mais tu es de loin la meilleure pute que j’ai pu baiser avec autant d’énergie et d’excitation, je dois t’avouer que Corinne m’a rarement permis d’avoir un orgasme semblable… »
Après avoir roulé le drap pour le planquer, nettoyé le sperme dégoulinant sur la lampe de chevet, rangé les kleenex, boite de capotes et le tube de gel, nous repartîmes tous deux sous la douche pour apaiser et nettoyer nos corps en sueur, nos bites à demi ramollies se frottaient l’une à l’autre comme pour se remercier mutuellement de ce moment divin, nous terminâmes sous la pluie chaude de la pomme de douche en nous galochant une dernière fois avant de sortir et nous essuyer.
Tous deux rhabillés, Riccardo me laissa un baiser sur les lèvres en me félicitant, je lui mis la main aux fesses en le remerciant, il regagna son fourgon… Sa journée de travail était terminée… Il en avait plein le cul !
Le soir au dîner Corinne me demanda si le chantier serait bien terminé comme prévu le lendemain, je lui répondis que oui Riccardo me l’avait bien confirmé… A mon grand regret pensais-je.
La dernière journée commença par un café pris sur l’ilot central au milieu de notre nouvelle cuisine flambant neuve, il restait des portes, des poignées, un peu d’électricité pour les spots et la crédence à finaliser.
Riccardo pour ce dernier jour avait quitté son jean’s et m’avait gratifié d’un spectacle sublime et inattendu, il portait un string en lycra jaune et un débardeur noir, outre le fait que son débardeur lui allait à merveille… c’est son string qui me foutu la trique quasi immédiatement, je fis glisser mon short tout frais sorti de l’armoire… je ne portais évidemment rien dessous et Riccardo profita immédiatement de ma trique matinale, la vue de mon italien en string sexy à demi fermé sur les fesses, son petit cul ferme et bien moulé et ses attributs de mâle presque trop imposants pour être totalement enveloppés dans ce bout de lycra couleur soleil… je lui palpais le paquet en dégustant mon café, son string se tendit à l’horizontale, je discernais aisément l’empreinte de son gland décalotté, ne pouvant plus tenir, je m’agenouilla à ses pieds, je fis glisser son string, sa bite ainsi libérée réagit comme un ressort et me tapa dans le nez… j’engouffrai cette belle queue en bouche et me mis à le sucer sans rien dire, je l’ai pompé pendant dix bonnes minutes en lui faisant une successions de gorges profondes, lui me donnant des à-coups pour me baiser la glotte avec fermeté… Tellement excité par ma fellation sauvage, mes coups de langues autour de son gland et l’envie de tirer au cœur à chaque pénétration profonde… ce petit pédé m’éjacula rapidement dans la bouche… son nectar me rempli la bouche en quelques secondes, son sperme trop abondant débordait de chaque côté de mes lèvres… Il vidait ses couilles en moi ce jeune salaud, j’avalais au fur et à mesure ce que je pouvais mais sa purée continuait de me gaver… Je n’en pouvais plus et lui non plus…
« Oh putain quelle pipe mémorable tu viens de me faire Bruno ! » Me dit-il épuisé le gland encore dégoulinant.
Et moi, à genoux je venais de larguer mon jus par terre, sans me branler, juste par l’excitation provoquée par la baise sauvage de ma bouche je lui répondis avec le goût de son sperme très présent :
« Tu viens de m’offrir un sacré petit-déjeuner mon cochon… Je suis rassasié pour la matinée ! »
Après nous être passé la bouche et nos bites sous l’eau, nous reprîmes un petit café et décidâmes qu’il était temps de finir ce putain de chantier.
Le midi nous déjeunâmes sur le pouce sans oublier de nous galocher goulument accompagnés d’une bonne masturbation mutuelle poussée jusqu'à l’éjaculation de nos deux membres glands décalottés et tiges bien veinées.
Je desservis la table et essuya le sol de nos jets de sperme lamentablement atterris sur le carrelage.
L’après-midi fut consacré aux ultimes finitions pour mon cuisiniste.
Nous ne pouvions terminer notre après-midi en duo coquin car Eric, le patron de Riccardo lui avait passé un coup de fil en lui confirmant qu’il viendrait vers 16h30 pour valider la fin de travaux.
Comme c’était un vendredi, Corinne terminait plus tôt elle avait confirmé qu’elle aussi serait là pour la réception, j’avais mis une bouteille de champagne au frais pour fêter la livraison.
L’heure venue, tous les quatre nous étions dans notre belle cuisine toute moderne et bien finie.
Je fis sauter le bouchon de champagne et rempli les flûtes, Corinne était passée chez le pâtissier du coin et nous servi des mignardises toutes plus délicieuses les unes que les autres pour accompagner les bulles.
Tout en trinquant, j’imaginais que notre cuisiniste portait son string jaune sous son jean’s de travail, lui, de son côté, savait que mes attributs ballotaient en toute liberté sous mon short… Corinne et Eric ne pouvaient imaginer à quel point nos intimités n’avaient plus de secret l’un envers l’autre.
Après cette petite réception intimiste et agréable, Corinne me dit :
« Tu aurais pu offrir à Riccardo de prendre une douche avant qu’il ne parte ! »
Riccardo réagit aussitôt :
« Oh, merci madame c’est très gentil… mais je n’ai pas pour habitude d’utiliser la salle d’eau de nos clients, j’habite tout près… je prendrai mon bain en arrivant »
Et moi faussement honnête et reprenant mon vouvoiement :
« C’est comme vous voulez Riccardo, excusez-moi… Il est vrai que j’aurai pu vous le proposer ! »
Au final, Corinne et moi furent enchantés du rendu de cette nouvelle et belle cuisine moderne et fonctionnelle, Corinne félicita le patron Eric en lui disant combien elle était satisfaite du résultat, elle ne manqua pas de dire aussi que j’avais été très satisfait du professionnalisme de son ouvrier…
Tu parles… et comment j’étais satisfait… Si elle savait !...
