Un jour ordinaire
Récit érotique écrit par Marie Salope [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-09-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Un jour ordinaire
Le matin, comme chez tout le monde ou presque, c’est la course. Le réveil, moi thé, toi douche puis toi café, moi douche, on se croise, on s’habille, on s’embrasse et c’est parti pour une journée au taf.
Mais, ce matin, non. Ce matin : on est en avance, et s’il y a une chose que j’adore le matin : c’est baiser… sauf qu’avec la vie quotidienne, c’est de moins en moins souvent, sauf le weekend où nos journées commencent toujours par toi dans moi.
Ce matin donc, prêts à partir, 15 mn d’avance. Tu es dans l’entrée, ta parka sur le dos, ton ordi sur l’épaule. Tu es tellement sexy. Comme à chaque fois que je te regarde j’ai le minou qui réclame. Je pose mon sac sur le meuble de l’entrée, pose ton ordi par terre, t’attrape la main, la lève vers mon visage et glisse doucement ton majeur entre mes lèvres, mes yeux plantés dans les tiens, je te suce doucement le doigt, souriante, les yeux plissés de malice… Mes mains filent vers ta ceinture, je la défais, je baisse ton pantalon, ton boxer, une petite caresse sur ta queue dressée pour voir si tout va bien, je déboutonne mon jean et le baisse en même temps que mon string en dentelle… Le jean à mi-cuisses, mes mains remontent vite, effleurant à peine ton membre tendu, je reprends ta main tout en continuant à sucer ton majeur, je t’attire vers le salon, ma bouche relâche ton doigt, je me place à genou sur le canapé, guide ton doigt vers ma chatte trempée, tu prends le relais amusé excité… tu me pousses doucement dans le dos pour que je bascule en avant, pour que mon cul soit bien en vue, offert pout toi, les jambes coincées dans mon jean, la tête et mes épaules reposant sur les coussins du canapé…. Tu enfonces ton doigt doucement, une seule fois, tu le retires et tu glisses ta queue très lentement, jusqu’à la garde. Putain ce que c’est bon de se sentir prise complètement, profondément. Tu poses tes mains sur mes hanches, tu me demandes ce que je veux… « Lentement ma chérie ? » « Non, fais-vite, tu as 5 minutes pour me baiser à fond, alors vas-y à fond. Je n’ai qu’une seule demande, arrose moi bien le cul et les reins en venant, recouvre-moi de ta jute. » « Ok, c’est parti. » Tu m’envoies une claque si forte sur le cul que je crie « Hé ! » « Tais-toi et prends çà »… Immédiatement tu agrippes mes hanches violement et te mets à me pistonner comme un fou, tu me sert fort, tes doigts s’enfoncent dans ma chair, ta queue me pilonne sans arrêt, quelques minutes mais tellement fort que je peux à peine respirer, je hoquète sous la violence de l’assaut… Quand tu donnes ton dernier coup de rein, mon sexe est meurtri, palpitant… Tu lances quelques longues giclées chaudes sur mes fesses, sur le bas de mon dos. Ta jouissance est rauque, rapide. Tes doigts se détendent, tes mains me caressent, étalent ta semence sur mon corps haletant, elles passent de mon cul à ma fente ouverte, tu passes sur mon trou bien serré, tu y passes, y repasses, le lubrifies, y glisses ton index, tournes un peu, de l’autre main, tu me donnes des petites claques, tu continues à tourner ton index dans mon cul qui se détend, tu y enfonces ton autre index, tu me travailles, me prépares, écartes mon trou et tu t’enfonces, ta queue prend ta place, tes mains reviennent sur mes hanches et je te supplie « Non, oui, non, non, j’en peux plus, arrête… ». Mais, Salaud, tu me connais, t’es mon homme ! Tu me baises le cul, me demandes si j’aime… « Oui vas-y encule-moi, ouiiii, oooh, tu me défonces… ». Tu gicles un bon coup sans se retirer. Ton sperme sur moi est collant, ta nouvelle giclée coule de mon trou. Tu te penches, m’embrasses dans le dos, tu remontes mon string, tu m’aides à me redresser, tu passes ses mains sous mon t-shirt, elles se faufilent jusqu’à mes seins, tu pinces mes tétons durs, tu me pinces fort – tu sais ce que j’aime, tu m’embrasses dans le cou… Je sens mon string trempé entre les jambes. Tu te recules, remballes sa sublime queue encore presque raide, remontes ton fut, reboucles ta ceinture, tu attrapes ton ordi et avant de claquer la porte « Je suis à la bourre, à ce soir Chérie »… Je remonte mon jean, je colle de partout, je change de t-shirt (il a morflé dans l’histoire) et je file au taf, couverte de ton sperme, le cul dégoulinant de ta jute…
Ce jour-là, quand mon boss me fait chier, je plisse les yeux, lui souris, réponds poliment, dans ma tête les souvenirs défilent, ton odeur sur moi, il peut dire ce qu’il veut, je l’emmerde aussi profondément que tu m’as baisée ce matin.