Riccardo et moi avions préalablement échangé nos numéros de portables, nous ne pouvions plus nous ignorer… Que de bons moments nous allions pouvoir à nouveau partager, il m’avait dit qu’il avait un lit extra large et super agréable dans sa chambre très cosy, je me devais d’aller le tester prochainement…
Et il rajouta, c’est un lit où j’ai déjà baisé avec deux autres mecs… Si ça te dit… une partie à trois je peux l’organiser.
Ma réponse ne tarda pas :
« Oh oui alors, pas de problème pour moi… Ça fait partie de mes fantasmes avoir une bite en bouche et une dans le cul… Et cette fois-ci j’aurai au moins l’occasion de me faire baiser doublement ! »
Riccardo avec un grand sourire :
« Compte sur moi, je te présenterai Alessandro, un actif bien monté… Il baise comme un dieu c’est un beau rital comme moi, sexy et pédé comme un phoque ! »
Et il rajouta :
« Tu me dis être hétéro, mais après t’avoir testé profondément je pense que tu es totalement bi mon pote ! »
Moi de conclure :
« Tu as raison, pour moi le clito d’une nana ou la bite d’un beau mec… Ça ne me laisse jamais indifférent… Il faut que je travaille Corinne pour l’habituer à la sodo… »
Après ce récit de chantier hors du commun, je peux confirmer qu’il est important de faire travailler les petits artisans… Ils nous réservent parfois de très belles surprises… A ce sujet je suis prêt à signer une décharge… Si ce n’est déjà fait !!!
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En avril dernier, nous nous décidâmes à investir dans cet équipement qui représente une somme rondelette, ainsi nous avons consulté plusieurs installateurs spécialisés dans le domaine, des entreprises renommées au niveau national mais aussi locales.
Finalement notre choix s’est arrêté sur un artisan local qui a déjà équipé les cuisines de deux de nos amis avec un résultat surprenant et surtout bien placé d’un point de vue rapport qualité/prix.
Fin Mai, le patron et son ouvrier sont venus procéder au métré précis de notre cuisine, le patron Eric me présenta Riccardo son unique ouvrier, un beau mec bien taillé d’à peine trente ans, d’origine italienne bien typé mais sans accent particulier, cheveux bouclés bruns, barbe noire bien taillée courte, des yeux noirs, une boucle d’oreille et un teint hâlé… bref un beau jeune homme au type méditerranéen prononcé...
Riccardo travaille pour Eric depuis cinq ans, c’est un excellent professionnel selon son patron en qui il a toute confiance, il est précis et super consciencieux. Effectivement c’est aussi l’écho que nous avions eu par nos amis.
Eric nous confirma que c’est bien Riccardo qui assurera la dépose et la pose complète de nos équipements qui devraient être disponibles à la mi-Juillet.
Une fois Eric et Riccardo partis, Corinne me confia :
« Il est canon son ouvrier, ce n’est pas des cuisines qu’il devrait installer mais il pourrait faire carrière dans le mannequinat le mec ! »
Ma femme, tout comme moi d’ailleurs, avait apprécié la plastique de ce beau jeune homme souriant qui avait un charme fou.
La différence c’est que Corinne ne connaît pas mes tendances d’attirance vers la gent masculine que je suis jusqu’ici arrivé à lui cacher… et ce jeune italien me plait franchement beaucoup, il est hyper sexy, je me verrais bien me le taper sans rechigner, d’autant que j’ai remarqué lorsqu’il s’est accroupit pour prendre des côtes derrière le lave-vaisselle, qu’il avait un tatouage très significatif à la naissance de ses fesses qui attira mon attention… un petit cœur discret aux couleurs LGBT… notre jeune cuisiniste ferait bien partie à priori de la communauté gay… C’est une information qui me semblait très intéressante à connaître pour la suite du chantier.
Je me suis bien gardé d’informer Corinne de ma découverte inopinée, d’autant que ceci aurait dû me faire avouer que mon regard s’était malencontreusement égaré sur les fesses de ce bel ouvrier... Ce n’était pas nécessaire de lui avouer mon attirance pour le cul des mecs.
Début Juillet, Eric nous appelle en nous confirmant la livraison des équipements pour la semaine suivante et confirmant par la même occasion que Riccardo viendrait démonter l’ancienne cuisine dès le mardi suivant.
Compte tenu de l’indisponibilité de sa cuisine durant les travaux, Corinne avait demandé à sa jeune sœur, si un court « hébergement culinaire » chez elle, qui habite à dix minutes de chez nous, était envisageable pour les dîners du soir. L’accord de Mathilde sa sœur fut acté sans aucun soucis.
Ainsi nous prendrions les repas du soir chez eux, puisque le midi Corinne déjeune à son restaurant d’entreprise et que moi, quant à moi, ayant pris une semaine de congés pour la durée des travaux, je mangerai sur le chantier avec Riccardo.
Le mardi matin, comme tous les jours, Corinne était partie au boulot vers 7h30, moi je pris une douche avant de recevoir mon ouvrier, et volontairement… Allez savoir pourquoi ??? Je revêtis uniquement mon peignoir pour dissimuler ma nudité.
Vers 8h30 le carillon retentit, je vois le fourgon garé devant notre pavillon, je vais ouvrir et accueille le bel italien, tout sourire… On se salue et je l’invite à entrer.
« Désolé, je suis un peu en avance, vous étiez sous la douche peut-être ? » me dit-il un peu gêné me découvrant encore en peignoir.
« Non pas du tout, j’allais m’habiller » lui répondis-je… un peu menteur.
Riccardo commence à apporter son outillage et je lui propose un café avant de commencer, il accepta avec plaisir.
Je sors les tasses, lance la machine à café… Je l’invite à s’asseoir et m’assois à côté de lui pour discuter en attendant que nos cafés soient disponibles.
On discute de son boulot, à priori les commandes ne manquent pas, il aime son métier, il a une formation de menuisier et une habilitation électrique pour assurer tous les branchements et il assure aussi les travaux de plomberie… Il me confia être célibataire, il habite à une vingtaine de Km d’ici en campagne dans une maison qu’il a restauré.
Je me lève pour prendre le café et me rassois en écartant les jambes… mon peignoir peu serré s’ouvre, laissant pleine vue sur mon service trois pièces, je le sers… Il matte mon anatomie de façon insistante et moi je fais mine de ne pas avoir remarqué l’ouverture béante de mon peignoir… ni de son coup d’œil indiscret… Je reste quelques minutes ainsi, puis soudain :
« Oh, je suis désolé, je n’avais pas remarqué… » lui dis-je malhonnêtement en refermant et ceinturant mon peignoir à double nœud.
Lui me répond avec un beau sourire : « Ce n’est rien, je vous en prie… ça peut arriver… Et puis, on est entre hommes ! »
Nous prenons alors notre café, puis Riccardo retourna décharger son fourgon.
Son regard coquin vers ma queue me confirma qu’il avait apprécié cette furtive cession de voyeurisme… son orientation sexuelle semblait se confirmer.
Je le laisse seul et pars me changer dans la chambre.
Je reviens vêtu d’un tee-shirt, d’un short rouge écarlate et mes tennis. Je mets rarement de sous-vêtement quand il fait beau, ma femme a toujours eu du mal à comprendre cette curieuse habitude, mais elle a fini par ne plus me faire de réflexions à ce sujet.
Riccardo lui, était en jean’s bien ajusté, débardeur bleu ciel et chaussures de sécurité… Son débardeur mettait les attributs de son corps en valeur, ses pectoraux et ses abdos étaient magnifiquement sculptés, ses biceps musclés sans excès, je discernais ses aisselles velues de poils bien noirs, il était assez large d’épaules… bref un très beau corps.
En le matant discrètement, je l’imaginais nu, ça devait être un bel Apollon au pubis frisé bien brun et une queue en harmonie avec ce beau corps.
Je le laissais travailler seul en lui disant que j’étais au jardin s’il avait besoin d’un coup de main.
En fin de journée les éléments de notre ancienne cuisine avaient été démontés et je l’avais aidé à les charger pour la destruction. Riccardo dégoulinait de sueur, je lui offris un rafraichissement et lui proposa de prendre une douche.
« Oh, non, c’est gentil, je ne veux pas abuser » me dit-il.
« Si je vous l’offre, profitez-en, vous êtes tout trempé de sueur… Ça doit coller non ? » lui dis-je en souhaitant qu’il accepte ma proposition.
Il me répond : « Oh oui, ça colle bien, ils étaient vraiment bien fixés vos éléments ! Ok je ne vous dis pas non pour la douche, je vais dans le fourgon, j’ai des vêtements de rechange »
Je vais lui préparer gants, serviette de bain, shampooing…
Il revient avec un bermuda, un slip Calvin Klein et une chemisette chamarrée sous le bras :
« Voyez, je suis prévoyant » me dit-il en rigolant… « C’est sympa de votre part pour la douche, elle va me faire un bien fou ! »
Il entre sans la salle d’eau, je lui montre la douche puis je repousse la porte sans la fermer totalement, rapidement j’entends l’eau de la douche couler, je le laisse quelques secondes seul, puis je rentre avec un flacon de gel douche :
« Je vous prie de m’excuser… je ne vous ai pas sorti le gel douche » lui dis-je en m’approchant de notre douche à l’italienne… où je découvris ce corps nu magnifique, sa peau dorée dégoulinante sous une légère vapeur d’eau chaude… il ne se tournait pas pour autant pour dissimuler son anatomie… bien au contraire… Et là, récompense suprême, je vis sa belle bite d’une quinzaine de centimètres avec un beau prépuce, ses couilles bien pleines et bien rondes, puis son pubis comme je l’avais imaginé bien fourni de poils frisés aussi noirs que sa chevelure.
Il me remercia en tendant sa main pour récupérer le flacon… un peu hésitant, je fis semblant d’être gêné face à sa nudité… puis ressorti aussitôt en fermant cette fois-ci la porte correctement.
J’étais tout émoustillé d’avoir volé son intimité, d’avoir osé l’approcher dans cette douche, je me demandai soudain si mon audace n’allait pas gâcher notre relation des prochains jours ???
Un quart d’heure après, Riccardo sorti de la salle d’eau, tout frais, tout beau, les cheveux mouillés et en bataille, son bermuda bien ajusté et sa chemise ouverte offrant un torse légèrement poilu et des seins bien dessinés. Il repartit avec ses vêtements de travail et son slip turquoise sous le bras.
Je lui redis (malhonnêtement) ma gêne d’être entré dans la salle d’eau :
« Encore désolé ! »
Riccardo me répond en rigolant :
« Oh, ne vous inquiétez pas, je ne suis pas offusqué, être nu pour moi c’est un vrai bonheur et le partager est presque une forme d’amitié »
Un peu surpris par cette réponse je lui réplique sur le ton de l’humour :
« Ah bon, ben vous me rassurez… Alors j’en déduis que je fais presque partie de vos amis ! »
En plaisantant il me répond :
« Oui, on peut dire ça, et puis maintenant que vous m’avez vu à poil, on peut se tutoyer, je préfère ça d’ailleurs ! »
Après cette petite mise au point, on se salua :
« A demain, et encore merci pour la douche, j’ai super apprécié » me dit-il en montant dans son fourgon en me faisant un clin d’œil complice.
Et moi donc… Comment j’avais apprécié cette incursion furtive et cette vision d’un beau mâle italien dans ma propre douche… Une petite tâche sur mon short rouge trahissait mon excitation… Oui, je mouillais de bonheur !
Le lendemain matin, Riccardo arriva à 8h35, sous le soleil matinal je le vis arriver portant un bermuda en jean’s et un débardeur jaune vif, son bronzage naturel en ressortait encore plus intensément… quel beau mâle ! Je ne comprenais pas qu’il vienne chez un client en bermuda et l’interrogea :
« Bonjour Riccardo, c’est ta tenue estivale de travail ? »… Puisque je pouvais maintenant le tutoyer.