Ce soir, pour te remercier de cette belle journée, je t’attendrai à genou dans le couloir, j’aurai juste enlevé le haut, je t’attendrai là, à genou, les seins tendus, les yeux plissés. Et quand tu passeras la porte, je te sucerai longuement, goulument, pour commencer, pour te remercier.
Mais, ce matin, non. Ce matin : on est en avance, et s’il y a une chose que j’adore le matin : c’est baiser… sauf qu’avec la vie quotidienne, c’est de moins en moins souvent, sauf le weekend où nos journées commencent toujours par toi dans moi.
Ce matin donc, prêts à partir, 15 mn d’avance. Tu es dans l’entrée, ta parka sur le dos, ton ordi sur l’épaule. Tu es tellement sexy. Comme à chaque fois que je te regarde j’ai le minou qui réclame. Je pose mon sac sur le meuble de l’entrée, pose ton ordi par terre, t’attrape la main, la lève vers mon visage et glisse doucement ton majeur entre mes lèvres, mes yeux plantés dans les tiens, je te suce doucement le doigt, souriante, les yeux plissés de malice… Mes mains filent vers ta ceinture, je la défais, je baisse ton pantalon, ton boxer, une petite caresse sur ta queue dressée pour voir si tout va bien, je déboutonne mon jean et le baisse en même temps que mon string en dentelle… Le jean à mi-cuisses, mes mains remontent vite, effleurant à peine ton membre tendu, je reprends ta main tout en continuant à sucer ton majeur, je t’attire vers le salon, ma bouche relâche ton doigt, je me place à genou sur le canapé, guide ton doigt vers ma chatte trempée, tu prends le relais amusé excité… tu me pousses doucement dans le dos pour que je bascule en avant, pour que mon cul soit bien en vue, offert pout toi, les jambes coincées dans mon jean, la tête et mes épaules reposant sur les coussins du canapé…. Tu enfonces ton doigt doucement, une seule fois, tu le retires et tu glisses ta queue très lentement, jusqu’à la garde. Putain ce que c’est bon de se sentir prise complètement, profondément. Tu poses tes mains sur mes hanches, tu me demandes ce que je veux… « Lentement ma chérie ? » « Non, fais-vite, tu as 5 minutes pour me baiser à fond, alors vas-y à fond. Je n’ai qu’une seule demande, arrose moi bien le cul et les reins en venant, recouvre-moi de ta jute. » « Ok, c’est parti. » Tu m’envoies une claque si forte sur le cul que je crie « Hé ! » « Tais-toi et prends çà »… Immédiatement tu agrippes mes hanches violement et te mets à me pistonner comme un fou, tu me sert fort, tes doigts s’enfoncent dans ma chair, ta queue me pilonne sans arrêt, quelques minutes mais tellement fort que je peux à peine respirer, je hoquète sous la violence de l’assaut… Quand tu donnes ton dernier coup de rein, mon sexe est meurtri, palpitant… Tu lances quelques longues giclées chaudes sur mes fesses, sur le bas de mon dos. Ta jouissance est rauque, rapide. Tes doigts se détendent, tes mains me caressent, étalent ta semence sur mon corps haletant, elles passent de mon cul à ma fente ouverte, tu passes sur mon trou bien serré, tu y passes, y repasses, le lubrifies, y glisses ton index, tournes un peu, de l’autre main, tu me donnes des petites claques, tu continues à tourner ton index dans mon cul qui se détend, tu y enfonces ton autre index, tu me travailles, me prépares, écartes mon trou et tu t’enfonces, ta queue prend ta place, tes mains reviennent sur mes hanches et je te supplie « Non, oui, non, non, j’en peux plus, arrête… ». Mais, Salaud, tu me connais, t’es mon homme ! Tu me baises le cul, me demandes si j’aime… « Oui vas-y encule-moi, ouiiii, oooh, tu me défonces… ». Tu gicles un bon coup sans se retirer. Ton sperme sur moi est collant, ta nouvelle giclée coule de mon trou. Tu te penches, m’embrasses dans le dos, tu remontes mon string, tu m’aides à me redresser, tu passes ses mains sous mon t-shirt, elles se faufilent jusqu’à mes seins, tu pinces mes tétons durs, tu me pinces fort – tu sais ce que j’aime, tu m’embrasses dans le cou… Je sens mon string trempé entre les jambes. Tu te recules, remballes sa sublime queue encore presque raide, remontes ton fut, reboucles ta ceinture, tu attrapes ton ordi et avant de claquer la porte « Je suis à la bourre, à ce soir Chérie »… Je remonte mon jean, je colle de partout, je change de t-shirt (il a morflé dans l’histoire) et je file au taf, couverte de ton sperme, le cul dégoulinant de ta jute…
Ce jour-là, quand mon boss me fait chier, je plisse les yeux, lui souris, réponds poliment, dans ma tête les souvenirs défilent, ton odeur sur moi, il peut dire ce qu’il veut, je l’emmerde aussi profondément que tu m’as baisée ce matin.
Ce soir, pour te remercier de cette belle journée, je t’attendrai à genou dans le couloir, j’aurai juste enlevé le haut, je t’attendrai là, à genou, les seins tendus, les yeux plissés. Et quand tu passeras la porte, je te sucerai longuement, goulument, pour commencer, pour te remercier.
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