Il me répondit :
« Non pas du tout, je vais mettre mon jean’s de travail, mais je me suis levé à 07h00 ce matin et il faisait tellement beau que j’ai déjeuné sur la terrasse et du coup j’ai voulu en profiter un peu en tenue relax »
Moi :
« Mais ça ne me gêne absolument pas tu sais ! »
Lui :
« Non, non je me doute bien, mais je vais mettre mon jean’s de travail »
Et il joint l’acte à sa parole, le voilà au milieu du chantier de la cuisine faisant tomber son bermuda, puis en boxer court gris souris d’un tissus hyper léger et fin, moulant à la perfection ses fesses fermes et rebondies dont je devinais aisément la raie, ainsi que son anatomie bien mise en valeur… le coquin prit son temps devant moi… à moitié en forme d’exhib, il se palpa le paquet sans retenue, ajusta les deux jambes en tirant sur son boxer, puis pris son jean’s et l’enfila avec une sensualité provocante, il rentra son paquet protubérant, il remonta sa braguette en me fixant dans les yeux et termina par boutonner sa ceinture :
« Et voilà, le petit oiseau est à l’abri » me dit-il avec son air coquin.
Je restai quelques instants, interloqué mais aussi satisfait d’avoir vu mon jeune ouvrier en petite tenue.
Cette fois, moi, j’étais habillé pour le recevoir, mon short large rouge (que j’avais un peu mouillé la veille) sans slip, boxer ou jock dessous et un tee-shirt jaune comme lui.
« On a l’impression de faire partie de la même équipe… nous avons la même couleur de maillot » lui dis-je.
Il me répond avec un air complice et plein de sous-entendu :
« Oui, la même équipe… ça se pourrait bien ! »
Nous prenons notre café avant qu’il attaque son chantier et que je vaque de mon côté à mes occupations dans le garage.
Il avait descendu une multitude de cartons de son fourgon… Un vrai puzzle ! Je lui proposai de lui apporter mon aide en cas de besoin.
Vers 10h30 il m’appela car il avait une fixation à faire sur un meuble haut… Je lui apportai mon aide sans rechigner, bien au contraire… Monté sur le second escabeau je devais maintenir des équerres de fixation pour qu’il repère et perce le mur.
Je m’étais positionné une jambe sur une marche plus haute afin de bien prendre appui, ce qui fit que l’ouverture de mon short extra large était largement ouverte au regard furtif de mon ouvrier qui se trouvait ponctuellement en bas.
Ma tentative volontairement provocante fut couronnée de succès… Je vis le regard de Riccardo se diriger directement sur mon entrejambe dépourvu de sous-vêtement, il avait une vue directe sur ma bite et ma paire de couilles rasées de près, cette situation excitante me déclencha un début d’érection au point que mon short se tendit rapidement… Riccardo à la fois déstabilisé et attiré par cette situation inattendue me glissa sans trop hésiter sa main droite sous le short et me caressa les fesses en bégayant à moitié :
« Excusez-moi, je n’aurai pas dû, mais c’est plus fort que moi… vous êtes nu sous votre short… je n’ai pas pu résister en voyant vos attributs à portée de main… »
Je lui réponds dans la même logique :
« Mais tu n’as pas à t’excuser Riccardo, au contraire ta main est salvatrice, je dois t’avouer que j’ai un peu provoqué ta réaction… et je ne le regrette pas ! »
« Ah, bon… Comment ça ? » me questionna-t-il avec étonnement fein.
Moi :
« L’autre jour pour la prise de côtes, lorsque tu étais accroupi au niveau du lave-vaisselle et que tu avais la raie des fesses bien découverte, j’ai aperçu ton tatouage aux couleurs arc-en-ciel LGBT juste au-dessus de ta raie, j’en ai déduit que tu étais gay »
Il me répond surpris :
« Ah ok, tu es observateur et surtout voyeur, oui je te confirme, je suis homo… mais en quoi çà t’excite ? Tu es bien marié ? »
« Et alors ? » lui répondis-je… « On peut être marié et avoir des sentiments et des attirances pour les gens du même sexe ! »
Riccardo était un peu perturbé par ma réponse mais sans plus, il finit par m’avouer que je l’avais étonné la veille de l’avoir reçu en peignoir entrouvert et nu dessous… puis ensuite mon incursion sans retenue dans la salle d’eau alors qu’il était à poil sous la douche.
Je lui avouai alors que je le trouvais, beau, super sexy et sensuel.
Sur ces révélations coquines et sincères, je lui pris la tête et l’embrassa sur ses lèvres puis aussitôt sans lui laisser le moindre répit j’engouffrai ma langue dans sa bouche et lui roulai une pelle impatiente et passionnée… Mon ouvrier un peu décontenancé me faisais bander comme une bête, mon short ne dissimulait pas mon érection… Et je vis que la braguette de son jean’s était gonflée rapidement elle aussi.
Soudain, j’entendis une voiture arriver, c’était Corinne qui rentrait à l’improviste, pourquoi arrivait-elle dans la matinée ???
Nous, nous remîmes tous les deux au boulot dans la précipitation.
« Bonjour messieurs, je viens juste chercher mon dossier médical, ce matin j’ai une visite avec la médecine du travail au boulot et ils m’avaient demandé de leur fournir mon dossier et j’ai totalement oublié de le prendre avant de partir ce matin ! Alors ça avance le chantier » nous demanda-t-elle.
Riccardo s’empressa de lui confirmer que ça se déroulait correctement, en rajoutant qu’il m’avait employé ponctuellement pour un coup de main.
Corinne, rassurée, pris son dossier, elle nous souhaita bon courage pour la suite et reparti aussitôt.
« Ouf, on l’a échappé belle, elle aurait pu nous surprendre nous embrassant ! » Dis-je rassuré.
Et Riccardo de renchérir en rigolant comme un bienheureux :
« Heureusement que tu n’étais pas en train de me sucer ! »
Cette remarque m’a surpris mais aussi m’a encouragé à lui dire :
« Pourquoi tu aimerais ? »
« Ben, je crois que nous avons franchi une étape tous les deux… Nous n’allons pas en rester là j’espère bien… En fin de journée… au moment de la douche par exemple, ça pourrait être sympa non ? » Me dit-il interrogatif et enjoué.
Moi excité comme une puce par cette proposition inattendue :
« Oh… mais oui alors !... Sucer un bel italien, jeune, viril et pédé… Ça me convient parfaitement ! »
Et sur cette conclusion enthousiaste et plus qu’osée, nous nous embrassâmes langoureusement au milieu du chantier, en nous palpant nos anatomies plutôt bien éveillées et nous promettons d’attendre la fin de journée pour passer aux choses sérieuses tous les deux.
Cependant avant de reprendre son chantier, après avoir pris ensemble notre repas de midi sur le pouce, Riccardo m’avoua qu’il adorait bosser ou même faire son jogging du dimanche matin avec un plug anal en métal dans le cul… Sa confession me fit sourire, car je lui avouai que j’avais le même vice que lui et que j’en portai souvent un, à l’insu de Corinne… parfois même lorsque je l’accompagnais faire les courses ou lorsque nous allions au restaurant ou au cinéma tous les deux !
Riccardo me demanda alors :
« Je l’ai dans ma trousse dans le camion, je peux aller le chercher et le mettre durant mes travaux ? »
« Mais évidemment tu peux… je peux mettre te l’introduire dans ton beau petit cul mon cher Riccardo… Va vite le chercher ! »
Il revint deux minutes après, emballé dans un petit étui de tissus noir satiné, il le sorti et me le présenta, un plug anal diamant métal d’environ 14/15 cm avec des boules successives la plus grosse devait être d’environ 35mm de diamètre, il était tout brillant et bien lisse… J‘imaginais de suite que cet objet sexuel était à l’origine de nombreux orgasmes solitaires de mon cuisiniste… Le coquin !
Je lui dis, un peu empressé :
« Alors t’es OK, c’est moi qui te le mets ? »
« Oh, oui, la majorité du temps c’est moi qui me l’enfile tout seul… c’est moins drôle » me répond-il en me jetant un clin d’œil de plus en plus complice.
Il déboutonna son jean’s, descendit le zip de sa braguette et le fit glisser au sol, puis c’est moi qui lui fis glisser son boxer tout fin… j’en profitai pour lui caresser son fessier ferme et bien galbé, je lui dis :
« Allez mon bonhomme écarte un peu les fesses et montre-moi ton petit trou de pédé »
Riccardo sans rechigner le moins du monde écarta ses cuisses, je regardai vicieusement cette raie trop tentante puis il écarta son anus avec les doigts de chaque main en ayant pris soin de se mouiller le majeur avec la bouche qu’il avait préalablement enfoncé dans son trou déjà béant, de mon côté je suçai le plug afin de l’humecter de tout son long… puis doucement je l’introduisis dans le fondement de mon rital, il rentra sans difficulté en lui :
« Dis donc mon cochon, on voit que tu es habitué à recevoir des corps étrangers dans ton petit cul… tu es une bonne petite chienne j’ai l’impression ! »
Il me répondit sans gêne :
« Ah oui, je l’avoue sans problème, j’aime jouer la salope avec mes potes… me faire enculer a toujours été pour moi une activité de plaisir intense, je suis principalement passif et fier de l’être ! »
Après cette introduction fort sympathique et un plaisir partagé, j’admirai ce diamant couleur améthyste orner ce beau petit cul de pédé, puis mon cuisiniste se reculotta, tortilla du postérieur pour assurer le bon positionnement de ce corps étranger dans ses entrailles et me déposa un baiser sur la bouche en guise de remerciements.
« Allez, ce n’est pas le tout, mais l’installation n’est pas terminée, il faut que j’accélère le mouvement » me dit-il.
La journée fut bien occupée pour le chantier de mon jeune professionnel gay… qui du coup fut franchement gai toute la journée ! Et moi en alternance je bossai ou dans mon atelier ou dans le jardin avec un objectif clair : Pomper sans retenue la queue de ce bel ouvrier en fin d’après-midi.
Vers 18h00 Riccardo m’annonça qu’il allait arrêter pour aujourd’hui, l’installation était vraiment bien avancée, notre cuisine prenait déjà une belle allure :
« Encore deux jours et ce sera terminé » me dit-il.
Moi, content mais cependant un peu déçu de voir la fin de chantier arriver trop vite :
« C’est con, j’aurai bien souhaité que tu restes plus longtemps ici, on s’entend bien tous les deux » lui dis-je avec un sourire en coin.
« Oui, mais mon patron risquerait bien de se poser des questions, d’autant qu’il sait depuis longtemps que je ne m’éclate qu’avec des hommes » me répond-t-il.
Après avoir rangé son chantier et ses outils, il part récupérer dans son fourgon ses vêtements de rechange… et on se retrouve tous les deux dans la salle d’eau… en trente secondes nous étions tous les deux à poil et déjà en semi érection… Riccardo retira doucement son plug de son petit cul de pédé, le rinça méticuleusement au robinet, puis direction la douche ensemble, le jet d’eau chaude, le tube de gel douche… et un savonnage mutuel consenti et très intime…
Rapidement je m’agenouillai sous la vapeur du jet chaud pour engouffrer sa queue à demi bandée dont le gland commençait à se décalotter, c’est moi qui tirai sensuellement sur son membre pour le décalotter dans sa totalité… puis j’entrepris un pompage énergique de sa belle bite gonflée qui se durcissait au fur et à mesure de mes va et vient en bouche, ce petit salaud gémissait comme une bête en rut alors que je lui enfonçais mon majeur droit dans le cul pour lui titiller la rosette avec subtilité durant ma fellation.
Cette salope se laissait sucer avec délectation, il râlait lorsque je prenais ses couilles en bouche et lui mettais maintenant deux, puis trois doigts dans le fion, une vraie chienne en chaleur, puis me relevant je lui roulai une galoche goulue et baveuse, on se branlait mutuellement en accouplant nos deux bites collées l’une à l’autre, nos glands violacés donnaient l’impression de vouloir s’embrasser… Puis Riccardo me supplia avec précipitation et excitation tout en se branlant et s’agenouillant à mes pieds :
« Bruno, fais-moi une faciale… je veux que tu me craches ton jus dans les cheveux, dans ma barbe, dans ma bouche, sur le visage… j’aime être soumis et humilié »
J’accélérai ma masturbation, mon excitation montait en flèche, tout en se branlant il me pris les couilles en main et me les serra comme une supplication… Moi je n’ai pas eu le temps de lui répondre que je lui éjaculais par jets puissants mon sperme en pleine figure, j’accélérai mon paluchage et ma purée venait par saccades lui arroser le nez, la bouche, les joues, les cheveux… Il mit fin à mes jets visqueux en engouffrant mon membre dans sa bouche pour finir les dernières gouttes de mon nectar qu’il semblait adorer en jouant avec sa langue de lope experte.
Après quelques minutes, Riccardo s’était mis le visage sous la pomme de douche pour faire disparaître l’agression juteuse dont il venait d’être l’heureuse victime, nous reprenions nos esprits, nos queues avaient perdu de leur vitalité, le savonnage mutuel a bien duré encore dix minutes, puis sortis de la douche à l’italienne, nous nous séchâmes en nous essuyant mutuellement nos corps ruisselants.
Nous prîmes un petit whisky avec glaçons ensemble dans le salon tout en nous galochant encore un peu sur le canapé, puis mon bel italien pris le chemin de retour vers l’atelier.
Le soir je rentrai dîner en famille chez ma belle-sœur en expliquant à tous que Riccardo était vraiment un type minutieux et appliqué.
Qui aurait pu imaginer que le remplacement de notre cuisine aménagée m’apporterait un tel bonheur ?... Sûrement pas Corinne !
Nous avions décidemment bien choisi l’entreprise et son unique employé qui m’avait été vanté par son patron Eric, en me confirmant que c’était un excellent professionnel en qui il avait toute confiance, qu’il était précis et super consciencieux !
Je ne me souvenais pas par contre qu’il m’ait annoncé qu’il taillait des pipes à la demande et embrassait comme un dieu ???... C’était certainement le bonus que je me devais de découvrir !
8h30, le lendemain j’attendais mon ouvrier spécialisé en orgasme masculin… Pardon en installation de cuisines, cette fois-ci j’avais revêtu un jock noir à mailles larges qui laissait voir ma queue et mes couilles en semi transparence… et bien sûr les fesses à l’air et un tee-shirt blanc.
Il descendit du camion… Je commençais à avoir le cœur battant… Je vois cette petite pute arriver en short satiné rose hyper court et ajusté, son matos était moulé de façon provocante, en guise de haut il portait un crop-top maillé noir… je croyais rêver, on se serait cru à la gay pride, je le fis rentrer rapidement en regardant s’il n’y avait pas des voisins dehors…
Décidemment nous étions tous deux en train de nous lâcher…
Il me tomba dans les bras et nous nous sommes roulés pelles sur pelles en nous palpant vigoureusement nos entrejambes… Il y a deux jours, on se serait serrés la main… Aujourd’hui on se palpait nos bites et nos couilles en guise de bienvenue !!!
Il me caressait les fesses en me doigtant l’anus pendant que moi je glissais avec difficulté ma main pour caresser son sexe en érection qui manquait cruellement de place dans ce short trop ajusté, je fis glisser son short au sol pour retrouver son pieu dressé et sa paire de boules bien pleines et son pubis velu.
Nos ébats érotiques durèrent vingt bonnes minutes, on prit rapidement le café qui avait déjà refroidi dans nos tasses, Riccardo est allé rapidement se mettre en tenue de travailleur et moi j’enfilai un short et une chemisette.
« Ce n’est pas comme ça que le chantier va avancer cher client ! » Me dit-il sur un ton ironique.
Et moi de lui répondre :
« Je paierai le supplément s’il le faut… Mais n’oubliez pas cher ami que le client est roi !!! »
La matinée fut très active pour mon ouvrier, je l’entendais chanter, il était heureux, vers midi pratiquement tous les éléments étaient en place.
Il me prévint qu’il voulait reprendre très vite après le repas… ce qui signifiait… Pas de batifolages… Juste ce qu’il fallait de baisers langoureux et de palpations coquines histoire de mouiller nos sous-vêt mais pas plus.
« J’ai apporté des capotes et du gel… ce soir je veux que tu me baises ! » m’annonça-t-il sans détour.
« Alors on ne perd pas de temps, on mange, je bosse et tu m’encules… c’est clair ? »
Ça ne pouvait pas être plus limpide effectivement !
« OK pour moi » lui dis-je, en rajoutant :
« Je vais te mettre mes 17cm dans le fion petite pute, j’espère te faire gémir ».
Il me répond en se marrant :
« Parfois ce sont les clients qui se font baiser… Il faut bien inverser les rôles de temps en temps »
Après cette remarque non dénuée d’intérêts, Riccardo repris le boulot de bon pied et moi je repartais au jardin.
Un peu avant 18h, je vis mon cuisiniste arriver dans le jardin et me dit :
« C’est bon pour moi, j’arrête… je file sous la douche… et je serai prêt ! »
Moi aussitôt :
« OK, je file me doucher aussi, j’arrive »
Nous prenons la douche ensemble, je lui savonne avec délicatesse et sensualité les fesses, la queue, les baloches bien pleines, puis le dos, les pectoraux… mon bel italien en fit de même avec mon corps collé au sien sous les jets d’eau presque trop chauds… prémices de nos ébats imminents.
Nous sortons de la cabine, nous nous essuyons mutuellement… Tout en m’essuyant les couilles avec délectation il me dit :
« J’attends avec impatience que tu te les vide en moi »
Le prenant au mot je lui réponds :
« Je suis peut-être hétéro… mais le cul d’un mec ne m’a jamais rebuté… Bien au contraire ! »
Je vais donner un tour de clé à la porte d’entrée… par sécurité, puis je dirige mon cuisiniste professionnel et consciencieux vers notre chambre d’amis… Dans l’après-midi j’avais préparé le lit, le couvrant d’un drap, approvisionné des kleenex, du gel…
« Oh mais tout est prêt ! » constata-t-il avec enthousiasme, il me balança sa boite de capotes… « Tu vas pouvoir emballer ton zob mon Bruno ! »
Nous nous jetâmes sur le pieu et nous enlaçâmes nus et déjà bien excités, nous nous léchâmes mutuellement sur toutes les parties du corps, de la tête aux pieds en passant par les seins, les pectoraux, les abdos, le cul, les couilles, nos queues bandées… j’introduisis mon majeur droit dans son anus de pédé, son trou était déjà bien ouvert et demandeur d’un membre bien raide, il se mit en position de levrette me tendant son cul telle une chienne en chaleur, la vue de ce postérieur bien sculpté, les fesses fermes, la raie écartée, les couilles semi pendantes et son trou criant famine… je n’en pouvais plus, je me mis à lui lécher la raie, enfoncer ma langue dans son anus, il mouillait déjà ce cochon… je pris le tube de gel et lui tartinais la rosette puis enfonçais un doigt, puis deux pour enduire le plus profond possible son anus… je sorti une capote de son emballage que j’ouvris nerveusement avec les dents puis enfila le préservatif de tout son long sur mon pieu en furie.
Bien positionné et ma petite pute impatiente me cria en tortillant son cul :
« Vas-y, encule-moi, je te veux… fourre-moi ta belle queue bien raide et fais-moi jouir, je n’en peux plus ! »
Je l’introduisis par étapes histoire de ne pas brusquer cette sodomie attendue et consentie, et me voici totalement introduis en lui, et je commençai mes mouvements de va et vient, mes couilles venant taper sa raie exagérément écartée… mon amant se tortillait dans tous les sens pour amplifier et profiter de mon membre en lui, il gémissait et râlait de plaisir… J’avais la preuve au bout de ma bite que ce jeune rital était un vrai pédé passif gourmand et vicelard… J’adorai ça !
Après l’avoir limé comme une bête au moins vingt minutes en levrette et en le cramponnant par les hanches, Riccardo voulu changer de position en me réclama la position de « l'аndrоmаquе » qu’il affectionne beaucoup apparemment, je connais bien cette position et la mets souvent en pratique avec Corinne qui adore se faire tringler ainsi. Je m’allongeai donc sur le dos les jambes légèrement éсаrtéеs… mon pieu toujours bandé au maximum, Riccardo vint sе роsіtіоnnеr аgеnоuіllé, son bustе bien drоіt аu-dеssus de mon sехе еt il dеsсеndit tоut еn dоuсеur sur mon dard qui l’empalla facilement puisque ses entrailles étaient trempées et le gel toujours actif, ce petit salaud se mit à se mouvoir de bas en haut avec une facilité déconcertante… je pu constater que c’était un habitué de l’enculade, Il prenait son pied le mec !... A tel point qu’il obtint un orgasme maximum en criant de bonheur :
« Oh, putain c’est trop bon, quel baiseur tu es mon Bruno ! » et tout en assurant ses va et vient verticaux… Je sentis ma jouissance à son comble et largua par grosses quantités mon sperme chaud, j’aurai préféré lui éjaculer sans capote dans ses entrailles mais mon jus se trouvait emprisonné dans ce préservatif devenu trop serré… Je sorti de son cul en vitesse, vira la capote qui atterri sur la table de nuit et continua de larguer mon jus blanc et visqueux à l’entrée de son trou, sur ses fesses et sur mon bas ventre… Quel pied, quelle baise, quel bonheur… Quelle salope !
Pendant ce temps, mon jeune sodomisé se branlait à un rythme soutenu jusqu’à éjaculer par jets fournis, il largua sa purée sur le drap, puis une grande giclée sur la lampe de chevet puis les autres sur mes joues.
Après nos largages de jus blanc et épais et ces étreintes endiablées, je constatai que le drap était maculé de sperme et de mouille un peu partout… Riccardo avait l’anus endolori et me remerciait en me roulant une pelle qui dura bien cinq minutes :
« Merci Bruno, tu m’as baisé comme un dieu ! »
Il se mis à me sucer le gland à grands coups de langues pour le nettoyer parfaitement… Je lui dis :
« Tu m’as procuré un plaisir comme jamais, tu n’es pas le premier mec que j’encule mais tu es de loin la meilleure pute que j’ai pu baiser avec autant d’énergie et d’excitation, je dois t’avouer que Corinne m’a rarement permis d’avoir un orgasme semblable… »
Après avoir roulé le drap pour le planquer, nettoyé le sperme dégoulinant sur la lampe de chevet, rangé les kleenex, boite de capotes et le tube de gel, nous repartîmes tous deux sous la douche pour apaiser et nettoyer nos corps en sueur, nos bites à demi ramollies se frottaient l’une à l’autre comme pour se remercier mutuellement de ce moment divin, nous terminâmes sous la pluie chaude de la pomme de douche en nous galochant une dernière fois avant de sortir et nous essuyer.
Tous deux rhabillés, Riccardo me laissa un baiser sur les lèvres en me félicitant, je lui mis la main aux fesses en le remerciant, il regagna son fourgon… Sa journée de travail était terminée… Il en avait plein le cul !
Le soir au dîner Corinne me demanda si le chantier serait bien terminé comme prévu le lendemain, je lui répondis que oui Riccardo me l’avait bien confirmé… A mon grand regret pensais-je.
La dernière journée commença par un café pris sur l’ilot central au milieu de notre nouvelle cuisine flambant neuve, il restait des portes, des poignées, un peu d’électricité pour les spots et la crédence à finaliser.
Riccardo pour ce dernier jour avait quitté son jean’s et m’avait gratifié d’un spectacle sublime et inattendu, il portait un string en lycra jaune et un débardeur noir, outre le fait que son débardeur lui allait à merveille… c’est son string qui me foutu la trique quasi immédiatement, je fis glisser mon short tout frais sorti de l’armoire… je ne portais évidemment rien dessous et Riccardo profita immédiatement de ma trique matinale, la vue de mon italien en string sexy à demi fermé sur les fesses, son petit cul ferme et bien moulé et ses attributs de mâle presque trop imposants pour être totalement enveloppés dans ce bout de lycra couleur soleil… je lui palpais le paquet en dégustant mon café, son string se tendit à l’horizontale, je discernais aisément l’empreinte de son gland décalotté, ne pouvant plus tenir, je m’agenouilla à ses pieds, je fis glisser son string, sa bite ainsi libérée réagit comme un ressort et me tapa dans le nez… j’engouffrai cette belle queue en bouche et me mis à le sucer sans rien dire, je l’ai pompé pendant dix bonnes minutes en lui faisant une successions de gorges profondes, lui me donnant des à-coups pour me baiser la glotte avec fermeté… Tellement excité par ma fellation sauvage, mes coups de langues autour de son gland et l’envie de tirer au cœur à chaque pénétration profonde… ce petit pédé m’éjacula rapidement dans la bouche… son nectar me rempli la bouche en quelques secondes, son sperme trop abondant débordait de chaque côté de mes lèvres… Il vidait ses couilles en moi ce jeune salaud, j’avalais au fur et à mesure ce que je pouvais mais sa purée continuait de me gaver… Je n’en pouvais plus et lui non plus…
« Oh putain quelle pipe mémorable tu viens de me faire Bruno ! » Me dit-il épuisé le gland encore dégoulinant.
Et moi, à genoux je venais de larguer mon jus par terre, sans me branler, juste par l’excitation provoquée par la baise sauvage de ma bouche je lui répondis avec le goût de son sperme très présent :
« Tu viens de m’offrir un sacré petit-déjeuner mon cochon… Je suis rassasié pour la matinée ! »
Après nous être passé la bouche et nos bites sous l’eau, nous reprîmes un petit café et décidâmes qu’il était temps de finir ce putain de chantier.
Le midi nous déjeunâmes sur le pouce sans oublier de nous galocher goulument accompagnés d’une bonne masturbation mutuelle poussée jusqu'à l’éjaculation de nos deux membres glands décalottés et tiges bien veinées.
Je desservis la table et essuya le sol de nos jets de sperme lamentablement atterris sur le carrelage.
L’après-midi fut consacré aux ultimes finitions pour mon cuisiniste.
Nous ne pouvions terminer notre après-midi en duo coquin car Eric, le patron de Riccardo lui avait passé un coup de fil en lui confirmant qu’il viendrait vers 16h30 pour valider la fin de travaux.
Comme c’était un vendredi, Corinne terminait plus tôt elle avait confirmé qu’elle aussi serait là pour la réception, j’avais mis une bouteille de champagne au frais pour fêter la livraison.
L’heure venue, tous les quatre nous étions dans notre belle cuisine toute moderne et bien finie.
Je fis sauter le bouchon de champagne et rempli les flûtes, Corinne était passée chez le pâtissier du coin et nous servi des mignardises toutes plus délicieuses les unes que les autres pour accompagner les bulles.
Tout en trinquant, j’imaginais que notre cuisiniste portait son string jaune sous son jean’s de travail, lui, de son côté, savait que mes attributs ballotaient en toute liberté sous mon short… Corinne et Eric ne pouvaient imaginer à quel point nos intimités n’avaient plus de secret l’un envers l’autre.
Après cette petite réception intimiste et agréable, Corinne me dit :
« Tu aurais pu offrir à Riccardo de prendre une douche avant qu’il ne parte ! »
Riccardo réagit aussitôt :
« Oh, merci madame c’est très gentil… mais je n’ai pas pour habitude d’utiliser la salle d’eau de nos clients, j’habite tout près… je prendrai mon bain en arrivant »
Et moi faussement honnête et reprenant mon vouvoiement :
« C’est comme vous voulez Riccardo, excusez-moi… Il est vrai que j’aurai pu vous le proposer ! »
Au final, Corinne et moi furent enchantés du rendu de cette nouvelle et belle cuisine moderne et fonctionnelle, Corinne félicita le patron Eric en lui disant combien elle était satisfaite du résultat, elle ne manqua pas de dire aussi que j’avais été très satisfait du professionnalisme de son ouvrier…
Tu parles… et comment j’étais satisfait… Si elle savait !...
Riccardo et moi avions préalablement échangé nos numéros de portables, nous ne pouvions plus nous ignorer… Que de bons moments nous allions pouvoir à nouveau partager, il m’avait dit qu’il avait un lit extra large et super agréable dans sa chambre très cosy, je me devais d’aller le tester prochainement…
Et il rajouta, c’est un lit où j’ai déjà baisé avec deux autres mecs… Si ça te dit… une partie à trois je peux l’organiser.
Ma réponse ne tarda pas :
« Oh oui alors, pas de problème pour moi… Ça fait partie de mes fantasmes avoir une bite en bouche et une dans le cul… Et cette fois-ci j’aurai au moins l’occasion de me faire baiser doublement ! »
Riccardo avec un grand sourire :
« Compte sur moi, je te présenterai Alessandro, un actif bien monté… Il baise comme un dieu c’est un beau rital comme moi, sexy et pédé comme un phoque ! »
Et il rajouta :
« Tu me dis être hétéro, mais après t’avoir testé profondément je pense que tu es totalement bi mon pote ! »
Moi de conclure :
« Tu as raison, pour moi le clito d’une nana ou la bite d’un beau mec… Ça ne me laisse jamais indifférent… Il faut que je travaille Corinne pour l’habituer à la sodo… »
Après ce récit de chantier hors du commun, je peux confirmer qu’il est important de faire travailler les petits artisans… Ils nous réservent parfois de très belles surprises… A ce sujet je suis prêt à signer une décharge… Si ce n’est déjà fait !!!
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Super histoire. On est en haleine à chaque paragraphe.
Ricardo est canon mais Bruno semble très intéressant aussi
Ça me donne envie de refaire ma cuisine !! Qq
Ricardo est canon mais Bruno semble très intéressant aussi
Ça me donne envie de refaire ma cuisine !! Qq
Superbe hostoire
Légèrement ironique de traiter le mec de pédé et de chienne juste avant de tomber à genoux pour le sucer, mais sinon, l'histoire est bien amenée, et racontée avec un mix ortho-grammaire plus que décent, c'est assez rare.